Développement personnel / Desarrollo personal

 

 

First date

Hoy menos que nunca se organizan esas presentaciones formales, “almidonadas” y llenas de expectativas, pero aún así un primer encuentro –pactado, planteado, o simplemente “ocurrido”- requiere el despliegue de una serie de recursos personales  que faciliten que el intercambio sea el inicio de “algo”.

La impresión que producimos en los primeros intercambios favorece que quien nos interesa se disponga a mirarnos en primera instancia y a sentir curiosidad e interesarse en nosotros en un paso posterior.

¿Cómo romper el hielo? 

Inicar con preguntas, más que discursos acartonados, y adoptar una genuina escucha siempre es una receta que funciona. A todos nos gusta que nos presten interés: la mirada de los demás sobre nosotros –genuina, respetuosa, abierta- nos permite sentirnos tratados de manera singular. Por eso es importante “romper el hielo” con preguntas,  “derrítir el espacio” con escucha, y prepara el “ir y venir” con genuina curiosidad.

¿Qué tengo que considerar en una primera cita? 

La decisión de poner en juego el conjunto de tu personalidad. Si bien para tener éxito en cualquier encuentro se requieren ciertas habilidades sociales que en algunas personas son recursos innatos, también existen estrategias que se pueden perfeccionar.

  1. auténtico. Corre el riesgo –de forma oportuna- de decir lo que te gusta, de negarte a lo que no te agrada, y de compartir lo que piensas. Si actúas desde la falsedad no sabrás si gustas por lo que eres o por lo que aparentas.
  2. Promueve el intercambio. El otro es un sujeto, no un objeto de tu “show”. Para ser atractivo no necesitas “pavonearte”, menos manipular ni dar cátedra de lo mucho que vales. Para esto, haz preguntas, pero no interrogues.
  3. Ejercita el don de palabra. Hay que tener algo inteligente que decir y quererlo compartir. La idea no es hablar mucho sino hablar bien. El don de palabra incluye el escuchar atentamente.
  4. Cuida tu apariencia física. No se trata de compararte con “el más o la más guapa” pero sí de sacarte el mayor partido.
  5. Genera cierta intimidad. Muestra algo de ti. Compartir ciertas vulnerabilidades -sin excesos- hace estimulante y significativo el encuentro. Hablar solo de información es adecuado pero para una cena de negocios.
  6. Sé positivo. Cultiva el buen humor y no te victimices (¡las víctimas aburren!). Muestra soluciones asequibles a los problemas que llegues a compartir.
  7. Roza con la mano, toca su brazo, levemente, de forma no sexual. Acércate y aléjate. Juega con cierta proximidad física para mostrar que no temes al contacto, sino que estás abierto a él.
  8. Genera estados emotivos de relativa intensidad que hagan del encuentro algo conmovedor. Obvio no te excedas con actuaciones ni histriónicas ni histéricas.
  9. Pon límites. No te derritas por el otro, más bien intenta sostener cierta oposición. Los límites invitan a explorar, a ir más allá. No hay nada menos atractivo que un triunfo seguro.
  10. Haz uso de experiencias sensoriales. Estimular los sentidos con aromas, colores, música, sabores, promueve la atención y facilita la conexión.
  11. Muestra cierto matiz transgresor. “Reta” al otro, a vivir una cierta desobediencia, algo de riesgo. La corrección política es eso, correcta, pero no seductora.

Pareja: Consejos para que la primera cita sea todo un éxito

Todo esto fluye mejor si trabajas en tu seguridad personal. Conocer tus competencias y tus limitaciones facilita el adecuar tus aspiraciones a tus posibilidades haciendo de tu mejor parte tu mayor parte.

Y antes de intentar gustar pregúntate: ¿me gusto yo a mi? La capacidad de disfrutarse a uno mismo y de ofrecerse al otro para ser disfrutado es una pieza clave para tener  en potencial en encuentro inicial.

Tere Diaz

¡Suerte y éxito!

Comment gérer la frustration ?

La frustration est une émotion humaine, mais qui a tendance à nous tirer vers le bas. Faites notre test et découvrez comment la gérer !

Dépasser les frustrations

La frustration est une émotion apparaissant lorsque les circonstances ne se déroulent pas comme on l’avait prévu. On se sent tiré en arrière, incapable d’atteindre ce que l’on souhaite, et les solutions semblent hors de portée. On se sent si proche de la solution, et pourtant si loin, et la frustration prend toute la place.

Elle est importante car elle nous prouve que nous sommes retenus par des barrières, limites et habitudes que nous nous imposons. Nous sommes la propre raison de notre frustration, et sommes la seule personne qui peut nous libérer de ce cycle. Si on ne parvient pas à le faire, la frustration continue peut limiter notre progression, résultant en une pensée pessimiste et une baisse de l’estime de soi. Car oui, la frustration peut immobiliser nos actions et le processus de pensée rationnelle, menant à des périodes d’indécision. Une frustration à long terme peut aussi donner la sensation d’être submergé(e), activer le stress et la dépression. La frustration cause aussi de l’impatience, rend plus agressif et colérique, et plus longtemps l’on souffre de frustration, plus ces émotions sont fortes.

Frustration : 5 clés pour la gérer positivement - Nos Pensées

 

Comprendre les signes de frustration

Avant d’apprendre à gérer la frustration, il est important de prendre conscience des signaux précoces. Plus tôt on prend le contrôle de nos pensées frustrantes, plus rapidement on peut s’en débarrasser, et mieux on apprend à résoudre nos problèmes existentiels.

De façon externe, la frustration se manifeste par une forme de résistance. Par exemple, on peut avoir suivi une constante dans notre progression, puis quelque chose arrive soudain qui nous bloque et paralyse nos efforts. On comprend qu’on devrait être capable de dépasser cet obstacle,sans paraître contrôler totalement contrôler les circonstances : c’est ce qui cause la frustration. Nous ne parvenons simplement pas à atteindre nos attentes, et sommes frustré(e)s car nous savons que nous pouvons faire mieux.

De façon interne, nos frustrations se manifestent comme réponses à des inadéquations perçues, faiblesses et limitations. Par exemple, on peut être frustré(e) parce qu’on se sent incapable de gérer un problème, faible ou inadéquat(e) d’une certaine façon. On ne se sent pas capable, alors que nos attentes initiales nous disent le contraire : nous devons dépasser ces insuffisances ou changer nos faiblesses en forces pour traverser cette situation avec succès.

Que faire lors d’un moment de frustration ?

La façon dont on répond à la frustration à son apparition détermine l’efficacité et la rapidité avec laquelle on pourra en sortir. Si on répond de façon appropriée à la frustration, on trouvera rapidement un chemin pour aller de l’avant. Dans le cas contraire, lorsqu’elle nous submerge, on risque de faire les mauvais choix et de prendre de mauvaises décisions.

  • Recadrez votre frustration : changez de point de vue sur la frustration, ne la voyez plus comme quelque chose qui bloque votre progrès, mais comme une opportunité de découvrir une nouvelle voie pour aller de l’avant qui vous sera bénéfique sur le long terme. Voyez la frustration comme un défi vous permettant de vous améliorer, d’apprendre quelque chose, soyez curieux(se) à propos de cette frustration et posez-vous des questions pour mieux apprendre de cette expérience.
  • Voyez les événements différemment : prenez le temps de voir la situation d’une autre façon. En cas de problème, nous continuons à voir les choses comme nous les avons toujours vues, ce qui nous frustre car nous finissons piégé(e)s dans les limites de notre propre esprit. Incapables de voir au-delà de nos habituels patrons de pensées, nous nous sentons coincé(e)s. Lorsque cela arrive, nous devons voir la situation d’un autre point de vue, par exemple de celui d’une tierce personne qui regarderait la situation et la jugerait à sa façon pour aller de l’avant.
  • Concentrez-vous sur ce qui est important : en cas de frustration, vous devez absolument prendre le contrôle de votre esprit. Concentrez-vous sur des choses qui vous aideront à traverser ce problème avec succès, plutôt que d’autres qui vous donnent la sensation d’être piégé(e). Concentrez-vous sur ce que vous voulez, sur les solutions qui vous aideraient à avancer, sur ce que vous désirez réussir. Prenez le temps de visualiser les issues positives que vous souhaitez atteindre afin de fixer votre esprit et de lui offrir une plateforme pour stimuler votre imagination. Prenez ensuite des décisions en conséquence pour vous sortir de cette frustration.
    • Détachez-vous émotionnellement : s’attacher émotionnellement à une situation frustrante n’est pas conseillé, car cela empêche de l’approcher de façon détachée et claire. Lorsque la frustration frappe, essayez de vous détacher émotionnellement et physiquement de la situation. Profitez-en pour re-prioriser vos activités et voir le côté positif.

    Gérer la frustration

    Pour gérer la frustration, il faut absolument rester positif(ve) et proactif(ve) : ne tombez pas dans le piège consistant à vous apitoyer sur votre sort, empêchant de traverser cette situation avec succès. S’apitoyer sur son sort empêche de voir les choses clairement et d’utiliser avec efficacité son temps et ses ressources.

    S’apitoyer sur son sort commence en général par des questions que l’on se pose en permanence : «pourquoi les choses vont toujours mal?», «pourquoi ça m’arrive tout le temps?», «pourquoi tout ressemble à une bataille continue?»… Se poser ce type de questions ne fait que désespérer et fait naître dans l’esprit le doute qui nous empêche d’avancer. Plutôt que de vous apitoyer sur votre sort, apprenez à gérer votre frustration pour qu’elle vous serve, et non qu’elle vous desserve. Voici quatre étapes pour apprendre à gérer votre frustration.

    tape 1 : identifier les signaux précoces

    Identifiez les signaux précoces de la frustration, et ne lui permettez pas de vous frapper sournoisement. Identifiez-les rapidement, et lancez-vous immédiatement dans le processus pour mieux gérer cette émotion.

    Etape 2 : clarifier les choses

    Clarifier les choses est nécessaire pour gérer le sentiment de frustration. Vous devez identifier les raisons qui font que vous êtes frustré(e), en vous demandant : «pourquoi est-ce que je me sens frustré(e)? Comment cela se fait que ce que je suis en train de faire ne fonctionne pas?»

    Parfois, les raisons de la frustration sont vraiment bêtes, voire étranges. Ces raisons peuvent même vous faire rire, et le rire va immédiatement vous montrer une solution que vous n’aviez peut-être pas repérée auparavant. Parfois, la frustration est justifiée et vous devrez approfondir la situation pour trouver une solution. Demandez-vous : «quel est le problème latent qui me perturbe? Qu’est-ce qui cause ces sentiments? Est-ce que je fais partie du problème ou de la solution?»

    Cette dernière question est centrale, car on se rend parfois compte que l’on fait partie du problème que l’on vit, et que l’on est donc la propre cause de sa frustration. Il suffit donc de faire les ajustements nécessaires pour rectifier la situation.

    Si vous avez déterminé que vous ne faites pas partie du problème, vous devrez comprendre les opportunités potentielles que vous gagneriez en le résolvant. Vous devez alors vous demander ce qui fonctionnerait pour vous, trouver les opportunités dont vous pourriez tirer un avantage,

    creuser pour trouver celles qui n’étaient peut-être pas visibles au premier regard. En changeant de point de vue sur la situation, vous serez en meilleure position pour voir ces opportunités.

    Une fois que vous aurez identifié ces opportunités, vous allez pouvoir trouver comment résoudre ce problème et évacuer cette frustration. Il est pour cela nécessaire d’essayer d’envisager de façon créative cette situation, d’essayer de voir comment on pourrait améliorer ou modifier les choses. Tentez de trouver les petits ajustements à faire qui pourraient vous aider à traverser cette situation. Considérez toutes vos options et prenez le chemin qui vous fait aller de l’avant, mais gardez en tête que vous allez certainement vivre encore un peu de frustration avant de trouver la solution idéale.

    Etape 3 : élargir son horizon

    Si vous ne parvenez pas à progresser suffisamment avec la deuxième étape, vous devez prendre du temps pour élargir vos horizons. Tout d’abord, tentez quelque chose de totalement différent, une nouvelle approche qui semble n’avoir aucun sens. Peut-être que vous allez rater, mais cet échec pourra vous offrir une nouvelle vision de la situation, un changement de perspective bienvenu pour dépasser cette situation problématique.

    La frustration peut aussi rester car l’on n’a tout simplement pas les connaissances ou l’information nécessaires pour traverser cette situation. Prenez du recul sur la frustration et essayez d’acquérir l’information et la connaissance nécessaires pour aller de l’avant. Ceci peut passer par des choses que vous n’aviez pas envisagé, comme apprendre ou améliorer une compétence, ou discuter avec un(e)professionnelle de la psychologie.

    Si vous n’y parvenez pas, cherchez du soutien chez les autres. L’expérience des pairs peut vous offrir une nouvelle perspective, vous aidant à voir les choses d’une autre façon. Vous serez peut-être face à de nouvelles opportunités ou ressources dont vous n’aviez pas connaissance, qui vous aideront à mieux résoudre le problème.

    Etape 4 : rester concentré(e)

    Tout au long du processus de gestion de la frustration, il est crucial de se discipliner, de persévérer et d’être déterminé(e) en vue d’une issue positive. Ne perdez pas courage, ne pensez pas à abandonner. Au contraire, encouragez-vous à penser de façon plus créative, car vous apercevrez peut-être une solution pour dépasser cette frustration. Gardez votre esprit ouvert et positif.

 

 

 

 

Trouver l’amour après une relation avec une femme manipulatrice perverse narcissique

De nombreux hommes sont victimes de femmes manipulatrices perverses narcissiques en amour. Certains hommes sont agressés physiquement, tandis que beaucoup d’autres sont victimes de violence psychologique. Pourquoi voyons-nous plus souvent des publications sur les hommes pervers narcissiques ?

La réponse est simple : parce que ce sont majoritairement les femmes qui consultent et écrivent des articles sur ce sujet, et que les médias adaptent leurs contenus en fonction de l’offre et de la demande. De plus, les hommes sont généralement plus discrets et silencieux suite à ce genre d’expériences amoureuses toxiques.Dans les faits, il a autant de Femmes manipulatrices perverses narcissiques. Les relations toxiques et les troubles de la personnalité n’ont pas vraiment de genre. La plupart des conseils que nous voyons sur des sites comme celui-ci concernant les hommes pervers narcissiques sont généralement valables pour les femmes perverses narcissiques à quelques différences près.

Le trouble de la personnalité narcissique (TPN) est décrit comme un modèle omniprésent de grandeur, de besoin d’admiration et de manque d’empathie. Comme les hommes, ce type de personne est généralement égocentrique, égoïste, suffisant et fasciné par soi-même. Les femmes narcissiques peuvent alterner entre ces trois comportements prédominants :

  • Hypersexualité
  • Comportement de chaud et de froid: Parce que sans toi ma vie n’as pas de sens..«tu es mon âme-soeur», «tu es la personne la plus importante de ma vie» ou «je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme toi», «je ne veux jamais te quitter», «Tes rêves sont les miens, et les miens sont les tiens.».   Si ces phrases peuvent être effectivement prononcées au bout de quelques temps, le pervers narcissique les utilise dès le tout début d’une relation. Dans ce cas, écoutez la petite voix intérieure qui vous dit que ce n’est pas une aventure qui progresse normalement, et mettez-y un terme au plus vite.-
  • Frigidité

Pour la femme manipulatrice perverse narcissique, le sexe est une question de contrôle et de renforcement de son ego. Pour les femmes narcissiques, le sexe ne consiste pas à exprimer l’amour, la luxure, l’intimité, la passion ou le plaisir mutuels. Elles utilisent le sexe comme un moyen de vous attirer dans une relation. Une fois qu’elle est sûre de vous avoir accroché, le sexe devient l’un des outils permettant de vous contrôler. Elle peut soit vous offrir du sexe, soit vous en priver.

Il s’agit d’une relation transactionnelle qui s’apparente davantage à un contrat. Elle vous demandera de « donner » quelque chose afin de « recevoir » quelque chose d’elle. Par exemple, si vous voulez avoir des relations sexuelles, vous devrez lui donner quelque chose qu’elle veut ou vous comporter comme elle le souhaite, quelle que soit son apparence.

Comment reconnaître la femme perverse narcissique et stopper sa toxicité

Les femmes narcissiques ne sont généralement pas de bonnes amoureuses. Elles peuvent avoir maîtrisé de nombreuses techniques sexuelles, mais faire de l’amour est un acte de véritable intimité émotionnelle. Si vous considérez le sexe comme une expression d’amour, de jeu, de désir et de tendresse, le sexe avec une femme narcissique ne sera jamais suffisant.

Vous pourriez penser que votre relation est bonne parce que le sexe est génial, c’est-à-dire quand vous avez la chance de vous envoyer en l’air. Mais détrompez-vous ! Le sexe est-il vraiment si génial que ça, ou vous empêche-t-il d’avoir la capacité de reconnaitre les abus  dont vous êtes victime ?

5 éléments d’une relation amoureuse saine que vous ne trouverez pas avec une femme manipulatrice perverse narcissique.

Une vie amoureuse épanouie se compose de cinq éléments essentiels :

  1. Vulnérabilité : Une femme atteinte de TPN ne pourrait pas être vulnérable, car elle investit la majeure partie de sa vie dans le développement d’un extérieur élaboré et rigide, et tout dommage est gardé en elle.
  2. Confiance : Une femme narcissique ne fait confiance à personne. Elle croit que tout le monde se défoule sur elle et prendra l’attitude d’une victime pour mieux vous manipuler. Elle ne s’intéresse qu’à elle-même et s’efforce de justifier ses actes en vous accusant. Elle jouera le rôle d’un martyr à fond. Elle avouera son amour pour vous un instant, vous mettra en pièces et vous exclura de sa vie l’instant d’après.
  3. Empathie: L’empathie n’est pas une qualité que l’on retrouve chez une femme violente sur le plan émotionnel. Elle ne se soucie d’aucun autre point de vue que le sien.
  4. Respect : Les femmes narcissiques ne donnent pas de respect. Cette femme traite son mari ou son petit ami comme des objets ou des possessions. Elle ne considère pas que ses sentiments ou ses besoins soient aussi importants que les siens. En d’autres termes, elle ne vous respecte pas.
  5. Intimité : Pour avoir une relation amoureuse saine, il faut être proche physiquement et émotionnellement. Il s’agit de partager mutuellement vos bonnes qualités, d’exposer vos défauts et vos insécurités. Elle vous poussera constamment à bout afin d’éviter que ses vulnérabilités ne soient exposées.

Coach PNL Agnes Ruelle


 

 

 

5 CLAVES PARA LA MEJORA CONTINUA

5 CLAVES PARA LA MEJORA CONTINUA

Hoy deseo compartir contigo un poderoso concepto japonés para progresar y hacer evolucionar tu proyecto. Hablaremos del Kaizen.

Las lecciones del Kaizen son muy poderosas, asimismo, para nuestro proyecto de vida, ya que un 1% diario de mejora en aquello nos permite llegar al 100% en menos de 100 días, porque la mejora de cada día se acumula en el siguiente, en apenas 70 días, si mejoras un 1% respecto al día anterior, habrás mejorado un 100%. Es lo que tiene la exponencialidad.

Antes de aprender los principios fijados por Masaaki Imai, principal especialista de esta filosofía, veamos el significado de la palabra, que está formada por dos kanjis japoneses: KAI significa “cambio” y ZEN significa “bueno”. Por lo tanto, el término significa literalmente “cambio para bien”, aunque se suele traducir como “mejora continua”.

Veamos 9 principios de Masaaki Imai para aplicarlos al objetivo que te hayas fijado o, simplemente, para tu evolución como ser humano:

1. “El punto de partida de toda mejora es reconocer su necesidad. Y para ello hay que reconocer el problema.” Si no hay esa mirada crítica y humilde, no puede haber mejora. Tal como dice Imai: “La complacencia es el archienemigo del Kaizen.” No conformarse y detectar los problemas nos permitirá salir del atolladero y empezar a ver cambios positivos.

2. “El Kaizen es mejora diaria, es mejora para todo el mundo, es mejora en cualquier parte”. Lo cual significa llevar esa voluntad de superación a todos los ámbitos y rincones de nuestra vida. Desde que nos levantamos por la mañana, en cada cosa que hacemos, en toda situación y compañía, aspirar a hacerlo un poco mejor cada día.

3. “Cuando resuelvas un problema, verás diez problemas más.” Con ello Masaaki Imai nos sugiere que el camino del Kaizen, de la mejora continua, no termina nunca. Siempre hay margen para hacerlo un poco mejor.

4. “No esperes la solución perfecta.” Puede ser la excusa perfecta para no hacer nada: la famosa parálisis por análisis. Es más importante moverte, experimentar, intentar mejoras, porque en ese camino de prueba y error estás avanzando sin darte cuenta.

5. “El progreso es imposible sin la habilidad de reconocer errores.” Del mismo modo que hay que saber ver el problema para encontrar una solución, debemos dirigir la exigencia hacia nosotros mismos. Darte cuenta de aquello en lo que te equivocas o podrías hacer mejor es una autopista al éxito. Para ello te será muy útil pedir feedback a los demás.

En definitiva, “La esencia del Kaizen es que no debería pasar un solo día sin alguna clase de mejora.” Es lo que los japoneses llaman también cambio incremental. Si te has fijado un objetivo y cada día emprendes al menos una acción en la dirección correcta, por humilde que sea, con el paso del tiempo obrarás grandes transformaciones.

Alex Rovira

COMMENT ÊTRE À L’AISE FACILEMENT EN TOUTES CIRCONSTANCES ?

Acceptez de ressentir du stress

Nous avons besoin d’une certaine quantité de stress, et d’activation du système nerveux pour faire ce que nous devons faire tous les jours. C’est ce qui nous pousse à bouger et à agir dans le monde. En fait, l’un des principaux symptômes de la dépression est le manque de cette motivation intérieure, qu’on appelle bien souvent stress.

Comme le dit Robert Sapolsky, qui a écrit LE livre sur le stress, Why Zebras don’t get ulcers:

“Nous aimons le stress léger et transitoire qui se produit dans un contexte bienveillant. La menace stressante d’un tour de montagnes russes est qu’elle nous rendra mal à l’aise, pas qu’elle nous décapitera ; cela dure trois minutes, pas trois jours. On aime ce genre de stress, on le réclame, on paye pour en faire l’expérience. (…) Le cœur du stress psychologique est la perte de contrôle ou la prévisibilité. Mais dans des contextes bienveillants, nous abandonnons volontiers le contrôle et la prévisibilité pour être remis en question par l’inattendu – un plongeon dans les pistes de montagnes russes, un rebondissement, un entraînement difficile, un mouvement d’échecs inattendu. Surprenez-moi – c’est amusant.”

L’absence totale de stress est ennuyeuse. Un stress transitoire modéré est sain. Une étude publiée dans le Journal of personality and social psycology de juillet 2017 a examiné la santé psychologique des personnes qui acceptent, plutôt que de juger négativement, leurs expériences émotionnelles.

Les chercheurs ont constaté que l’acceptation de ces expériences entraînait moins d’émotions négatives face aux facteurs de stress quotidiens. Lorsqu’une situation stressante provoque des émotions désagréables, accepter des sentiments de frustration ou de bouleversement — plutôt que d’essayer de prétendre que vous êtes complètement relaxé — réduit la culpabilité et le manque de confiance en soi.

 

Sentirse bien para vivir bien: No es tan fácil como parece

 

Sortez de votre zone de confort

Ne pas savoir ce qui va se passer est généralement stressant. L’incertitude indique que vous n’êtes pas sûr de votre environnement, de vos compétences ou des deux. Mais l’incertitude indique également au cerveau de démarrer l’apprentissage, a révélé une recherche de Yale.

Cela signifie que des situations instables peuvent être inconfortables, mais elles sont également essentielles si vous souhaitez tirer le meilleur parti de votre cerveau.

Si vous voulez maximiser l’apprentissage, vous devez vous assurer que vous faites des choses difficiles dans 70% des cas, a conseillé Auren Hoffman  entrepreneur et angel investor. Si vous n’êtes pas au moins un peu stressé par ce que vous faites, votre cerveau arrête tout simplement d’apprendre.

Pour comprendre cela, les scientifiques de Yale ont étudié le comportement des singes face à l’imprévisibilité d’un jeu de cibles. Dans le premier groupe, les singes recevaient systématiquement une récompense dans 80% des cas. Dans l’autre, la fréquence à laquelle ils remportaient variait considérablement.

L’équipe de neuroscientifiques a ensuite mesuré l’activité cérébrale des singes pendant qu’ils jouaient. Un schéma clair s’est dégagé : si les singes pouvaient prédire à quelle fréquence une cible serait rentable, les régions cérébrales associées à l’apprentissage s’arrêtent essentiellement. Lorsque les singes ne pouvaient pas deviner ce qui allait se passer, leurs centres d’apprentissage s’allumaient.

C’est logique. Une fois que vous avez trouvé la meilleure façon de vous comporter dans un environnement donné, l’apprentissage de nouvelles techniques ou approches est inutile. Pour cette raison, la stabilité tue l’apprentissage. Vous devez donc éviter le facile et le confortable en faveur de l’imprévisible et probablement le difficile.

Répétez

Une fois que vous êtes sorti de votre zone de confort, répétez, encore et encore. On sous-estime souvent le pouvoir de la répétition, de l’entrainement. C’est pourtant la meilleure arme de tout leader.

Se répéter peut vous sembler ennuyeux au début, mais il est important de vous assurer que vos messages et rêves aient une chance de se concrétiser. Comme Jeff Weiner, PDG de Linkedin l’a fait remarquer dans une interview:

“Un de mes amis a paraphrasé une fois David Gergen, en disant au sujet de la répétition, ‘Si vous voulez faire passer votre message, en particulier à un public plus large, vous devez vous répéter si souvent, vous en avez marre de vous entendre le dire. Et alors seulement, les gens commenceront à intérioriser ce que vous dites.”

Une étude des gestionnaires en milieu de travail par les professeurs Tsedal Neely de Harvard et Paul Leonardi de Northwestern a démontré une vérité simple : “Les gestionnaires qui étaient délibérément redondants ont fait avancer leurs projets plus rapidement et plus facilement.”

La répétition est largement utilisée dans les médias, la publicité, la politique… Bref, partout où la persuasion est requise. La raison pour laquelle la répétition est tant utilisée est qu’elle fonctionne. Répéter quelque chose plusieurs fois renforce le message et à moins que des informations contraires ne soient acquises en chemin, l’inconscient finit par l’accepter comme étant la vérité.

Les études scientifiques prouvent qu’il s’agit de l’un des moyens les plus efficaces pour intégrer des informations ou faire passer un message. “Lorsque les stimuli sont appris par répétition, ils sont mieux mémorisés et conservés plus longtemps” (Effects of Repetition Learning on Associative Recognition Over Time: Role of the Hippocampus and Prefrontal Cortex, 2018).

Selon une autre étude de 1992, plus une déclaration est répétée, plus elle génère un sentiment de validité ou de vérité… Même lorsque la personne ment ! Et c’est la même chose pour votre corps.

La répétition est la clé de la maîtrise. La répétition de mouvements développe la mémoire musculaire et conduit à l’expertise. L’expertise physique permet ensuite de concentrer toutes ses ressources cognitives sur la prise de décisions efficaces, et non plus sur les aspects physiques.

Des études ont montré qu’au tout début de l’apprentissage d’un nouveau mouvement, il y a une grande activité à travers le cerveau, mais en particulier dans une zone connue sous le nom de cortex pré-moteur, qui se trouve juste en face du cortex moteur primaire et est normalement associé à la planification des mouvements.

Des niveaux d’activité élevés sont également observés dans les noyaux gris centraux qui sont une zone normalement active lors de l’initiation du mouvement. Les niveaux d’activité élevés dans ces domaines sont probablement liés au fait que, pour acquérir une nouvelle compétence, chaque action doit être planifiée et réfléchie.

Après une pratique répétée de l’action, qui devient une compétence presque automatique sans effort, l’activité dans le cortex pré-moteur et les noyaux gris centraux diminue. Répéter, que cela soit physiquement ou mentalement, change la structure et la fonction de votre cerveau et vous permet de vous améliorer et de vous souvenir de ces compétences. Bref, de vous sentir plus à l’aise.

Respirez

Respirez profondément, gonflez votre ventre. Pause. Expirez lentement en comptant cinq. Répétez quatre fois. Voilà, vous venez de calmer votre système nerveux.

Il a été démontré que la respiration contrôlée réduit le stress, augmente la vigilance et renforce votre système immunitaire. Pendant des siècles, les yogis ont utilisé le contrôle de la respiration, ou pranayama, pour favoriser la concentration et améliorer la vitalité. Bouddha a préconisé la méditation sur la respiration comme un moyen d’atteindre l’illumination.

La recherche scientifique montre que la respiration consciente — en prêtant attention à votre respiration et en apprenant à la contrôler — est l’un des moyens les plus efficaces de réduire le niveau de stress quotidien. Des études ont montré, par exemple, que les pratiques respiratoires peuvent aider à réduire les symptômes associés à l’anxiété, à l’insomnie, au trouble de stress post-traumatique, à la dépression et au trouble déficitaire de l’attention.

Malgré la nature intrinsèquement automatique de la respiration, la plupart d’entre-nous sous-estiment totalement l’importance de cette fonction physiologique élémentaire. Nous avons tendance à souffler à un rythme assez rapide la plupart du temps (de 14 à 20 respirations par minute en moyenne), ce qui est environ trois fois plus rapide que les 5 ou 6 respirations par minute éprouvées pour vous aider à vous sentir mieux, selon les docteurs Richard Brown et Patricia Gerbarg, auteurs de The Healing Power of the Breath.

Une étude de 2018 a démontré que la respiration contrôlée peut modifier la réponse du système nerveux autonome du corps, qui contrôle les processus inconscients tels que la fréquence cardiaque et la digestion ainsi que la réponse au stress du corps.

Changer consciemment la façon dont vous respirez semble envoyer un signal au cerveau pour ajuster la branche parasympathique du système nerveux, ce qui peut ralentir le rythme cardiaque et la digestion et favoriser un sentiment de calme.

Lorsque vous prenez des respirations lentes et régulières, votre cerveau reçoit le message que tout va bien et active la réponse parasympathique. Lorsque vous prenez des respirations rapides et peu profondes ou retenez votre souffle, la réponse sympathique, qui contrôle la libération d’hormones de stress comme le cortisol, est activée.

Une étude de 2017 menée par le docteur Chris Streeter, professeur agrégé de psychiatrie et de neurologie à l’Université de Boston, a mesuré l’effet du yoga et de la respiration quotidiens sur les personnes diagnostiquées d’un trouble dépressif majeur.

Après 12 semaines de yoga quotidien et d’exercices respiratoires, les symptômes dépressifs des sujets ont considérablement diminué et leurs niveaux de GABA (acide gamma aminobutyrique pour les intimes), une substance chimique du cerveau qui a des effets calmants et anti-anxiété, ont augmenté.

Souriez

Nous sommes nés en souriant. La technologie d’échographie 3D a montré que les bébés en développement semblent sourire même dans l’utérus. Après leur naissance, les bébés continuent de sourire (initialement principalement dans leur sommeil) et même les bébés aveugles sourient en réponse au son de la voix humaine.

Le sourire est l’une des expressions les plus élémentaires sur le plan biologique. Paul Ekman, le plus grand expert mondial des expressions faciales, a découvert que les sourires sont interculturels et ont la même signification dans différentes sociétés.

Dans des études qu’il a menées en Papouasie-Nouvelle-Guinée, Ekman a constaté que les membres de la tribu Fore (qui étaient complètement déconnectés de la culture occidentale et étaient également connus pour leurs rituels de cannibalisme inhabituels) attribuaient des sourires aux descriptions de situations de la même manière que vous et moi.

Si quelqu’un vous sourie, vous souriez (très probablement) en retour.  Une étude a confirmé que nous avons tendance à imiter les sourires ou les froncements de sourcils des autres, car cela nous aide à mieux comprendre ce que les autres ressentent, nous permettant de réagir de manière appropriée.

Dans une recherche effectuée à l’université de Clermont-Ferrand,  les sujets ont été invités à interpréter des sourires réels et des sourires faux, tout en tenant un crayon dans leur bouche pour réprimer les muscles qui nous aident à sourire. Sans les crayons dans leur bouche, les sujets étaient d’excellents juges, mais avec les crayons (et donc lorsqu’ils ne pouvaient pas imiter les sourires qu’ils voyaient), leur jugement était altéré.

Le sourire stimule les mécanismes de récompense de notre cerveau. Dans une étude menée au Royaume-uni des chercheurs britanniques ont découvert qu’un sourire peut fournir le même niveau de stimulation cérébrale que 2000 barres de chocolat, ou près de 20 000 euros en cash !

Apprivoisez le silence

“Rien ne renforce l’autorité autant que le silence”

Léonard de Vinci.

Même en langue des signes, les études montrent que, généralement, nous ne laissons qu’une fraction de seconde entre les conversations. Mais bien que ce modèle puisse être universel, nos perceptions du silence diffèrent considérablement selon les cultures.

Les anglophones ont tendance à être plus mal à l’aise avec de longs silences dans une discussion. Et pourtant, savoir quand faire une pause peut vous donner le dessus dans tout, des négociations aux présentations et dans vos relations personnelles. Le silence est vraiment d’or.

Le silence dans une conversation est un moment précieux de réflexion et un signe de respect pour ce que la personne avec qui vous parlez dit. Des recherches menées à l’université de Groningen aux Pays-Bas ont révélé que lorsqu’un silence dans la conversation durait jusqu’à quatre secondes, les gens commençaient à se sentir mal à l’aise.

En revanche, Une autre étude a révélé que les Japonais restaient confortables jusqu’à des silences de 8,2 secondes. Au Japon, il est considéré que la meilleure communication est lorsque vous ne parlez pas du tout.

En effet, le silence :

  • Instaure la confiance : celui qui marque des pauses écoute son interlocuteur.
  • Appuie un argument : si vous utilisez trop de mots, l’argument que vous voulez soulever peut se perdre.
  • Facilite les négociations : l’inconfort du silence incitera l’autre personne à combler le vide et à commencer à parler.
  • Valorise l’autre : un silence signifie que vous inviter votre interlocuteur à partager son point de vue, ses idées.
  • Calme : seul ou en groupe, le silence apaise les tensions et vous aise à vous recentrer et augmenter votre énergie.

Ayez un encrage

Une étude de l’Université Rutgers a placé ses sujets dans une situation très stressante, puis leur a fait évoquer un souvenir, agréable ou neutre, tout en scannant leur cerveau. L’étude a conclu que l’engagement de régions corticales auparavant liées à des fonctions de régulation des émotions peut être important pour améliorer ou maintenir des sentiments agréables pendant une réminiscence positive, suggérant une fonction adaptative potentielle dans l’utilisation de cette stratégie pour faire face au stress.

En d’autres termes, pour ne plus ressentir de stress, souvenez-vous des moments où vous étiez détendu et heureux. En pratique, il existe un outil appelé ancrage.

L’ancrage est une technique de PNL (programmation neuro-linguistique) assez simple. Une ancre est simplement une connexion entre un stimulus et une certaine réponse émotionnelle. Cette technique est basée sur les expériences de conditionnement de Pavlov ou un stimulus génère une réaction réflexe (comme un son de cloche fait saliver un chien).

Cet outil apprend à s’auto-conditionner pour qu’un stimulus unique provoque l’état émotionnel désiré. Plus l’intensité de l’émotion est grande, plus l’ancrage est fort. Par exemple, si vous apprenez une mauvaise nouvelle (comme la mort d’un être cher) alors que vous écoutiez une chanson, votre esprit ancrera arbitrairement votre émotion (triste) à cette chanson (désagréable).

Puisque votre cerveau crée automatiquement des ancres, vous pouvez créer intentionnellement une ancre en regardant quelque chose, en écoutant quelque chose ou en faisant quelque chose pendant que vous ressentez une émotion forte.

Passez quelques minutes chaque jour à vous remémorer une série de souvenirs heureux, ou de phrases qui vous motivent, de la manière la plus vivante possible. Lorsque vous vous sentez stressé, repensez à ce moment ou à ces mots agréables et votre cerveau libérera immédiatement les endorphines associées à cet ancrage.

David Laroche Couch

 

 

 

The beginning of a new calendar year holds a sacred and potent energy.  January may be over, but that doesn’t mean you can’t continue to use this inspiring energy to continue navigating your spiritual journey with confidence throughout the whole year.

February is the perfect time to reflect on your intentions, what you want your year to look like and how you want to feelabout your life. In my Vision Board Challenge last month we focused on cultivating a feeling state in order to bring our visions to life. But beyond creating a vision board, how do we consciously work toward that desired feeling state in a way that feels abundant?

We stay committed and connected to our spiritual practices! Our spiritual tools are what we lean on when life gets chaotic. They give us the ability to meet life with grace so we can stay connected to our intentions while living life on life’s terms.

To help you feel supported and connected to Spirit as you move through 2022, I’ve compiled a list of 6 spiritual tools to help you feel more aligned and connected with your spiritual journey in 2022.

What is a spiritual practice? 

Before we dive into these tools, I think it’s essential that we pause and take a moment to unpack spirituality a bit.

Here’s the thing,  no one person can define spirituality because spirituality is an infinite, complex and beautiful spectrum.  My values and primary beliefs are likely different from yours in some ways. There are infinite perspectives and relations that each hold divine wisdom.

Here’s what spirituality means to me: 

  • Spirituality is a conscious relationship with a Higher Power
  • It’s a devotion to leading from a place of heart rather than ego
  • It’s surrendering to the wisdom of the Universe so that we graciously meet life on life’s terms.
  • The commitment to align with our Highest Good
  • Recognizing that all life is sacred, and we are all intrinsically connected

What does spirituality mean to you?

Get out your brain-dumping journal or a sheet of paper and take a few minutes to unpack what spiritually means to YOU with these journaling questions:

  • Why is spirituality important to you?
  • What does spirituality look like? 
  • What does it mean to be spiritual?  
  • How can you grow spiritually?

Having a strong foundation for what spirituality means to you is invaluable! So, I’ve compiled a list of practical spirituality tools—tools you can tap into every day to stay plugged into the Divine and aligned with Magic. I’ll share a little more about each one, and then I can go deeper with each concept in a future article if you find these useful!

I recommend reading about each tool, but you can also click on the spiritual tool that most interests you from this list below and go right to that part of the article!

6 tools for Spiritual Alignment

  1. Forgiveness 
  2. Oracle Cards
  3. Self-Care
  4. Meditation and Prayer
  5. Intuition
  6. Community

Alright, are you ready to explore each one? Let’s get spiritual!

Forgiveness is a spiritual tool 

I’m starting with forgiveness because this is something that folks often forget about when it comes to their spiritual practices. But the power of forgiveness is deep!

Spirituality is more than just inner work; it’s also about creating a mindful relationship with everything in your life, and forgiveness is a sacred practice that transforms your experience of the world around you.

Don’t sleep on forgiveness, my friend! It has the power to heal immensely, and remember that forgiveness looks different for everyone. It’s not about

condoning, it’s about liberating yourself from the negative energy of resentments so you can focus on the healing.

It’s like the saying goes,  “Resentment is like drinking poison and waiting for the other person to die.”

Not a good idea, right? Forgiveness is about cleaning out the poison you drank since the other person is carrying on with their lives while you remain in pain, although it may tick you off immensely. You need to let it go lest you simmer too long in the poisonous soup and find yourself isolated in some alien landscape of disappointment and despair.

Resentment prevents connection, community, and intimacy with others, and it reverberates in all areas of your life. No one suffers but you, even if you have every reason to your anger, and even if you were truly a victim of someone else’s heartless behavior. Remember, after the fact, you are the only one drinking the poison. So, you know you need to practice forgiveness, but you might be asking, “How do I forgive someone?” or even, “How do I forgive myself?” It’s a journey! I shared  my journey to forgiveness in this blog post, but I do have an exercise that might help you.

Forgiveness Exercise: 

Make a list of what you regret or are still holding onto. If you blame yourself for something, ask yourself, who can you make amends to? Then, meet with that person. Or, if it’s not possible to meet with them, write them a letter. (You may or may not mail it, but the act of writing it out helps you heal too.)

If you must make amends with yourself, write a letter to yourself. Affirm that you did the best you could at the time and you’re forgiving yourself and moving forward.

We owe it to ourselves to set ourselves free from resentments, to lighten our load, to move towards our dream, to spit out the poison. When we do, we become more authentic, more honest, more powerful, and like magic, the right help comes as it always will when we make this kind of inner shift.

Oracle Cards are a spiritual tool

Obviously, Oracle cards are one of my favorite and most trusted spiritual tools! And one of the best things about Oracle cards is that anyone can pick them up and learn how to use them in a matter of minutes!

Oracle cards operate on synchronicity, a term coined by Swiss psychologist Carl Jung.  Synchronicities are meaningful coincidences that tune us into the consciousness of the world and prove to us that there is a power operating outside our “me bubble”.

When you’re seeking a conversation with the Universe about your life, a divination system like Oracle cards, allows you to directly communicate with the invisible forces that operate around you. This open line of communication supports your alignment with your highest good and shows you what you need to reflect on…

I use my Oracle Cards every day to ask spirit to illuminate what I need to know for that day.

If you’re looking to integrate Oracle cards into your spiritual practice, I recommend starting with picking one card every morning to start your day. Readings will reflect your frame of mind, so I like to start in the mornings with a blank slate before the busyness of the day can affect me. It’s important to understand that being in a state of relaxed receptivity, unattached to an outcome, is the best way to approach an oracle.

Some easy one-card reading questions to start your day are:

  • What message do I need to receive today?
  • What do I need to know about X now?
  • What do I need to know today for my highest good?

Pick your card and record the card you got and the general meaning in your journal or planner. If you have time, write about what that means to you, but even if you don’t have time to write, just the act of pulling the card and reflecting on it is an easy way to develop your connection with your Higher Power.

Don’t have your own Oracle deck? Or need a new one to diversify your readings?

 

Self-care is a spiritual tool

Our individual relationship with self-care is one of the most beautiful parts of a spiritual practice.

The best thing you can do for your self-care practice is to remember that self-care is a fluid and evolving art.

Meet yourself where you’re at that moment! One day self-care might look like a 5 am wake-up call and an extra hour of meditation, another day it’s sleeping in and cooking a homemade meal.

Remember that you don’t have to wait until you’re exhausted to practice self-care. It’s like I always say, “put your oxygen mask on first before you help others.” When your cup overflows everyone around you feels that energy.  Self-care isn’t an occasional remedy for stress, it’s a moment-to-moment devotion to self.

A very easy way to practice a moment of self-care anywhere at any time is this tip I’ve shared in my free 7 Energies Challenge each year. I always call it “making a figure eight on your face” but apparently it’s really called “facial effleurage” (So fancy-LOL!)

In just a few seconds, this process calms the nervous system and relaxes many of your facial muscles.

 

Meditation and Prayer are spiritual tools

Meditation is listening to the Universe. Prayer is talking to it.

I mentioned that I see spirituality as a conscious relationship with a Higher Power. Learning to communicate with the divine forces that are always around us is essential for deepening your ability to manifest, heal, and align with your highest good.

Miracles are abundant when we learn how to listen and communicate with the Universe. I started my spiritual journey with meditation over 35 years ago and today it’s still the number one spiritual tool I recommend to those who want to deepen and evolve their spiritual practice.

Whether you’re a beginner or seasoned practitioner, I’ve got an abundance of high vibration meditations for you tray,. Try this free guided meditation for beginners:

 

 

 

Prayer is just as important because communication is a two-way street!  

I can’t tell you enough how essential it is for you to clearly communicate what you need to know about, dream and intend with the Universe, Your Higher Power, God, etc. Prayer is a potent spiritual tool for anyone, regardless of religious belief.

     My favorite prayer for spirituality is the Serenity Prayer:

 

When we look at the Serenity Prayer, the first part is about surrendering to a Higher Power, acknowledging that we are seeking peace and the help to radically accept what is in front of us, and recognizing when we are powerless. It is about humility and the acknowledgment of that divine partnership.  

The second part is about summoning the courage to face our responsibility and accountability for our part in co-creating our reality. Change brings resistance and courage implies that sometimes it’s scary and we may not have the experience to know what to do and what will occur, but it’s up to us to make the changes where we have the power to do so.

The third part reminds us that we need discernment when it comes to what we can influence and what we can’t.

When you break it down like that it’s easy to see how powerful this little prayer is, right? This is why I recommend using this and your own prayers to establish a conscious contact with your Higher Power!

Intuition is a spiritual tool

Your intuition is the whisper of your soul (emphasis on the whisper—wink, wink).

Intuition doesn’t exist without trust because intuition doesn’t sound or communicate the same way as the logical intellectual mind. Your intuition communicates with you through a spectrum of subtle and magical mediums, all unique to YOU.

A couple of common examples of how your intuition communicates with you are a feeling in your gut, an enhanced auditory experience, or physical sensations like tingling. However, clear sensory messages aren’t the only way that your intuition communicates with you!

Our soul attracts synchronicities that help us grow, evolve, and transform, being able to recognize these intuitive nudges keeps us in alignment with what’s meant for us.

Synchronicities show us that we are in constant collaboration with the Universe. Noticing them is the first step in working more consciously with your intuition. Often we won’t understand the messages we receive from our intuition until things come to fruition, so lean into your self-trust and be mindful of those meaningful coincidences!

 

Community is a spiritual tool

There’s something truly divine about the camaraderie within a group of people that share a common goal. We’re not meant todo everything alone, we’re meant to come together.

When humans feel supported, accepted and seen in community, each individual has the opportunity to surpass operating in survival mode and embody what it means to truly thrive.

Community amplifies our capacity to heal, innovate and manifest. Personally, I believe that community is a pure expression of abundance.  Having a community is truly a sacred spiritual tool for sustaining growth along your journey.

There is pure MAGIC in allowing yourself to be seen and supported by others. 

Naturally, I created a spiritual community that serves as a space for those who want to be supported along their journey with the magic of Oracle Cards and more.

What spiritual tools will you use in 2022?

I know that if you integrate these spiritual tools into your practice you’re going to feel more connected and grounded this year.

Please leave a comment (I love reading them!) and let me know which of the 6 tools for spiritual alignment you’ll use this year along with any other spiritual tools that you’ve got up your sleeve!

 

 

 

 

 

 

 

Poser des limites : pourquoi et comment ? Et d’ailleurs, comment définir ses limites personnelles ? Doit-on les imposer aux autres ? As-tu l’impression de ne pas savoir mettre de limites dans ta vie courante et de te faire bouffer par les autres ? Quand on parle du sujet, la confusion est grande. Il suffit de vérifier sur les recherches de Google, ce que j’ai fait, pour s’apercevoir que les questions foisonnent et partent dans toutes les directions. J’ai vu « Comment mettre des limites à son ado ? », question rhétorique à mon avis, et même, accrochez-vous bien : « comment imposer des limites à son bébé ? »

Il est temps de clarifier ce que sont les limites, pourquoi — ou dans quelles circonstances — nous avons besoin de fixer des limites et comment les faire respecter.

Poser des limites: comment se faire respecter une fois pour toutes! - Une Chose Par Jour

 

Les limites : ce qu’elles sont et ne sont pas

Placer ses limites est un acte qui nous est nécessaire pour protéger notreespace émotionnel, mental ou physique. S’il faut protéger notre espace, c’est qu’il y a violation (ou tentative de violation) de notre espace privé. Fixer ses limites personnelles repose sur l’authenticité et le respect de soi-même. Loin d’être une technique pour contrôler les autres, c’est — à l’inverse — un geste debienveillance envers soi-même et d’honnêteté dans nos relations aux autres.

En posant nos limites, nous définissons, d’une part, ce qui est acceptable pour nous et ce qui ne l’est pas ET d’autre part, les actions que nous prendrons en cas de violation. Sans cette seconde partie, et sa mise en application, les limites ne sont que de vagues vœux que nous pourrions tout aussi bien confier à la lanterne d’Aladin.

1. Dire non, ce n’est pas poser une limite

Dans notre vie de tous les jours, nous avons rarement besoin de poser des limites. Les rouages de nos interactions en société font que nous nous sommes engagés et savons respecter des limites communes : nous n’entrons pas chez les autres sans leur invitation, nous n’embrassons pas quelqu’un que nous ne connaissons pas, nous ne nous servons pas sans autorisation de ce qui ne nous appartient pas… Quand quelque chose ne nous convient pas, nous avons la possibilité de dire non en toute simplicité. Il n’y a pas besoin que quelqu’un envahisse notre espace pour avoir envie ou besoin de dire non.

Quand tu choisis de rendre service ou de donner, tu le fais si tu veux. Si tu le fais à contrecœur, alors tu te manques de respect et tu donnes aux autres le modèle qu’on peut se comporter sans respect avec toi.

Oui ou non. Deux options équivalentes. Nous avons le choix de la réponse, ou l’action qu’on préfère, à tout instant, et nous nous simplifions bien la vie en apprenant à utiliser les deux : soit oui, soit non.

2. Les limites ne servent pas à contrôler les autres

Bien souvent, on l’a vu dans mon introduction, nous croyons que nous devons poser des limites AUX autres. Il n’y a rien de plus faux. Poser ses limites, c’est décider où sont nos frontières et comment les garder. En procédant ainsi, nous ne cherchons ni à contrôler ni à manipuler l’autre.

Ce que nous faisons, en revanche, c’est :

  • décider et annoncer ce qui est inacceptable pour nous
  • informer des conséquences au cas où quelqu’un transgresserait cette limite
  • appliquer ce que nous avons annoncé en cas de violation de la limite.

Par exemple :
« Je ne supporte pas que tu cries quand nous ne sommes pas d’accord. Si tu cries, je quitterai la pièce. » Et s’il crie, tu sors de la pièce. À chaque fois. Tu n’as pas besoin de te justifier ni de négocier, les règles sont claires et ta réaction toujours la même.

Ceci est complètement différent de :
« Arrête de crier » : c’est un ordre qui exige que l’autre change sont comportement, donc une tentative de contrôle.
« Si tu cries, je me suicide » : c’est du chantage, car la mise en application est illusoire, c’est aussi une tentative de contrôle.

 

En posant nos limites, nous ne dictons pas à l’autre comment se comporter. Nous acceptons qu’elle ait la liberté de se comporter comme elle le souhaite et que nous aussi, nous avons la liberté des actions que nous prenons en conséquence.

3. Les limites se posent dans la bienveillance

Quand nous comprenons que les limites ne concernent que nous et la protection de notre espace, nous pouvons voir qu’il ne s’agit pas d’un acte de contrôle, mais d’un geste de bienveillance. En plaçant le respect de nous-mêmes en priorité, nous nous dégageons des situations qui nous font souffrir et des ambivalences. En donnant l’exemple de comment nous nous traitons nous-mêmes, nous donnons aussi l’exemple aux autres de comment nous voulons être traitées.

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Poser des limites : une décision personnelle

Il n’y a pas de guide qui stipule les « limites à fixer » dans la vie d’une personne adulte. Chacune de nous est libre de décider ce que lui est acceptable ou non, de même qu’elle est libre de choisir comment elle réagira si quelqu’un outrepasse ces limites. Nous n’avons pas besoin non plus de nous promener avec une pancarte listant nos limites, car ce n’est que lorsqu’elles sont dépassées qu’il est nécessaire d’y recourir.

Une de mes limites est de ne jamais monter en voiture si le conducteur a bu. Je ne me balade pas dans ma vie en avertissant les gens. Je m’assure que j’ai toujours la possibilité de rentrer chez moi sans dépendre de quelqu’un qui pourrait avoir bu. Si je me trouve dans cette situation, je décline l’offre et je prends le bus, un taxi, je dors sur place ou même, je décide de ne pas y aller. C’est ma limite. Les autres sont assez grands pour choisir de boire, ou non, et malheureusement, quelques fois décident de conduire en ayant bu. Certaines personnes rentreront dans la voiture pour ne pas offenser le chauffard.

Faire respecter ses limites

Le vrai problème, en fait, c’est moins de poser ses limites que de les faire respecter. Bien sûr, définir ses limites, c’est oser se poser les bonnes questions. Qu’est-ce qui est acceptable pour moi ? Qu’est-ce qui me fait souffrir ? Qu’est-ce qui ne correspond pas à mes valeurs ? Qu’est-ce qui n’est pas en alignement avec la vie que je veux construire ?

Cependant, la mise en place de limite ne prend son sens que lorsque celles-ci sont transgressées. Il faut donc, parallèlement à la décision de ce qui est acceptable ou non, bien choisir comment on va agir si la limite n’est pas respectée. Notre action doit être :

  • applicable,
  • proportionnée,
  • indiscutable,
  • constante.

Applicable : Si tu dis « la prochaine fois que mon chef me parle sur ce ton, je démissionne » alors que tu ne peux pas te payer le luxe de perdre ton salaire, la limite n’est pas applicable.
Proportionnée : Si tu dis « si tu ne sors pas les poubelles, je divorce », nous en sommes au chantage.
Indiscutable : Tu n’écoutes jamais le chauffard ou les cousines pompettes qui essaient de te convaincre que c’est une bonne idée de monter dans leur voiture.
Constante : Tu ne fais pas d’exception.

Note: il est important d’apprendre à faire respecter ses limites sans se justifier. Une technique que l’on peut habilement mélanger avec une communication préformatée quand on a affaire à un interlocuteur doué pour transformer les conversations en boucle.

Pourquoi c’est difficile de poser des limites ?

Parce que cela nous force à nous poser les vraies questions, celles que nous ne voulons pas aborder quand nous avons la tête dans le guidon. Celles qui nous renvoient l’image de ce qui ne va pas dans notre couple, dans notre boulot, dans notre vie. C’est un peu une question de tenir ses résolutions. Si je dis à mon mari que s’il crie quand nous ne sommes pas d’accord, je sors de la pièce et, pourtant, il crie à chaque fois pour imposer son point de vue. Si, au lieu de tergiverser, de m’aplatir, de me mettre à pleurer, à supplier, etc. je sors effectivement de la pièce, je vais finir par passer plus de temps dehors que dedans. Et au bout du compte, je serai bien obligée de me demander si j’ai le mariage que je veux. Big question.

Ceci dit, c’est un faux problème, mais on ne le voit pas quand on prend la tangente.Parce que, quand je ne fais pas respecter mes limites, je n’ai pas non plus le mariage que je veux. Sauf que dans un cas, j’ai choisi la route qui me démolit et qui me fait perdre ma confiance et mon propre respect.
Et dans l’autre, j’ai pris mes responsabilités sans essayer de contrôler les actions des autres.

Et toi, as-tu du mal à fixer et faire respecter tes limites?

Virginie Loÿ – Coach de vie

 

Compilation réalisée par Lorena López auteure, traductrice, Conseillère angélique, bibliotherapeute, Consultante Feng shui et Thérapeute en EFT (techniques de libération émotionnelle).

Today I received this email from Robin Sharma and I share it with you,  21 tips full of wisdom. Have a great week!

Lorena

Oh my. 2021 is ending. Hurrah!
Our world faced so much upheaval this year.
The plague and the fires and the social unrest and the economic carnage.
Yet—being the extreme optimist and eternal possibilitarian I am—I sincerely believe that the volatility will [soon or later] morph into victory. And much better days will appear.
Of this, I am sure.
I’m in a reflective mood as I write this piece for you.
My targets for 2022 have already been recorded and carefully refined. Clarity precedes mastery, right?
My vision for the New Year has been decoded into game sheets and one-page plans. I’m ready to serve and amped to help. I pray to be an instrument of usefulness to more people. So long as I’m able to.
So now—as the year comes to a close—I turn my attention to a survey of what the past 12 months have taught me.
Please allow me to share some of the lessons I’ve written down with you:

1. That few things are as valuable as your family being healthy, safe and sound.

 

2. That during times that we cannot go outside we are blessed with the opportunity to go within.

 

3. That messy periods reveal how strong you’ve made yourself (through your routines and daily practices). They also pinpoint all the internal work still left to do.

 

4. That beauty exists in the simplest of things. And that once we commit to finding it, it always appears.

 

5. That a day with a great book is better than a month fooling with social media.

 

6. That in dark moments our world needs you to shine more brightly.

 

7. That every time we complain or make an excuse, we degrade our power. And disrespect our genius.

 

8. That we can be most creative when our carefully constructed plans fall apart. Living in the question instead of in the answer can bring the most unexpected artistic and spiritual rewards.

 

9. That simple and fresh food—skillfully prepared—is the eighth wonder of the world. [Yes, my cooking got better this year; I’m still thinking of opening a 4 table restaurant in some hidden village by the seaside].

 

10. That your parents can provide you with the richest of wisdom and your friends can give you a flawless happiness.

 

11. That helping others brings more inner peace than becoming famous ever will.

 

12. That excellent documentaries can fuel enormous creative drive and that majestic films can remind you of your productive promise. And the best about the world.

 

13. That sometimes the universe creates situations that force us to reflect, recover and rest. The ego calls it bad. The soul knows it’s good.

 

14. That those events that test us contain the very seeds of our finest triumphs.

 

15. That forgiveness is a gateway into joy. And gratefulness is the antidote to fear.

 

16. That many of the blessings we take for granted are treasures that we honor once they are lost.

 

17. That freedom begins inside of your heart. And a shackled belief-system is the largest of all prisons.

 

18. That peak productivity accelerates once you become cool with being solitary.

 

19. That perhaps the greatest of all spiritual lessons requires a human to trust that all is in order. And to just let go.

 

20. That you don’t need to go to a gym to stay really healthy.

 

21. That the world needs more heroes so rather than waiting for them do your best to become one of them. [Starting today].

We Know We Ought to be Grateful But this is the Reason we Aren't

 

Cómo ser más perseverante: 7 estrategias para lograrlo

Cuando quieres alcanzar algo valioso es inevitable dar tropiezos y resulta muy difícil mantenerte motivado. Hay algo que te inspira enormemente y comienzas a moverte hacia él y en algún punto te encuentras con tantos problemas que no habías previsto y comienzas a auto sabotearse con frases como esta:

  • Esto es demasiado difícil para mi
  • Jamás creí que fueran a surgir tantos problemas
  • Me siento estancado, no he avanzado nada
  • Esto me quita demasiado tiempo y no tengo resultados
  • Mejor no hubiera comenzado, sería más fácil así

Este tipo de pensamientos comienzan a acumularse en tu mente y ya sabemos qué sucede después. Te terminas rindiendo abrumado por la ausencia de resultados y después llega el remordimiento. Comienzas a decirte a ti mismo: por qué no seguí, de haberlo hecho quizás ya lo habría logrado. Esta forma de comportarte es muy tóxica y la mejor forma de contrarrestar esto es perseverar sin importar que suceda.

Por eso quiere proponerte 7 estrategias muy útiles que te ayudarán a ser más perseverante y te orientarán cuando sientas que ya no puedes más.

Muchas veces cuando salimos con nuestros amigos y charlamos surge una chispa de esperanza, esa inspiración que nos mueve a hacer algo y comenzamos a desear hacer cosas: bajar de peso, generar ingresos pasivos, leer más, hacer un diplomado.

Estos deseos son buenos, pero por sí solos no tienen el potencial de cambiar nada. Debes comprometerte con tu objetivo para alinearte con lo que quieres y mantenerte enfocado a pesar de las dificultades que surgen en el camino.

Adopta una mentalidad perseverante

Es necesario que alineas tus emociones con tus pensamientos para que cuando llegue la tormenta estés preparado para perseverar y motivarte a ti mismo.

Te aconsejo meditar en las siguientes frases para que obtengas un enfoque perseverante

  • Yo prefiero seguir adelante porque mi objetivo lo vale
  • Buscaré una forma de hacer las cosas o sino crearé una propia
  • Los problemas están diseñados para hacerme más fuerte
  • Todos los días aprendo algo nuevo, crezco y avanzo en la consecución de mi objetivo
  • Cada vez que surge un problema, lo identifico y me enfoco en encontrar una solución

Este tipo de pensamientos son más saludables que el clásico: no puedo más, creo que rendiré. Si mantienes una mentalidad perseverante no te rendirás incluso si las cosas se ponen realmente difíciles.

La perseverancia: ¿Qué es y CÓMO desarrollarla? – Trabaja y Triunfa

 

Analiza que está funcionando y que no

A veces sentimos que estamos avanzando de manera constante y de repente aparece un inconveniente tan grande que nos trunca el camino y todo se torna gris. El fracaso es tan doloroso que nos hace pequeños y nos arrincona en una esquina pequeña y oscura de nuestra mente. Nos hace sentir tan pequeños que rendirnos parece ser la mejor y única opción.

Para evitar esto, te propongo lo siguiente: Una vez a la semana revisa detenidamente las cosas que te han acercado a tu objetivo. Examina tu vida y los resultados para seguir haciendo lo que está funcionando y dejar lo que no.

Rodéate de gente perseverante

Mira bien con qué tipo de personas te rodeas. Si estás rodeado de gente que se rinde fácilmente y que critican tus aspiraciones nunca podrás superar los obstáculos. Es mejor que comiences a invertir tu tiempo con personas que quieran dejar sus malos hábitos,  mejorar su vida y que tengan la intención de no rendirse jamás.

Esto también aplica para tu vida, los libros que lees, el contenido que ves. Trata de buscar contenido que sea inspirador. Por ejemplo, autobiografías, series de emprendimiento…etc.

No olvides tu para qué

Recuerda por qué quieres lograr tus objetivos. Cuando diseñes tus metas ten en mente tú para qué, la razón fundamental de tu cambio de mentalidad. Te digo esto porque cuando pierdes de vista tu por qué todo se vuelve más difícil y rápidamente nos derrumbamos emocionalmente.

Tus objetivos deben estar alineados con lo que realmente quieres. Si no lo están, mejor enfócate en crear objetivos que sí lo estén y que sustenten tu propósito en la vida. De otra manera te sentirás frustrado y no querrás seguir adelante.

Busca alternativas pero no demasiadas

Enfocarte en terminar de hacer algo no significa que hagas lo mismo una otra vez esperando un resultado diferente. Si te das cuenta que lo que has hecho hasta hoy no está funcionando sigue intentando pero de una forma distinta.

Debes aprender a explorar tus opciones. No esperes tener resultados distintos si haces lo mismo una y otra vez.

Aunque es importante explorar nuestras opciones tampoco sufras de parálisis por análisis. No pienses mucho las cosas porque se te puede convertir en la excusa perfecta para no tomar acción. Encuentra el equilibrio perfecto entre buscar opciones y actuar de manera perseverante en tus objetivos.

El fracaso es tu aliado

El fracaso es tu amigo. Tarde o temprano si sigues avanzando te encontrarás con él en tu camino. No lo veas como algo malo porque es tu oportunidad de aprender algo y de desarrollar tus habilidades para volverte mejor.

Cada vez que te equivocas te acercas un poco más a tu objetivo. Las adversidades te brindan la oportunidad de crecer y ser mejor.

Mantente avanzando

Creo que este es el consejo con el potencial más grande en este artículo. A Veces nos sentimos solos y con el ánimo por el suelo; sin embargo, en estos momentos es cuando debemos seguir y no rendirnos.

Hay que reunir la fortaleza necesaria para dar un paso y luego el siguiente. Avanza a tu propio ritmo, pero sigue avanzando.

Espero que estas estrategias te ayuden a cambiar y te motiven a ser más perseverante cada día. Hazme saber si este post te ha servido y compártelo para que más personas tengan la oportunidad de cambiar su vida.

Solo Bussiness

 

 

 

Le pouvoir de l’écriture pour avancer dans notre vie

Comme beaucoup de personnes, je passe tous les jours quelques heures (parce que c’est efficace et rapide) devant mon ordinateur (traitement de mes mails, travaux divers pour mon métier).

Et pourtant, malgré le fait que je me sente à l’aise avec la technologie, j’aime toujours autant écrire.

Il y a quelque chose dans le fait de tenir un stylo et de le « faire courir » sur du papier qui m’emmène ailleurs, comme dans un autre monde et qui met à distance mes questionnements, mes soucis, mes problèmes.
Je ne sais pas si vous ressentez la même chose ?

Dans les ateliers et les diverses activités  que j’organise l’écriture est souvent présente (et pour cela il n’y a pas besoin d’être écrivain)

Alors, écrire et tenir un journal peut-il nous aider à bien avancer dans notre vie ?

Plus j’y pense, plus je me rends compte que mon journal est un élément essentiel dans ma vie et plus je vieillis plus cela se confirme.

Je vous propose 4 pistes que j’ai pu expérimenter et qui m’ont aidé à trouver la voix de la sérénité par l’écriture.

Tenir un journal : 10 bienfaits de l'écriture quotidienne | PenserChanger

 

1ère piste : Écrire ce qui vous a apporté du bien-être chaque jour.

L’une des clés pour être bien à tout âge est d’apprendre à être reconnaissant. Tout allant très vite, rien de plus facile d’oublier de s’arrêter et de prendre conscience de ce qui nous arrive de bon et de bien.
Notre environnement, la publicité, les réseaux sociaux, les informations nous rappellent constamment ce que nous n’avons pas, ce qui nous manque et nous abreuvent de mauvaises nouvelles, voire de nouvelles culpabilisantes.

Alors faut-il s’étonner qu’on oublie parfois à quel point notre propre vie est bonne ?

Dans les personnes que je côtoie, beaucoup d’hommes et de femmes font de la reconnaissance une philosophie.

La bonne habitude : chaque jour (à vous de choisir le moment qui vous convient) vous pouvez écrire une chose pour laquelle vous êtes reconnaissant. Ce ne sont pas des choses extraordinaires et cela peut concerner des évènements tout à fait anodins de notre vie… j’ai trouvé ce matin sur la plage un fabuleux galet, j’ai téléphoné à une personne que j’apprécie alors que je pensais le faire depuis plusieurs semaines.

Pourquoi ne pas essayer ? Cela n’engage à rien !

2ème piste : Mettez vos craintes et vos inquiétudes sur papier pour vous apaiser.

Vous arrive-t-il de rester éveillé la nuit en pensant à vos soucis, à vos problème ou à vos regrets ? Cela arrive à beaucoup de personnes et c’est assez naturel.

Et la nuit c’est extrêmement frustrant car en général cela ne fait pas avancé la situation… D’accord avec ça ?

La bonne nouvelle, c’est que tenir un journal peut nous aider à mieux canaliser nos pensées pour augmenter nos chances d’obtenir le sommeil réparateur dont nous avons besoin.

La bonne habitude : Chaque soir, avant d’aller dormir, prenez votre journal et notez ce qui vous dérange, vos questionnements, vos problèmes, vos frustrations. A côté de chaque point, notez une (petite) chose que vous ferez demain pour y remédier. Cà n’est peut être pas LA solution idéale mais cela va vous réconcilier avec le fait que vous pouvez agir sur la situation. L’effet est immédiat et votre cerveau un peu plus serein pour vous endormir et vous sentir en paix.

Si vous sentez votre esprit « retourner » à vos pensées, rappelez-vous que vous avez déjà un plan pour faire face à vos inquiétudes le lendemain matin.

N’avez-vous d’ailleurs pas remarqué comment après une bonne nuit de sommeil nos préoccupations de la veille sont souvent beaucoup moins préoccupantes.

Quand on sait à quel point le sommeil est réparateur, nous rend beau, nous permet de mieux vieillir et de nous régénérer… ça vaut vraiment le coup !

De nombreux travaux ont montré que l’écriture de soi était bénéfique à notre santé, qu’elle aidait à la pacification émotionnelle, notamment Das nos moments de vie difficiles.
Christophe André – Sérénité – 25 histoires d’équilibre intérieur

3ème piste : Développer le pouvoir de la nostalgie pour augmenter votre bonheur.

Nous le savons bien lorsque nous pensons à des souvenirs difficiles de notre vie, à des difficultés… notre cerveau est au rendez-vous en mode « tristesse, colère, angoisse, etc… ».

La bonne nouvelle c’est que l’inverse est également possible.

L’une des meilleures façons de garder son cerveau « heureux », dynamique et en bonne santé en vieillissant est d’adopter le pouvoir de la nostalgie.

Quand on pense aux souvenirs positifs, notre cerveau est comme dynamisé, il s’illumine.

Penser aux événements heureux de notre passé peut aussi être bénéfique et nous faire « oublier » ou relativiser nos soucis du présent.

La bonne habitude : À la fin de chaque journée, prenez quelques minutes pour écrire à propos d’une expérience positive que vous avez vécue au cours des dernières 24 heures. Si vous pensez que rien de particulièrement intéressant ne vous est arrivé ce jour-là, remontez un peu plus loin dans le temps et écrivez à propos d’une expérience du passé qui vous a rendu heureux, joyeux, serein.

Soyez aussi descriptif que possible. Essayez de vous souvenir des sons, des odeurs et des couleurs qui vous étaient présentes lorsque vous avez vécu ce moment là. Qui était avec vous ? Comment vous sentiez-vous ? Qu’est-ce que l’expérience vous a appris ?

Vous pouvez ainsi vous constituer une véritable « bibliothèque » de bons souvenirs. A revisiter sans modération au jour le jour et/ ou à chaque fois que vous en avez besoin.

4ème piste : Organisez-vous et faites avancer vos passions pour bien vieillir en toute sérénité

Une façon d’être bien et de ne pas avoir de regrets  c’est de développer notre confiance en nous en accomplissant les choses et les projets qui nous tiennent à cœur. Tenir un journal peut nous aider dans cette démarche.

L’écriture a un réel pouvoir de nous permettre de nous concentrer sur les choses qui comptent vraiment.

La bonne habitude : Chaque matin, prenez quelques minutes pour noter deux ou trois choses que vous voulez accomplir dans votre journée et mettez toute votre énergie à les mettre en œuvre. Faites en sorte de vous concentrer sur les activités que vous avez choisies et qui vous régénèrent (c’est une bonne façon de rester centrer et de ne pas se laisser embarquer par diverses sollicitations).

A la fin de la journée comparez votre liste et objectivement voyez ce que vous avez accompli… et félicitez vous de cela.

Faire, reconnaître et se féliciter amplifie l’estime de soi.

Accomplir ce qui nous tient à cœur nous demande de la discipline et du temps, l’écriture est un bon moyen de faire le point.

Et encore … Vous pouvez aussi tout à fait noter vos observations personnelles. Votre journal peut vous aidez à documenter vos projets, à noter vos idées (elles arrivent et on les perd presque aussitôt si elles ne sont pas notées !)

Tenez-vous un journal ? Pourquoi le faites-vous ? Parmi les avantages mentionnés dans cet article, lesquels avez-vous éprouvés depuis que vous avez commencé à tenir un journal ? En quoi tenir un journal vous aide à être plus serein, plus joyeux. En quoi cela vous aide-t-il à bien avancer dans la vie ? 

Christine Leroux

HEALTHY EXPECTATIONS IN A RELATIONSHIP

LEARN WHAT TO EXPECT IN A RELATIONSHIP – AND WHAT TO FORGET

Pointless arguing in a relationship: Many people do it but most of us don’t understand it and are perplexed by it. Everyone knows a couple who constantly bickers or has conflict – maybe that’s even you and your partner. Maybe you argue so frequently that it’s become the norm. Is this really what to expect in a relationship that’s supposed to bring you joy and companionship?

 

What if you could solve arguing in your relationship almost immediately? It’s possible. Expectations in a relationship form the basis of whether or not the partnership works for both people. By shifting your  mindset, your relationship can become happier, more peaceful and more productive.

 

WHAT IS THE DIFFERENCE BETWEEN STANDARDS AND EXPECTATIONS IN RELATIONSHIPS?

Standards are guidelines about what you will accept in the present moment. They represent what you want in a partner: sense of humor, similar values end beliefs, attitude and perspective on life.  Expectations are what we want to happen in the future – certain actions we wish someone would take or an event we wish would happen. When what we expect to happen doesn’t, we feel disappointed, sad and even angry.

Standards are behind the power of proximity or the principle that we are who we surround ourselves with. That’s because we’ll automatically hold ourselves and others to higher standards if those around us do. We’ll dream bigger, work harder and believe in ourselves more deeply.

There’s nothing wrong with raising yours standards – in fact, learning how to accept nothing less than the best is key to building the life of your dreams. And if someone doesn’t meet your standards, you’re absolutely allowed to move on. However, your partner can meet all of your standards and still fall short of meeting your expectations in a relationship. It’s these expectations that get relationships in trouble.

WHY EXPECTATIONS IN A RELATIONSHIP CAN CAUSE PROBLEMS

We first have to start with the “why.” Why does bickering happen in the first place? The short answer is expectations. What we presume a relationship will look like shapes our contribution to the partnership. Expectations in a relationship are subjective, biased and can differ from person to person. Some may expect their spouse to take out the garbage and they, in turn, may expect you to have breakfast on the table every morning. But if both people assume the other person knows this automatically without ever having a conversation about it, it can lead to tension in the relationship.

The problem with expectations in a relationship is that they’re just like an opinion: Everyone has one – and they don’t always match up to the other person’s thoughts. This is the birthplace of bickering, and it’s where knowing what to expect in a relationship comes into play. When you’re both on the same page about what a healthy relationship looks like, you’re ready to take action and create reasonable expectations in a relationship. When you’re able to articulate your respective needs, you’re in a place to make those expectations work.

 

 

WHAT ARE REASONABLE EXPECTATIONS IN A RELATIONSHIP?

It’s important to realize that in talking about how mismatched expectations can lead to fighting, we are not saying you don’t have a right to expect anything out of your partnership. The opposite is true: You deserve to be treated with dignity and respect, and so does your partner. Expect intimacy and passion. Expect unconditional love and support. These are reasonable expectations in a relationship and fall more under the category of standards than expectations.

Unrealistic expectations include things like wanting your partner to change their values, be the source of all your happiness or go against their natural masculine or feminine polarity. Don’t expect your partner to react or feel the same way you do. And never expect perfection. As Tony says,perfection is the enemy of good.

HOW TO MANAGE EXPECTATIONS IN A RELATIONSHIP

Fortunately, there is a solution for dealing with mismatched expectations in a relationship! When our focus is centered on our differences in expectations, rather than our appreciation for the things the other person does “right,” conflict is inevitable. The way any two people decide to fold towels, for instance, will probably differ, but does that make one of the ways wrong? Of course not. Expectations with no appreciation leads to nagging, which leads to frustration, which leads to – you guessed it – bickering.

Think about the things you and your partner have fought over. How many of these fights are actually over something important? Have any of them had a productive resolution? Most likely, the answer is no. It’s often said, “We argue about the smallest things.” Consider your expectations in a relationship. Are the towels worth the emotional turmoil? Probably not. Why not spend your time doing something that’s not only productive, but more beneficial to the strength and longevity of your relationship?

Overcoming expectations in a relationship starts with understanding what constitutes a quality partnership. As Tony says, there are 10 cardinal rules of love.

expectations in a relationship

1. PRIORITIZE APPRECIATION OVER EXPECTATIONS

Learn to trade expectations for appreciation, and your entire relationship – and world – will change. Instead of focusing on the negative, make a point to value your partner’s positive qualities. This will take you much further in your relationship. They may not have folded the towels the way you wanted them to, but at least they made an effort to do their fair share by putting the laundry away. And maybe they did the dishes after dinner or took the dog for a walk because you had a long day at work. If you pay attention, there’s always something to appreciate. What was it that attracted you to them in the first place? It wasn’t their towel-folding abilities. It was their warmth, kindness and love for life.

“Turn your expectations into appreciation and your whole life will change.” – Tony Robbins

That sentiment can apply to anything in life, but if we apply that same thought to our relationships, appreciation can be the trigger that puts an end to your unhealthy expectations in a relationship.

2. EXPRESS COMPASSION

Compassion is at the top of the list of what to expect in a relationship. To successfully navigate any relationship, you want to demonstrate compassion by prioritizing your love over your expectations. As important as it is to learn how to manage expectations in a relationship, remember that expectations are there to facilitate warmth. At the end of the day, it’s your partnership that’s most important.

3. SHOW RESPECT

Respect is the basis of any relationship, romantic or otherwise. To show respect means to value the other person’s perspective and needs – this is the basis of effective communication. To show respect for your partner, never correct them! Instead, seek a playful, empathetic way to redirect an argument. From there, you’re able to find solutions without creating unnecessary tension.

4. DEMONSTRATE CONSIDERATION

Healthy relationships hinge on consideration – for your partner, their interests and their relationship expectations. To show consideration, you must make a point to value your relationship over your relationship rules. This is a real stickler when it comes to what to expect in a relationship, since it’s easy to view the “rules” as the basis of your partnership. But when you value your partner over your rules, this paves the way for fulfilling both people’s expectations.

5. DEVOTE TIME TO YOUR PARTNER

Devoting time to your partner is one of the most reasonable expectations in a relationship. Don’t let your partnership become a side note – take the time to reinforce your connection in hard times. When you create rituals and traditions that cement your sense of connection, you demonstrate that your relationship is a real priority.

6. NEVER QUESTION THE NATURE OF YOUR RELATIONSHIP

When it comes to learning how to manage expectations in a relationship, one of the worst missteps you can make is questioning your partner’s intent. When you question the very nature of your relationship, it corrodes trust, which takes a toll on even the strongest partnerships. Just because you’re having issues doesn’t mean the relationship itself is a problem.

7. AVOID REPETITION

If you’re in an argumentative pattern with your partner, change your approach. If you don’t, you risk creating a circular loop where neither party is heard, leaving both feeling defeated. Take the high road and bow out of an argument. Take a break to regroup and consider what you’re really arguing about. When you make this a habit, you set a high standard for what to expect in a relationship with your partner.

8. NEVER THREATEN YOUR RELATIONSHIP

One of the primary expectations in a relationship is that there will be give and take and mutual dialogue. Threatening your relationship with ultimatums doesn’t help anything, since it shuts down communication. If you’re at the point of threatening your partnership, it’s time to take a break and rethink the conversation.

9. DON’T STAGNATE

Learning how to manage expectations in a relationship is not a one-time deal. It’s a continuous conversation where you’re touching base to see whether each other’s needs are being met. Don’t settle for stagnation, assuming your relationship is doing fine because you haven’t argued that day. When you commit to never-ending improvement, you’re able to build an extraordinary relationship.

10. DON’T COMPARE YOUR RELATIONSHIP TO OTHERS’ RELATIONSHIPS

As tempting as it is to use “textbook” expectations in a relationship as a template for your own, this approach doesn’t work. It ignores your unique personality and needs (and those of your partner) without valuing what makes your partnership unique and special. Don’t adopt other couples’ standards and expectations in a relationship – work with your partner to develop your own.

Building a healthy partnership takes work, but it’s well worth the effort. Master how to manage expectations in a relationship with a special trial of Tony Robbins’ Ultimate Relationship Program, your resource for creating the partnership of your dreams.

Debes vivir el presente con optimismo.

 

 

 

 

 

 

IsabelleNazare-Aga, psychothérapeute, conférencièreet auteure a élaboré les 30
caractéristiques du manipulateur sur une période desept ans et la liste en a
été publiée pour la première fois en 1997 dans le livre « Les manipulateurs sont parmi nous ». Cette liste s’applique
autant aux femmes qu’aux hommes. Lisez-les en pensant à la personne que vous
soupçonnez.

Si vous obtenez au moins 14 critères sur 30, la personne à laquelle vous pensez est une manipulatrice. Sachez que la plupart ont plus de 20 points
sur 30.Il culpabilise les autres au nom du lien familial, de l’amitié, de
l’amour, de la conscience professionnelle.

1.    Il reporte sa responsabilité sur les autres, ou se
démet des siennes.

2.    Il ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins,
ses sentiments et opinions.

3.    Il répond très souvent de façon floue.

4.    Il change ses opinions, ses comportements, ses
sentiments selon les personnes ou les situations.

5.    Il invoque des raisons logiques pour déguiser ses
demandes.

6.    Il fait croire aux autres qu’ils doivent être
parfaits, qu’ils ne doivent jamais changer d’avis, qu’ils doivent tout savoir
et répondre immédiatement aux demandes et questions.

7.    Il met en doute les qualités, la compétence, la
personnalité des autres : il critique sans en avoir l’air, dévalorise et juge.

8.    Il fait faire ses messages par autrui.

9.    Il sème la zizanie et crée la suspicion, divise pour mieux
régner.

10.Il sait se placer en victime pour qu’on le plaigne.

11.Il ignore les demandes même s’il dit s’en occuper.

12.Il utilise les principes moraux des autres pour assouvir ses besoins.

13.Il menace de façon déguisée, ou pratique un chantage ouvert.

14.Il change carrément de sujet au  cours d’une conversation.

15.Il évite ou s’échappe de l’entretien, de la réunion.

16.Il mise sur l’ignorance des autres et fait croire en sa supériorité.

17.Il ment.

18.Il prêche le faux pour savoir le vrai.

19.Il est égocentrique.

20.Il peut être jaloux.

21.Il ne supporte pas la critique et nie les évidences.

22.Il ne tient pas compte des droits, des besoins et des désirs des
autres.

23.Il utilise souvent le dernier moment pour ordonner ou faire agir
autrui.

24.Son discours paraît logique ou cohérent alors que ses attitudes répondent au
schéma opposé.

25.Il flatte pour vous plaire, fait des cadeaux, se met soudain aux petits
soins pour vous.

26.Il produit un sentiment de malaise ou de non-liberté.

27.Il est parfaitement efficace pour atteindre ses propres buts mais aux dépens
d’autrui.

28.Il nous fait faire des choses que nous n’aurions probablement pas fait de
notre propre gré.

29.Il fait constamment l’objet des conversations, même quand il n’est pas là.

30.Il fait constamment l’objet des conversations. Même quand il nèst pas là.

 

 

 

Estoy de bajón’: 3 consejos para superar ese sentimiento

Nuestro estado anímico es como una montaña rusa: en unos tramos estamos arriba y en otros abajo. Los seres humanos experimentamos todo un amplio abanico de emociones que incluyen a las positivas y a las negativas.

Alegría, euforia y felicidad son emociones que nos gusta sentir, mientras que la tristeza, la desmotivación o la desgana las consideramos como desagradables.

Cuando nos decimos “estoy de bajón” muchos lo vemos como algo malo, pero realmente es totalmente sano sentirlo, mucho más que convencerse de que debemos estar felices todo el tiempo. Veamos por qué.

Estoy de bajón: ¿qué hago?

Nuestro estado anímico nunca es estable. Hay momentos en los que estamos más animados y en otros momentos en los que nos sentimos más hundidos. Puede que sea solo por unas cuantas horas, puede que dure algunos días, semanas o, incluso, algunos meses, sea como sea siempre habrá algún momento, llenos de desmotivación y tristeza, en el que nos diremos “estoy de bajón”.

Se han apagado las ilusiones, no tenemos ganas y no queremos hacer absolutamente nada. Nos da pereza todo, pero no porque seamos unos vagos ni porque queramos procrastinar un poco. No, es una pereza de falta de humor, de “ahora no, que no me apetece”. Una pereza que no es ni egoísta ni de descanso, simplemente es que no hay fuerzas emocionales ni psicológicas para mantener el mismo ritmo que llevábamos antes.

Es completamente normal y sano sentirse así de vez en cuando. No podemos sentir alegría las 24 horas del día. Sentir tristeza, desmotivación y pocas ganas de hacer cosas en algún momento del día o durante unos cuantos días seguidos es síntoma de que estamos vivos, y que no somos personas atrapadas en una constante vorágine de euforia patológica. Todo lo que sube tiene que bajar, por eso en la vida hay muchos altibajos. No desesperes, que estás sano.

La tiranía de la felicidad

Si hacemos una búsqueda rápida sobre cómo ser feliz encontraremos un montón de artículos, vídeos e incluso guías de autoayuda en donde se detalla las estrategias y pasos para conseguir ser feliz el resto de nuestra vida. Nos prometen no vivir ni un solo segundo de tristeza, nos hacen creer que es una emoción malísima, perjudicial para nuestra salud y nuestras relaciones personales. Estar triste es malo, disfuncional. Vade retro, tristeza.

Vivimos en un mundo en el que se han demonizado las emociones negativas, haciéndonos ignorar el hecho de que, por muy desagradables que puedan ser, son necesarias. Como decíamos, son signo de disponer de una buena salud mental, y no se puede pretender ocultar ni tampoco ignorar nuestras emociones. La tiranía de la felicidad promovida por los gurús de la autoayuda y otras corrientes en apariencia psicológicas han vendido la idea de que el ser humano tiene la necesidad de ser feliz a todas horas, y que cualquier emoción “mala” debe ser erradicada.

El problema de los que promueven estas ideas es que ofrecen unas estrategias que ni son realistas ni funcionan a largo plazo. Además, el estar en contra de la vivencia de emociones negativas es neutralizar la propia naturaleza humana. No es posible estar feliz en situaciones tremendamente desagradables como pueden ser la muerte de un familiar, la pérdida del empleo o cuando nos partimos una pierna. La idea de que debemos estar contentos sí o sí ante la adversidad, tratar de verle siempre el lado positivo a las cosas e ignorar lo malo es anestesiar nuestra forma de ser.

Es por este motivo que a continuación no vamos a hablar de formas de evitar o deshacerse del bajón. La idea no es eliminar esta emoción ni impedir que vuelva a ocurrir.

Consejos para gestionar este sentimiento

Aunque sí que se puede evitar sentir tristeza en el futuro por algunas cosas, es normal que sintamos un poco de bajón de vez en cuando y, lejos de combatirlo, se debe vivirlo. Puede que sea por algo que hemos hecho o porque simplemente nos hemos levantado de mal humor, pero es una emoción, y como tal tendrá su función, su importancia en nuestra vida.

1. Aceptar la emoción

Estoy de bajón, ¿qué es lo primero que hago? Muy habitualmente la primera reacción ante esta emoción es negarla. Para ello hacemos de todo para distraernos, luchando contra esta sensación desagradable. Nadie quiere sentirse triste, y es lógico que intentemos deshacernos de la experiencia de esta emoción lo antes posible.

Pero debemos hacer justo lo contrario. En vez de ignorar que estamos de bajón, debemos aceptar lo que está ocurriendo. ¿A qué es extraño? Pese a que pueda hasta parecer contraintuitivo, debemos entender que cuando hablamos de emociones, resistirnos a ellas lo único que conseguirá es que cuando le prestemos atención en el futuro vuelva con más fuerza, haciendo que sea más difícil ocultarla.

De hecho, uno de los pilares fundamentales de la psicoterapia es que las emociones negativas afloren, que el paciente las reexperimente en la consulta con el objetivo de que sea consciente de ellas, las acepte, las pueda identificar y, consecuentemente, se pueda trabajar sobre ellas.Cómo afrontar un bajón de ánimo - La Mente es Maravillosa

2. Apoyarse en nuestras relaciones sociales

Mejorar la calidad de nuestras relaciones sociales tiene un impacto directo sobre nuestra felicidad, ayudándonos a gestionar mejor nuestras emociones negativas como la tristeza o el enfado. Las amistades sanas son un gran motivador cuando se está pasando por un período de bajón, animándonos a sentirnos mejor sin ignorar aquello que nos ha llevado a estar como estamos.

Un buen amigo nos apoya estando ahí, escuchándonos contarle cómo nuestra pareja nos ha dejado, cómo nos han despedido o qué ha pasado que nos ha hecho estar tan mal. Sea lo que sea lo que nos ha hecho estar tristes, él o ella nos escuchará activamente, haciendo que nos sintamos mucho mejor por el simple hecho de transmitirle cómo nos sentimos. No nos forzará a que estemos mejor dándonos consejos vacíos del estilo “no te olvides de ser feliz”.

Por ello, debemos contar con otras personas en las que confiemos y que nos hagan sentir apoyados, fundamental para sentirnos bien. También cabe decir que las relaciones sociales nos ayudarán a evitar caer todavía más hondo, puesto que la soledad puede contribuir a que nuestro bajón baje todavía más.

3. No abandonar nuestros objetivos

Hemos comentado que debemos vivir nuestras emociones y no intentar distraernos activamente para ocultar estos sentimientos. Lo suyo es vivirlos, pero sin que esto nos haga abandonar por completo todo lo que conforma nuestra vida diaria, algo que es bastante común que nos pase cuando estamos de bajón.

Un mal día lo tiene cualquiera, y es normal que ese día en concreto no queramos seguir con nuestro proyecto, sea este ponerse en forma, aprender un idioma o acabar una carrera.

Sin embargo, hay que hacer un esfuerzo, e incluso focalizarse todavía más en esa meta. Esto no es intentar distraerse, sino intentar ser constante, vivir la emoción pero a la vez vivir nuestra vida. Puede que necesitemos tomarnos un descanso de vez en cuando, pero no debemos escudarnos en que estamos mal para abandonar.

En caso de que sigamos con nuestros proyectos a pesar de estar de bajón, estaremos creando un muy poderoso precedente. Habremos creado el recuerdo en el que recordamos que, pese a la adversidad, pese a no tener ganas ni estar de humor, fuimos tenaces y continuamos haciendo aquello que queríamos conseguir. Sentíamos emociones negativas, pero no nos impidió ser fuertes y seguir adelante. Es esta mentalidad la que nos hará felices en el futuro, y no la filosofía de la autoayuda barata de que debemos ser felices porque sí.

Diferencias entre estar de bajón y tener una depresión

En el lenguaje popular es común decir “estoy depre” para referirse a que se está triste o de bajona. Es difícil combatir contra esta expresión y pretender educar a todo el mundo para que deje de usarla en su lenguaje cotidiano, incluso si hacemos alusión a que puede ser irrespetuoso comparar el tener un mal día con padecer un trastorno psiquiátrico que implica mucha discapacidad a las personas que lo padecen. De todas formas, recomendamos no usarla por respeto a quienes padecen depresión.

Hay que tener en cuenta que la depresión clínica es una patología, un trastorno mental, algo que implica una gravedad significativa y que nadie quiere tener. La depresión no es adaptativa, dado que quien la padece ve gravemente perjudicadas áreas significativas de su vida como la familia, el empleo, los estudios e incluso sus aficiones. Una persona deprimida no sale del bache intentando animarse, haciendo un poco de deporte o simplemente saliendo de fiesta un día.

La depresión es una oscura y amarga compañía que puede sumirla en la más profunda de las tristezas durante años. Implica bajo estado de ánimo durante un largo período de tiempo, sin un desencadenante específico. Entre los síntomas que predominan en este cuadro podemos encontrar distorsiones cognitivas, falta de iniciativa, pensamientos suicidas y, sobre todo y como síntomas más característicos, tristeza constante y apatía.

Un “bajón” se diferencia de la depresión clínica en la temporalidad y la intensidad. Los bajones duran poco tiempo, como muchísimo un mes y no son para nada tan intensos como lo es una depresión. Esta emoción no nos invita a ser productivos ni tampoco a motivarnos, pero no implica un alto grado de alteración y podemos dejar de sentirlo en cuestión de pocos minutos. Además, estar de bajón no nos impide seguir haciendo nuestra vida normal, aunque es indudable que no nos sentimos bien.

Lo que debemos entender entre ambos es que la depresión requiere intervención psicológica para que el paciente adquiera las herramientas necesarias para poder gestionar su psicopatología, mejorando su estado de salud y aprendiendo a superar las adversidades. En cambio, si estamos padeciendo un bajón no es que no sea recomendable acudir a un psicólogo, siempre es recomendable la psicoterapia, pero es un problema mucho menor, que seguramente acabe desvaneciéndose con el paso del tiempo. Los bajones son solo los valles en la montaña rusa de nuestra vida, y siempre vienen antes de una subida, la alegría.

Nahum Montagud /Julio 2021

Il se plaint tout le temps, que faire ?

C’est peut-être votre conjoint ou votre collègue, votre ami d’enfance ou votre père. Peu importe, vous supportez ses plaintes en boucle depuis longtemps. Trop longtemps. Non seulement vous n’êtes pas obligé de subir mais vous pouvez l’aider en vous mettant à l’abri.

Les plaignants chroniques, nous en connaissons tous, nous en avons peut-être même un dans notre premier cercle de fréquentations. Nous les plaignons, nous les conseillons, nous essayons de nous protéger mais force est de constater que nos efforts demeurent vains et que leur plainte perdure.

Les 5 facettes de la plainte

« Le problème est que, bien souvent, les Calimero ne sont pas conscients qu’ils le sont », affirme Saverio Tomasella, psychologue et psychanalyste qui a consacré son dernier livre à tous ceux qui se plaignent, à tort ou à raison d’être victimes d’une injustice. Le psychanalyste a déterminé cinq facettes de ce qu’il appelle « la plainte contemporaine ».

1. La plainte « Regarde-moi » : elle sert à se mettre en valeur et à attirer l’attention.

2. La plainte « Allez, plains-moi » : elle permet de forcer la commisération des autres, vite taxés d’ingrats s’ils ne montrent pas assez d’empressement et de compassion.

3. La plainte « Mon cinéma personnel » : il s’agit de mettre en scène une problématique sous-jacente, un problème hérité de ses parents ou le modèle relationnel prégnant dans sa famille.

4. La plainte « Attention danger, j’ai peur ! » : cette plainte est incompréhensible pour l’entourage qui n’a pas eu accès aux informations (trauma personnel, mémoire généalogique) qui permettraient de comprendre pourquoi la personne se plaint, par exemple, d’être harcelée ou agressée, alors qu’en apparence rien ne le laisse supposer.

5. La plainte « J’ai mal, entends ma douleur » : il s’agit là d’une persistance dans la lamentation qui n’est pas très bien accueillie par l’entourage et qui, malheureusement, pousse le plaignant à intensifier la dose.El Derecho a Quejarse… - Ney Diaz

De la lamentation à la résolution

Ces plaintes peuvent être fondées, il n’empêche que leur récurrence et la passivité du plaignant mettent les nerfs de l’entourage à rude épreuve. Que faire ? « Il vaut mieux éviter deux échappatoires : celle qui consiste à réagir de façon très négative à la plainte, en envoyant aux gémonies le plaignant, et celle qui, lâchement, abonde dans son sens pour mieux le tourner en dérision lorsqu’il a le dos tourné ! » Pour Saverio Tomasella, la meilleure position à adopter est « celle qui permet au Calimero d’être entendu, mais aussi qui, progressivement, l’aide à relativiser ses déboires ». Il ne s’agit pas de minimiser des malheurs réellement vécus ou des souffrances réellement ressenties, mais de souligner le caractère répétitif de la plainte. « Le proche d’une personne qui se plaint de manière fréquente a sans doute raison de considérer qu’il y a, dans la répétition, une exagération pesante. Il peut aider celui ou celle qui se confie à lui à établir une hiérarchie entre ses maux. C’est une façon de montrer l’intérêt qu’il a pour l’autre, et de témoigner son désir d’écoute et de compréhension. » Cette stratégie basée sur l’empathie et la protection de soi permet au plaignant de replacer à l’arrière-plan ses plaintes les moins fondées et de faire la distinction entre les griefs qui se justifient et les autres, mais aussi de faire suivre la protestation ou la lamentation d’une résolution du problème pointé. « Peu à peu, gagnant en confiance en soi et en l’autre, le Calimero pourra, de lui-même, relativiser les motifs de ses gémissements », assure le thérapeute. Nous pourrions rajouter que si ce n’était pas le cas, rien ne nous oblige à supporter une pluie de lamentations lorsque nous avons proposé écoute et éventails de solutions. Certains aiment la plainte dans la mesure où les bénéfices qu’ils y trouvent l’emportent sur les désagréments qu’ils ont à subir dans cette situation. Si tel est leur choix, à nous de leur faire comprendre que le nôtre n’est pas de subir leurs plaintes.

Mathieu Blard

Cómo hacer amigos después de un divorcio

Te casas pensando que tu matrimonio durará para siempre, de lo contrario no te casarías. Pero el hecho es que los matrimonios no siempre funcionan. A veces, porque se madura a ritmos distintos, porque la convivencia se hace difícil u otras porque uno de los miembros de la pareja se enamora de otra persona, etc. Cuando sucede alguna de estas cosas el divorcio es la consecuencia habitual.

En este artículo de Psicología-Online queremos ayudarte a remontar después de la separación. Por eso te vamos a proporcionar algunos consejos sobre cómo hacer amigos después de un divorcio y retomar las relaciones sociales.

¿Cuánto tiempo se tarda en recuperarse de un divorcio?

Cualquier pérdida conlleva un duelo y el divorcio no iba a ser menos. El proceso de duelo y su duración depende tanto del “vacío” que la pérdida deja en tu vida, como de las herramientas y el apoyo que tengas para afrontarlo. Lo que está claro es que conviene estar distraído o distraída para no pasar el tiempo pensando en lo que ya no tienes.

En general, el duelo puede durar entre 6 meses y 2 años. No son tiempos exactos. Pero, si el tiempo es menor, puede que en realidad no hayas superado el duelo. Y si se alarga más de la cuenta es conveniente acudir a un especialista que te ayude a gestionarlo.

Cuando estés recuperado/a de tu divorcio, serás capaz de ver todas las posibilidades que se presentan y de disfrutarlas.

¿Es posible hacer amigos después de un divorcio?

Es posible y también muy conveniente hacer amigos después del divorcio. Habitualmente pasamos muchas horas con nuestra pareja, por lo que cuando la relación se termina, esas horas se quedan sin ocupar. La soledad, cuando es elegida, sienta muy bien. Pero cuando es por obligación se hace un poco cuesta arriba. Por eso es tan importante tener amigos y familiares con los que compartir tu tiempo, tus inquietudes y tus aficiones.

El divorcio no es el fin del mundo y para nada es un fracaso. Es el fin de un periodo que ha terminado porque debía acabar y el comienzo de un nuevo curso que no tiene que ser peor ni mejor, solo diferente. Se abre la puerta a dos posibilidades:

  • Disfrutar de los beneficios de estar solo/a: dedicar el tiempo que antes dedicabas a tu pareja a familiares, a tus amigos, a viajar, a tu crecimiento personal o profesional…
  • Conocer a alguien con quien compartir la siguiente etapa de tu vida con la experiencia de una relación anterior que no funcionó. Dispones de un aprendizaje muy valioso, y cada vez tienes más claro, de qué quieres y qué no quieres en una pareja.

Como recuperarse de un divorcio o una ruptura amorosa.

Beneficios de hacer amigos después de un divorcio

A continuación, veremos los beneficios de hacer amigos después de un divorcio:

  • Hacer amigos te aporta apoyo y comprensión.
  • Evita recordar a tu expareja más de la cuenta. Te brinda la oportunidad de hacer nuevos planes, de mantenerte ocupado/a, divertirte, etc.
  • Conocer a otras personas con quien puedas tener una nueva relación sentimental.

    Consejos para hacer amigos después de un divorcio

    Si llevabas mucho tiempo con tu pareja, es posible que los amigos que tenéis sean comunes u otros matrimonios. No es necesario que dejes de ver a tus amigos y amigas de siempre, pero si es recomendable que empieces a hacer tus propios amigos para evitar información innecesaria acerca de tu ex o coincidir en algunos planes con él o ella.

    Aquí te dejamos algunos consejos sobre cómo hacer amigos después de un divorcio:

    • No te cierres a nuevos planes: a veces pensamos que algo no nos va a gustar y ni siquiera le damos la oportunidad. Si te ofrecen planes diferentes a los que estabas acostumbrado/a… ¡pruébalos! Después de probar ya decidirás si te gusta o no, pero no lo descartes antes de tiempo.
    • Inscríbete en alguna actividad: si siempre has querido perfeccionar tu forma de cocinar o aprender a dibujar, apúntate a clases. Además de mejorar tus habilidades, conocerás gente con la que ya tienes algo en común y podrás hacer amigos/as.
    • Haz planes con los amigos de tus amigos: seguro que tienes algún amigo/a que tiene un grupo de amigos diferente al vuestro. Pues sal un día con él/ella y su grupo para conocerlos. Es posible que de ahí salgan nuevas amistades.
    • Queda con tus compañeros/as del trabajo fuera del horario laboral: puede que te sorprendan fuera del entorno habitual y abre la posibilidad de conocer a terceras personas.
    • Apúntate a un grupo: hay grupos de solteros y/o divorciados en muchas ciudades que organizan planes divertidos. Estarás en contacto con otras personas en una situación parecida a la tuya y puede surgir la amistad.
    • No te quedes en casa: uno de los consejos más importantes para hacer amigos después de un divorcio es que te relaciones, por eso evita quedarte en casa y haz por estar en contacto con otras personas.

8 moyens d’en finir avec l’indécision

Vous êtes régulièrement amené à prendre des décisions concernant le déroulement d’un projet, les ressources à demander ou à affecter, les pistes à suivre ou à abandonner? Votre problème principal vient de votre indécision, qui vous empêche de vous engager, de progresser et de faire avancer le projet? Nous allons ici explorer quelques pistes qui devraient vous permettre de sortir de l’ indécision.

Mon ex hésite : comment faire pencher son cœur en ma faveur ?

D’où vient l’ indécision?

La source de l’ indécision vient généralement de vos peurs. Nous avons la peur de l’échec et la peur de faire le mauvais choix face à un grand nombre de possibilités. Cela engendre la peur de déplaire, la peur du conflit et de s’imposer face aux autres. Cela engendre une grande frustration et peut renforcer un sentiment d’infériorité. Plus vous repoussez des décisions, et plus la frustration augmente. C’est un cercle vicieux.

Surmonter l’ indécision

Il est possible de mettre fin à cette situation en appliquant quelques règles qui vous permettront à terme d’être finalement capable de prendre des décisions lorsque vous en aurez besoin.

1. Se connaître

Pour commencer, il vous faut apprendre à vous connaître. Prenez conscience de ce qui vous définit, vos goûts, vos besoins, vos connaissances, vos compétences et vos priorités. Cela vous permettra de savoir exactement ce que vous voulez et ce que vous ne voulez pas. En sachant ce qui est réellement important pour vous, vous pourrez identifier vos blocages et vous serez plus à même de faire des choix par vous-même. Une fois vos forces et vos faiblesses connues, il vous faudra les accepter telles qu’elles sont, sans nécessairement vouloir à tout prix les contrôler. En vous acceptant tel que vous êtes, vous développerez votre propre estime  et prendrez confiance.

2. Collecter les informations

La connaissance est la clé de la prise de décision. La peur de prendre une décision résulte souvent du fait que vous avez l’impression de ne pas toujours avoir tous les éléments en mains. N’ayez pas peur de recueillir le plus d’informations possibles sur le ou les sujets sur lesquels vous devrez prendre une décision. En vous forgeant une image la plus fidèle et complète possible, vous pourrez plus facilement peser le pour et le contre et la prise de décision sera facilitée.

3. Trier les informations

L’utilisation d’un tableau peut également grandement aider à la prise d’une décision. Séparez une feuille en deux et placez d’un côté les avantages et de l’autre les inconvénients de chaque option disponible. Vous pourrez ainsi avoir une vision plus exhaustive de la situation, prendre du recul et comparer les différentes solutions afin de finalement pouvoir en choisir une.

4. Visualiser les conséquences

Visualiser les conséquences d’un choix est également un bon exercice. Respirez profondément, fermez les e sont autant de signes pouvant vous indiquer qu’un choix est bon ou au contraire qu’il est à éviter.

5. Prendre son temps

Prenez votre temps, ne vous précipitez pas. Lorsque vous avez un choix à faire, limitez les possibilités à deux ou trois, et fixez-vous une durée limite pour prendre votre décision. Laissez-vous suffisamment de temps, mais fixez une limite. Le délai écoulé, prenez votre décision.

6. Imaginer tous les scénarios

Toute décision entraîne des conséquences. Essayez d’imaginer tous les scénarios possibles pour chaque option. Établissez le pire scénario, le meilleur et celui ou ceux qui sont relativement neutres. Le pire scénario a peu de chances de se produire. Il vous faut apprendre à analyser de façon froide et pragmatique chaque situation comme si quelqu’un d’autre devait prendre la décision.

7. Assumer

Une fois une décision prise, il vous faut en assumer les conséquences, bonnes ou mauvaises. Ne reculez jamais, car là aussi cela engendre de la frustration, pour vous, comme pour tous ceux qui peuvent être concernés par vos décisions.

8. Accepter ses erreurs

Enfin, prendre des décisions, c’est également parfois faire des erreurs. Acceptez-le et surtout ne vous laissez pas envahir par les regrets. Il est peut-être possible de remédier à la situation. Le tout est d’apprendre de ses erreurs pour ne pas les reproduire dans le futur.

¡Vamos adelante! Estos 9 consejos te ayudarán a estar siempre motivado

La motivación y la automotivación son la fuerza que nos hace actuar y nos permite seguir adelante incluso en las situaciones más complicadas.

11 Increíbles maneras de motivarse - Motivación

Estudiar para un examen de la carrera o entrenar diariamente para estar al máximo nivel durante la competición requieren de esta variable psicológica.

Hay situaciones que son motivantes  por sí solas, pero, en ocasiones, podemos encontrarnos en momentos de nuestra vida en que necesitamos un extra de motivación y debemos motivarnos a nosotros mismos.

Darse a uno mismo las razones, el impulso, el entusiasmo e interés necesario para seguir adelante es lo que se conoce como automotivación.

La automotivación es clave para influir positivamente en nuestro estado de ánimo, y es una habilidad interna que es posible trabajar. Te damos algunos consejos para automotivarte  y lograr un determinado objetivo o meta.

Automotivación e Inteligencia emocional

Para Daniel Goleman  un psicólogo que hizo famoso el concepto de inteligencia emocional  (EI), la automotivación es uno de los elementos clave que poseen las personas emocionalmente inteligentes.

oleman define este constructo como la “habilidad para realizar acciones por uno mismo sin la necesidad de ser impulsado por otros factores y para mantener la mente creativa y encontrar soluciones.

En el modelo de IE de Daniel Goleman, tras lograr el “autoconocimiento” y el “autocontrol”, es necesario encontrar fuentes de inspiración que nos proporcionen energías para la acción, en eso consiste la automotivación. Encontrar la motivación desde dentro de uno mismo.

Consejos para automotivarse

Pero, ¿qué podemos hacer para automotivarnos? ¿qué estrategias o hábitos podemos utilizar para mejorar esta forma de motivación? A continuación te mostramos 9 consejos.

1. Sal de tu zona de confort

Puede parecer que está bien estar ahí durante un tiempo, pero si lo que quieres es seguir motivado, luchando por nuevos retos, este no es tu lugar. Así que adéntrate en situaciones nuevas, sé valiente y da un paso al frente. Esta es la única manera de comerte el mundo. ¡Verás que un futuro ilusionante te espera!

2.  Desglosa tus objetivos

Muchos individuos se desmotivan porque sus metas son demasiado altas. Por eso, es importante desglosar los objetivos en metas a corto, medio y largo plazo.

Para seguir motivado, es necesario que realices una correcta planificación, pues la autoconfianza que vas a adquirir diariamente te va a permitir seguir automotivado durante todo el proceso.

3. Averigua lo que te hace feliz

No hay nada más automotivante que luchar por lo que te hace feliz. Para ello, debes realizar una correcta autorreflexión y conocerte a ti mismo.

Cuando sepas que es lo que realmente quieres, no pierdas de vista tus objetivos. Recuerdate diariamente qué te hace feliz.

Si tienes dificultades a la hora de encontrar tu verdadera motivación, puedes acudir a un coach para que te facilite el proceso y te ayude a adquirir las herramientas necesarias para seguir automotivado.

4. Haz que cada día cuente

Desglosar los objetivos esta muy bien para saber qué camino debes seguir para lograr tus metas. Pero si quieres estar motivado durante todo el proceso, también tienes que poner de tu parte para seguir al pie del cañón, automotivado. Adopta una mentalidad

positiva y haz que cada día cuente.

Céntrate en el presente y cumple esas pequeñas metas que te pones diariamente para lograr tus objetivos a largo plazo.

5. Ponles fecha a tus objetivos y plásmalos en papel

Y claro, hacer que cada día cuente es parte del proceso. Ahora bien, es necesario para estar motivado el poner fecha a estos objetivos y plasmarlo en papel. Así te exigirás más a la hora de lograrlo y te servirá de feedback.

6. Haz un acuerdo contigo mismo

Una buena estrategia para automotivarte es realizar un contrato contigo mismo para lograr tus metas. Puedes incluso imprimir una copia y firmarla si eso supone que estés comprometido. En los momentos difíciles, que seguro que los habrá, puedes sacar la copia y recordarte a ti mismo esa promesa que te hiciste.

7. Ve paso a paso

Tener metas altas y quererlas lograr en un plazo de tiempo corto puede ser tentador, pero también frustrante y desmotivador si no consigues los objetivos rápidamente.

Por ello, debes ser realista e ir paso a paso en la consecución de tus objetivos. Lo importante para estar motivado es ir consiguiendo pequeños logros que luego sumen. ¡Ten paciencia!

8. Compárate contigo mismo, no con otros

Es necesario para seguir automotivado que te compares contigo mismo y no con los demás. Lo importante es que lo que consigas paso a paso te permita llegar a donde quieres.

Como decía en el punto 3, es trascendental que sepas qué es lo que te hace feliz a ti, no a los demás. Esa es la clave para estar automotivado.

Además, si pierdes el tiempo comparandote con lo que otros consiguen, seguramente este comportamiento afectará negativamente a tu autoconfianza. Algo que, a su vez, tiene un efecto perjudicial sobre tu motivación.

9. Recuérdate a ti mismo lo que has logrado en el camino

Por tanto, al compararte contigo mismo, recuérdate lo que has logrado a lo largo del proceso. Para ello es importante que anotes los objetivos logrados con frecuencia. Así no te olvidarás de lo que has ido consiguiendo.

Por otro lado, ir revisando los objetivo y los resultados adquiridos es positivo no solo porque nos sirve como una manera de automotivarnos, sino porque, además, es útil para saber qué hemos hecho bien y qué hemos hecho mal.

Esto nos permitirá reaccionar y nos ayudará a estar automotivados.

Bertrand Regarder

Être charismatique : Pourquoi et surtout Comment ?

“J’ai appris que les gens oublieront ce que vous avez dit, qu’ils oublieront ce que vous avez fait, mais qu’ils n’oublieront jamais comment vous les avez fait se sentir.” – Maya Angelou

Vous avez sans doute tous entendu parler du charisme, ce talent rare et très convoité dont disposent certaines personnes dans le monde. Toutefois, avant d’en parler, il va falloir le définir.

Qu’est-ce que le charisme ?

Et bien, même les psychologues et sociologues de tout bord ont du mal à s’entendre sur une définition. Pour faire simple, c’est la capacité de captiver et de fasciner un auditoire par ses compétences en communication et langage corporel, tout en laissant une impression de confiance et de maîtrise de soi.

Le charisme étant basé sur des compétences en communication, ceux-ci peuvent être appris et développés. Donc il est possible de développer votre charisme, même si vous partez de zéro.

Maintenant je vois certains se dire “Mais pourquoi aurais-je besoin de charisme ? J’ai déjà un emploi/activité qui me convient, je ne suis pas un homme politique ou une célébrité.” ou encore “Je suis retraité/mère au foyer, ce sujet ne m’intéresse pas !”

Et bien c’est vrai, quand on demande aux gens de penser à des personnes charismatiques, immédiatement ce sont des noms de personnalités politiques, de célébrité ou encore de leaders. Pourtant, dans votre quotidien et autour de vous, il y a des personnes charismatiques.

Cela peut être l’enfant populaire à l’école, le vendeur qui vous donne le plus de conseils sur ses produits, ou l’employé de bureau qui est ami avec tout le monde.

Le charisme ne s’arrête pas là non plus. Si vous pouviez inspirer confiance et respect à votre conjoint, vos enfants, vos collègues, vos amis tout en leur laissant une impression plus positive, n’y auriez-vous pas tout à y gagner ? Et pour ça, pas besoin de faire des discours devant un public ou s’engager dans des élections 🙂

Voici 5 astuces pour devenir plus charismatique dès maintenant !

1. Inspirer de la confiance

Le charisme n’est pas de la confiance en soi, mais être confiant vous rendra certainement plus charismatique parce que cette confiance en vous permettra de mettre à l’aise les autres et on vous trouvera plus capable.

Si les gens vous voient comme une personne qui a confiance en elle, ils voudront naturellement communiquer avec vous. Voici quelques trucs qui vous aideront à apparaître plus confiant :

  • Soyez positif. Ne commencez pas de conversation en vous plaignant ou en critiquant une autre personne, un endroit ou une figure politique. À la place, concentrez-vous sur ce que vous aimez, cela permettra aux gens de participer et leur donnera envie de rester à parler avec vous. Le professeur Martin Seligman de l’université de Pennsylvanie dans “ La force de l’ optimisme» a montré que la majorité des gens préfèrent fréquenter des personnes optimistes.
    Si vous commencez par parler de ce que vous détestez, les gens s’inquiéteront de l’ambiance négative que vous générez et s’éloigneront de peur que cela déteigne sur eux.
  • Parlez avec confiance. Parler avec confiance ne veut pas dire parler plus que tout le monde, ou parler plus fort que tout le monde. Dites quelque chose d’important et dites-le avec conviction. Parlez à un rythme détendu et parlez clairement. Variez votre ton, votre rythme et volume de voix pour appuyer sur les mots importants et rendre votre discours plus intéressant à écouter. Pour vous entraîner à parler avec confiance, vous pouvez vous enregistrer en train de parler, puis assurez-vous de percevoir cette confiance en vous en vous réécoutant.
  • Pour apparaître confiant, vous devez d’abord avoir confiance en vous. Les personnes qui ont vraiment confiance en elles aiment qui elles sont, ce qu’elles font et à quoi elles ressemblent. Si vous ne vous sentez pas confiant, travaillez sur vos meilleures qualités en les mettant en avant, cherchez à corriger vos défauts et améliorez votre apparence, pour permettre aux autres de vous voir sous votre meilleur jour. N’ayez pas peur de discuter de sujets que vous ne maîtrisez pas, restez ouverts et curieux, vous serez ainsi bien plus communicatif et cela montrera que vous avez confiance en vous même sur des sujets dont vous ignorez tout.

Si vous travaillez déjà sur votre confiance en vous, sachez qu’une voix posée et confiante, des vêtements qui vous mettent en valeur et un langage corporel adapté peut fortement vous aider à montrer aux autres l’image d’une personne qui a confiance en elle.

Eres una persona carismática? - Cegos

2. Un langage corporel expressif

Votre langage corporel peut en dire long sur la façon dont vous vous percevez, et cela peut vous aider à paraître plus accessible pour les autres. Un mauvais langage corporel peut vous donner l’air d’être replié sur vous-même ou indécis, c’est pourquoi il est important de montrer que vous être confiant, déterminé et que vous existez. Voici comment procéder :

  • Améliorez votre posture. Rien ne montre plus de confiance qu’une bonne posture. Une personne charismatique se tient droite et marche avec un pas sûr et déterminé, sans être rigide, même dans une salle rempli d’étrangers. Ils font également des gestes de leurs mains plutôt que de croiser les bras sur leur poitrine. Lorsque vous rencontrez quelqu’un, serrez-lui fermement la main et regardez la personne dans les yeux. Montrez un langage corporel positif lorsque vous parlez à quelqu’un ou même lorsque vous êtes en train d’attendre. Asseyez-vous en face de la personne ou des gens auxquels vous parlez et décroisez les jambes et les bras, tout en éloignant vos mains de votre visage. Soyez à l’aise, ne gigotez pas et n’ayez pas l’air nerveux.
  • Pensez à vos propres gestes. Lorsque vous parlez, est-ce que votre langage corporel vous soutient  ou bien vous dessert ? Avez-vous l’air nerveux, froid ou ennuyé ? Si vous êtes passionné par quelque chose, est-ce que vos gestes communiquent bien cela ? Soyez attentif à votre gestuelle, et améliorez-la progressivement.
  • Pratiquez devant un miroir. Regardez-vous dans un miroir et faites un discours ou bien faites semblant d’avoir une conversation avec quelqu’un. Où va votre regard ? Quels gestes faites-vous avec vos mains ? Avez-vous l’air d’une personne timide ou bien de quelqu’un de charismatique ? Quelqu’un pourrait-il savoir quelle émotion vous affichez sans qu’il n’ait à écouter vos mots ? Pratiquez régulièrement et notez ce qui nécessite d’être amélioré.
  • Mimez le langage corporel de la personne avec qui vous conversez, ainsi vous vous rapprocherez d’elle du point de vue du langage non-verbal. Si vous êtes face à quelqu’un qui a beaucoup de gestuelle, vous pouvez faire pareil, tandis que si vous êtes face à une personne plus réservée, vous ne devriez pas faire trop de gestes.
  • Regardez les gens dans les yeux lorsque vous leur parler. Ne les regardez pas fixement, mais ne balayez pas non plus la pièce du regard tout en cherchant à éviter le contact visuel. Impliquez-vous visuellement et pas seulement avec votre voix. Ne regardez pas votre téléphone ou votre montre, ou d’autres personne à qui parler, parce que vous n’apparaîtrez pas impliqué dans la discussion.
  • Observez attentivement la gestuelle des autres personnes autour de vous. Remarquez comment la gestuelle de certains orateurs semblent fausse ou en décalage avec le message qu’ils tentent de transmettre. Ces personnes ont alors l’air sournoises ou bien hésitantes. D’autres orateurs au contraire, savent utiliser leur langage corporel avec brio. Ce qu’ils disent marque les esprits et semblent plus dignes de confiance mais aussi plus compétents. Ces personnes sont souvent des acteurs célèbres, des leaders ou des experts dans leur domaine. Prenez le temps d’observer les bons et les mauvais exemples d’utilisation du langage corporel, et apprenez.
  • Souriez véritablement lorsque vous saluez quelqu’un, cela peut changer du tout au tout vos relations. Votre sourire devrait montrer que vous êtes heureux de faire leur connaissance et de passer du temps avec eux. Et en plus il est contagieux.

3. Accordez de l’importance à autrui

Peu importe à qui vous parlez, vous devriez toujours essayer de ravir la personne et qu’elle se sente importante à vos yeux. Il faut qu’après vous avoir quitté, cette personne se sente mieux vis-à-vis d’elle-même.

Pour dégager un vrai charisme, vous devriez être capable de parler à n’importe qui sur n’importe quel sujet, et d’écouter la personne attentivement. Voici comment faire :

  • Soyez l’égal de tout le monde. Si vous parlez à un potentiel employeur, un groupe de riches donateurs, un enfant, un étranger, un handicapé ou un pauvre, ne les placez pas sur un piédestal mais ne les traitez pas avec condescendance non plus. Soyez respectueux envers les autres, mais respectez-les en tant qu’égaux, et attendez qu’ils vous acceptent en tant que tel.
  • Montrez un intérêt sincère dans la vie des gens. Soyez un peu curieux, posez des questions aux gens sur leur vie, leurs expériences, ou leurs opinions sur certains sujets. Faites-leur ressentir que ce qu’ils ont vécu a de l’importance pour vous, et que vous appréciez leurs pensées dans la discussion. Il est vrai que vous pourriez penser que “les gens en général ne sont pas si intéressants que ça”, mais ce n’est qu’une fausse croyance, tout le monde a toujours au moins quelque chose d’intéressant à raconter.
  • Écoutez activement lorsque les autres parlent, sans émettre de jugement. Accordez toute votre attention à quelqu’un lorsque celui-ci vous parle. Comme si vous regardiez un film ou lisiez un livre dans lequel vous cherchez à en apprendre plus sur le personnage principal, ne pensez pas à ce que vous allez répondre ensuite, obligez-vous à faire une pause de deux secondes après que la personne ait fini de parler. Concentrez-vous sur votre respiration, si vous sentez que vous n’êtes plus “présent” dans la conversation.
    • Un autre conseil fondamental : n’oubliez pas non plus d’acquiescer de la tête et de faire de brèves interjections, comme “Je vois” ou “D’accord”, pour rassurer la personne sur le fait que vous l’écoutez, et que vous êtes intéressé parce ce qu’elle a à dire. Un bref contact physique sur le haut du bras peut également souligner votre accord ou empathie avec ce que dit la personne, et permette que la personne se sente plus connectée à vous.
  • Apprenez et rappelez-vous des noms des personnes à qui vous parlez, et adressez-vous à ces gens par leur nom ou prénom, une fois que les connaissez un peu. Cela vous permettra de mieux les retenir mais aussi de renforcer le lien que vous avez avec ces personnes, cela les fera se sentir privilégiés.
  • Complimentez les gens de temps à autre, mais faites-le sincèrement, et acceptez également de bonne grâce les compliments qu’on vous fait sans jouer les faux modestes.
  • Rappelez-vous qu’être charismatique ne veut pas dire chercher à plaire aux gens. Les personnes charismatiques ne cherchent pas à plaire à tout le monde, et se fichent d’ailleurs pas mal de ce que les autres pensent d’eux. Le fait qu’elles plaisent aux gens n’est qu’un effet de leur façon d’être et de communiquer.

4. Soyez dynamique et faites de l’esprit

Une personne charismatique devrait être capable d’amuser les gens sans en faire trop. Le charismatique a la capacité de rassembler des personnes autour de lui en racontant des histoires drôles ou anecdotes amusantes.

Vous devriez être capable d’attirer les gens à vous, avec un fin sens de l’humour. Voici comment le devenir :

  • Apprenez l’auto-dérision. Si vous arrivez à rire de vous, cela montrera aux autres que vous êtes confiants en vos capacités et ils seront bien plus à l’aise avec vous. Vous n’avez pas besoin de vous déprécier pour montrer que vous êtes conscient de vos défauts, quelques anecdotes sur votre vie peuvent suffire. Être en mesure de laisser les autres rire de nos échecs sans en être affecté est un signe de vrai charisme.
  • Apprenez à plaisanter avec une grande variété de personne. Vous devriez être en phase avec le sens de l’humour de la personne ou du groupe de personnes à qui vous parlez. Toutefois si vous parlez avec des personnes âgées ou sensibles, tenez-vous en à des plaisanteries courtes et inoffensives. Lorsque vous êtes avec une personne que vous ne connaissez pas, restez léger là-dessus. Vous ne voudriez pas risquer de l’offenser ou que celle-ci se ferme complètement après une blague indécente.
  • N’essayez pas d’être absolument drôle. Vous n’avez pas à faire des blagues toutes les cinq secondes, n’oubliez pas que les blagues les plus courtes sont les meilleures. Visez la qualité plutôt que la quantité et limitez-vous à quelques plaisanteries tout au long d’une conversation.

5. Devenez passionnant

Pour être vraiment charismatique, vous devez non seulement impressionner, attirer et écoutez les autres, mais vous devez également être doué pour intéresser les gens, en ayant toujours quelque chose d’intéressant à dire.

De cette manière, certaines personnes graviteront naturellement autour de vous. Voici comment procéder :

  • Soyez ouvert d’esprit. Une personne charismatique doit être capable de parler aux gens d’une variété de sujets. Soyez instruits, soyez au fait des dernières nouvelles, et ayez divers centres d’intérêts, comme le développement personnel, l’économie, l’art ou les langues étrangères.
  • Renseignez-vous sur les grands domaines qui intéressent les personnes : les sciences, la politique, l’histoire et la littérature, ainsi vous pourrez vous adapter à chaque personne avec qui vous discutez. Parlez également de vos propres passions, de ce que vous aimez faire, les personnes qui parlent de leurs hobbies sont immédiatement plus charismatiques car l’attitude passionnée amène de l’enthousiasme.
  • Réfléchissez avant de parler. Réduisez vos discussions sur la pluie et le beau temps et essayez de faire en sorte que chaque mot soit utile, en pensant à la formulation de vos phrases avant de les prononcer. Si vous n’avez rien d’important à dire, restez silencieux. Cela peut paraître surprenant, mais moins vous en direz et plus ce que vous dites paraîtra important.
  • Soyez connecté avec vos émotions. Des recherches ont montré que les personnes qui étaient perçues comme charismatiques, ressentaient fortement leurs émotions et pouvaient être affectés par les émotions des autres mais sans être submergées par elles. Ainsi, n’ayez pas peur de montrer que vous ressentez de la colère, de la tristesse ou de la joie sans trop en faire.
  • Dites ce que vous pensez/ressentez. Les gens ont en général tendance à cacher leurs pensées et ressentis des autres sans aucune mauvaise intention, mais en même temps, tout le monde apprécie de discuter avec une personne vraiment honnête. Bien sûr, il y a quelques exceptions, ne dites pas des choses qui pourraient mettre les autres mal à l’aise ou les éloigner de vous.

Le test officiel du Charisme : General Charisma Inventory

Il existe un certain nombre de questionnaires en ligne sur le charisme, mais rien de réellement scientifique. Pourtant depuis 2017, plusieurs études ont été menées pour créer une sorte de “test objectif” du charisme. Ainsi, les psychologues Tskhay, Zhu, Zou, et Rule ont créé le General Charisma Inventory qui vous permet d’évaluer si une personne est charismatique.

Pour éviter les biais, ne passez pas ce test pour vous-même, mais uniquement pour les autres. Si vous voulez savoir si vous êtes charismatique, demandez aux autres de répondre à ce test pour vous.

Le test est très simple et s’articule autour de 6 points, sur une échelle de 1 à 5 (1 = Pas du tout d’accord / 5 = Tout à fait d’accord).

Cette personne… :

  1. Est-elle capable de s’entendre avec n’importe qui ?
  2. Arrive-t-elle à mettre les gens à l’aise ?
  3. Sourit-elle aux gens souvent ?
  4. Arrive-t-elle à influencer les gens ?
  5. A-t-elle une prestance lorsqu’elle entre dans une pièce ?
  6. Sait-elle diriger un groupe ?

Ce test mesure deux choses, l’attractivité (question 1 à 3) et l’influence (question 4 à 6). Un score élevé montre que la personne décrite est plutôt charismatique.

Conclusion

Développer son charisme est un art. Ces quelques conseils vous aideront à devenir plus charismatique, mais votre charisme est quelque chose qui vient de l’intérieur et doit vous refléter sans quoi cela paraîtra faux. Heureusement, tout le monde a la capacité de devenir charismatique, il faut simplement pratiquer et prendre en note ce qui fonctionne pour vous et ce qu’il faut améliorer !

Adam Fartassi

9 formas de enfocarte para avanzar en tus objetivos

Hace ya bastante tiempo que leí un artículo de Ciara Conlon en lifehacker,  pero había dejado este artículo de lado porque tenía muchos otros temas por escribir que también me interesaban. Ciara en su artículo cita siete formas para encontrar el enfoque adecuado y poder hacer las cosas que tenemos que hacer, yo he querido añadir un par de ideas más.

Cómo enfocarte en tus objetivos

Concentrarse en una sola cosa

Muchos de nosotros seguimos intentando estar en dos, tres o diez cosas a la vez. Estamos escribiendo un artículo con el correo abierto y las notificaciones del WhatsApp sonando y somos incapaces de seguir escribiendo, pero tampoco hemos respondido al correo que llegó ni a los WhatsApp que esperan respuesta. ¿Realmente sirve de algo la multitarea?

Centrarnos en una sola cosa, con todos nuestros sentidos y dedicación, nos sirve para tener el control de nuestra energía, de forma que podamos dedicarla a lo que realmente es importante para nosotros en ese momento. Cerrar el correo, silenciar todo tipo de notificaciones, abrir un documento de texto offline y centrarse en escribir es la mejor forma de realmente hacer lo que debemos en ese momento: escribir.

Cuando hayamos acabado de escribir, ya abriremos el correo, responderemos uno a uno los correos que tengamos que responder. Y guardaremos las tareas en nuestra lista de tareas, no las haremos al mismo tiempo que vamos respondiendo al correo, porque luego estaremos horas y horas para responder cuatro correos. Primero lo primero, luego ya seguiremos, pero concentrándoos en una sola cosa a la vez.

Eliminar las distracciones conocidas

Va ligado al punto anterior, pero mucho más preciso: si sabemos que el correo y el WhatsApp nos distraen, cerrémoslo y desactivemos todo tipo de notificaciones y concentrémonos en lo que debemos. Pero no solamente eso: si nuestra mesa de trabajo está llena de cosas que nos distraen, vaciémosla. Si estar mirando en dirección a la ventana nos distrae, cambiémonos de sitio. Si tener a alguien en casa no nos permite trabajar bien, busquemos otro sitio donde podamos trabajar sin ningún tipo de problema.

Saber reconocer las distracciones que tenemos es la primera parte para conseguir eliminarlas, o sea que el primer paso es ser conscientes de todas las distracciones que, de forma más o menos habitual, nos impiden realizar con concentración nuestro trabajo. Una vez detectadas, tenemos que ver todas las que podemos eliminar y eliminarlas. En caso de que no podamos eliminarlas por cualquier motivo, llega el momento de intentar minimizarlas y reducir su efecto al mínimo.

¿A qué me refiero? Por ejemplo, a empezar con rutinas que nos permitan recuperar el trabajo tras una interrupción.

Relajarse y aprender a calmar la mente

Una de nuestras mayores distracciones es, sin duda, nuestra mente. Nuestros propios pensamientos deambulando por nuestra mente nos impiden realizar la tarea que tenemos que hacer en cada momento. Lo primero que tenemos que hacer es reducir el ruido de nuestra mente.

Una buena forma de conseguir alejar estos pensamientos es relajándonos y meditando. En muchas ocasiones la respiración consciente es la clave para el control de nuestro cuerpo y nuestra mente,  así que en los momentos de estrés, cuando perdemos el control de nosotros mismos y no somos capaces de enfocar nuestra mente en las cosas esenciales, aplicar la respiración consciente nos sirve para relajarnos, nos transmite la sensación de calma que necesitamos para conseguir ver las cosas de una forma mucho más clara.. Yo a veces tampoco consigo concentrarm, en este articulo te cuento lo que acostumbro a hacer.

Por ejemplo, mientras estamos haciendo una tarea A, nuestra mente nos irá recordando cosas sobre la tarea B, C o D que tenemos que hacer después, o que ya hemos empezado pero no hemos terminado. Aprender a calmar la mente escribiendo todas esas cosas y dejándolas de lado es imprescindible si queremos seguir trabajando, de forma concentrada y con buen enfoque, en una única tarea hasta terminarla.

Ordenar nuestro caos interno y externo

Ya hemos comentado que es importante ordenar nuestra mesa, nuestra forma de trabajar y nuestra situación para podernos enfocar en lo que realmente es importante. Una de las cosas más importantes a tener en cuenta es tener ordenado nuestra mente y nuestro espacio, de forma que tengamos el mínimo de cosas posibles que nos puedan distraer del objetivo que tengamos fijado en cada momento concreto.

En Getting Things Done, la revisión semanal nos sirve para ordenar nuestro caos interno y externo. Nos sirve para tener claro qué hemos hecho y qué nos falta hacer. Nos sirve para ser plenamente conscientes de nuestros compromisos y, no solamente eso, sino para asegurarnos de que nuestro sistema de organización nos lo recordará en el momento adecuado. Pero no solamente a nivel interno, sino a nivel externo: nos sirve para vaciar nuestras bandejas de entrada, para saber lo que tenemos en nuestra mesa de trabajo y ser conscientes de si realmente lo necesitamos o no.

Hacer ejercicio

Hacer ejercicio cansa, eso es evidente. Lo que no es tan evidente es que, tras ese cansancio inicial, hacer ejercicio aumenta nuestra energía para seguir con el día que tenemos por delante. Hacer ejercicio es una manera perfecta para reducir el estrés, mejora nuestro estado de ánimo y aumenta nuestra felicidad. Empezar el día con un poco de ejercicio es una fórmula perfecta para despejarse y empezar nuestro día mucho más despiertos y con ganas de comernos el mundo.

Fijación y clarificación de objetivos

Cuando no tenemos nuestros objetivos definidos de forma clara y precisa, estar enfocados es totalmente imposible. Para podernos concentrar en una tarea necesitamos tener muy claro cual es el motivo de hacerla, en qué sentido nos ayudará para cumplir nuestros objetivos.

Por lo tanto, una de las mejores formas de conseguir tener un buen enfoque y concentrarnos es revisar de forma periodica nuestros objetivos, para ser conscientes de lo que nos estamos proponiendo, y no solamente esto, sino revisarlos de forma que podamos clarificarlos estableciendo metas concretas que nos permitan mejorar nuestro enfoque en nuestro día a día: todo lo que hagamos a partir de ese momento debe estar alineado con nuestras metas y objetivos. En ese sentido, te recomiendo esta charla TED del doctor Mario Alonso:

Simplificación

Cuanto más simplificamos nuestra vida y nuestro trabajo, más trabajo conseguimos hacer. Pero nosotros no sólo queremos realizar nuestro trabajo, queremos hacer las tareas importantes, las tareas que marcan las grandes diferencias. Muchos de nosotros nos ocupamos de hacer tareas que son innecesarias, perdemos el tiempo en cosas que no están agregando valor a nuestras vidas o nuestros puestos de trabajo. Si podemos simplificar y eliminar lo innecesario de nuestras vidas, tendremos más tiempo para centrarnos en lo que es importante, y también se convertirá en mucho más fácil de mantener el enfoque.

Una muy buena forma de simplificar nuestro inicio del día es tenerlo todo preparado para empezar a tope.  Pero recuerda que también es importante fijar las tareas más importantes de nuestra semana. fi

Descansar, descansar mucho y bien

Tras las siete primeras recomendaciones, basadas en las de Ciara Conlon en lifehack pero adaptadas a mi forma de verlas y de aplicarlas, me gustaría añadir dos opciones más. Por un lado, la de descansar. Descansar mucho y bien para mi es fundamental para conseguirme concentrar en lo que tengo que hacer, de forma enfocada y sin distracciones.

La mejor forma de levantarse no es, para nada, un despertador. Desde que en junio me fui a vivir a Girona,  casi ninguno de los días que han pasado me he levantado con despertador. La gracia de todo esto es ir a la cama suficientemente temprano como para que a las 7 – 8 de la mañana te despiertes sin la necesidad de ruidos ni molestias. De verdad, ¡es perfecto!

En cualquier caso, otra forma interesante de despertarse es usando alguna de las aplicaciones o pulseras que monitorizan tu sueño. En un periodo de 20-30 minutos, te despertarán en el momento en que tu sueño sea menos profundo, de forma que te despertarás mucho mejor. Estoy probándolo desde hace pocos días, así que tendré que ver si me funciona bien.

¿Mi objetivo? Ir a la cama más temprano para levantarme más temprano. ¡A ver si lo conseguimos!

Ser conscientes de nuestras capacidades y nuestra situación actual

Para ir acabando, el último punto pero, para mi, no menos importante, es el hecho de ser conscientes de nuestras capacidades y de nuestra situación actual. Si en un momento dado probamos de hacer algo y no conseguimos concentrarnos, teniendo en cuenta todos los puntos anteriores, quizá lo mejor es dejarlo aparcado, bien apuntado en nuestra lista de acciones, y ponernos con otra cosa que sí tengamos la capacidad de hacer según nuestra situación actual. Cada tarea requiere una cierta concentración, que puede ser muy distinta a otra, así que si somos lo suficientemente previsores para no tener urgencias, lo mejor será dejar de lado eso que no conseguimos hacer y hacerlo en otro momento.

Es importante tener en cuenta que esto no tiene nada que ver con la pereza o la pasividad: una cosa es no tener ganas de hacer algo (de hecho, cuando me levanté hoy no me apetecía nada escribir… ¡y me está quedando un artículo hiperlargo!), y otra cosa es el no tener la suficiente capacidad o la suficiente energía para poder llevar a cabo una tarea determinada que requiera una concentración especialmente alta.

RESSENTEZ-VOUS SOUVENT DE LA FRUSTRATION?

Depuis la création de l’école Écoute Ton Corps, je n’ai encore jamais trouvé de source plus importante de frustration que les attentes.

La plupart croient que ce que les autres font pour eux ou ce qu’ils leur donnent est une preuve d’amour. Alors ils attendent l’amour des autres au lieu de s’aimer eux-mêmes. Vous savez comme moi que les autres peuvent rarement satisfaire toutes nos attentes. N’est-ce pas ? Donc, les gens sont frustrés car leurs attentes ne sont pas satisfaites.

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Moins nous nous aimons et plus nous cherchons à recevoir de l’amour des autres.

Toutes les émotions – colère, frustration, déception, agressivité, impatience – viennent de nos attentes, car nous présumons que nous sommes en droit d’en avoir. Plus souvent que nous croyons, nous avons même des attentes sans avoir parlé d’un sujet. Par exemple, on s’attend à ce que nos enfants soient respectueux, reconnaissants, que notre conjoint se souvienne de notre anniversaire. Dans un couple, celui qui ne cuisine pas s’attend à ce que l’autre prépare les repas. Madame s’attend à ce que monsieur baisse le siège de toilette et monsieur s’attend à ce que madame le fasse. Y a-t-il des ententes claires à ces sujets? En général, non.

Une attente est justifiée seulement quand deux personnes conviennent d’une entente et prennent un engagement. Attention, un engagement est une promesse et non un ordre !

Reconnaissez-vous le dialogue suivant :

« Je t’ai dit hier que tu devais faire cela aujourd’hui. Pourquoi ne l’as-tu pas fait ?»

«Tu m’as dit ce que tu voulais, je t’ai entendu, mais je n’ai jamais dit que je le ferais».

Dans cet exemple, il devient clair que la première personne a donné un ordre et n’a pas négocié d’entente. Comment arriver à une entente et un engagement dans une telle situation ? La personne qui fait une demande devrait vérifier si l’autre a bien entendu et est d’accord de faire ce qui est demandé et à quel moment.

Il peut aussi arriver que des personnes s’entendent, mais ne prennent pas d’engagement. Par exemple, quand un couple décide d’avoir un enfant, s’ils ne discutent pas des différentes tâches et obligations, si ni l’un ni l’autre ne s’engage à s’occuper du bébé la nuit, payer les dépenses, jouer avec l’enfant, etc., ils risquent de vivre beaucoup de frustrations quand l’enfant sera né.

Il y a aussi les émotions liées aux engagements envers nous-mêmes. Si je me promets par exemple de faire au moins une heure de marche ou d’exercices aux deux jours et que je ne garde pas ma promesse, il est fort probable que je vive de la colère, de la frustration et de la culpabilité face à moi-même.

L’engagement donne une direction.

Quand vous vivez de la colère, demandez-vous si vous aviez convenu d’une entente.

  • Si la réponse est non, prenez d’abord une bonne respiration et prenez conscience que votre colère est la conséquence du manque d’entente claire. Dites-vous qu’avec un peu pratique vous pouvez arriver à des ententes satisfaisantes.
  • Si vous aviez une entente, je vous suggère de vérifier auprès de l’autre personne si l’entente était claire pour elle. Quand vous vivez l’expérience qu’une personne oublie facilement ses engagements, je vous recommande d’appliquer la technique du miroir. Vérifiez de quoi vous accusez l’autre dans sa façon d’ÊTRE et ensuite regardez à quel moment vous ÊTES ainsi avec cette personne. Cette technique du miroir est enseignée dans notre atelier Être Bien et j’en parle dans plusieurs de mes livres.

Quand vous constaterez que vous avez des attentes envers les autres sans ententes préalables, vous pourrez prendre conscience que vous recherchez à nouveau des preuves d’amour PARCE QUE VOUS NE VOUS AIMEZ PAS ASSEZ.

Si vous avez de la difficulté à vous engager, c’est possiblement parce que vous avez de la difficulté à vous désengager. Souvenez-vous que vous avez toujours le choix de vous désengager. Il est beaucoup plus sage d’apprendre à s’engager, quitte à se désengager parfois, que de ne jamais le faire. Pourquoi ? Parce qu’on ne peut avoir de bonnes relations personnelles et professionnelles, sans engagement.

Pour apprendre à vous aimer davantage, il s’agit de vous accepter tel·le que vous êtes à chaque instant. Quand vous n’êtes pas d’accord avec votre façon d’être, donnez-vous le droit d’être humain·e et d’avoir des faiblesses, des peurs, des blessures. Ainsi vous aimerez les autres de la même façon et vous aurez beaucoup moins d’attentes envers eux, car vous aurez moins besoin de vous sentir aimé·e des autres.

Lise Bourbeau

La suerte sí existe según la ciencia

Ni cruzar los dedos ni tocar madera funciona. Si quieres tener más suerte, la ciencia ha descubierto cómo conseguirlo. La suerte es una cuestión de actitud: ¿qué estás dispuesto a hacer hoy para que te sonría?

5 étapes pour se libérer de ses croyances limitantes

Ce que l’on est, notre façon de penser et d’agir, tout comme ce qu’on a le potentiel d’accomplir, dépend grandement de nos croyances.

Croyancenom féminin: Fait de croire à l’existence de quelqu’un ou de quelque chose, à la vérité d’une doctrine, d’une thèse. (Larousse)”

Autrement dit:

  • Si on croit que la terre est plate, on n’essaie pas d’en faire le tour en bateau.
  • Si on croit qu’une sécheresse est une punition divine, on fait la danse de la pluie plutôt que de mettre au point des techniques d’irrigation efficaces.
  • Si on croit qu’on n’est pas capable d’apprendre à utiliser WordPress ou Photoshop parce qu’on est nul en informatique, alors on ne se donne pas vraiment la peine de l’essayer.

Tu commences sans doute à voir où je veux en venir…

Quand ce qu’on croit nous empêche d’avancer, que ce soit à l’échelle d’une société ou d’un individu, c’est un réel problème. On appelle les croyances en nos limites ou incapacités les croyances limitantes.

On n’est pas faits en verre…

En Europe vers la fin du Moyen âge, une forme de croyance limitante assez particulière a marqué une véritable vague de désordres psychiatriques: les gens atteints étaient convaincus  qu’ils étaient faits en verre.

Ils avaient si peur de casser en mille morceaux qu’ils s’empêchaient de sortir, de s’asseoir, s’emmitouflaient dans des couvertures ou des coussins pour protéger leurs corps des bris accidentels et évitaient tout contact physique. Ce délire aurait même atteint le roi Charles VI de France qui, paraît-il, portait des vêtements renforcés et refusait que quiconque le touche.

On n’entrera pas dans les détails des causes de la popularité de cette croyance particulière à ce moment précis de l’histoire. Disons simplement que, même si c’est un exemple assez extrême, il démontre à quel point une croyance bien ancrée peut nous paralyser, nous empêcher d’agir et nous servir à justifier des comportements autrement irrationnels!

Les croyances limitantes: un frein à la carrière

Au travail, les croyances limitantes sont souvent le principal obstacle qui se dresse sur le chemin de l’atteinte de notre objectif professionnel.

C’est la petite voix dans notre esprit qui nous dit qu’une tâche est trop difficile, qu’on n’est pas  assez bon ou qu’on n’a pas les compétences pour la mener à bien. C’est une façon inconsciente de justifier l’inaction qui nous permet de rester en terrain connu et d’éviter de se sentir vulnérable.

Pour atteindre notre plein potentiel et vivre une carrière véritablement enrichissante et gratifiante, il est donc primordial d’apprendre à reconnaître et neutraliser les croyances limitantes.

Pour ce faire, il faut d’abord prendre conscience des croyances limitantes qui nous habitent, utiliser la méthode “Coué” et la visualisation pour les neutraliser, sortir de sa zone de confort et adopter des comportements qui vont nous permettre de nous en débarrasser.

1-Prendre conscience

La première étape pour neutraliser les croyances limitantes est de prendre conscience de leur existence.

Conscience, nom féminin: En psychologie, il s’agit de la “fonction de synthèse qui permet à un sujet d’analyser son expérience actuelle en fonction de la structure de sa personnalité et de se projeter dans l’avenir.” (Larousse)

Nos croyances prennent toutes racine quelque part et sont assimilées par notre cerveau d’une façon semblable à nos souvenirs. Elles proviennent généralement de notre expérience personnelle et de notre exposition à différents stéréotypes au fil du temps.

Dans une situation où on fait face, par exemple, à l’échec ou l’humiliation, notre cerveau peut intégrer de nouvelles croyances limitantes qui vont tenter d’empêcher que la situation ne se reproduise dans l’avenir.

C’est pourquoi de l’anxiété et un sentiment de peur vont souvent se manifester par la suite à la simple pensée de faire quelque chose qui va à l’encontre de ce que l’on croit.

C’est à ce moment précis qu’on tombe dans le piège!

Les croyances limitantes peuvent généralement être regroupées en trois catégories: le désespoir (ça ne changera rien), l’impuissance (je ne suis pas capable) et l’absence de valeur (je ne mérite pas).

Alors, pour détecter quelles croyances limitantes t’empêchent d’avancer dans ta carrière, considère la liste suivante et demande-toi si certaines de ces pensées te sont familières:

  • Je ne suis pas doué dans “X” domaine et ça ne changera jamais.
  • Je comprends que ça s’applique à certains, mais pour moi ce n’est pas pareil…
  • Je n’ai pas la capacité physique de faire “X”
  • Je suis trop vieux / trop jeune pour faire “X”
  • Je ne mérite pas “X” opportunité
  • Même si j’essaie, ça ne changera rien.

Ensuite, dresse la liste de tes propres croyances limitantes. Remonte à la source de tes frustrations au travail et investigue sur les raisons qui font en sorte que tu n’as pas l’impression d’être sur la bonne voie pour atteindre la carrière ou le salaire dont tu rêves. Il faut envisager l’avenir avec espoir, prendre conscience de tes capacités et assumer la responsabilité de ton succès.

Finalement, tu dois faire la part des choses et réaliser que ce que tu crois ne reflète pas nécessairement la vérité. Tu as deux choix: céder à la mentalité de victime, ou prendre les choses en main pour parvenir à tes fins.

2-La méthode Coué

 La méthode Coué est une pratique de la pensée positive par l’autosuggestion.

Pour utiliser cette méthode dans le combat contre les croyances limitantes, il faut intercepter chaque pensée négative liée à nos croyances et se répéter l’affirmation inverse dans notre tête.

Par exemple, si tu penses: “Je n’arriverai jamais à accomplir cette tâche”, remplace aussitôt cette pensée par “Je suis tout à fait capable d’accomplir cette tâche.”

Le but est de convaincre ton subconscient que ce que tu te répètes est vrai, de “reprogrammer” tes croyances, en quelque sorte.

Cette méthode à elle seule ne sera sans doute pas suffisante pour enrayer tes croyances limitantes, mais sera d’une aide précieuse pour les combattre.

3-Visualiser

Si tu ne crois pas pouvoir atteindre un objectif, une méthode efficace pour inverser cette croyance est de visualiser le chemin pour t’y rendre.

Décortique étape par étape tout ce qui serait nécessaire pour atteindre ton but et visualise-toi en train de réaliser ces étapes.

Par exemple, si tu dois apprendre de nouvelles compétences, visualise-toi en train d’écouter un cours en ligne, de lire sur le sujet et de pratiquer ce que tu as appris.

En pavant mentalement le chemin vers ton but, tu prendras confiance et auras davantage de facilité à croire qu’il est atteignable, ce qui te permettra de te défaire graduellement de tes croyances limitantes.

4-Sortir de sa zone de confort

Pour véritablement éliminer les croyances limitantes, il faut sortir de sa zone de confort et passer à l’action.

Pour ce faire, il faut trouver le “comment faire” qui répond par une question à la croyance limitante.

Par exemple, si on se dit : “Je suis trop jeune/vieux pour réaliser cette tâche”. Il faut se demander “Comment faire pour réaliser cette tâche avec brio malgré mon âge?”

Évidemment, en sortant de sa zone de confort et en passant à l’action, on risque tout de même de faire face à un échec. Ce n’est pas grave! Comme l’a si bien dit Einstein: “l’échec ne signifie pas que tu es un échec, ça signifie seulement que tu n’as pas encore réussi.”

L’important, c’est de ne pas se complaire dans l’inaction en jouant à la victime. Il faut tenter d’avancer vers notre objectif et être fiers de nos avancées, peu importe le résultat.

5-Faire comme si

Faire comme si, de l’expression “fake it until you make it” du milieu anglophone, consiste à agir comme agirait une personne qui est l’opposée de nos croyances limitantes.

Si tu te dis “Je n’ai pas assez confiance en moi pour présenter une conférence”, demande-toi comment une personne confiante et à l’aise devant public agit au quotidien? Probablement qu’elle a une démarche assurée, qu’elle ne fuit pas les contacts visuels et qu’elle ne se gêne pas pour s’inclure dans une conversation à laquelle elle pense pouvoir ajouter de la valeur (entre autres).

En agissant avec le comportement d’une personne à qui l’étiquette de nos croyances négatives ne colle pas, on envoie le signal à notre cerveau que ses croyances sont fausses, ce qui facilite la transition vers de nouvelles croyances plus optimistes.

“Si tu mets des limites à tout ce que tu fais, elles vont se répandre dans ton travail et dans ta vie. Il n’y a pas de limite. Il y a seulement des niveaux, et tu ne dois pas en rester là, il faut aller au-delà. Un homme doit toujours dépasser son niveau.” Bruce Lee

Comment se débarrasser de ces croyances qui nous limitent – Cultivons l'optimisme

Conclusion

Les croyances limitantes sont un réel obstacle à notre accomplissement personnel et professionnel. Pour les empêcher de nuire, il faut apprendre à les neutraliser et les combattre.

La première étape est de prendre conscience des croyances qui nous freinent et d’en dresser la liste. Elles peuvent généralement être regroupées en trois catégories: le désespoir (ça ne changera rien), l’impuissance (je ne suis pas capable) et l’absence de valeur (je ne mérite pas).

Deuxièmement, on peut utiliser la méthode Coué, qui consiste à intercepter nos croyances limitantes et à se répéter mentalement l’affirmation inverse afin de remplacer graduellement les réflexes de notre subconscient.

Ensuite, la visualisation des étapes nécessaires pour la réalisation de nos objectifs rationalise nos peurs et fait en sorte que nos buts semblent beaucoup plus réalistes et accessibles que nos croyances limitantes nous laissaient croire.

Et puis, il faut sortir de sa zone de confort, trouver comment faire pour accomplir ce qu’on pensait impossible et agir comme si nos croyances étaient fausses en adoptant le comportement d’une personne qui ne correspond pas à ces croyances limitantes.

Finalement, il faut demeurer ouverts à l’avis des autres, rester optimistes et considérer l’échec comme une méthode d’apprentissage pour mieux avancer plutôt que comme la preuve d’une incapacité ou d’une limite.

Chaque petite action en direction de ton but va t’aider à l’atteindre et éradiquer tes croyances limitantes. Tes limites sont probablement beaucoup plus loin que ce que tu crois, alors mets-toi à l’épreuve et tu seras agréablement surpris!

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What do you need to live on?

Quinze habitudes pour améliorer sa confiance en soi.

Qualité professionnelle essentielle (et recherchée), la confiance en soi n’est pas innée.

Heureusement, il est possible de la développer au quotidien.

Avoir confiance en soi au travail, c’est avoir confiance en ses compétences, en sa capacité à accomplir un travail donné. 

ça transparaît également dans l’attitude générale : on envoie le message “je sais ce que je fais, faites-moi confiance” à ses interlocuteurs.

Certaines personnes ont naturellement confiance en elles, mais elles sont une minorité.
La plupart d’entre nous (et j’en fais partie) avons une tendance naturelle à nous sous-estimer, à nous dévaloriser, à ne pas avoir confiance en nos capacités et compétences, à ne pas nous estimer capables de réaliser telle tâche.

On peut même dans certains cas développer un syndrome de l’imposteur.

Et au final, on n’ose pas.

On n’ose pas prendre des initiatives, on n’ose pas montrer ce que l’on vaut réellement, on n’ose pas faire savoir ses ambitions, on n’ose pas s’affirmer, on n’ose pas quitter son job pour lancer sa boîte…

Comment améliorer sa confiance en soi ?

Mais le manque de confiance en soi n’est pas une fatalité !

En adoptant les bonnes habitudes au quotidien, vous allez renforcer jour après jour votre assurance, vous allez vous affirmer, et oser enfin être qui vous êtes vraiment et faire ce que vous avez envie de faire.

1 ) Se connaître soi-même

Pour développer son assurance au travail (et dans la vie en général), il est important de savoir qui l’on est vraiment.

Se connaître soi-même nécessite un travail d’introspection, et d’avoir conscience de ses forces et ses faiblesses.

C’est également connaître quelles sont les valeurs profondes qui nous animent, ce qu’on est prêt à accepter au travail et ce que l’on n’acceptera pas.

Personnellement, je sais que j’ai besoin d’autonomie et de liberté dans mes fonctions, et je ne saurais pas accepter un poste où je n’ai pas suffisamment de liberté pour accomplir mon travail comme je l’entend.

2 ) Accepter qui l’on est

On voudrait être plus ceci, moins cela, mais force est de constater que ce n’est pas tout le temps le cas.

On est comme on est, on est qui l’on est, et il faut l’accepter.

On peut vouloir communiquer avec aisance, de grands gestes, une voix forte et avec assurance, mais si l’on est introverti, ce ne sera pas le cas, du moins pas sans un long travail.

Alors plutôt que de perdre du temps et de l’énergie à essayer d’être quelqu’un d’idéalisé (que l’on n’est pas), il vaut mieux accepter qui l’on est, avec nos forces et nos faiblesses, et lâcher prise.

Oui on peut toujours s’améliorer, oui on peut toujours changer, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut tirer un trait sur qui l’on est.

Accepter qui l’on est, c’est aussi s’aimer tel que l’on est, avec toutes ses imperfections.

C’est ce qui va booster notre amour-propre, et donc notre confiance en soi.

3 ) Être authentique

L’authenticité est la clé de toute communication et de toute relation sincère.

Comportez-vous comme vous êtes, parlez comme vous le faites d’habitude, ne cherchez pas à jouer un rôle, ce ne sera pas naturel, ça se verra, et au fond de vous, vous saurez que vous ne montrez pas votre réelle facette.

En étant soi-même et en arrêtant de jouer un rôle, on ne se souciera plus de ce que pense les collègues ou le N+1.

Être authentique au travail et dans ma vie, ça a été libérateur pour moi : ça m’a permis de gagner confiance en moi au travail, de ne plus me soucier de ce que pense les autres de qui je suis, ce que je dis ou ce que je fais.

4 ) Se poser des questions

La remise en question est la clé de l’amélioration de soi. Nos envies et nos besoins peuvent évoluer au fil du temps, et il est intéressant de s’arrêter de temps à autre, et de se poser les bonnes questions :

  • Qui suis-je réellement au fond de moi ?
  • Quelles sont les valeurs profondes qui m’animent ?
  • Qu’est-ce que je veux ? Ais-je des rêves ?
  • Est-ce qu’au quotidien, je fais un pas après l’autre pour atteindre ce que je veux ?
  • Comment puis-je faire en sorte d’obtenir ce que je veux professionnellement ?
  • Mon travail est-il en accord avec mes envies ? mes besoins ? mes valeurs ?
  • Si non, que puis-je faire pour que ce soit le cas ?

Ce sont ces questions qui m’ont amené à repenser à mon avenir, pour réaligner ma carrière professionnelle avec mon moi profond.

Prenez vraiment le temps d’y répondre : savoir ce que l’on veut et ne veut pas est un pré-requis au développement de la confiance en soi.

5 ) Arrêter de se comparer

On rêve tout le temps (et secrètement) d’être physiquement comme tel acteur, d’avoir une aussi belle maison que le cousin (qui lui a réussi dans la vie).

Il faut arrêter de se comparer aux autres à tout prix. Déjà parce qu’on se dévalorise en faisant cela. Mais aussi parce que nous n’avons pas une vision d’ensemble : la comparaison ne porte que sur quelques points précis.

Oui, Mark Zuckerberg a créé Facebook, il est millionnaire, est patron de sa boîte, a un boulot intéressant et enrichissant…

Peut-être même qu’au fond de lui, il n’est pas si heureux que ça dans son travail et dans son couple, allez savoir (pure hypothèse de ma part).

En relativisant et en ayant une vue d’ensemble, on se rend compte que la vie des autres n’est pas forcément mieux que la nôtre.

Alors plutôt que de concentrer son énergie sur la vie idéalisée des autres, concentrez-vous sur la votre. Après tout, elle n’est pas si mal.

6 ) Oublier ses défauts

On se crée tout le temps des défauts imaginaires, on se dévalorise, on a peur de ne pas assez bien faire ceci, de ne pas avoir assez de compétences là.

Parce qu’on n’a pas suivi d’études particulières ou que l’on n’a pas 15 ans d’expériences professionnelles dans un domaine précis, on s’imagine que l’on n’est pas bien placé pour en parler.

Sur ce blog, je parle principalement de bien-être au travail.

  • Croyez-vous que j’ai suivi de longues études en ressources humaines ?
  • Croyez-vous que j’ai une expérience reconnue de plusieurs années en tant que DRH ou Chief Happiness Officer ?
  • Croyez-vous que j’ai attendu d’avoir suivi 33 formations certifiantes et lu 52 livres de management pour créer le blog ?

La réponse est non, à chaque fois.

C’est un sujet qui m’intéresse, alors j’ai commencé à en parler, parler de mes convictions, et je me suis renseigné en même temps, j’ai appris.

J’apprends toujours.

Je ne me considère pas comme un expert du bien-être au travail, mais j’ai passé le cap du syndrome de l’imposteur.

7 ) Se donner le droit à l’erreur

Il faut accepter le droit à l’erreur : nous sommes tous humains, nous sommes tous faillibles. Même les meilleurs experts parmi nous.

Se donner le droit à l’erreur, c’est accepter que l’on peut se tromper, c’est enlever cette énorme pression que l’on se mettait nous-mêmes sur nos épaules.

Vous faites une erreur ?

Ce n’est pas la fin du monde!

Ne cherchez pas à la cacher, corrigez la, et apprenez de vos erreurs.

Comment croyez-vous que les experts sont arrivés à leurs positions ? En tâtonnant au début, comme tout le monde, en faisant des erreurs, en apprenant, et en corrigeant.

8 ) Capitaliser sur ses talents naturels

Que ce soit dans la société ou en entreprise, on passe notre temps à regarder ses faiblesses pour tenter de les dissiper.

J’ai juste envie de dire : POURQUOI ?

Pourquoi se concentrer sur ses faiblesses alors que l’on pourrait se concentrer sur ses forces ?

Il vaut mieux passer 10 heures de son temps pour améliorer ses forces plutôt que d’essayer de dissiper ses faiblesses.
Déjà, ce sera bien plus efficace, mais en plus en se concentrant sur le positif qui est en nous, et non pas le négatif (les faiblesses), on augmente sans le savoir la confiance en soi.

Dans le livre strengtsfinders Tom Rath développe cette idée, et aide les gens à trouver quelles sont leurs forces pour se concentrer dessus.

9 ) Se fixer des micro-challenges

Se fixer des challenges faciles et rapides à réaliser est l’un des meilleurs moyens que je connaisse pour améliorer sa confiance en soi.

C’est ce qu’on appelle des quick wins.

En réalisant ces challenges, on va collectionner rapidement les succès, ce qui va gonfler notre ego, nous placer dans une spirale positive, ce qui va nous permettre d’enchaîner encore plus de succès.

Le sentiment de fierté que l’on ressent à la fin de chaque défi réussi nous conditionne à avoir plus confiance en nous.

10 ) Se récompenser

Lorsque l’on a un succès, lorsque l’on a enfin osé faire ou dire quelque chose, lorsque l’on a plus confiance en soi, il est important de se récompenser.

11 ) Prendre soin de son apparence

On l’oublie souvent, mais en prenant soin de son apparence, on a une meilleure confiance en soi.

Qu’il s’agisse de vêtements, d’un maquillage mettant en avant votre beauté, ou d’un rasage de près, prendre soin de son apparence booste son ego et redonne confiance en soi.

Je ne vous dis pas de porter tailleur ou costume cravate pour aller au travail, bien au contraire!

N’allez pas porter de costume si vous n’êtes pas à l’aise dedans.

Soyez authentique, soyez vous-même, y compris dans vos habitudes vestimentaires, mais pensez à prendre soin de votre apparence, pour avoir plus d’assurance.

12 ) Affirmer ses opinions

On a souvent peur d’affirmer nos opinions au travail et en réunion.

Contredire son boss en pleine réunion, ou dire que l’on n’est pas d’accord ?

“Ohlala, non, j’ai trop peur, je préfère acquiescer de la tête, faire un sourire de circonstance et me taire.”

Si vous n’êtes pas d’accord avec quelque chose, ou si vous pensez qu’il existe une meilleure solution pour résoudre un problème que celle qui fait consensus, dites-le.

Vous ne vous ridiculiserez pas et vous n’aurez aucun regret après coup : vous aurez donné votre opinion.

Après, que les autres se rallient à cette opinion, ça c’est une autre histoire.

13 ) Prendre des initiatives

N’attendez pas les opportunités, elles ne vont pas tomber du ciel d’elles-mêmes.

Prenez des initiatives, créez-vous vos propres opportunités.

Sortez du cadre de votre mission, prenez la parole en réunion, prenez l’initiative  de planifier une mini-formation en interne.

14 ) Aider les autres

Même si on a du mal à se l’avouer, nous avons tous à un moment ou un autre de notre carrière besoin d’aide.

Si vous voyez que quelqu’un galère, allez lui proposer votre aide de manière désintéressée.

Non seulement vous ferez votre bonne action du jour, mais en plus le sentiment d’accomplissementque l’on a en aidant est un formidable booster de la confiance en soi.

15 ) Ne pas se soucier du regard des autres

Enfin, arrêtez de vous soucier des “qu’en dira t-on” et autres sornettes de ce genre.

Peu importe ce que pense les autres, vous vivez pour vous, pas pour eux. 

Il s’agit de votre vie, de votre carrière, alors si vous avez envie de faire quelque chose, faites-le.

En 2015, après un presque-burnout, j’ai fait le choix de tout quitter : travail, maison, île de france.

Sans rien avoir derrière.

Si j’en était resté aux “qu’en dira t-on”, je serais toujours dans la grisaille parisienne, à subir les aléas des transports en commun, dans un job qui me frustrait au plus haut point.

Thibault Baheux

¿Cómo encontrar a un buen socio? 6 estrategias para lograrlo

Ningún hombre es una isla, ni siquiera un emprendedor sin miedo. Hasta el dueño de negocios más inteligente necesita ayuda y a veces un socio realmente puede ayudarte a levantar tu empresa.

Cuando comencé mi negocio hace casi treinta años, no lo hice solo. Mi socio, Mark, había sido mi mejor amigo desde la primaria. Decidimos emprender juntos antes de saber qué tipo de compañía íbamos a tener.

Apostamos por una red de reclutamiento. Nos tomó mucha fe y perseverancia, pero finalmente logramos comenzar. Nuestra sociedad duró ocho años y la empresa tiene mucho éxito hasta el día de hoy.

Socio de negocios manos temblando sobre la licencia de acuerdo ...

Si quieres iniciar un negocio con un socio, aquí están mis consejos para hacer que funcione.

Elígelo con cuidado. Encuentra a una persona que te complemente. Si sabes de operaciones, busca a alguien que se haga cargo del marketing. Eso te permitirá enfocarte en tus fortalezas y disfrutar lo que hagas. Como socios, Mark y yo nos complementábamos. Él programaba mejor y yo era muy bueno en ventas. No tenía miedo de tomar decisiones en frío para ayudar a nuestro negocio y él nunca quería hacer eso. Éramos una buena pareja, así que todo funcionó.

Protege las relaciones importantes. Antes de asociarte con un amigo o pareja, pregúntate si vale la pena poner en riesgo la relación si algo sale mal. Cuando tienes negocios con amigos puede ser difícil mantener el profesionalismo y podrías llegar a ignorar todos los acuerdos de la sociedad. Así mismo, si eres socio de tu pareja, tu matrimonio estará en juego. Si decides seguir esta ruta, establece los límites entre la casa y el trabajo, define los roles de cada uno y ten un buen sentido del humor.

Ten una buena plática. Todas las partes deben involucrarse en discusiones serias antes de asociarse. Hablen para ver si comparten la misma visión y metas. ¿Tienen una ética laboral parecida? ¿Cómo se reparten la carga de trabajo? ¿Cuánto puede invertir cada uno? ¿Cómo terminarás la sociedad si no funciona?

Conoce los diferentes tipos de socios. ¿Crees que sólo hay un tipo de sociedad? Estás equivocado. Con una sociedad general todos comparten las mismas ganancias y pérdidas, a menos que tengas un trato diferente. Con una sociedad limitada, una parte actúa como el socio general y los otros como socios silenciosos. Tu abogado puede ayudar a decidir qué tipo de sociedad es mejor en cada situación.

Hazlo legal. Tal vez pienses que un apretón de manos es suficiente, pero no es así, especialmente si hay desacuerdos o una parte quiere salirse. Si tuviera que cambiar algo sobre mi sociedad con Mark, sería haberme asegurado que tuviéramos un buen acuerdo. Al final, encontrar la manera de valorar la empresa resultó ser la parte más difícil. Recomiendo que descubras la fórmula desde antes.

Cuando te reúnas con tu abogado, asegúrate de que el contrato de sociedad diga lo siguiente:
– Cómo será compensada cada persona y qué tan seguido.
– Los roles y responsabilidades de cada uno.
– Tu estrategia de salida si una o más partes quieren salirse.
– Qué pasaría si uno de ustedes muere.

Vuelve a ver el contrato de vez en cuando. Mientras tu negocio cambie tu rol también cambiará. Tal vez quieras invitar a más personas o modificar los términos en algún punto. Es una buena idea ver de nuevo los puntos y asegurarte que todo esté actualizado.

Una sociedad puede ser una gran forma de lanzar un negocio. Con una buena planeación, la personalidad correcta y un buen sentido del humor, la sociedad puede traerte mucho éxito.

Mike Kappel

Serial Entrepreneur

L’extraordinaire pouvoir de la pensée positive pour changer son destin

Vos pensées créent vos sentiments, vos sentiments créent vos actions et vos actions créent votre vie. C’est aussi simple que cela. Tout est interconnecté, sans exception. Essayez d’avoir des pensées positives, vous ne le regretterez pas. Voici 10 exemples inspirés de grands personnages de ce monde qui montrent comment la pensée positive peut changer votre destin. Alors… êtes-vous prêt à emprunter le chemin de votre réussite ?

Vos pensées sont importantes et pas qu’un peu. Un proverbe africain dit « Lorsqu’il n’y a pas d’ennemi à l’intérieur, les ennemis de l’extérieur ne peuvent pas t’atteindre.» Souvent, l’unique barrière qui nous sépare de nos rêves provient de nous-mêmes, du mur érigé avec nos pensées négatives, de nos doutes.

Mais il n’existe aucun mur qui ne puisse être mis à terre. Cet article va vous montrer la voie pour faire tomber les premières pierres de ce mur.

Veillez ne jamais vous laissez berner par ceux qui vous font croire que vous êtes trop jeune, trop vieux, qu’il vous manque des années d’études ou que vous en avez trop, qu’il vous manque de l’expérience, qu’il est trop tard pour évoluer ou trop tôt… Le meilleur moment pour changer, c’est quand vous l’aurez décidé. Alors, pourquoi pas maintenant ?

1. Le Dalaï Lama a dit: « en cas de doute entre ce que votre cœur vous dit et ce que votre tête vous dit, suivez votre cœur, car même si vous vous trompez, votre tête vous aidera à apprendre ». Suivez votre voix intérieure car elle est sage et vous connait mieux que quiconque, elle connait les mots justes pour que vous soyez plus positif et que vous continuiez à grandir en tant que personne.

2. Sous la plume du poète  « Le pardon est le parfum qu’exhale la fleur sous le talon de celui qui l’écrase ». Souvent le fait de se raccrocher à des situations ou à des personnes du passé nous empêche d’avancer vers notre but. Toute cette rancoeur accumulée, c’est comme vouloir avancer avec un boulet attaché au pied. Vous ne pouvez donc avancer qu’en faisant des cercles. C’est pour cela qu’il faut apprendre à pardonner, en premier lieu : vous pardonner à vous-même.

3. Winston Churchill avoua à regret : « j’ai passé la moitié de ma vie à me soucier de choses qui ne se produiront jamais ». Laissez donc de côté les préoccupations et soyez confiant. Ainsi, lorsqu’une situation désespérée se présente vraiment, vous êtes en meilleure disposition pour mettre en oeuvre une solution, mobilisant vos capacités, vous la surmonter.

4. Aristote a dit : « Nous sommes ce que nous faisons à plusieurs reprises. L’excellence n’est donc pas un acte, mais une habitude ». La pensée positive fait partie bel et bien partie de l’excellence, comme la personne que nous cherchons à développer.

Il est donc important que vous vous répétiez constamment des phrases positives à vous-même. En pratiquant l’autohypnose, on peut adresser directement à son subconscient ces phrases positives.

5. Bouddha nous a appris : « Aujourd’hui nous sommes le résultat de nos pensées d’hier et demain nous serons ce que nous pensons aujourd’hui ». Il est de notre responsabilité de devenir ce que nous voulons être. Puisque nous ne pouvons plus rien faire pour ce qui est déjà passé, prenons donc nos responsabilités pour ce qui sera, à partir de maintenant. Le plus important est de se rappeler que nous pouvons être et arriver, là où nous voulons.

Le pouvoir de la pensée positive dans nos vies est énormeSophie ...

6. Saint Augustin a dit (en parlant de Dieu) : « Et voici que tu étais en dedans, et moi au dehors et c’est là que je te cherchais… ». Au-delà de l’aspect mystique, vous pouvez tout voir sous cet angle. Ainsi, vous prenez conscience que toutes les réponses, les idées, les possibilités et le potentiel dont vous avez besoin sont déjà en vous. Souvenez-vous bien d’écouter votre voix intérieure et ayez confiance, le résultat sera toujours le plus approprié pour vous-même.

7. Oscar Wilde a dit : « Visez toujours la lune. Même si vous la manquez, vous atterrirez parmi les étoiles. » Fixez vous des objectifs qui vous sortent de votre zone de confort, qui vous permettent de grandir et surtout qui laissent un impact positif sur ceux qui vous entourent. Ceci est la meilleure manière de veiller à ce que les forces de l’univers soient de votre côté.

8. Voiçi une autre affirmation à méditer : « Vous attirez à vous tout ce à quoi vous dédiez votre attention ». Observez les choses, vous constaterez que cet « effet aiment » est imparable. C’est une règle de vie parmi les plus importantes que vous devriez écouter. Car c’est une possibilité tellement facile d’accéder à ce à quoi l’on aspire.

9. Les grands méditants de ce monde disent que « l’univers ne répond pas à ce que nous disons, mais à ce que nous ressentons. » C’est pour cela que lorsqu’ils désirent l’amour, la prospérité ou la santé ; ils pensent aux sensations que ces situations procurent. Ainsi, l’univers répond à leurs demandes.

10. Napoléon est un exemple fort concernant le pouvoir de la pensée. Il était le 42ème de sa classe à l’Académie militaire. Demandez-vous combien de monuments et de livres ont été consacrés à ce numéro 42… pourtant les 41 premiers de l’académie étaient considérés comme meilleurs ! Ce qui le différenciait, était la foi qu’il avait en lui. Il a visualisé ses objectifs, il y a cru, avant de les atteindre. Sans polémiquer sur la noblesse de ses actes, nous ne pouvons que constater l’étendue de ce qu’il a réalisé.

Quel que soit votre position actuelle, quelques soient vos rêves, c’est aujourd’hui précisément, le meilleur moment pour entamer un changement positif dans votre vie et ainsi triompher.

Tout dans la vie est en place pour que vous soyez la meilleure version de vous-même. Tous les outils sont à portée de main pour que vous puissiez atteindre vos objectifs de vie. N’ayez aucun doute, il y a toujours une bonne raison de vivre les expériences que vous vivez. Dansez au rythme de la vie, vous constaterez alors combien vous étincelez, bien au-delà de ce que vous ne pouviez imaginer.

Vous serez alors la preuve vivante de l’extraordinaire pouvoir de la pensée positive. Vous pouvez le faire, vous en êtes capable, vous réussirez, vous le méritez !

Fabricc Renault

6 consejos que tienes que dar para enfocarte en lo importante

Si eres como la mayoría de los emprendedores, iniciaste un negocio porque no querías trabajar para nadie más. Pero en algún punto, la realidad te alcanzó. Tu nuevo jefe te hace trabajar todo el día y pronto descubres que eres aún peor que tu jefe pasado.

¿Pero y cómo consiguen los emprendedores tener un mejor balance vida-trabajo y aun así alcanzar sus metas? En una sola palabra: enfocándose.

Steve Jobs decía que el enfoque no es decidir qué hacer, sino qué no hacer. Las personas suelen concordar en que estrechar el propio enfoque puede ser muy útil, pero pocos saben hacerlo. Esto se debe a que muchas veces no están claros sobre cómo enfocarse en un nivel práctico.

Te compartimos seis pasos que te ayudarán a enfocarte estratégicamente en lo que es más crítico para tu negocio. También te ayudará a lograr más y trabajar menos:

1. Monetiza tu lista de pendientes
Determina el valor financiero de completar cada tarea de tu lista; es decir, ponle a cada pendiente un valor en pesos. Por ejemplo, si el llamarle a tu cliente número uno puede generar $1 millón de pesos en ventas anuales, escribe: Llamarle a ‘Pedro’ ($1 millón).

2. Organiza tu listado en orden descendiente
Así de simple; acomoda tus pendientes de acuerdo a su valor en pesos, de más a menos.

3. Divide tu listado
Dibuja una línea en la mitad de tu listado que separe las tareas más importantes de las menos.

4. Usa cuatro días a la semana en trabajar en el 50 por ciento más importante
Enfócate completamente en el primer asunto y termínalo por completo antes de pasar al siguiente. Si descubres que no puedes terminar con él hasta que alguien más haga su parte, entonces sigue hacia el siguiente pendiente en tu listado.

5. Usa un día a la semana para completar el otro 50 por ciento
Al forzarte a trabajar en las tareas menos importantes un solo día, quizá no consigas terminarlas y algunas de ellas permanezcan ahí por semanas. Esto es algo normal que suceda, pero te permitirá enfocarte en lo realmente importante.

6. Re evalúa tu listado cada semana
Elimina las tareas que se hicieron obsoletas. Si conservas los pendientes que no tienen un objetivo definido por semanas, entonces descubrirás lo poco importantes que son. Sería más fácil eliminar estas tareas desde el principio, pero probablemente te resulte

difícil, por lo que usar esta estrategia te permitirá ignorarlas con el tiempo.

Si tienes cientos de oportunidades en tu listado top, es probable que dejes al final tareas como arreglar el logotipo de tu negocio, asistir a una cita con alguien que te dará un consejo, o temas parecidos. El enfoque no es gratis; para tener buenos resultados trabajando menos, es probable que tengas que sacrificar algunas buenas oportunidades por atender las grandiosas.

Debes dedicar la mayoría de tu tiempo y energía en trabajar en las actividades que causan más impacto. Cuando haces estos pasos continuamente por un tiempo prolongado, notarás que tus ventas aumentan sustancialmente. Con más dinero en tu bolsillo, podrás contratar personal que haga tus pendientes menos importantes, mientras tú usas tu tiempo en atender los top.

Tendencias: Cinco claves para alcanzar sus metas con éxito ...

La clave para enfocarte es ignorar tareas banales y duplicar el tiempo usado en las cosas que hacen las grandes diferencias. Si lo haces, poco a poco empezarás a querer más a tu nuevo jefe.

l’importance de vivre le moment présent,

On entend de plus en plus parler de l’importance de vivre le moment présent, d’être connecté à ce qui est en train d’arriver ici et maintenant.

Au départ, j’avais du mal à comprendre cette notion : pour moi, nous étions forcément, constamment dans le moment présent. Mais j’ai pris conscience qu’à plusieurs moments de ma vie, je pensais être présent alors que mon esprit était entrain de vagabonder.

Nous avons cette capacité magique de pouvoir revoir des moments de notre passé ou bien à nous projeter dans le futur pour faire des projets. Pour autant, il est important de savoir se recentrer sur le moment présent pour en profiter, et pour ne pas passer à côté de nos vies.

C’est en profitant de l’instant présent que l’on apprécie ce qui est en train de se passer, que l’on met de la valeur sur les moments que l’on est en train de vivre.

Je vous partage aujourd’hui 7 clés qui vous aideront à vous ancrer dans le moment présent. C’est parti !

Respirer

C’est un conseil que je vous donne régulièrement dans mes vidéos, et pour cause : le fait de respirer est bon pour le corps et pour l’esprit.

Nous avons beaucoup de réflexes de respiration qui nous permettent de nous sentir bien. Le soupire par exemple, nous aide à détendre le ventre et évite à notre estomac de se nouer.

Lorsque vous sentez que vous commencez à vous agiter, stoppez ce que vous êtes en train de faire et respirez.

Prenez des grandes inspirations et expirations – qui ont la même durée. Vous pouvez inspirer en comptant jusqu’à 3, puis expirer en comptant jusqu’à 3 également. Concentrez-vous quelques secondes sur votre souffle, cela empêchera à votre esprit de se dissiper et vous aidera à reprendre pleinement possession de votre corps.

 Développer la conscience des petits détails

Ce sont nos cinq sens qui nous aident à vivre l’instant présent : c’est en prenant le temps de penser à ce que nous voyons, ce que nous entendons, ce que nous sentons, ce que nous goûtons et touchons que nous percevons la réalité du moment.

Lorsque l’on marche par exemple, il est facile de laisser nos pensées vagabonder. Dans ces moments-là, prenez le temps d’écouter le chant des oiseaux par exemple : cela vous reconnectera instantanément au présent. Vous pouvez aussi admirer ce qui vous entoure, remarquer une odeur particulière.

Avant de monter sur scène, j’avais tendance à stresser très facilement – et donc à me projeter dans le futur : je m’imaginais sur scène et j’étais angoissé à l’idée que les choses puissent mal se passer. Pour me débarrasser de cette peur, je faisais un exercice très simple.

Je prenais un moment pour me concentrer sur : 

  • 3 choses que je voyais
  • 3 choses que j’entendais
  • 3 choses que je pouvais sentir

En faisant cet exercice, vous remarquerez que votre esprit se recentre sur l’instant présent, sur les émotions que vous êtes en train de vivre. Il vous permet de maîtriser le moment présent.

Il est selon moi très important d’avoir cette capacité à replonger dans nos souvenirs inspirants pour en tirer des leçons par exemple, ou bien de se projeter dans l’avenir pour comprendre ce que vous souhaitez créer, votre vision de la vie. Mais cette capacité à vivre le moment présent vous permet d’apprécier chaque moment que la vie a à nous offrir.

Revenir sur les sensations corporelles

Les sensations que nous ressentons à travers notre corps nous font revenir instantanément dans le présent.

Par exemple, lorsqu’on reçoit une gifle, peu importe ce que nous étions en train de faire ou bien ce à quoi nous étions en train de penser, cela nous stoppe dans nos pensées et nous ramène dans le présent. La même chose se produit lorsqu’on se cogne le pied dans la table basse par exemple.

Voilà pourquoi on a tendance à se pincer pour être certain de ne pas être dans un rêve : les sensations nous ancrent dans le moment présent.

Respirer

La 4ème clé pour vivre dans l’instant présent, c’est de respirer. Je sais qu’il s’agissait de mon premier conseil, mais je tiens à le répéter puisque c’est le plus important de tous, le seul qu’il faut retenir !

J’aurais d’ailleurs pu écrire un article entier uniquement sur l’importance de respirer – parce que c’est la base ! Tout ce que vous lirez ou entendrez qui traite du bien-être aura forcément comme base la respiration.

Si vous pratiquez le yoga, la méditation, le tir à l’arc, les arts martiaux, etc : vous savez que l’importance de la respiration est ce que l’on enseigne en premier. Pourquoi ? Parce que c’est la respiration qui nous permet de trouver notre équilibre.

Alors prenez le temps de bien respirer. Si vous avez du mal à vous concentrer, à réfléchir, si vous vous sentez anxieux ou bien stressé, respirez en pleine conscience, aidez votre cerveau à s’oxygéner pour mieux se calmer. Vous vous sentirez instantanément apaisé.

Ralentir

J’avais pour habitude d’être toujours dans l’action, de toujours tout faire à 100%, de penser à plein de choses en même temps et de travailler sur plusieurs projets en parallèle. Au début, tout fonctionnait puisque l’excitation me donnait l’adrénaline et l’énergie nécessaires pour être partout à la fois.

Le problème, c’est qu’il s’agit d’un rythme qui n’est pas tenable sur la durée : le corps finit par s’épuiser, par dire stop. Dans mon cas, je sentais qu’il fallait que je ralentisse car je commençais à tomber malade : rhume, mal de dos – je sentais que je devais appuyer sur le frein car mon corps m’en donnait le signal.

Aujourd’hui, j’ai appris à identifier ces signaux et dès que je sens le surmenage et la fatigue arriver, j’ai conscience que je dois calmer le rythme. Cela ne veut pas dire que je dois tout arrêter, ne plus travailler pour le reste de la journée et aller à la plage.

Cela signifie simplement que je dois prendre le temps de respirer, de me calmer, puis de recommencer à travailler de manière plus zen et plus saine. Sans cela, je sais que je ne vais pas tenir sur la durée.

Ce temps que vous avez la sensation de perdre en essayant de vous calmer et en prenant quelques instants pour vous, c’est en réalité du temps de gagné puisque vous évitez le surmenage, les erreurs, le stress et la fatigue.

Le proverbe « Qui veut aller loin ménage sa monture » prend tout son sens ici : préservez-vous et sachez profiter du moment présent, car c’est au final ce qui vous aidera à atteindre vos objectifs.

Lâcher l’impatience

La 6ème clé que je peux vous donner vivre dans l’instant présent, c’est de vous libérez de votre impatience.L’impatience, c’est l’illusion que ce qui va nous arriver plus tard est mieux que ce qui nous arrive aujourd’hui. Que ce qui nous attend sera plus agréable, plus confortable.

Sachez apprécier le moment présent, prenez conscience qu’il y a des très belles choses autour de vous.

Développer sa gratitude

Mon dernier conseil pour vivre dans l’instant présent, c’est de développer votre gratitude. Vous pouvez jeter un regard sur ce qu’est la gratitude  afin de savoir comment vous pouvez développer votre gratitude autour de vous.

La gratitude, c’est le remède à l’impatience. Développer sa gratitude, c’est apprendre à aimer ce que la vie vous donne dans toute situation. Car dans toute situation, il y a du positif, des choses à apprendre, à découvrir et à aimer – même si vous ne vous en rendez pas compte sur le moment.

Il m’est arrivé il y a quelques temps de vivre une situation très inconfortable, un événement qui m’éloignait de mes objectifs et de mes rêves, et que j’aurais préféré ne pas avoir à vivre puisque j’ai eu la sensation qu’il ne m’avait rien apporté de bon.

Avec du recul, j’ai pris conscience que pendant cette période, mes proches ont été d’un soutien sans faille. Je me suis senti plus entouré et aimé que d’habitude – j’ai eu plus de preuves d’amour dans cette période désagréable, que dans un moment où tout va bien.

C’est précisément ce qui m’a permis de me dire qu’il y a du bon dans toute situation, et de revenir dans le présent au lieu de ressasser cette période désagréable.

Vivre dans le moment présent, c’est la capacité de savoir apprécier la vie sur l’on a, ce qui nous entoure, ce qui se passe ici et maintenant. Plus vous vous entraînerez à le faire – plus cela deviendra facile pour vous de vous ancrer dans le présent.

Vivre le moment présent, c’est aussi se préparer à la réussite.

David Larochelle.

Cuales son las diferencias entre coaching y mentoring

Coaching y mentoring son dos disciplinas que marcan tendencia en la sociedad actual puesto que vivimos un momento histórico en el que existe una mayor conciencia de la importancia de la educación emocional. Estas disciplinas tienen algo en común: son dos medios de ayuda. Sin embargo, el método es diferente y es en ese aspecto en el que ponemos el punto de atención en este artículo.

¿Cuál es la diferencia entre coaching y mentoring? ¿Y qué método te conviene elegir en tu caso?

El coaching es un proceso de acompañamiento. El coach es quien ofrece el servicio y el cliente es el verdadero protagonista. La pregunta es el método utilizado durante las sesiones. Preguntas poderosas y abiertas que tienen el propósito de impulsar al cliente en la búsqueda de sus propias respuestas. Este poder de la pregunta como herramienta de diálogo también está presente en la filosofía de Sócrates a la que Platón rinde homenaje por medio de sus mítidos Diálogos.

¿Por qué es tan importante desde el punto de vista del coaching que se respete esta premisa? Porque cada persona puede tener puntos de vista diferentes en torno a una misma historia. Puntos de vista que están condicionados por los valores, la experiencia previa y la subjetividad. Por esta razón, la mejor decisión es aquella que toma el cliente de manera consciente y libre.

Las preguntas que plantea el coach tienen una razón de ser: aportan luz. Es decir, por medio de estos interrogantes, el cliente inicia un proceso en el que clarifica cuestiones importantes en relación con el establecimiento de metas, que es aquello que motiva la acción. Y, es que, el verdadero fin del coaching es el objetivo realista. La definición de este objetivo es el primer paso del proceso que puede nacer por una razón personal o profesional.

En cualquier caso, existe una característica vital en un objetivo de coaching. El cumplimiento de esa meta, por medio de un plan de acción que es trazado en el propio contexto de las sesiones, debe depender únicamente del protagonista. De lo contrario, si una persona se marca una meta que implica a alguien más, corre el riesgo de frustrarse porque la voluntad de los demás trasciende al compromiso individual.

Mentoring: definición y proceso

El mentoring tiene una esencia distinta. En esta disciplina adquiere un significado importante la figura del maestro de vida. Es decir, el ejemplo de aquella persona que a partir de su experiencia, conocimiento y edad puede transmitir información importante en forma de consejos a otra persona más joven que quiere nutrirse de ese conocimiento para aplicarlo a su propia vida. El mentor es una figura de apoyo que actúa como consejero. Esta filosofía está cada vez más presente, por ejemplo, en el emprendimiento.

Algo que nunca ocurre en un proceso de coaching puesto que los consejos no forman parte de esta metodología en la que el coach no debe condicionar al cliente con su propio mapa del mundo. El mentoring adquiere verdadero significado desde la perspectiva de la confianza que inspira el mentor en aquella persona a la que guía.
Un mentor es aquel que, desde su posición y cercanía, impulsa a los demás a ser la mejor versión de sí mismos.

Ayuda a los demás a creer en sus propios sueños. El mentor aporta respuestas. En cierto modo, es aquella persona que encarna el concepto de sabiduría y, por ello, comparte aquello que sabe. Algo que no debe confundirse con tener un título determinado.

¿Coaching o mentoring? Diferencias y conclusiones

En esencia, coaching y mentoring son dos conceptos que tienen muchos elementos en común, sin embargo, se diferencian en el método aplicado. Tanto el coach como el mentor son personas que destacan por su escucha activa, la confianza en el ser humano y la inteligencia emocional. Así como la pregunta, que es el método del coaching, ya está presente en la filosofía de Sócrates, del mismo modo, también es posible observar en el marco filosóficos ejemplos de mentoring. Sócrates fue el maestro de Platón.ᐅ ¿Cómo funciona una sesión de coaching? ⚡️ » Cómo Funciona

¿Cómo decidir coaching y mentoring?

Una vez hemos visto las principales diferencias entre coaching y mentoring, llega el momento de decidir el proceso que mejor se adapte a tus necesidades.

Si ambas disciplinas, que difieren en el método, conectan con el propósito de la ayuda personal, ¿cuándo elegir una opción u otra? Ambas son experiencias que pueden ser complementarias. Por tanto, hacer un proceso de coaching no descarta la posibilidad de aprender de un mentor.

  • Una de las cuestiones que puede servirte de guía es que, si buscas un propósito que adquiere proyección en el tiempo desde la perspectiva de futuro, entonces, puedes elegir un mentor. Por el contrario, si te gustaría cumplir un objetivo más preciso, más concreto y con carácter más inmediato, el coaching puede inspirarte para dar ese cambio por medio del empoderamiento.
  • Si en este momento te gustaría tener cerca una figura de referencia de la que poder aprender gracias a su experiencia y admiras a alguien en concreto que crees que puede convertirse en tu mentor, valora esta opción. Tanto la finalidad del coaching como la del mentoring es impulsar el crecimiento personal. Pòr tanto, sabiendo que ese es el fin, elige el método con el que te sientas más cómodo porque conecta más con tus expectativas o tus preferencias.
  • Para tomar tu decisión, también puedes tener una primera sesión con un coach que te explique más en profundidad cuáles son las características del proceso y si esta idea es la que mejor se ajusta a tu meta. También puedes recibir este feedback por parte de un mentor. Gracias a esta información, tendrás más elementos para decidir.
Lorena López

La loi de l’attraction… et l’amour

Quand on parle Amour avant toute chose, il faut parler Amour de soi.

Comment peux t-on prétendre vouloir vivre une histoire d’amour avec quelqu’un alors que l’on a du mal à s’aimer soi-même ? C’est d’abord en s’aimant soi-même que l’on trouvera l’amour, c’est ainsi que fonctionne la loi de l’attraction.

La loi de l’attraction et l’amour c’est le même principe que la loi de l’atttraction et l’argent. Vous devez d’abord dresser un bilan de vos croyances et faire un bilan de vos désirs face à ce nouveau partenaire tant désiré.

Pour vous aidez à y voir plus clair, je vous ai dressé une liste d’affirmations .

Croyances sur l’amour

1. Je mérite d’être aimé(é).
2. Je ne mérite pas d’être aimé(é).
3. J’ai besoin de quelqu’un dans ma vie pour exister.
4. Personne ne peux tomber amoureux de moi.
5. L’amour, ça n’arrive qu’aux autres.
6. Je ne me sens pas sexy.
7. Je ne suis pas assez intelligent.
8. Je veux être avec quelqu’un pour ne plus être seul(e).
9. Je veux être avec quelqu’un pour avoir une vie sexuelle épanouissante.
10. C’est trop tard, je ne trouverai plus personne à mon âge.
11. Je ne crois plus en l’amour.
12. Les personnes «bien» sont toujours prises.
13. Je n’ai pas confiance en mon potentiel de séduction.
14. Ma vie n’est pas intéressante.
15. Je n’ai pas confiance en les autres.
16. Je ne peux rien apporter d’intéressant à mon partenaire.
17. J’ai besoin de quelqu’un dans ma vie car financièrement je ne m’en sors pas.
18. J’ai peur de vieillir seul(e).
19. Je m’ennuie dans la vie.
20. Je serais plus heureux(se) si j’avais quelqu’un dans ma vie.

Si vous obtenez plusieurs OUI à ces affirmations, vous vous rendrez vite compte, qu’inconsciemment vous entretenez des croyances limitantes sur l’amour et sur vous-mêmes ! Beaucoup de personnes veulent trouver l’amour non pas pour apporter quelque chose dans la relation mais pour combler leurs propres besoins (affectif, émotionnel, financier, sexuel…). Inconsciemment, on pense que «l’autre» va nous rendre heureux en comblant nos besoins… grave erreur !

Couple qui a trouvé le grand amour

Aucune personne au monde ne peut combler nos besoins, il n’y a que nous mêmes qui pouvons le faire. C’est pourquoi aujourd’hui tant de personnes se séparent. Elles n’entrent pas dans une relation amoureuse pour y apporter ce qu’elles sont mais pour recevoir ce qu’elles n’ont pas.

Vous ne pourrez jamais attirer le bon partenaire si vous n’êtes pas heureux dans votre vie et dans votre statut de célibataire. Regardez bien autour de vous et vous verrez que les personnes qui séduisent et qui attirent sont des personnes qui sont épanouies et heureuses dans leur vie et peu importe les circonstances et ce qu’elles vivent. Si vous vous sentez bien avec vous mêmes quoi qu’il arrive, alors la loi de l’attraction fonctionnera, soyez en sûr ! Être bien dans sa vie et dans sa tête est le point le plus important mais pour que la loi de l’attraction puisse fonctionner, il nous faut aussi avoir une idée très précise du partenaire avec qui l’on souhaite partager sa vie. Pour cela, vous pouvez tout simplement prendre une feuille de papier, tracer ensuite des colonnes dans lesquels vous noterez : physique, psychologique, caractère, éducation… et sous chaque titre, vous décrivez les qualités, les traits de caractère, les aspects physiques… que vous souhaiteriez chez votre futur partenaire.

Vous pouvez également découper des images représentant votre idéal(e) et les mettre dans un endroit dans lequel vous passez quotidiennement (ex : table de nuit, frigo, salle de bain…). Le but est de décrire à l’Univers le plus précisément possible vos désirs afin qu’il puisse travailler pour vous.

ATTENTION : lorsque vous demander à l’Univers de vous envoyer le/la partenaire idéal(e) et que vous le/la décrivez, demandez ce que vous voulez mais ne demandez pas ce que vous ne voulez pas.

Ex : Cher Univers, je souhaiterai rencontrer un homme/une femme honnête MAIS surtout pas un homme/une femme qui me mente. Dans ces conditions là, comme vous le savez déjà, l’Univers vous enverra à coup sûr tout ce qui se trouve après le MAIS. Ne vous préoccupez surtout pas de savoir où et comment vous allez rencontrer cette personne…c’est le boulot de la loi de l’attraction. Soyez toujours confiant de recevoir ce qui est le meilleur pour vous et n’y pensez plus. Malgré tout cela, il se peut que vous rencontreriez un partenaire qui ne soit pas ce que vous avez espéré.

Cela veut dire tout simplement que vous n’avez peut être pas encore assez travaillé sur vous mêmes et qu’il vous reste des petites choses à régler. Ce partenaire qui à priori ne vous convient pas est en réalité à vos côtés pour vous aider à mettre en lumière vos dysfonctionnements et les éliminer.

Bénissez le (même si ça peut paraître difficile) et soyez reconnaissant de cette nouvelle chance d’évolution que la vie vous offre. Chaque personne qui vient dans votre vie, n’est pas là par hasard.

Je vous souhaite à tous un merveilleux été, que le bien être, la joie et l’amour soit en rendez-vous. Amusez vous bien, je vous dis à bientôt et d’ici là, prenez bien soin de vous.

Carole Marckx

LEARN ABOUT TONY ROBBINS’ KEY TO SUCCESS

We’re all trying to figure out how to be successful in life. Although success looks different for everyone, there is one equation you can use to achieve the results you’re ultimately after. The ultimate formula for how to become successful consists of several key principles: know your desired outcome, know what inspires you, take massive action  notice your results and adapt your approach. Here, we’ll dive deeper into how to be successful so you can put these principles into action and apply them to your own life.How To Be Successful

HOW TO BE SUCCESSFUL

Learning how to be successful is a highly personal process that you’ll need to adapt to reflect your unique values. The following strategies will bring you closer to yourself and the success you’re after.

1. DEFINE SUCCESS

Clarity is power. Knowing what success looks like to you is a critical component in achieving any kind of improvement. Are you looking to deepen your personal relationships? Maybe your goal is to advance your career. When you’re specific about what you want, it becomes easier to take the actionable steps to achieve it.

For instance, “I want to get a promotion” doesn’t give you a lot to build on. What role, specifically, do you want and how will obtaining that role better your life? Refine your vision to be something like, “I want to be Vice President of the company within six months, making $300,000 per year.” It’s an ambitious jump, but it gives you a clear end result and something you can track your progress against along the way.

When you’re working on how to be successful in life, you must know your reasons for wanting to achieve your goals. Because when you have absolute clarity of purpose, you’ll keep that goal in mind even when things get tough.

2. ADOPT THE RIGHT MINDSET

The art of knowing how to be successful in life pivots on a central fact: Energy follows focus.

By focusing on everything that could go wrong, you’re essentially setting up a self-fulfilling prophecy. Persistent negative thoughts about yourself, like “I don’t think I can do this” or “Someone much smarter than me is better suited,” are called limiting beliefs . Your energy will flow toward whatever is on your mind, and if you’re approaching a situation full of doubt and negativity, you’re likely to receive the outcome you fared.

Why send your energy toward things you don’t want? Instead, clarify for yourself what you do want and train your brain to notice things that can help you make it happen. When a negative thought pops up, replace it with a positive one. Instead of thinking, “I’m never going to learn how to become successful,” try thinking, “I can do this” or “I’m going to figure this out.” Instead of dwelling on worst-case scenarios, imagine extraordinary results.

When circumstances become challenging, reflect on what caused you to pursue success in the first place. Were you conventionally successful but internally unhappy? Have you not utilized your skills as much as you’d like to? Whatever your reasons for wanting to succeed, use them as the cornerstone of your desire to work hard and achieve more.

3. TAKE ACTION

Determining what you want and adopting a growth mindset  is only part of learning how to be successful in life. Your goals and dreams won’t come to you just because you think about them; only by taking massive action can you produce massive results. This means shaking up your routines drastically, learning a new skill set and  replacing bad habits with beneficial ones.

Working toward your goals can involve long hours, lots of practice and getting outside your comfort zone. And remember, failure is often part of the process. If you take massive action and experience failure along the way, keep going. Some of the greates leaders  of our time failed terribly before ultimately succeeding.

4. STUDY THE SUCCESSES OF OTHERS

No matter what field you’re in or what you’re trying to do with your life, someone else has done it before. As you learn how to become successful, study their strategies  and modify them for your own purposes. Tony Robbins calls this “modeling,” because you’re modeling your efforts on theirs.

Successfully practicing modeling requires you to pick the right person and learn everything you can about them. What challenges did they face, and how did they overcome them? Do you see similarities between their roadblocks and your own? As you dig into their life and understand their setbacks, you can build your own strategy for how to be successful in life.

5. TRACK YOUR PROGRESS

When you find yourself repeatedly saying “I want to know how to be successful” and working toward your goal, don’t forget to stop to check your progress along the way. Noticing your results is critical to unlocking how to become successful, because you must accurately assess your progress. Are the things you’re doing leading you closer to achieving your goals? Have you hit a plateau as far as progress is concerned? Objectively look at the actions you’re taking in your everyday life, and decide whether or not they’re helping you become the type of person you want to be.

6. BE FLEXIBLE

No great success was achieved without any effort, or in only one try. Thomas Edison said, “I have not failed. I’ve just found 10,000 ways that won’t work.” The ability to shift gears and try new things is an important key to mastering how to be successful in life. Tony feels the same way: “I have plenty of failures, but I don’t look at them that way, not because I am in denial but because I make myself learn something from it. Then it becomes a stepping stone instead of a failure.”

If one attempt doesn’t work, change your strategy and try again. A willingness to look at things from a different perspective will take you far.

As you continue exploring how to be successful and what success means to you personally, never be afraid to start over and switch up what you’re doing. The path to personal growth is long and ever-changing. Although you can trust that success doesn’t mean the same thing for any two people, you can rest easily knowing no one finds it without effort and action.

7. ASK FOR HELP WHEN YOU NEED IT

Above all, if you need help, ask for it. Society glorifies those who get everything done on their own, but the reality is learning to be successful doesn’t happen in a vacuum. You will find people – friends, family and colleagues – who want to offer their assistance. They may see a challenge from a different angle, or notice a pattern that you don’t. You might also look into working with a coach who has helped others become successful. They’ve seen exactly what you’re going through and will be able to help you work through whatever challenges you’re facing.

8. CHOOSE GOALS YOU CAN COMMIT TO

When you’re starting off learning how to be successful, it might be tempting to measure success in every area of life, from your lifestyle and relationships to your professional life. If you take this route, you’ll quickly lose steam, since you’re asking too much of yourself. Instead, pick goals you can commit to – the goals and outcomes that would elevate your life exponentially or fill an aching void. These are the goals you’ll feel passionate about, so putting all your energy into realizing them creates outcomes you can realistically obtain.

9. MAKE YOUR PURSUIT OF SUCCESS FUN

The minute you add “learn how to be successful” to your to-do list, it becomes a chore, something you “should” do to feel better about yourself. As Tony says, don’t “should” all over yourself! Instead, make your efforts at success fun. If success for you means being healthy, find creative recipes you enjoy and learn to love working out. If success means making more connections, find ways to widen your network that are enjoyable and relaxing. As you incorporate new behaviors and activities into your efforts at success, you’ll find you’re creating a vibrant, meaningful lifestyle along the way.

10. THINK OUTSIDE THE BOX

If you’re coming up short in mastering how to be successful in life, it could be that the goals you’re pursuing are actually limiting you. Maybe you’re pursuing ideals that were given to you by a parent or teacher that don’t truly resonate with you. Get out of that box. Think back to the last time you truly lost track of time, or an experience that left you feeling exuberant. What were you doing? Who was with you? What were the circumstances? When you think outside the box, you access your subconscious, which isn’t limited by others’ expectations or even your own. From there, you’ll find unexpected avenues to success and contentment.

You deserve to master how to be successful at building a fulfilling life. Discover what drives you, so you can accomplish everything you desire.

La gestion de l’argent en couple

L’argent et le couple, ça peut virer à la chicane assez vite.

Pour t’éviter de te crêper le chignon avec ta douce moitié à propos d’une facture de resto non payée, voici quelques conseils pour mieux gérer vos finances.

DÉCIDEZ ENSEMBLE DES PRIORITÉS FINANCIÈRES DU COUPLE

Tu veux peut-être lancer ta boulangerie végane, tandis que la personne qui partage ta vie a envie que vous achetiez un condo ensemble. Deux beaux projets, mais qui peuvent difficilement se faire en même temps.

Pour Catrine Beauséjour, sexologue et psychothérapeute, «la meilleure façon de gérer les finances est de définir les priorités dans le couple. Quels projets communs mettre de l’avant? Quelles sont les ambitions personnelles de chacun?»

Si vous répondez ensemble à ces questions, vous vous assurez le plus possible de partir sur des bases saines. Ton projet de boulangerie pourrait attendre, le temps d’amortir l’hypothèque sur un éventuel condo, ou vice versa.

L’idéal est de conserver une certaine indépendance financière sans compromettre l’équilibre du couple.

N’ATTENDEZ PAS LES MAUVAISES SURPRISES POUR VOUS DIRE LES CHOSES

On s’entend que personne ne publie son dossier de crédit sur Tinder. Par conséquent, tu ne sais pas toujours à quoi t’attendre quant aux habitudes financières de ta moitié, à moins d’en parler sincèrement autour d’un verre ou d’une tisane. Ainsi, l’honnêteté est probablement la première chose à laquelle il faut accorder de l’importance lorsqu’on parle d’argent en couple.

Catrine Beauséjour conseille ainsi de «mettre le sujet sur la table et de discuter des capacités financières de chacun».

Si l’un de vous deux a des dettes à rembourser, ce n’est peut-être pas la bonne année pour se payer une escapade à Bali.

TROIS FAÇONS DE GÉRER VOS DÉPENSES

Vous avez beau être en parfaite harmonie, faire les bonnes concessions, il faut tout de même un minimum de préparation. Tu seras plus tranquille et ça t’évitera les malentendus avec ton ou ta bien-aimé(e).

Vous pouvez opter pour trois manières différentes de gérer vos dépenses communes:

  • La mise en commun: cette solution est la plus radicale des trois. Tes dépenses et tes revenus se mêlent à ceux de ton ou ta partenaire. Le couple agit comme un seul ensemble. Tes petites escapades de magasinage au temps des soldes ne passeront donc pas inaperçues, même si vos finances fusionnent.
  • Le 50-50: C’est la formule égalitaire. Les dépenses communes sont divisées en deux et chacun y met du sien. Lorsqu’il n’y a pas de grandes différences de revenus, cette façon de faire peut bien fonctionner. Par contre, si ta moitié et toi n’êtes pas dans le même palier d’imposition, c’est là que ça se complique.
  • L’équité: Chacun en fonction de ses moyens. C’est notamment cette formule que privilégie la sexologue et psychothérapeute, Catrine Beauséjour, en particulier lorsque les différences de revenus sont considérables entre les deux amoureux. De cette façon, vous ne vous mettez pas de pression l’un sur l’autre.

    Ce couple partage une partie des dépenses communes.

    Ce couple partage une partie des dépenses communes.

    Le couple « partagé »
    Lui : 50 000 $/an
    Elle : 60 000 $/an
    conjoints de fait
    1 enfant
    1 hypothèque
    en couple depuis 4 ans

    Dans ce couple, il y a eu de nombreuses frictions concernant l’argent au début de la relation. C’est pourquoi les deux conjoints ont mis au point un système au prorata : ils versent 30 % de leur salaire respectif dans un compte commun afin de payer l’épicerie, les comptes et les sorties.

    Les dépenses communes, sans l’hypothèque, s’élèvent à environ 1200 $ chaque mois. Ils ont tous deux une idée de combien l’autre a dans son compte.

    Moi, j’adore voyager. Lui, moins, c’est plus le golf. Alors on ne se voyait pas mettre ces dépenses-là en commun et devoir les justifier.

    Elle

    Hypothèque « séparée »

    L’hypothèque de leur maison est sur mesure : ils ont chacun un contrat hypothécaire pour lequel ils ont pu choisir le terme, le taux et l’amortissement. Le prélèvement se fait dans leur compte individuel. Chacun a déboursé 10 000 $ pour la mise de fonds.

    Lors de l’achat, elle a fait ajouter des clauses temporaires pour se protéger en cas de séparation. Comme c’était mon projet à moi, d’acheter un immeuble, que je l’ai cherché et trouvé, je voulais avoir la priorité sur le rachat, dit-elle. Si le couple se sépare au cours des quatre années suivant l’acquisition de la propriété, c’est elle qui aura la priorité pour acheter la moitié de l’autre, au prix payé à l’achat.

    Donc, si le couple se sépare, l’immeuble aura possiblement une plus grande valeur sur le marché. Cependant, lui ne pourrait pas en bénéficier, puisqu’elle pourrait racheter sa moitié au prix payé à l’achat. Cette mesure n’est valide que pour les quatre premières années. Une autre entente devra être prise ensuite.

    Lorsque je demande à son conjoint comment il a réagi en entendant cette proposition il y a deux ans, au moment de l’achat, il l’avoue d’emblée : Je n’étais pas content au départ.

    Ils étaient au début de leur relation et ils n’avaient pas encore leur enfant. Elle voulait se protéger et lui avait choisi au dernier instant de se joindre à elle dans cette aventure de propriété.

    Sa conjointe explique qu’elle a perdu des investissements avec un ancien conjoint en quittant la maison qu’ils avaient achetée ensemble. Elle souhaitait éviter de répéter l’erreur de ne pas penser à la séparation lors d’un achat aussi important qu’une maison.

    Aujourd’hui, le couple est convaincu que le modèle au prorata est l’idéal : il permet à chacun d’être libre, tout en partageant un projet commun.

    Depuis le jour 1 où on a appliqué notre système, on n’a plus jamais eu aucune chicane!

    Lui

    Il affirme aussi qu’ils réussissent à ne jamais dépasser le budget fixé pour les dépenses communes. Chacun se dit aussi prêt à soutenir l’autre financièrement s’il poursuivait des études.

    Les commentaires d’André Lacasse, planificateur financier

    L’entente fonctionne puisqu’elle convient aux deux conjoints et qu’ils sont transparents dans leurs démarches. Concernant la maison, il rappelle que la valeur d’une résidence croît d’environ 3 % à 4 % par année, un profit non négligeable lors de la vente. Si la maison valait 200 000 $ à l’achat, quatre ans plus tard elle pourrait valoir près de 230 000 $. L’enjeu est encore plus important si l’on projette cette entente sur 10 ans; la maison pourrait alors valoir près de 300 000 $, ce qui serait inéquitable pour monsieur, qui ne pourrait pas en bénéficier. Heureusement, l’entente était temporaire. En fin de compte, le plus important est que les finances ne soient pas source de conflits ou de malaises et c’est ce qui semble être le cas ici.


    Ce couple partage toutes les dépenses.

    Ce couple partage toutes les dépenses.

    Le couple « moitié-moitié »
    Lui : 100 000 $/an
    Elle : 30 000 $/an
    mariés
    pas d’enfant
    1 hypothèque
    en couple depuis 6 ans

    Dans ce couple marié, chacun paie la moitié des dépenses communes, peu importe le salaire qu’il gagne. Elles s’élèvent à 1600 $ par mois. Chacun paie 800 $.

    Il arrive qu’elle n’ait pas assez d’argent pour payer sa moitié; il comble alors le reste pour elle.

    J’ai questionné madame sur l’équité de ce fonctionnement, qui lui laisse peu de marge de manoeuvre. Elle me répond qu’il était important pour elle de payer sa moitié puisque la maison a été achetée à deux, même si c’est lui qui a fait la mise de fonds.

    On ne s’est jamais posé la question. On s’est dit on l’achète [la maison] à deux, on paie à deux.

    Elle

    Elle s’estime chanceuse d’être aussi « gâtée » par sa douce moitié, qui assume plus souvent les dépenses liées aux sorties.

    L’épicerie ne fait pas partie des dépenses communes. C’est au gré de la volonté de chacun et ils ne comptent pas demander la moitié de la facture à l’autre. Ils ne savent d’ailleurs pas exactement combien l’autre a dans son compte ou s’il a des placements.

    Moi, tant que j’en ai assez pour me payer des choses, me payer des petits luxes de temps en temps, ça me convient. Je ne me fie pas sur lui, je me suis toujours arrangée avec mon salaire, dit-elle.

    En six ans de vie commune, ils affirment que l’argent n’a jamais été une source de conflit.

    Ils se sont récemment mariés parce qu’il souhaitait entre autres faciliter le transfert de ses avoirs financiers vers elle en cas de décès.

    Au sujet d’un potentiel retour aux études de sa femme, il dit qu’il n’hésiterait pas à la soutenir : J’ai la chance de pouvoir être capable de le faire, alors je le ferais.

    Les commentaires d’André Lacasse, planificateur financier

    Il est positif de constater que les finances ne semblent pas tabou. Toutefois, si ce couple n’était pas marié, il faudrait penser à protéger madame, qui a un salaire moins élevé. Monsieur pourrait alors contribuer aux REER de madame; elle n’est pas en position d’économiser pour sa retraite, puisqu’elle paie la moitié des frais communs. Par contre, comme ils sont mariés, ce n’est pas nécessaire. C’est justement ce qui retient l’attention : pourquoi payer la moitié, puisque de toute façon, ils sont mariés? C’est un choix personnel et l’important est d’être à l’aise dans le fonctionnement, ce qui semble être le cas. Si elle le souhaitait, madame pourrait envisager de prendre par exemple 5 % ou 10 % de son salaire afin de le conserver pour elle, dans le but d’avoir plus de marge de manoeuvre pour ses dépenses personnelles.


    Ce couple utilise une application pour gérer les dépenses communes.

    Ce couple utilise une application pour gérer les dépenses communes.

    Le couple « techno »
    Elle #1 : 80 000 $/an
    Elle #2 : 50 000 $/an
    conjointes de fait
    pas d’enfant
    en appartement
    en couple depuis 3 ans

    Dans ce couple, l’utilisation d’une application mobile facilite la gestion des dépenses communes, évaluées à 4325 $ par mois. Celle ayant le salaire le plus important assume 60 % de ce montant, l’autre 40 %.

    Elles ont chacune un compte personnel et un compte conjoint. Elles partagent une carte de crédit.

    L’application Mint est rapidement arrivée dans leur vie commune. Elles ont hésité au début parce qu’elles ne savaient pas si cela pouvait représenter un risque de sécurité informatique.

    Mais, elles sont satisfaites désormais : On a tellement de dépenses, je ne me vois pas retourner au fichier Excel! dit Elle #1.

    Cependant, la technologie crée aussi une certaine anxiété, parce qu’il arrive qu’il y ait des erreurs, par exemple des transactions qui apparaissent en double ou en triple, pendant un certain temps, avant d’être corrigées.

    L’argent a rapidement fait partie des discussions parce que l’une d’elles a une dette d’études universitaires importante qu’elle ne dévoile pas à sa conjointe. Le sujet peut susciter des tensions.

    Le partage des économies est un sujet délicat : Elle #1 a un fonds de pension qu’elle cumule depuis de nombreuses années. Elle devra décider si elle souhaite ajouter sa conjointe comme bénéficiaire ou non. Ce couple n’a pas de plan en cas de séparation, mais y travaille présentement. Elle #2 confie combien c’est une tâche difficile.

    Le couple a décidé d’aller consulter un planificateur financier, entre autres, pour que celle ayant une dette d’études puisse mettre de l’argent de côté pour sa retraite.

    Leur vie commune a été ponctuée d’ajustements : La première année, c’est moi qui payais le plus et après on a réévalué, parce que c’était trop lourd pour moi, mentionne Elle #1.

    Aborder cette lourdeur a été un enjeu, confie-t-elle. Je ne savais pas trop comment l’aborder… Le respect de mes limites, ç’a été difficile. Elle #2 convient qu’il y a des ajustements à faire de temps à autre. Elle estime que le couple ne se dispute pas à propos de l’argent.

    Les deux ont dû s’ajuster au style de vie de l’autre et le respecter : l’une mange plus souvent au restaurant et achète chaque jour un café au lait, un luxe qu’elle désire pouvoir continuer de se payer.

    Il arrive que le budget commun ne soit pas suffisant pour les dépenses communes et il peut manquer entre 200 $ et 300 $ chaque mois. Chacune assume alors la moitié de la facture.

    Elle #1 aimerait savoir à combien s’élève la dette d’études de sa conjointe pour mieux s’y préparer, mais elle respecte sa décision. Elles se sont informées pour connaître les impacts de cette dette si jamais elles se mariaient, un engagement qu’elles souhaitent prendre.

    Au final, concernant les finances et l’amour, tu t’y jettes un peu à l’aveugle, dit Elle #1, avant de poursuivre : Tu investis en espérant que cette relation soit la bonne.

    Les commentaires d’André Lacasse, planificateur financier

    Pour faire une planification financière qui convient aux deux, il est essentiel d’être transparent. Ce couple aurait avantage à dévoiler les placements et les dettes de chacune, surtout si elles planifient s’engager davantage en se mariant. Celle qui gagne moins ne semble pas avoir la marge de manoeuvre afin d’épargner pour sa retraite, alors que l’autre a un fonds de pension. Cette réalité pourrait devenir une source de conflit. Il existe des solutions pour lui permettre d’épargner, mais tout commence par analyser les dépenses communes. Ce jeune couple est sur la bonne voie puisqu’il travaille déjà à contrôler ses dépenses.

Maintenant que tu sais ça, tu trouveras d’autres raisons de te disputer avec ta moitié. C’est beau l’amour.

Compilation réalisée par Lorena López auteure, traductrice, Conseillère angélique, bibliotherapeute, Consultante Feng shui et Thérapeute en EFT (techniques de libération émotionnelle).

Me cuesta concentrarme: ¿por qué y qué hacer?

¿Te está costando mucho concentrarte? ¿Intentas prestar atención cuando realizas actividades y no lo consigues al cien por cien? No es nada raro, la queja sobre la falta de concentración es muy habitual. Además, es síntoma de algunos trastornos psicológicos por lo que conviene explorar cada caso y determinar la causa.

En este artículo  te explicamos las causas de la falta de concentración para que puedas saber por qué te cuesta concentrarte y qué puedes hacer para mejorar tu concentración, así como técnicas y ejercicios para trabajar funciones cognitivas como la concentración, la atención y la memoria.

¿A qué se debe la falta de concentración? En esta capacidad influye mucho el grado de motivación que tenemos en la tarea. Nos cuesta mucho menos concentrarnos en algo que nos gusta que en algo que no nos gusta o interesa. Vamos a ver algunos factores que influyen en la concentración:

  • La falta de descanso. Cuando estamos cansados o no hemos dormido lo suficiente, nuestro cerebro lo nota y no está en las mejores condiciones para focalizar los recursos en una tarea. Aquí puedes ver en detalle cómo afecta la falta de sueño a nuestro cerebro.
  • Exceso de trabajo. Al igual que ocurre con la falta de descanso, el exceso de trabajo disminuye la eficacia de los recursos cognitivos.
  • Distractores. Los distractores pueden ser ruidos, dependencia a redes sociales (mirar a menudo las notificaciones), desorden… infinidad de cosas que llaman nuestra atención e interrumpen nuestra concentración.
  • Desorganización. Cuando tenemos varias tareas pendientes y no tenemos una organización para realizarlas, es probable que pensar en el resto de tareas nos impida concentrarnos en la que tenemos delante. Es difícil focalizar cuando hay muchos asuntos abiertos.
  • Preocupaciones y pensamientos recurrentes. Cualquier problema que nos preocupe, ya sea económico, sentimental, laboral, etc., puede afectar a nuestra concentración. Los pensamientos que irrumpen en nuestramente nos distraen.
  • Trabajos repetitivos. Cuando el trabajo es repetitivo, empleamos la atención sostenida, y esta no es fácil de mantener por mucho tiempo. Por eso, después de un rato en una tarea monótona disminuye nuestra capacidad de concentración.
  • Motivación. Como ya hemos mencionado, la motivación que nos genere la tarea es una de las claves para poder concentrarnos. En el siguiente artículo encontrarás más información sobre el concepto y las teorías de la motivación.
  • Trastornos. El padecimiento de algunos trastornos como ansiedad o depresión influyen en nuestra concentración y en las funciones cognitivas en general. La falta de concentración y memoria es uno de los síntomas de la depresión.
  • Envejecimiento. La capacidad de atención y concentración van disminuyendo con la edad.

Tips para concentrarse más — Mejor con Salud

Todos estos factores pueden explicar una disminución en la capacidad de concentración considerada normal. Consideramos que la falta de concentración es patológica cuando influye en distintas áreas el desarrollo normal de nuestras vidas, cuando permanece por un periodo de tiempo de más de 6 meses o cuando se da como consecuencia de un trastorno mental  (TDAH, Alzheimer, Demencia…).

Cómo mejorar la falta de concentración

Para aumentar la capacidad de concentración recomendamos seguir las siguientes pautas:

  1. Descansa lo suficiente. Intenta dormir 7 u 8 horas a diario para mantener tu cuerpo y tu mente descansados.
  2. Organiza tu espacio de trabajo. Elimina las cosas que te distraen y ordena tu mesa para que se vea despejada. Guarda lo que no te sirva para la realización de la tarea, cierra las redes sociales y pon tu móvil en silencio o en vibración si esperas llamadas importantes.
  3. Busca la motivación en lo que haces. Si la has perdido con el tiempo recuerda qué te gustaba de tu trabajo o qué beneficios obtienes realizándolo. También puedes utilizar el principio de premark: establece una actividad agradable que podrás hacer después de realizar la tarea que no te resulta tan motivadora.
  4. Ocúpate de una sola tarea cada vez. Llevar dos o más cosas a la vez disminuye la concentración en todas ellas. Se ha comprobado que la multitarea disminuye nuestra eficacia y productividad. Es mejor focalizarse en una tarea y pasar a la siguiente cuando esté terminada.
  5. Practica ejercicio físico. El ejercicio físico aporta muchísimos beneficios, entre ellos, mejora la capacidad de concentración. Si no eres muy deportista puedes caminar a diario, pasear con la bicicleta, practicar yoga o dar unas clases de baile.
  6. Aprende técnicas psicológicas para reducir los pensamientos recurrentes que te distraen.

Ejercicios de concentración

Al igual que otras capacidades, la concentración se puede estimular. Prueba estos ejercicios de concentración y notarás cómo mejora tu concentración.

  1. Matemáticas. El cálculo mejora la concentración. Haciendo ejercicios como operaciones sencillas o sudokus fortalecerás tu concentración. Hay aplicaciones y juegos para practicar.
  2. Pasatiempos. Las sopas de letras o buscar diferencias te permiten mejorar la concentración mientras te diviertes.
  3. Mindfulness, atención plena o meditación. Trabajan la atención y concentración. Aquí puedes ver cómo aprende a practicar mindfulness.
  4. Descripciones. Mira un objeto o un paisaje durante unos minutos y después trata de describirlo con todo detalle.
  5. Contar hacia adelante y hacia atrás. Primero de uno en uno, luego de dos en dos, de tres en tres…
  6. Leer y escribir. Son dos actividades que mejoran concentración, atención, creatividad, vocabulario…

Técnicas de concentración para estudiar

Para estudiar mejor, es importante trabajar la concentración de la siguiente manera:

  1. Leer durante 20 o 30 minutos una historia ajena a lo que tenemos que estudiar encamina nuestra concentración.
  2. Para iniciar el estado de concentración antes del estudio puedes fijarte durante unos minutos en un objeto de la habitación y analizarlo con todo detalle.
  3. Descansar de 5 a 10 minutos después de cada hora de estudio nos ayuda a concentrarnos en la siguiente actividad.
  4. Empezar la sesión de estudios con la asignatura más difícil o que menos nos guste, porque es cuando mejor nivel de concentración tenemos, luego una intermedia y finalmente las asignaturas que nos resultan más agradables o nos motivan más.
  5. Respiraciones profundas antes de la sesión de estudio. Mientras las haces fíjate en cómo el aire entra y sale de tu cuerpo.
Bibliografía
  • Johnson, A. y Proctor, R. W. (2015). Atención: Teoría y Práctica. Madrid: Ramón Areces.
  • Kahneman, D. (1997). Atención y esfuerzo. Madrid: Biblioteca nueva.

Les 6 étapes indispensables pour travailler de chez soi efficacement

Qui n’a jamais rêvé de travailler de chez lui, tranquille et sans contrainte ?

Le travail à domicile, c’est typiquement le genre de rêve qui tourne au cauchemar… Que ce soit pour être entrepreneur ou salarié à distance, les premiers jours de travail à la maison sont toujours compliqués…

Comment faire la part des choses entre le travail et le repos ?

Comment remplacer la vie sociale que tout le monde a habituellement au travail ?

Comment être efficace devant toutes les distractions présentes chez toi ?

Le piège invisible qui fait le plus de dégâts… 

Le piège le plus dangereux ? 

Presque personne n’y pense au départ…

C’est de trop travailler… 

Parce que si tu ne bosses pas assez, l’aventure s’arrête vite… Ton employeur t’ordonne de revenir au bureau, ou tu reprends un job à la fin de ton chômage…

À l’inverse, si travailles trop, tu peux continuer encore et encore, jusqu’à la rupture, le burnout et la disparition totale de ta vie sociale…

Et en fait, c’est naturel… D’une part, quand tu as envie de réussir, tu ne comptes pas les heures et tu es prêt à en faire beaucoup…

D’autre part, un effet psychologique se met rapidement en place : la loi de Parkinson… Elle expose qu’une tâche prend la totalité du temps qui lui est alloué…

Tu vois le problème ?

Comme tu sais que tu as toute la journée devant toi, le risque de procrastiner est fort… Et on sait tous que la procrastination n’est pas reposante… Bien au contraire… En plus, pour rattraper tout ce temps perdu, tu risques de te retrouver à bosser tard le soir, dans le stress et l’urgence…

C’est pour ça que le premier conseil que j’ai a te donner est de prendre du temps pour toi. Il faut que tu aies autre chose à faire que bosser… Peut importe quoi ; du sport, des jeux vidéos, des expositions, un ciné, etc.

Je sens que tes yeux sont en train de rouler dans leurs orbites et que tu te dis que j’ai un pet au casque pour un spécialiste de l’efficacité… Mais je t’assure que tu verras une différence énorme dans ta productivité et ton temps de travail si tu as d’autres choses à faire.

Et même d’un point de vue totalement logique et rationnel, l’argument se tient : en bossant de chez toi, tu gagnes un temps considérable : tu n’as pas à te taper les bouchons et tu peux manger facilement… Tu as donc 2 heures par jour de plus que tout le monde, que je te conseille de prendre complètement pour toi.

  • Pas pour bosser.
  • Pas pour faire les courses.
  • Pas pour faire le ménage.

Les 5 premières étapes pour éviter de trop bosser (tout en étant sûr d’en faire assez et de ne pas procrastiner toute la journée)

Pourquoi est-ce que tu travailles

On en revient à un fondement de l’efficacité : donner du sens à ce que tu fais. Tu as déjà vu un enfant procrastiner pour jouer à son jeu favori ? Non, parce que ça a du sens pour lui et ça lui fait plaisir.

Ton travail doit s’en rapprocher le plus possible.

Savoir où tu vas, pourquoi, et comment tu souhaites t’y rendre est très important… J’en parle dans presque tous mes articles.

Des routines perso en béton

Je te l’ai dit au début : prendre soin de toi doit être une priorité. Tu n’es l’esclave de personnes et tu mérites de te faire passer en premier.

Un point crucial pour bien commencer ta journée, avoir de l’énergie et finir ton boulot plus efficacement:  la routine du matin.

Je ne vais pas rentrer dans les détails maintenant, tu as le lien d’un article complet juste au-dessus. Mais ce que tu dois retenir, c’est qu’une bonne routine est forcément sur mesure… Ce n’est pas un copier-coller de je ne sais quelle référence en efficacité… Chacun est unique et les outils doivent d’adapter à toi… Pas l’inverse.

En plus de la routine du matin, je te recommande d’arrêter de bosser au moins deux heures avant d’aller te coucher pour te permettre de souffler un peu et de ralentir ton rythme interne avant de dormir.

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Finis ton travail en 1h30 max tous les jours

Si tu connais assez bien ton travail, tu peux certainement lister des actions qui se répètent régulièrement. Elles sont généralement le moteur de ton activité : l’essentiel de ton boulot pour te permettre d’avancer.

Ton job ?

Les repérer et en faire une routine.

Comment faire ?

Tu prends les actions les plus “rentables” et qui se répètent régulièrement, puis, tu les agences dans une routine de 1h30 max.

Pourquoi faire ça ?

Parce que la base pour te permettre d’arrêter de bosser sereinement le soir, c’est de savoir que tu as fait ce qu’il fallait. Si tu en es déjà convaincu 1h30 après le début de ta journée, c’est gagné.

Attention, ce n’est pas une technique “fleur bleue qui ne bosse pas”… C’est une manière solide d’accomplir le plus important chaque jour avant de te consacrer sur les tâches moins répétitives (et potentiellement plus agréables).

Cette routine ? Je l’appelle le mode minimum et elle est adoptée par tous mes élèves qui sont ravis de pouvoir bosser efficacement sans se prendre la tête pendant des heures…

Change de but ultime

Tu as très peu de chances d’atteindre un objectif au-delà de ceux que tu t’es fixés… Alors pourquoi bosser 15 heures par jour ? De toute manière, l’objectif reste le même…

Si tu veux réellement profiter de travailler chez toi pour mieux réussir, ton objectif ultime chaque semaine doit être de bosser le moins possible.

Avec l’expérience, tu sais ce qui est important et tu sais à peu près évaluer le temps de tes tâches. Tu peux donc mettre en place un objectif hebdomadaire atteignable… Et une fois que tu y es, tu n’en rajoutes pas.

Si tu bosses bien et que ton objectif est terminé le jeudi soir… Tant mieux pour toi, tu as gagné un weekend de 3 jours.

Pas forcément besoin de “ne rien faire du tout”, mais tu peux en profiter pour lire et prendre du temps pour des activités que tu délaisses habituellement au profit du travail.

Ta motivation est-elle pure ?

Es-tu motivé de la même manière qu’un enfant de CM2 ou un ouvrier qui travaille à la chaîne ?

Cette motivation ?

On l’appelle la motivation extrinsèque… C’est la carotte ou le bâton. L’enfant qui ne travaille pas est puni par ses parents et l’ouvrier est gentiment poussé vers la sortie… La motivation pour bosser est donc d’éviter ces sanctions… Ou d’obtenir des récompenses comme une session de jeux vidéo ou une augmentation.

Tu le sais comme moi, ce genre de motivation est très puissant…

Mais il a un problème…

Elle n’est pas durable… Une fois que la personne a fini son “travail obligatoire”, elle ne fera pas un centimètre de plus… 

Ça mène aussi a beaucoup de procrastination… Parce qu’au fond, on n’est pas vraiment heureux dans ce qu’on fait.

Tu l’as compris, si tu veux prendre du plaisir et avancer rapidement dans ton travail, tu peux avoir intérêt à user d’un autre type de motivation : la motivation intrinsèque.

Richard Ryan (docteur en psychologie clinique et professeur à l’université de Rochester) et ses collègues nous expliquent que cette motivation fait de ceux qui savent l’utiliser des gens plus heureux et accompli dans leur quotidien.

Ce genre de motivation, c’est celle de l’enfant qui joue. Il ne calcule pas. L’activité est plaisante en elle même.

Quand j’ai entendu ce conseil pour la première fois, je me suis dit qu’il serait assez compliqué à appliquer… Mais finalement pas tant que ça grâce aux découvertes de Richard Ryan. L’article est déjà assez long et tu as une bonne quantité d’actions à mettre en place, mais si tu veux aller plus loin, tu peux lire cet article sur la motivation intrinsèque qui te donnera quelques clés supplémentaires pour l’utiliser au quotidien.

L’action pour commencer maintenant

Au lieu de te récapituler l’article, je voudrais te donner une action à réaliser maintenant. Elle est en rapport avec la toute première étape dans laquelle je te recommandais de faire d’autres choses que bosser.

Fais une liste de toutes les activités de ton quotidien qui te font plaisir, puis, demande toi comment tu pourrais donner plus de place à ces activités.

Le plaisir est le centre de ta motivation et de ton bonheur, alors prends en soin.

L’action est la clé !

Lucien ROY

PATERNITÉ FORCÉE: tomber enceinte pour garder son homme, pas une bonne idée.

Tomber enceinte dans l’espoir de prolonger une relation amoureuse ou pour convaincre un homme de rester à ses côtés est l’une des raisons les plus fréquemment invoquées par les femmes.

Se faire faire un bébé dans le dos est probablement la hantise suprême de bien des hommes. Des lecteurs nous ont alors écrit pour nous parler du pendant féminin de cette pratique, à savoir ces femmes qui mentent sur leur contraception, allant parfois même jusqu’à saboter le condom de leur amant pour tomber enceinte.

C’est le cas de Caroline, tombée enceinte sans le consentement de son partenaire à l’âge de 19 ans. Son chum lui ayant avoué qu’il ne voulait pas d’enfant avant un long moment, Caroline, bien déterminée à fonder une famille rapidement, a pris les grands moyens. «Je lui ai dit que la pilule était entrée en interaction avec un médicament que je prenais, ce qui avait dû annuler son effet.» Le couple a eu une fille et est toujours ensemble aujourd’hui. Quand elle a révélé, des années plus tard, le subterfuge à son conjoint, il lui en a beaucoup voulu. «Il a été des semaines sans me parler.» Ce sujet est aujourd’hui un grand tabou pour le couple. Mais Caroline avoue qu’elle ne regrette rien et que si c’était à recommencer, elle le ferait à nouveau.

Ce genre d’histoire, fréquente à en croire la quinzaine de témoignages reçus, ne se termine malheureusement pas toujours aussi bien. Crystelle l’a appris à la dure lorsque son ex l’a suppliée d’interrompre sa grossesse. «Il m’avait quittée, mais nous continuions à avoir des rapports intimes. J’ai cessé de prendre la pilule sans lui dire, croyant que si je portais son enfant, il prendrait ses responsabilités, m’aimerait et que nous irions vivre ensemble pour former une famille. Cela n’a pas été le cas.»

Et l’homme dans tout ça?

Tomber enceinte dans l’espoir de prolonger une relation amoureuse ou pour convaincre un homme de rester à ses côtés est l’une des raisons les plus fréquemment invoquées par les femmes sondées. Est-ce que cela fonctionne? La plupart du temps, non. Si certains hommes sont tentés de rester parce qu’ils se sentent coupables et désirent prendre leurs responsabilités, la relation échoue habituellement au bout de quelque temps. C’est le cas de Julien, dont nous protégeons l’identité afin de préserver l’anonymat de son enfant. «Il y a un sentiment terrible d’être piégé à vie et privé d’un choix essentiel (le projet consensuel d’avoir un enfant avec quelqu’un) ainsi qu’une panique par rapport à un changement aussi brutal. Je crois qu’un réflexe de fuite s’active face à tout ça, ainsi qu’une grande amertume par rapport à la trahison qu’on vit», explique l’homme, qui n’a pas voulu rester en couple dans un tel contexte, malgré une tentative pour le bien de l’enfant. «Il y a l’expression «male rape», qui fait sans doute bondir certaines féministes, mais c’est loin d´être farfelu. Enfin, il y a la question de la responsabilité face à la naissance d’un enfant, et la culpabilité que l’idée d´abandon génère», a-t-il ajouté.

«Incapable de renoncer, elle fait un truc incroyable»

Caroline attachée de presse dans une multinationale. Elle raconte l’histoire d’une de ses collègues, Marie, mère d’un enfant de 7 ans.

Marie, c’est un physique d’ange, une âme de prédatrice. Tous les hommes craquent pour elle, parce qu’elle arrive à leur faire croire qu’ils sont forts et qu’elle est fragile. Mais peut-être finalement qu’elle l’est vraiment… Il y a huit ans, elle tombe amoureuse d’un cadre de la boîte. A l’époque, ils ont tous les deux 24 ans. C’est la grande «love story». Mais, pour une fois, c’est elle qui se fait larguer au bout de quelques mois. 

Et elle ne supporte pas. Blessée, incapable de renoncer, elle fait un truc incroyable. C’est elle qui me l’a raconté, sûre de son bon droit, sans se rendre compte de l’énormité de la chose. Elle re-séduit cet homme, avec bougies, dentelles, etc. Fait bien son calcul, et l’attire dans son lit alors qu’elle est pile poil en pleine période de fécondité… Et trois mois plus tard, elle lui annonce qu’elle attend un enfant de lui. 

Panique, fureur. Il la re-largue, cette fois pour de bon, et se fait muter en province. Elle fait des kilomètres en voiture et joue sur tous les registres : l’émotion, la menace (elle peut l’obliger à reconnaître l’enfant)… En vain. Aujourd’hui, Léo a 7 ans. Il est perturbé, agressif. Et je sais qu’au fond, elle culpabilise en se disant qu’elle l’a instrumentalisé et qu’elle compense en l’aimant peut-être «trop». 

Des femmes qui utilisent comme ça leur pouvoir de procréation, ça me choque. On n’a pas acquis la maîtrise de la maternité pour en arriver là !»

Tomber enceinte sans le consentement de son partenaire est-il un geste qui peut être considéré comme une agression? Question délicate qui cache dans son angle mort le droit des femmes à disposer de leur corps. Selon Marie Hazan, psychologue, psychanalyste, et professeure au département de psychologie de l’UQÀM, elle voit plutôt dans ce geste «une manière de nier qu’il faut être deux symboliquement pour avoir un enfant issu d’une relation sexuelle. C’est donc une négation du rôle du père pour l’enfant et, jusqu’à un certain point, une façon de faire d’un enfant son objet, sa chose. Ça peut changer après, bien sûr», précise-t-elle.

Les conséquences psychologiques pour un homme qui est devenu père malgré lui sont variables, explique Mme Hazan, «Cela dépend de ce père et de son désir. Il peut quand même essayer de se faire entendre et de jouer un rôle auprès de l’enfant, et souvent, ça marche parce que ce n’est pas facile d’avoir un enfant seul(e). Il peut arriver qu’il soit vraiment effacé, mais c’est plutôt rare.»

test de grossesse pour homme

Mais pourquoi certaines femmes en viennent-elles à mentir à leur partenaire pour avoir un enfant? Pour Catherine, son désir était trop fort. «Mon chum avait des enfants d’une union précédente et il n’en voulait pas d’autres. J’ai tout tenté pour le convaincre, mais il n’y avait rien à faire. Après trois ans ensemble et une dépression, j’ai arrêté la pilule sur un coup de tête.» Catherine était prête à assumer les conséquences de ses actes. «S’il n’avait pas voulu l’enfant, je serais partie et je ne lui aurais pas demandé de pension alimentaire.» Le conjoint de Catherine ignore encore aujourd’hui qu’elle est tombée enceinte par exprès. «Il croit à l’accident.»

Que dit la loi

Si Catherine était prête à subvenir aux besoins de son bébé, plusieurs femmes réalisent après coup la difficulté d’élever un enfant seule. Un homme qui vit une paternité forcée ne pourra pas échapper à son devoir légal. Des pères à qui c’est arrivé, Me Sylvie Shirm en a vu passer des tonnes dans son bureau en 28 ans de pratique. Il faut savoir que si un homme ne veut pas reconnaître son enfant, la cour peut exiger un test d’ADN. De cette façon, «on obtient la vérité biologique. On peut alors demander que monsieur soutienne financièrement l’enfant. Et ce n’est pas parce qu’on lui a menti qu’il échappe à ses responsabilités parentales.» Soulignons que la mère, même si elle obtient du soutien financier, ne pourra pas obliger le père de son enfant à avoir un lien affectif avec lui. En revanche, «si un homme soupçonne être le père d’un enfant et que la mère refuse de le reconnaître comme tel, il peut faire la même demande (test d’ADN) pour être reconnu comme père et avoir des droits d’accès.»

Certes, ce texte a de quoi rendre paranoïaque. Il ne faut pas perdre de vue que ce phénomène reste marginal et que, par chance, la plupart des humains qui nous entourent sont le fruit d’une relation consensuelle, pour le meilleur et pour le pire.

Sources: Le journal de Montreal/ Marie Claire

Relaciones Ambivalentes: causas y consejos

A veces el camino más largo pueden ser los casi 46 cm q hay entre la cabeza y el corazón» – Dan Bobisnki. Las parejas estilo “ni contigo, ni sin ti” son aquellas que no pueden estar juntas y a la vez, no pueden finalizar completamente la relación. Reconocemos a estas parejas porque tienen en común que finalizan y retoman la relación numerosas veces, que un miembro de la pareja busca el compromiso mientras que el otro miembro está en una indecisión: sí, pero no, a la vez que en la relación predominan los sentimientos de incertidumbre, desequilibrio, inseguridad e insatisfacción. En este artículo de PsicologíaOnline, hablamos sobre las relaciones ambivalentes de pareja, cuáles son sus causas y mostramos algunos consejos para lograr salir de ellas.

Causas de las relaciones ambivalentes

Cuando nos encontramos dentro de una relación de este tipo, intentamos buscar explicaciones y causas para entenderlo. Según Walter Riso, existen 4 causas por las que las personas mantienen una relación ambivalente:

  1. El apego sexual: cuando la sexualidad es lo que existe en la pareja, se produce una atracción-rechazo. Una vez cubierta la necesidad sexual, las otras áreas de la relación, como son la intimidad y el compromiso están demás, por lo que ante cualquier manifestación de estos componentes, la persona ambivalente huye.
  2. La intolerancia a la soledad: se produce cuando una persona no puede gestionar su soledad y necesita de otra para rellenar ese vacío, por lo que cuando la pareja está a su lado, comienza a echar de menos la soledad e independencia de la que disfrutaba antes y por consiguiente, se aparta de la pareja. Una vez en la distancia, se siente solo o sola y busca nuevamente a su pareja para completar ese vacío, convirtiéndose en un círculo vicioso.
  3. Miedo al compromiso: generalmente la persona ambivalente no comenta a su pareja que no quiere comprometerse, por lo que aparentemente la relación parece equilibrada, pero cuando ésta va evolucionando, pasando a ser más íntima y a profundizar en niveles más personales, la rechaza y pone distancia.
  4. La culpa: la persona no es capaz de terminar su relación, así que cuando están separados, se muestra encantadora y cariñosa con su pareja, pero cuando está cerca, al no querer ocupar ese lugar, se enfada y manifiesta rabia.

Cómo salir de una relación ambivalente

El estar inmersos en una relación ambivalente genera desgaste emocional y sufrimiento, sobre todo para la persona que desea una relación más equilibrada y comprometida. Este autor propone una serie de estrategias que puedes llevar a la práctica para afrontar una relación en la que la ambigüedad afectiva está presente:

  • Rechaza el desamor: es normal que en algún momento de nuestra relación surjan dudas acerca de si te quieren o no, pero que se convierta en una constante no es justo ni saludable para la relación. Si tu pareja te desprecia y te demuestra desamor frecuentemente, intenta alejarte, sé que es difícil, pero estar con una persona con la que no te sientes amada o amado hace mucho daño y no te lo mereces.
  • Sé independiente emocionalmente: cuando decidas poner fin a este círculo de amor/desamor, descubrirás que tienes más control sobre tus emociones y no te sentirás manipulada o manipulado. Las emociones que sientas serán las tuyas propias y no se verán influidas por el estado de ánimo de tu pareja.
  • Intenta no buscar explicaciones: esta estrategia es la más utilizada, se pretende buscar las causas y explicárselas a la pareja con la finalidad de que cambie y se comprometa en la relación. Si la habéis puesto en práctica, habréis comprobado que no tiene los resultados esperados. Esta pauta está relacionada con la siguiente:
  • Eres la pareja y no su terapeuta: las personas que sufren una relación ambivalente intentan ayudar a la persona que no quiere comprometerse. Buscan ejemplos favorables en otras personas, investigan sobre el tema… En realidad, quién tiene la duda o el conflicto sin resolver es tu pareja. Tú tienes claro que amas a esa persona, así que sea tu pareja la que decida despejar sus dudas.
  • Objetividad: cuando estamos enamoradas o enamorados damos más credibilidad a las palabras que a los actos. Piénsalo. Si nos ha prometido que va a cambiar, que todo irá mejor y que nos demostrará más cuánto nos quiere… ¿lo ha hecho? Si la respuesta es NO o puede que haya cambiado durante un corto período de tiempo, pero después ha vuelto a su actitud distante, ¿por qué va a cambiar ahora?

Sé que salir de una relación ambivalente es muy difícil, a la vez que doloroso, ya que la forma de amar “ni contigo ni sin ti”, produce un “enganche emocional” del que es complicado desligarse. Pero si quieres disfrutar de una relación comprometida, en la que sientas que te quieren y valoran y en la que no sufras por amor, proponte un cambio. Si ves que por ti misma o ti mismo no puedes, acude a una profesional que te guíe y acompañe en el proceso de construir un concepto sano y equilibrado del amor y de las relaciones afectivas, para que puedas disfrutar del amor.

Vanessa Gómez

Relaciones Ambivalentes: causas y consejos - Cómo salir de una relación ambivalente

ÊTES-VOUS DU GENRE À VOUS AUTOSABOTER?

L’autosabotage c’est s’empêcher de manière inconsciente de réussir sa vie. Les personnes se mettent en échec par des comportements ou actions dont ils ne sont pas conscients.

Pourquoi une personne s’autosabote-t-elle à ce point ? À CAUSE DE SON EGO DONT ELLE N’EST PAS ASSEZ CONSCIENTE. L’ego agit à travers les cinq blessures : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice. Voici les différents comportements de sabotage selon les blessures.

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(Afin de définir votre degré de sabotage, comptez les énoncés où vous vous reconnaissez.)

REJET 

  • Quand je me considère comme nul·le, pas assez bon·ne ou parfait·e, je n’obtiens pas le poste qui m’aiderait à me valoriser.
  • Dans un groupe, je me coupe des autres en espérant qu’ils viendront vers moi mais il se passe le contraire.
  • Je fuis à l’aide d’alcool ou de drogue pour me sentir mieux alors qu’après je me sens pire.
  • Je garde mes peurs à l’intérieur de moi ce qui les amplifie au lieu de m’aider.
  • J’imagine des scénarios qui faussent ma réalité.
  • Dans un groupe, je reste en retrait. Je crois ne pas être assez intéressant·e alors que ce que j’ai à dire pourrait aider les autres à me juger d’intéressant·e et d’intelligent·e.
  • Je suis tellement perfectionniste que je recommence sans cesse la même chose ce qui m’empêche d’accomplir plus dans le même temps.
  • Je ressasse sans cesse la même chose croyant m’aider à être plus parfait·e. Je réussis seulement à perdre de l’énergie à chercher l’impossible.

ABANDON

  • Je cherche tellement la présence des autres qu’ils finissent par trouver des excuses afin de ne pas être avec moi.
  • Je cherche à recevoir de l’attention en me créant des malaises et des maladies alors que c’est moi qui dois subir les conséquences de ces maladies.
  • Je dépends d’une autre personne pour m’appuyer dans un projet que je pourrais très bien réussir seul·e.
  • J’attends l’accord d’un·e autre avant de passer à l’action croyant que son accord est une preuve d’amour. Cela a souvent pour résultat que je finis par ne rien faire.
  • Avant de passer à l’action, je demande l’opinion de beaucoup de personnes pour avoir de l’attention et je finis par ne plus savoir ce qui est bon pour moi.
  • Je suis jaloux·se dans mes relations (de couple, amicales, familiales) et cela finit par éloigner la personne que j’aime.
  • Je fais des pirouettes pour la personne que j’aime en croyant qu’elle m’aimera davantage. Ensuite, je dois assumer le fait de ne pas avoir écouté mes besoins.
  • Je n’ose pas prendre ma place en présence d’une personne en colère ou agressive. Ensuite, je me sens seul·e et déçu·e de moi.
  • Je choisis d’endurer une relation difficile pour ne pas être abandonné·e alors que je me sens de plus en plus seul·e dans cette relation.

HUMILIATION

  • Je fais tout pour être digne de Dieu / d’une autorité suprême ce qui a pour conséquence que je n’écoute pas mes besoins.
  • Je fais passer les besoins des autres avant les miens. Je crois qu’ils feront pareil avec moi et je m’attire de nombreux désappointements.
  • Je n’ose pas être vrai par peur de nuire à quelqu’un, ce qui affecte mes relations.
  • Je suis trop porté·e à excuser les autres, ce qui fait qu’ils profitent souvent de moi.
  • Je me retiens dans ma sexualité et l’expression de ma sensualité, ce qui me fait déborder dans l’amour de la nourriture, surtout sucrée.
  • Je m’occupe beaucoup des autres, m’empêchant ainsi d’être libre de satisfaire mon besoin de me faire plaisir physiquement.
  • J’ai une fausse interprétation de la spiritualité ce qui m’empêche de vivre la vie sexuelle qui me conviendrait.
  • Je suis facilement dégouté·e de moi-même, ce qui m’empêche d’admettre que je suis une belle personne et généreuse.
  • Je grossis facilement parce que je me sens coupable de jouir de mes sens en mangeant.

TRAHISON

  • J’utilise mes qualités de chef et tous les moyens en mon pouvoir pour imposer ma volonté. Je veux que les autres me reconnaissent, mais je crée ainsi l’opposé.
  • Je veux que les autres me trouvent important·e et indispensable alors que je les éloigne davantage.
  • Je suis porté·e à mettre le blâme sur l’autre pour paraître important·e et sans failles alors que cette attitude m’éloigne de l’autre.
  • Je cherche à paraître spécial·e en recherchant les honneurs et la reconnaissance des autres, ce qui a pour effet de les éloigner.
  • Je mens facilement quand j’ai peur de perdre ma réputation alors que c’est cette attitude qui me donne une mauvaise réputation.
  • Je crois qu’en donnant des ordres je serai perçu·e comme une figure d’autorité. Au contraire, je perds le respect de l’autre.
  • J’aime bien tout prévoir pour mieux contrôler, mais je perds facilement le contrôle s’il arrive un imprévu.
  • Je n’ose pas parler de mes faiblesses, voulant paraître fort·e, ce qui a pour effet qu’on exige davantage de moi.
  • Je suis souvent sûr·e d’avoir raison et j’aime bien avoir le dernier mot pour paraître important·e et connaissant·e, ce qui a pour conséquence que l’autre n’a plus envie de me parler.
  • Je crains tellement que les autres me jugent d’être dépendant·e que je me force à être indépendant·e, ce qui a pour effet d’éloigner les autres de moi

INJUSTICE

  • Je me crois apprécié·e pour ce que je fais et non pour ce que je suis, ce qui implique que je suis toujours très occupé·e.
  • Je crois que je me sentirai mieux quand tout ce qui est sur ma liste sera fini, ce qui me rend la plupart du temps insatisfait, car cela arrive rarement.
  • Je recherche les compliments en voulant être le/la meilleur·e dans tout. Par conséquent, les compliments ne sont jamais à la hauteur de mes attentes.
  • Par peur de me tromper, je procrastine tellement que je finis par ne rien faire, car il est trop tard.
  • Je ne me permets pas de pleurer afin d’être parfait·e alors que les autres me jugent d’être froid·e et me trouvent inhumain·e.
  • Je me contrôle pour ne pas montrer ma colère. Cette colère retenue se retourne contre moi et me cause des maux de tête, des problèmes de digestion et bien d’autres malaises.
  • Je suis dur·e et exigeant·e envers mon corps ce qui a pour conséquence de me créer un problème physique sérieux.
  • Quand j’interromps une personne qui n’est pas juste et correcte dans ses propos, je crois l’aider alors que cela nuit à notre relation.
  • J’aime montrer toutes mes connaissances croyant ainsi être plus apprécié·e des autres alors que cela les éloigne, car ils se sentent inférieurs.

Pour obtenir le pourcentage de votre sabotage, faites le total de vos attitudes et comportements et divisez par 45.

S’il arrive souvent quelque chose qui vous empêche d’avoir, de faire ou d’être ce que vous voulez, je vous suggère de demander à vos proches quelles façons vous utilisez pour vous saboter. Pourquoi pas leur demander de répondre à ce test en votre nom. Cela vous permettra d’être davantage conscient et de vérifier si vous êtes capable de bien vous évaluer.

À l’avenir qui vous dirigera ? Votre ego ou votre coeur ? Écouter les besoins de votre cœur et de votre âme est la raison majeure de votre présence sur terre.

Avec amour,

Lise Bourbeau

Cómo olvidar a alguien que te gusta mucho

Cuando nos gusta demasiado una persona y hemos estado compartiendo con ella muchas vivencias, incluso sin haber tenido una relación como tal, nos es difícil olvidar a esa persona, sobre todo, si ha dejado una huella emocional grande en nosotros. ¿Cómo olvidar a una persona?, ¿cómo olvidar a alguien que te gusta mucho? En este artículo de Psicología-Online, vamos a darte una serie de consejos útiles para que finalmente puedas saber cómo olvidar a esa persona que te gusta y no te corresponde.

¿Por qué cuesta olvidar a alguien que te gusta mucho?

Algunas de las causas más comunes por las cuales nos cuesta mucho olvidar a alguien que nos gusta mucho son las siguientes:

  1. Estar enamorado(a). Como ya dijimos anteriormente, cuando nos enamoramos, hasta nuestra química cerebral cambia y realmente es como si en esos momentos nos encontráramos siendo y actuando como si fuéramos otra persona. Una persona enamorada es capaz de hacer casi cualquier tipo de locuras por la persona amada sin pensar incluso en las posibles consecuencias, idealizamos demasiado a esa persona  llegando a pensar que es perfecta, nos encanta su compañía y sentimos las famosas “mariposas en el estómago” con solo verla. Esto provoca que el separarnos de ella nos cause tanto dolor y frustración.
  2. Haber pasado mucho tiempo con él (ella). Otra cuestión importante a tomar en cuenta es el tiempo que invertimos en esa persona, sobre todo, si la solíamos frecuentar bastante e incluso ya formaba parte de nuestra rutina diaria. Por lo que ahora que estamos sin ella, nos podemos llegar a sentir solos y desubicados.
  3. Haber tenido muchas cosas en común. Cuando sentimos con otra persona una conexión muy fuerte, nos sentíamos comprendidos fácilmente por ella y teníamos muchas cosas en común que nos agradaba, esto hace que el lazo que nos había unido haya sido muy fuerte, por lo que evidentemente se vuelve más difícil de superar el término de la relación.
  4. Tener aún contacto con él (ella). Cuando nos gusta mucho una persona, si pretendemos olvidarla pero seguimos manteniendo el contacto con ella, es más difícil que podamos superarla. Esto es debido a que el seguir en contacto provoca que no perdamos la esperanza por estar nuevamente a su lado y vivimos como en una especie de montaña rusa emocional que no nos permite estar tranquilos.
  5. Estar al tanto de lo que hace. Cuando tenemos, por ejemplo, a esa persona en redes sociales y estamos constantemente mirando qué es lo que hace o deja de hacer, qué es de su vida, con quién sale, etc., únicamente hacemos que se prolongue más nuestro dolor.
  6. Tener amigos en común. Cuando se tienen amigos en común con la persona que te gusta mucho es más difícil olvidarla, ya que seguirá siendo siempre tema de conversación entre ellos e incluso tendrás que convivir con ella continuamente, lo que dificultará más tu proceso de superación.

Cómo olvidar a alguien que te gusta mucho y no te corresponde – 6 consejos útiles

Cuando nos enamoramos de alguien, incluso nuestra química cerebral cambia y esto nos genera la sensación de querer estar todo el tiempo con esa persona, sentimos que nuestro mundo gira en torno a ella y experimentamos el doble de felicidad cuando estamos a su lado. Sin embargo, cuando ya no estamos más con esa persona, ocurre todo lo contrario y esa gran felicidad se puede llegar a convertir verdaderamente en una pesadilla. Si te encuentras en esta situación y no sabes cómo superar a alguien, cómo olvidar a un amor o cómo olvidar a un ex, a continuación encontrarás los consejos que necesitas.

Consejos para olvidar a alguien que ya no te quiere

¿Cómo olvidar a alguien que no te quiere? Algunos consejos que pueden ayudarte a olvidar a alguien que te gusta mucho y a dejar de sufrir por no estar a su lado, son los siguientes:

  1. Pierde el contacto con esa persona. Es necesario, por lo menos hasta que hayas superado esa situación, que pierdas el contacto totalmente con la persona que te gusta mucho. Deja de seguirla en redes sociales, de frecuentar lugares a los que suele acudir con frecuencia, de hablar con ella constantemente, etc. Por lo menos por un tiempo, intenta no saber nada de esa persona.
  2. Dedica tiempo a ti mismo(a). Deja de invertir tiempo en hablar de esa persona, en tratar de buscarla y/o pensar en ella y enfócate en ti. Recuerda las cosas que tanto disfrutas, tus aficiones, pasa tiempo con tus amigos, familia y las personas que más te importan. Trata de hacer lo que esté en tus manos para aumentar tu bienestar individual y dedícate únicamente a ello.
  3. Haz ejercicio. Si te sientes triste, abatido y tienes pensamientos constantes acerca de lo que viviste con esa persona, el ejercicio te va a ayudar a aumentar tu bienestar emocional y físico, hará que tu energía y entusiasmo incremente, lo que favorecerá a que puedas olvidar a esa persona.
  4. Evita hablar de esa persona. Si quieres desahogarte, habla de lo que sientes con una o dos personas de confianza. Lo que no es recomendable que hagas es que hables con todas y cada una de las personas que conozcas acerca de la que te gusta mucho, ya que refuerzas cada vez más lo que sientes por ella, la recuerdas en cada momento y, por lo tanto, tardarás mucho más tiempo en olvidarla.
  5. Dale tiempo al tiempo. No te desesperes si ahora te sientes incapaz de poder olvidar a esa persona, es normal que eso te ocurra, sin embargo, con el tiempo ese sentimiento va a ir disminuyendo y vas a poder sentirte mejor poco a poco.

¿Cómo olvidar a alguien que amas?

El dolor que ahora tienes es provocado en parte por tus propios pensamientos que no dejan de invadir tu mente en cada momento. Esos pensamientos que tienes a diario acerca de todo lo que viviste con esa persona y que ahora parece que los tengas a cada instante, no te permitirán realizar tu rutina diaria de manera normal ni estar tranquilo(a) aunque en estos momentos lo que estés experimentando sea positivo.

Consejos para olvidar a alguien que no te quiere

¿Cómo olvidar a un hombre o a una mujer que no te quiere? Es importante que aprendas a enfocar tu mente en el momento presente y que pongas toda tu atención en ello para que esos pensamientos de angustia y dolor provocados por la separación con esa persona, vayan cesando cada vez más. Una herramienta que es muy útil para que puedas lograrlo y entrenar a tu mente para que se encuentre más en el aquí y ahora, es el mindfulness o meditación, la cual te ayudará a encontrar más calma y tranquilidad en tu día a día y a eliminar esos pensamientos que solo te generan sufrimiento innecesario.

Comment gérer les déceptions dans votre vie ?

“Les meilleurs succès apparaissent après les plus grandes déceptions.” – Harry Ward Beecher

Vous êtes-vous déjà senti déçu(e) à propos de quelqu’un ou de quelque chose ?

Peut-être que vous n’avez pas obtenu la promotion souhaitée dans votre emploi. Ou bien vous avez raté une opportunité de carrière. Ou encore, une déception amoureuse. Une relation qui se brise. Un ami qui vous a trahi.

Comment l’avez-vous ressenti ? Cela vous a-t-il paralysé ou déprimé ? Et pour les cas les plus graves, avez-vous eu l’impression que votre monde s’écroulait ?

La déception est un sentiment de tristesse qui se produit lorsque quelqu’un ou quelque chose ne répond pas à vos attentes. Chaque jour, des personnes font face à la déception. Selon l’ampleur de la déception et votre façon de la gérer, ce sentiment peut disparaître rapidement, ou bien stagner dans votre vie un long moment.

Si les déceptions ne sont pas correctement gérées, elles peuvent mener à la dépression et éventuellement à l’apathie.

Avant d’aller plus loin et découvrir comment mieux aborder la déception, nous allons voir ce que vous ne devriez pas faire.

Les comportements à éviter lorsque l’on se sent déçu(e)

La plupart des gens ressentent un certain malaise lorsqu’ils font face à la déception. Parce que nous n’apprenons pas à gérer ce sentiment à l’école ou dans la vie en général, nous cherchons à le noyer et l’ignorer avec des comportements destructeurs. En voici quelques-uns.

1. Se distraire avec d’autres activités

Le réflexe le plus fréquent est de noyer sa déception dans des activités sans but. Faire la fête, grignoter, faire les boutiques, jouer à des jeux. Pour d’autres cela peut être l’alcool, les drogues ou le sexe. Tant que l’esprit est occupé par ces activités et comportements, il ne peut pas penser à cette déception douloureuse.

Bien que la plupart de ces activités effectuées modérément soit acceptable, lorsqu’elles sont utilisées pour anesthésier les sentiments négatifs que vous ressentez, c’est autrement plus problématique. Tout simplement parce que le problème de fond n’est jamais résolu.

C’est ce qui se passe par exemple avec les relations passagères. Une personne tente de surmonter une rupture douloureuse en se lançant immédiatement dans une nouvelle relation. Ce qui ne manquera pas de créer d’autres problèmes plus tard.

Vous pouvez vous sentir satisfait(e) sur le court terme, mais ce sentiment s’évapore rapidement lorsqu’une autre déception pointe son nez (ou qu’un événement vous rappelle celle que vous avez vécue). Vous continuez par la suite à vous distraire d’autant plus, et cela se transforme en un cercle vicieux dont il est difficile de sortir.

2. Nier vos désirs

La seconde manière de noyer votre déception est de nier vos désirs, faire comme s’ils n’existaient pas. D’apparence, vous prétendez que vous vous en fichez mais dans le fond, vous y repensez souvent. Vous essayez de vous conditionner à ne rien attendre des choses ou des autres, puisqu’on ne peut pas être déçu si nous n’espérons rien.

C’est le cas par exemple des personnes qui ont été marquées par des relations douloureuses. Elles ferment leur cœur aux autres et semblent se désintéresser complètement de l’amour. Pourtant, en secret elles espèrent trouver leur âme sœur.

Mais parce que ces personnes ont peur d’être à nouveau blessées, elles nient leur désir d’avoir une relation et refusent de laisser les autres entrer dans leur vie.

Plus le temps passe et plus vous devenez aigri, ce déni a créé une frustration intense qui vous revient à la figure chaque fois qu’on vous parle de cette situation ou de ce que vous désirez. Pas terrible, non ?

3. Abandonner vos objectifs

La troisième manière d’oublier votre déception est d’abandonner vos objectifs. C’est peut-être la pire des trois méthodes décrites jusqu’ici. Alors que vous aspirez à vos objectifs, vous vous résignez en vous disant que vous ne les atteindrez jamais. Vous vous dépréciez et vous dévalorisez, en pensant que vous n’êtes pas fait(e) pour accomplir quoi que ce soit.

Vous passez chaque jour à essayer de vous convaincre, vous et les autres autour de vous, que vous ne pouvez pas atteindre vos objectifs, alors qu’ils sont parfaitement à votre portée.

Qu’est-ce qui se produit lorsque vous ne gérez pas votre déception convenablement ?

Chaque fois que vous essayez de noyer votre déception, de nier vos désirs ou même d’abandonner vos objectifs, vous rejetez ce que vous êtes à l’intérieur. Vous rejetez vos buts, vos désirs et vos rêves, votre vrai Vous. Vous devenez alors l’ombre de vous-même, et même si vous prétendez que tout va bien et qu’au quotidien tout se passe bien, vous ne pouvez pas tromper votre inconscient.

Chaque jour, vous sombrez un peu plus dans cet état de déception et d’apathie.  Vous vivez comme un somnambule sans passion ni ardeur. Vous vous effondrez peu à peu sur vous-même.

Les 5 étapes pour sortir de la déception

Fort heureusement, vous n’êtes pas obligé(e) de vivre ainsi. Vous n’êtes pas la seule personne existante à être déçue. Tout le monde l’a été à un moment donné ; vos amis, votre famille, vos professeurs, vos collègues, vos patrons. J’ai personnellement fait face à des déceptions dans ma vie.

Vous n’avez pas le monopole de la déception. Même si cette émotion se déclenche sans que vous l’ayez voulu, vous pouvez tout de même apprendre à l’apprivoiser. Du moment que vous apprenez à gérer vos déceptions sainement, alors vous pourrez vivre votre vie pleinement aligné avec vos désirs et vos passions.

Nous allons voir à présent les 5 étapes pour apaiser votre déception :

Etape N°1 : Changer votre état de conscience

Chaque fois que vous vivez une expérience qui vous déçoit, vous glissez dans un état de conscience où vos pensées tournent autour de la peur, de la tristesse, le chagrin ou l’apathie. Parfois, ce sentiment de déception est si écrasant que nous avons l’impression que c’est la fin du monde.

En étant bloqué dans un tel état, vous ne pouvez pas penser logiquement. C’est pourquoi la première étape va être de changer cet état de conscience vers un état plus neutre ou plus positif, comme le désir, la volonté ou la raison, qui vous aidera par la suite à mieux réagir dans votre situation.

Recherchez des activités positives qui vous ressourcent. Quelles activités appréciez-vous faire ? Identifiez-les. Cela peut être d’écrire dans un journal intime, de marcher dans un parc, regarder un film joyeux, parler à des amis que vous appréciez…

Si lire votre livre favori vous stimule, alors allez chercher ce livre et commencez à lire. Si une promenade dans votre quartier vous permet de vous détendre, alors sortez de chez vous et profitez-en pour changer d’air.

Si jouer à des jeux vous rend plus heureux, allez-y et jouez-y (mais pas de manière excessive). Faites ce qui vous fait sentir au mieux. Parfois, il suffit de passer un peu de temps seul pour faire le vide de toutes les pensées négatives que vous avez accumulées.

Pour ma part c’est un peu tout à la fois, certains jours je préfère me détendre avec un livre, d’autres simplement changer d’air. Vous n’avez pas besoin de vous créer une routine particulière, juste de vous laisser guider par ce qui vous attire en prenant l’engagement de revenir à votre vie quotidienne par la suite.

Etape N°2 : Attachez-vous à votre désir, pas au résultat

Lorsque vous êtes déçu(e), votre source de déception est liée à votre attachement à un certain résultat. Lorsque la situation ne se déroule pas de la manière dont vous l’aviez imaginée, alors vous êtes déçu. C’est une réponse émotionnelle parfaitement naturelle.

Par contre, comprenez que votre but réel se cache derrière vos désirs. Il y a plein de manières différentes de satisfaire ce désir, ce n’est pas parce que vous n’avez pas obtenu le résultat escompté que tout a échoué.

Par exemple, imaginons que vous ayez un entretien dans l’entreprise A. Vous aimez ce secteur, les avantages sont géniaux et vous n’avez entendu que du bien de ladite entreprise. Vous imaginez sans mal que votre poste rêvé est là, dans cette entreprise.

Hélas, un autre candidat qui a mieux brillé que vous, vous vole la place. Pire encore, il se trouve que cette entreprise A a décidé de mettre en place un délai de 2 ans avant de pouvoir repostuler. Qu’allez-vous faire ?

En appliquant cette étape, vous apprenez à vous focaliser sur votre désir derrière cet emploi. Vous pouvez commencer à voir que cette entreprise A répondait à certains de vos critères, par exemple un emploi stimulant intellectuellement avec un environnement de travail dynamique.

Si c’est le cas, alors vous pouvez retrouver ce type d’emploi dans l’entreprise G ou H, voire même le créer vous-même avec votre propre entreprise. L’entreprise A n’est que l’une des nombreuses manières de satisfaire votre désir.

Ainsi,

  • Votre but est de décrocher un poste dans l’entreprise A.
  • Votre désir intérieur est de faire carrière qui stimule votre envie de défi, dans un environnement de travail dynamique.
  • Votre but de travailler dans l’entreprise A n’est qu’une projection de vos désirs intérieurs. Il y a plein d’autres façons de combler ce désir. Même si la voie qui mène à ce poste dans l’entreprise A est barrée (pour le moment), vous pouvez tracer d’autres chemins pour concrétiser votre désir, peut-être même meilleurs que votre voie originale (celle vers l’entreprise A).

Un autre exemple où les personnes s’attachent un peu trop au résultat sont les relations. Imaginons que vous aimiez la personne A. Vous voulez être avec lui/elle, mais cette personne n’éprouve pas la même chose pour vous. Vous pourriez vous sentir blessé(e) ou déçu(e), mais arrêtez-vous quelques instants pour penser à la chose suivante : Que désirez-vous réellement ?

Ce que vous désirez c’est probablement une relation d’amour authentique et sincère avec quelqu’un. Cette personne A n’est qu’une parmi de nombreuses autres personnes dans ce monde dont vous pouvez tomber amoureux. Il ou elle n’est pas la seule personne que vous êtes capable d’aimer ; il y a beaucoup d’autres gens là dehors avec qui vous pourriez être compatible.

Ainsi, au lieu de lier toutes vos attentes à cette unique personne, reconnectez-vous à votre désir intérieur qui est d’éprouver et de vivre une relation qui vous satisfait.

A présent posez-vous cette question : Quel est votre désir profond qui vous motive à rechercher cet objectif particulier (carrière, relation, finances, santé, spiritualité…) ? Découvrez-le et notez ce qui vous vient.

Maintenant imaginons que vous êtes aujourd’hui au point A (chômage, solitude, pauvreté…) et que vous voulez à tout prix arriver à un point B spécifique (une offre d’emploi, une personne, un salaire…). Quel est ce désir qui vous pousse à avancer vers ce point B ?

Connectez-vous à ce désir, laissez votre imagination dessiner votre situation idéale, puis réalisez enfin que le point B n’est qu’une des nombreuses destinations vers laquelle vous pouvez aller. Il y a plein d’autres voies possibles, comme le point C, D, E… jusqu’à Z. Celles-ci satisferont votre désir tout aussi bien, sinon mieux que le fameux point B auquel vous vous accrochez.

Concentrez-vous donc sur ce désir intérieur, et pas sur cette chose ou personne dont vous pensez qu’elle pourra combler ce désir. Il n’y a pas qu’une seule manière de le réaliser, tous les chemins mènent à Rome paraît-il.

Etape N°3 : Libérez-vous de vos attentes

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Tout comme le sentiment d’impatience, la déception est souvent liée à une attente particulière. Comme si la réalité devait se conformer à ce que vous attendez d’elle. Bien des personnes enchaînent ainsi les déceptions parce qu’elles n’arrivent pas à voir la réalité telle qu’elle est réellement.

Si vous êtes déçu(e) par quelqu’un ou quelque chose, cela signifie que vos attentes ne correspondent pas à la réalité. Votre perception des choses est biaisée, un peu comme si vous portiez des lunettes qui déforment le monde que vous voyez.

Par exemple, disons que vous imaginez recevoir une promotion au travail après avoir fait un travail exceptionnel qui vous a demandé beaucoup d’efforts. Mais votre travail est passé inaperçu, personne ne vous a félicité. Vous vous sentez alors déçu(e). Ici, votre perception que “travailler dur = récompense” est fausse.

Il existe plusieurs manières de travailler. Peut-être avez-vous fait plus que ce qu’on vous a demandé par perfectionnisme  peut-être que le projet à l’origine n’était pas si important que ça pour la hiérarchie, ou peut-être encore que vos collègues ont été plus productifs que vous.

Dans votre esprit, vous continuez de vous attacher à cette notion que “tout effort doit être récompensé”. Mais c’est une illusion. Ce n’est pas la réalité. Pourtant, cette idée est comme une bouée de sauvetage pour vous, sans elle vous angoissez. Vous avez toujours agi dans votre vie avec cette croyance, mais aujourd’hui elle vous empêche d’aller de l’avant et de vous épanouir.

Faire face à la déception exige de vous de laisser tomber ces fausses croyances et vos attentes. C’est pourquoi, dès que vous ressentez de la déception demandez-vous : “À quelle croyance je m’accroche ? Avec quelles fausses perceptions je regarde le monde qui m’entoure ? Qu’est-ce que j’attends de la réalité et que je n’obtiens pas ?”

Demandez-vous comment et quand vous avez développé ces fausses idées, celles qui maintiennent cette illusion que vous avez construite. Prenez-en conscience, et libérez-vous en. Cette illusion vous empêche d’agir de manière constructive sur votre situation et de vivre la vie comme vous le désirez.

Si l’on reprend l’exemple des relations dans l’Etape N°2, c’est-à-dire que vous êtes déçu(e) parce que la personne A ne veut pas vous aimer en retour. Vous avez l’impression d’avoir perdu ce qui aurait pu être une merveilleuse relation.

Cependant, c’est une illusion qui se joue dans votre esprit. Si cette personne ne veut pas être avec vous, peu importe ses raisons personnelles, il ou elle n’est pas la personne qui satisfera votre désir d’une relation amoureuse épanouie.

Il ou elle n’est pas la personne qui peut vous donner ce que vous désirez. Cette croyance qu’il ou elle est la seule personne qui peut vous apporter ce dont vous avez besoin est incorrecte, et il est temps de vous en libérer.

Etape N°4 : Comprendre qu’il n’y a pas d’échec

La plupart des gens se sentent déçus parce qu’ils pensent avoir raté quelque chose. Comme si une opportunité venait de s’envoler sous leurs yeux.

Vous avez cru qu’il suffisait de travailler dur et que tout irait pour le mieux, ou bien que tout sacrifier pour cette personne vous apporterait son amour et sa reconnaissance.

Cette expérience vous montre que votre façon de penser n’était pas bonne. Que votre méthode ne produit pas le résultat que vous escomptiez. Ainsi, vous allez probablement changer d’approche, agir différemment pour satisfaire ce désir intérieur tout en tenant compte de la réalité qui vous entoure.

Votre déception vous aide donc à avancer vers ce but. Cela ne vous en éloigne pas, comme vous pouviez le croire auparavant.

Vivre cette déception vous a permis d’en apprendre plus sur vous, sur votre situation, ou sur le monde. Vous avez acquis quelque chose de précieux, une connaissance importante dans votre vie. Comment croire alors que vous ayez vécu un échec si cette situation vous a rendu meilleur ?

Comme dit l’adage “Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort”. Avec cette leçon, vous devenez quelqu’un de meilleur. Vous devenez plus fort(e). Vous avez atteint un nouvel état de conscience, de croissance qui a élargi vos horizons.

Etape N°5 : Faites de votre mieux

Enfin, faites de votre mieux. Beaucoup d’entre nous avons tendance à nous blâmer dès que les choses ne vont pas comme nous le désirons. Nous nous blâmons pour tout ce qui ne va pas dans notre vie.

C’est inutile. Cela ne sert à rien de se maltraiter chaque fois que quelque chose ne va pas. Il n’y a pas non plus de raison d’imaginer que tout ira parfaitement en toutes circonstances. A l’inverse, il est même naturel que certaines choses aillent mal. Dans l’ordre naturel des choses, il y aura toujours des moments où cela ira “bien” et d’autres où cela se passera “mal”.

Mais si nous nous concentrons toujours sur ce qui va mal, plutôt que sur ce qui va bien, alors nous cultivons cet état de mal-être, de déception et de frustration. Nous imaginons et anticipons les expériences négatives pire qu’elles ne le sont en réalité, parce que nous les rejouons constamment dans notre tête.

C’est un peu comme la vision du verre à moitié plein ou à moitié vide, les deux sont vrais et ce n’est que lorsque l’on tient compte des deux réalités que nous voyons les choses telles qu’elles sont. Le verre est simplement à moitié rempli.

Pour toutes les choses qui ont mal tourné, concentrez-vous plutôt sur ce que vous avez appris de ces expériences. Tirez-en des leçons, et faites du mieux que vous le pouvez pour rediriger votre attention vers les autres voies qui s’offrent à vous, plutôt que sur l’obstacle qui a barré votre route. C’est de cette façon que vous obtiendrez enfin la vie que vous désirez.

Aller de l’avant

Gérer les déceptions n’est pas une tâche facile. Mais si vous travaillez sur les étapes décrites plus haut, vous arriverez à sortir la tête de l’eau. Vous commencerez enfin à vivre en dehors de ces sentiments négatifs, en vous concentrant sur vos désirs, au lieu de rester bloqué sur le résultat. Vous avez vos buts et vos désirs sont la boussole qui vous donnent la direction à suivre pour les atteindre.

Dans chaque situation, choisissez l’action qui vous permet de vivre le plus en accord avec vous-même, dans la limite de vos capacités. Tant que vous faites cela, vous n’aurez aucune raison de vous sentir mal, car vous aurez fait tout ce que vous pouviez et vous pourrez être fier de vous.

Lorsque vous commencerez à agir, vous découvrirez que vous êtes capable de vivre libéré de vos attentes, des résultats. Vous serez capable de canaliser vos désirs pour construire cette vie idéale qui vous ressemble.

Adam Fartassi

Cómo renunciar a un trabajo que no me gusta

Uno de los principales focos de sufrimiento es aquel que experimenta una persona cuando realiza un trabajo que no le gusta y convive con una lucha interior constante que muestra un debate emocional entre abandonar ese puesto o seguir en él.

Renunciar a un trabajo es una decisión que produce vértigo a nivel emocional puesto que la estabilidad económica es una base sólida para hacer planes de futuro y surge el miedo de no encontrar otra oportunidad en un breve plazo de tiempo. El vértigo aumenta cuando el protagonista quiere dar un giro en su profesión, por ejemplo, cuando desea cambiar de sector. ¿Cómo renunciar a un trabajo que no me gusta? En Psicología-Online te damos estas ideas.

Quiero dejar mi trabajo pero me da miedo: 4 consejos

A continuación, te damos ideas para afrontar saber cómo renunciar a un trabajo que no te gusta:

1. Asume las consecuencias

Muchas personas hacen un trabajo que no les encanta, sin embargo, no sienten la necesidad de dejar ese puesto porque encuentran algo positivo en él. Cuando has llegado a la conclusión de que quieres dejar tu trabajo porque este empleo no te gusta, este hecho adquiere una visión trascendente en tu vida. Estás en un punto en el que sientes que estás perdiendo mucho tiempo alejado del lugar en el que realmente te gustaría estar. Por tanto, acepta tu decisión y también las consecuencias.

2. Observa aquello que ganas con esta decisión

Es frecuente posponer la decisión de dejar ese puesto de empleo porque la persona se centra en la sensación de pérdida asociada a esta experiencia. Sin embargo, también existe una ganancia. Pierdes un puesto de trabajo pero también ganas el tiempo necesario para dedicarte en exclusiva a ese proyecto personal que ahora quieres emprender.

Para establecer tus propias conclusiones elabora una lista con aquello que pierdes y que ganas al tomar esta decisión.

3. Habla con tu jefe

Al renunciar a un trabajo que no te gusta es fundamental que tu jefe sea la primera persona que conoce esta situación. También es importante que comuniques la noticia con el tiempo suficiente para que tu marcha no suponga un inconveniente en la agenda de la empresa. Al anunciar esta noticia con tiempo, facilitas que la empresa pueda tomar las decisiones efectivas de recursos humanos para cubrir tu puesto.

No te despidas poniendo el foco en lo negativo sino en lo positivo de esta oportunidad por la que debes mostrar gratitud.

4. Cuál es tu plan

No dejes tu puesto de empleo sin tener un proyecto. Eso no significa que de manera necesaria tengas que esperar a tener otro empleo para tomar esta decisión, sino que es recomendable que sepas qué vas a hacer el día después de haber renunciado. Ya que, en caso contrario, tal vez te arrepientas poco tiempo después si no tienes una meta en la que concentrarte a partir de entonces. Por ejemplo, tal vez tengas el proyecto de volver a estudiar a la universidad , a lo mejor deseas cursar un itinerario de Formación Profesional, quizá tengas un plan de acción de búsqueda activa de empleo o quieras tomarte un año sabático. ¿Cuál es tu plan?

4 Razones para dejar un trabajo que no te gusta

«Odio mi trabajo y quiero renunciar: ¿qué hago?»

El factor profesional es tan importante en la vida de una persona que es frecuente infravalorar la propia insatisfacción profesional dando a este malestar cierta invisibilidad ante uno mismo y ante los demás. Sin embargo, existen motivos por los que, cuando la infelicidad es real y continua en un puesto de trabajo, conviene tomar alguna decisión al respecto:

  • Puedes encontrar nuevas oportunidades. Un empleo que no te gusta y que te hace infeliz te roba tanta energía que prácticamente no te quedan fuerzas para pensar en otras alternativas. Sin embargo, la realidad es que ese puesto no es tu única oportunidad posible, puedes pensar en distintas alternativas para crear nuevas opciones de suerte.
  • Mereces ser feliz en el trabajo. No se trata de un capricho. Pasas tantas horas de tu vida en la oficina que es importante poner en valor el salario emocional como un concepto que muestra la satisfacción personal que experimenta un profesional en sus tareas. ¿Por qué resignarte a esta situación cuando puedes abrir nuevas puertas? A lo mejor con un cambio en tu vida laboral, podrás lograr tener una actitud positiva en el trabajo.
  • Ya has hecho todo lo que podías hacer para intentar cambiar de actitud en esta etapa profesional. Sin embargo, sientes que por mucho que lo intentes, objetivamente, este trabajo se ha convertido más en una carga que en un disfrute. Y esto afecta incluso a tu propia vida personal.
  • Valentía. No es fácil tomar esta decisión, es muy importante valorar antes los pros y los contras para que, una vez dado el paso, no te quede ninguna duda de que tomaste la opción correcta para ti. Aquella opción que era la que tú deseabas. No es fácil dar este paso, sin embargo, es un acto de valentía que ha llevado a otras personas a conquistar su felicidad como creadoras de su destino. Y el ejemplo de esas personas puede servirte de inspiración a ti.

    Cuándo dejar o salir de un trabajo que no te gusta

    La vocación no es un concepto que esté pasado de moda sino un término que conecta con esa misión que un ser humano siente que debe cumplir para ser realmente feliz. Y no existe una edad en la que este término deje de tener importancia. Los sueños laborales pueden cumplirse a edades muy diferentes. Algunas personas alcanzan esta posición más allá de los 40 o los 50. Tu propia felicidad profesional es un bien que trasciende más allá de ti mismo puesto que cuando tú eres feliz en tu trabajo también eres más productivo y tu actitud es más optimista.

    ¿Por qué escuchar la llamada de la vocación profesional?

    El tiempo pasa demasiado rápido y el reloj solo avanza hacia el futuro, por tanto, es imposible cambiar el pasado. Una de las experiencias más dolorosas es aquella que puede sentir una persona cuando al recordar el camino realizado se pregunta qué hubiese pasado en caso de arriesgar, es decir, en caso de haber dejado ese puesto de trabajo en el que se sentía eternamente infeliz para seguir ese otro camino visualizado durante tantas veces con motivación.

    Una persona tiene más opciones de triunfar cuando concentra su esfuerzo, su atención y su energía en un sector que le apasiona puesto que, además, disfruta más durante el proceso. Cuando una persona elige tomar el camino de la vocación personal, mejora su confianza en el trabajo.

    ¿Cuánto tiempo tengo para presentar mi renuncia?

    Si estás pasando por una situación de este tipo, tómate tu tiempo para pensar en qué es aquello que quieres hacer y qué es lo que más te conviene. Busca asesoramiento individual si lo necesitas.

                 Fuente: psicología on-line

Surmonter l’infidélité : possible ou impossible?

Qu’est-ce qui s’est passé? Est-ce que je suis trop vieille? Est-ce que la vie de famille lui a fait peur? Est-ce que c’est sexuel? Est-il insatisfait? L’adultère touche autant les hommes que les femmes et nous impose une remise en question dont on se serait bien passé.

L’amour est aussi complexe que les humains qu’il habite. La plupart du temps, le trompeur, la personne trompée et l’amant ou la maitresse souffrent tous en silence. J’entends d’ici « la s****e, la va**e, je m’en moque de ses sentiments! » En effet, la haine est souvent la meilleure amie de notre tristesse et de notre désarroi. On assiste, impuissants, à l’effritement de 5, 10 ou 20 années de bonheur et on doute de tous les moments que l’on croyait sincères. Notre échelle de valeurs s’effondre, notre famille n’est plus la même, notre cœur se vide…

D’abord, qu’est-ce que tromper?

Il parle régulièrement avec son ancienne copine, il a couché avec une collègue, il a embrassé sa meilleure amie, il est amoureux de la réceptionniste… Pour certains, être amoureux d’une autre est ce qu’il y a de pire alors que pour d’autres, c’est l’acte physique. En général, les gens qui pardonnent le font plus facilement à la suite d’une histoire d’un soir qu’après une relation qui implique des sentiments.

L’adultère n’est absolument pas un nouveau phénomène de société. Ce n’est pas la faute d’internet ou d’un milieu de travail puisqu’on retrouve des histoires d’adultère vieilles comme le monde.

D’un côté, l’Ancien Testament relate des histoires d’adultère qui se sont soldées par une violence innommable. De l’autre, la royauté française et les poètes ont donné beaucoup de caractère aux maitresses, vues comme des gourmandises plutôt que des menaces brisant les ménages. Ainsi, on a vu l’adultère libérer des gens de relations malsaines et en faire mourir d’autres d’amour…

Mais pourquoi?

Selon Gérard Leleu, médecin et sexologue français, les origines de l’adultère proviennent de besoins légitimes insatisfaits :

  • quand l’un rend la vie impossible à l’autre (41 %)
  • quand l’un ressent un manque d’attention et de tendresse (36 %)
  • quand l’un ressent la perte de désir dans le couple (23 %).

Que faire quand on n’a plus envie d’être avec quelqu’un? Ou quand on n’aime plus vraiment celui ou celle à qui on avait promis son cœur? Pour certaines personnes, tromper est un moyen rapide de mettre un terme à une relation insatisfaisante. Se laisser dans une tempête peut sembler plus efficace qu’une discussion de rupture qui implique des larmes et des promesses de faire mieux quand on sait que tous les efforts ne pourront jamais créer un amour qui n’existe pas.

C’est probablement par manque de courage qu’une personne sabote volontairement son couple. Ce n’est pas très héroïque, soit! Mais la bravoure n’est pas toujours innée. Ce peut aussi être pour d’autres raisons, comme une homosexualité réprimée qui revient au galop et qui ne laisse pas place au pardon ou à la thérapie de couple.

On aime bien trouver un coupable. Identifier la source de nos ennuis pour l’éliminer, même au sens figuré, mais parfois ce n’est la faute de personne. Parfois, il faut lâcher prise et accepter que la relation qu’on chérissait soit bel et bien terminée.

Un choix à faire

Le malaise lié à l’adultère provient surtout du mensonge, de l’effet de surprise et de la façon d’interpréter la chose. Quand on vient d’apprendre que notre mari est allé voir ailleurs, on est prise au dépourvu. Au début – et c’est normal –, on ressent un mélange d’humiliation et de rancœur. Ces sentiments s’estompent toutefois avec le temps. Si votre conjoint vous demande de lui pardonner, plusieurs choix s’offrent à vous : partir temporairement afin d’y voir plus clair, partir pour de bon ou rester. Dans tous les cas, les gens qui se parlent sincèrement et calmement ont de meilleures chances de trouver le bonheur, ensemble ou séparément.

Rester

Si vous comprenez la situation et que, par exemple, vous considérez que la situation s’envenimait déjà pour une raison quelconque ou si vous croyez que les choses peuvent s’arranger et que vous avez crevé un abcès, vous êtes prête à lui pardonner. Dans ce cas, vous devrez tenter de comprendre les causes de cet adultère afin que ça ne se reproduise plus et pour ne pas sombrer dans la paranoïa. L’important est de reconstruire en regardant vers l’avenir et non en ressassant le passé.

Partir

Si vous croyez au fond de vous que vous lui en voudrez toujours, si vous souhaitez faire de sa vie un enfer et que vous croyez qu’il ne mérite plus d’être heureux, partez. Vous ne voulez pas devenir une marâtre et être malheureuse simplement parce que vous refusez d’accepter le fait que vous êtes mal assortis.

De même, si vous êtes certaine qu’il récidivera sauf si vous le surveillez de près, partez. Pas question de lire ses courriels, de sentir ses vêtements, d’appeler au travail, de poser des questions à ses amis ou de le faire surveiller. Il n’est pas non plus utile de scruter les forums pour trouver dans les histoires des autres des indices de la vôtre. On a assez souffert comme ça et même quand on a l’impression d’avoir tout perdu, il nous reste un peu de dignité et la moindre des choses, c’est de la conserver. Comme dit Brassens, « abandonnez le métier de cocu systématique ».

Un de perdu, dix de retrouvés?

Dans un monde idéal, les gens réfléchiraient toujours avant d’embrasser quelqu’un et de choisir un nouveau conjoint. En choisissant soigneusement son amoureux dès le départ, on a beaucoup moins de raisons d’avoir de la peine ou d’en causer. Même dans les contes de fées, les héros apprennent à se connaître avant de se marier et d’avoir beaucoup d’enfants.

Quand vous rencontrez de nouvelles personnes, soyez vous-même et n’hésitez pas à dire ce que vous voulez vraiment. Il est inutile de jouer la carte de la cuisse hospitalière afin d’attirer des hommes dans votre lit si vous cherchez un père pour vos enfants. De même, ne jouez pas la grande romantique si vous ne l’êtes pas du tout et n’hésitez pas à envisager de rester seule pendant un certain temps afin de réfléchir.

Parfois, les gens ont peur d’être seuls et choisissent le premier venu. D’autres choisissent le confort et tirent un trait sur l’amour. Il arrive aussi que l’on choisisse l’amour, le vrai et qu’il soit partagé, comme il est possible qu’il ne le soit pas non plus. L’essentiel est de prendre votre temps et de toujours vous rappeler qu’on est bien mieux seule que mal accompagnée.

Source: Maman pour la vie

¿Qué sigue después de una ruptura amorosa, de una separación, de un divorcio?

Las separaciones amorosas generan una experiencia de ruptura caótica por lo que antes de continuar con la vida se necesita “recoger las piezas que se resquebrajaron en el camino”. Ser conscientes de la necesidad de atravesar un proceso de duelo y reacomodo de nuestra persona es requisito indispensable para salir airosos de esta vivencia.  Saber que no podemos saltarnos ciertos pasos, ciertas etapas, nos dispone a vivir el recorrido con mayor disposición, confianza y aceptación.

La vida, después de una separación amorosa, abre puertas que invitan no sólo a salir del caos, sino a crear una vida más rica, más interesante: una vida mejor. Caminar por este trayecto implica primero ubicar en dónde nos encontramos, cómo es que hemos llegado hasta este lugar y descubrir hacia dónde queremos dirigirnos.

Hay opciones relativamente “cómodas”, como evadir o negar lo que está ocurriendo. Estas estrategias, al alcance de la mano de todos, generan un “bienestar” temporal anestesiando el dolor, pero finalmente son opciones que llevan, sino a la frustración constante, sí a posponer la recuperación y, por tanto, la posibilidad de una vida más plena.

Existe un proceso de recuperación diseñado por especialistas para recorrer este camino. Éste se asemeja a la escalada de una montaña en distintas etapas. Es necesario ir avanzado por pasos, al ritmo requerido por cada quien, pero ni tan despacio que la vida de pronto se nos escurra de las manos, ni tan de prisa que cuando nos demos cuenta hayamos llegado a lugares extraños y peligrosos sin el equipo necesario para adaptarnos a ellos.

Podemos distinguir cinco etapas que facilitan para vivir cabalmente un duelo amoroso. La conquista de cada una te preparará para avanzar a la siguiente y aproximarte a la cima mencionada de una manera fortalecida.

  1. Salir del caos y retomar el equilibrio atravesando el duelo: aceptar el caos y retomar de a poco el equilibrio permitiéndote sentir el proceso de duelo.

  2. Aprender a estar solo cómodamente: tu base eres tú.

  3. Construir amistades sólidas.

  4. Iniciar relaciones amorosas de corta duración, experiencias que nos permitirán reaprender a amar y recuperar la confianza…

  1. Generar una relación estable de larga duración, o bien elegir la soltería como opción de vida, temporal o permanente.

Todos queremos ser felices, todos tenemos derecho a un grado suficiente de satisfacción y bienestar, pero tras un divorcio o una separación hemos de partir de la base que disfrutar la vida nos tomará algún tiempo. Después de haber recorrido el camino necesario para recuperarnos habremos aprendido del pasado, nos conoceremos mejor y desarrollaremos partes de nosotros mismos previamente desconocidas, paralizadas, reprimidas o simplemente ignoradas. Pero como todas las “intervenciones quirúrgicas”, el camino de la recuperación requiere de una convalecencia para sustituir el sentimiento de fracaso del pasado, por un anhelo y entusiasmo de vivir el presente y una confianza de lo bueno que falta por venir.

Tere Sendra

Comment utiliser la persévérance pour atteindre vos objectifs ?

Nous souhaitons tous avoir une vie pleine de succès, nous passons d’ailleurs beaucoup de temps à imaginer notre vie idéale. Malheureusement, des difficultés viennent nous barrer la route, et malgré tous les plans et objectifs que nous prévoyons… nous échouons.

Ces échecs produisent en nous de la frustration, et viennent entamer notre confiance en soi. Vous imaginez même abandonner vos rêves puisque vous ne pensez pas pouvoir réussir quoi que ce soit dans votre vie.

Réussir, contrairement à la croyance populaire, n’est pas un chemin à sens unique ou une ligne droite. C’est un sentier tortueux avec des montées et des descentes, qu’il faut emprunter avec précaution. Vous pourriez facilement tomber ou perdre votre chemin. Mais, si vous continuez à avancer, alors vous finirez par atteindre votre destination.

Vous êtes-vous déjà demandé comment les célébrités que vous admirez ont gravi les marches du succès ? Qu’est-ce que ces personnes ont qui les différencient du reste ? Comment arrivent-elles à rester positifs, lorsqu’elles font face à des échecs ?

Il ne fait aucun doute que les personnes qui réussissent doivent avoir un secret. Un secret qui les aide tout au long de leur vie. Heureusement, ce mystère a finalement été percé par la science. Et la réponse n’est pas l’intelligence, la créativité ou la stratégie mais la persévérance.

La persévérance est même le facteur le plus important du succès. Le professeur en psychologie Martin P. Seligman de l’Université de Pennsylvanie explique que “Si vous n’êtes pas un génie, vous ne pourrez jamais réussir quoi que ce soit sans une qualité comme la persévérance.”

Planifier est utile pour savoir où vous aller, mais persévérer vous donnera la force de continuer à avancer contre vents et marées. Peu importe votre objectif ou le temps qu’il vous faudra pour l’atteindre, si vous êtes déterminé à persévérer, alors vous finirez par faire de votre rêve une réalité.

Comment devenir persévérant(e) ? La persévérance n’est pas un trait de caractère, ce qui veut dire que vous pouvez l’apprendre. Pour cela, voici les 6 étapes qui vous aideront à garder le cap et développer votre persévérance.

1. Sachez ce que vous voulez

Avant de vous lancer corps et âme vers votre objectif, il est important de le clarifier. Peut-être avez-vous déjà une idée bien précise en tête, comme arrêter de fumer, faire avancer votre carrière ou gravir l’Everest. Ou un but plus général comme devenir un meilleur parent/enfant, ou être plus heureux dans votre vie.

Quels que soient ces objectifs, vous devez prendre le temps de les approfondir et de les préparer. Si vous voulez atteindre une nouvelle destination, vous aurez besoin d’un plan pour vous guider. Ici, c’est la même chose.

  1. Faites en sorte que vos objectifs soient S.M.A.R.T : Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporels. Lisez la Clé No. 3  ici pour plus de détails.
  2. Si vous avez déjà un objectif précis en tête, réfléchissez à toutes les étapes intermédiaires pour l’atteindre. Faites vos recherches et aidez-vous d’un planning pour poser une date limite à chaque étape du processus. Déterminez également les compétences dont vous aurez besoin et comment les développer.
  3. Laissez-vous un peu de temps tous les jours pour y penser. Listez tous les obstacles qui pourraient apparaître sur le chemin et comment y faire face. Ne réinventez pas la roue, faites-vous assister par des outils ou personnes qui peuvent vous aider à réaliser votre objectif.

Une fois cette étape (essentielle) accomplie, vous devriez avoir un programme assez solide pour atteindre votre objectif, pas à pas. Mais cela ne s’arrête pas là.

2. Débarrassez-vous de vos doutes

doute-de-soi

Le premier obstacle que vous allez affronter, c’est vous-même. Il est important d’améliorer  votre estime de soi avant d’aller plus loin, tout simplement parce que vous ne ferez aucun progrès si vous croyez que vous n’êtes pas capable de persévérer.

Peu importe à quel point vos objectifs paraissent inatteignables aujourd’hui, vous avez l’intelligence et les ressources pour les atteindre. Mais pour cela, vous devez éviter quelques pièges :

  • Ne vous comparez pas aux autres. Le faire vous conduira inévitablement à douter de vous-même. Sachez qu’il n’y a jamais qu’une seule façon de faire les choses. Vous avez la capacité de persévérer en usant de vos propres forces et talents, et le chemin que vous emprunterez sera différent.
  • Débarrassez-vous des choses et des personnes qui blessent votre estime de vous-même. Faites-le ménage dans vos habitudes néfastes, comportements addictifs et ces personnes qui vous rabaissent.
  • Prenez du temps pour faire ces choses pour lesquelles vous êtes doué(e). Pratiquer un sport, un art, cuisiner, lire ou jardiner sont de bonnes façons de développer votre confiance en vous. Cela vous emplira de satisfaction et vous permettra de voir la vie d’une manière plus positive.

Ne faites pas de vous-même un ennemi, mais un allié. N’écoutez pas cette voix intérieure qui voudrait rester dans sa zone de confort et qui vous dit que vous n’êtes pas assez doué(e). Prouvez-lui qu’elle a tort. C’est là tout l’intérêt d’une bonne estime de soi, elle vous aidera non seulement à persévérer mais également à oser poursuivre ce que vous désirez.

Imaginez-vous avoir atteint votre objectif. Comment vous sentiriez-vous à l’intérieur ? Quelles sont les choses qui changeraient dans votre vie ? Prenez le temps d’imaginer tout cela, puisque après tout le cerveau est incapable de faire la différence entre la réalité et la fiction.

3. Apprenez à lâcher prise

S’attacher à toutes les petites contrariétés du quotidien gaspille une grande partie de votre énergie, une énergie qui serait plus utile si elle était utilisée pour avancer vers vos objectifs. Persévérer c’est aussi apprendre à se détacher des détails, de ces inquiétudes et pensées parasites pour concentrer toute son attention vers ce qui est réellement important.

Il est vrai que c’est plus facile à dire qu’à faire, mais vous pouvez commencer dès maintenant. La prochaine fois que vous êtes coincé(e) dans les bouchons, ou qu’une critique ou une situation déplaisante vous énerve, utilisez cette technique :

  • Pensez avant de parler ou d’agir, Laissez-vous 5 minutes pour cela. Imaginez-vous 2 ans dans l’avenir, est-ce que cela aurait encore de l’importance ? Non, pas vraiment.
  • Pendant que vous réfléchissez, ressentez votre colère ou frustration qui suit votre respiration. Imaginez cette colère qui sort à chaque expiration et le calme qui entre à chaque inspiration.
  • Prenez 5 profondes respirations. Respirez avec votre abdomen, ressentez votre ventre qui s’étend lorsque vous inspirez et qui se contracte lorsque vous expirez. Si vous êtes à l’aise, inspirez par le nez et expirez par la bouche.
  • Concentrez-vous sur ce que vous avez prévu de faire ensuite, plutôt que votre situation du moment. Vous avez des choses plus importantes à faire.
  • Faites une pause si vous sentez que vous êtes stressé(e) par rapport à la situation.

Au fur et à mesure que vous avancerez vers votre but, vous rencontrerez forcément des personnes qui remettront en question ce que vous faites, ou qui chercheront à vous dissuader d’atteindre votre objectif. Si vous les écoutez vous n’irez jamais bien loin.

Comprenez que les gens sont habituellement négatifs à cause des problèmes qu’ils vivent, ce n’est pas personnel. Ils s’imaginent à votre place et cela leur fait peur, parce qu’ils se sentent incapables d’atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés. Vous pouvez bien entendu diminuer le temps que vous passez avec eux, ou prendre vos distances.

4. Affrontez les obstacles

Il arrive de ne pas se sentir capable d’affronter les défis et les obstacles qui arrivent avec nos objectifs. Lorsqu’un problème conséquent apparaît, il est très facile de l’ignorer et le mettre sous le tapis… jusqu’à ce que nous nous prenions les pieds dedans.

Prenez l’habitude de voir les obstacles comme ils sont, puis de trouver le meilleur moyen de les contourner ou de les traverser.

  • Restez constant(e) dans votre objectif même lorsque vous vivez des moments difficiles. Vous perdrez probablement de votre motivation, ou vous vous demanderez pourquoi vous devriez continuer, mais persévérer malgré tout vous aidera à surmonter tous les obstacles.
  • Soyez honnête avec vous-même. Si vous avez dévié du chemin qui mène à votre but, commencez par l’admettre. Si par exemple, votre but est de devenir un(e) auteur(e) célèbre et que vous ne vous êtes pas laissé de temps pour écrire, remettez-vous en question plutôt que de vous chercher des excuses. Il est facile de rejeter la faute sur vos enfants/votre travail/vos problèmes/etc ou de bien de croire que vous n’avez pas le temps, mais vous oubliez que c’est vous qui avez le contrôle
  • Arrêtez de fuir ce qui vous fait peur. Parfois, nous pouvons être tentés d’allumer la télé, de boire de l’alcool, de grignoter ou de jouer aux jeux vidéos et autres divertissements pour éviter les problèmes.  Vous procrastinez et laissez à demain ce que vous avez à faire, tout en oubliant que votre problème se sera probablement aggravé le jour suivant.

Prenez le temps de planifier vos décisions, plutôt que de foncer sur la première option qui s’offre à vous. Chaque fois que vous affrontez un problème, examinez le problème sous tous ses angles avant d’agir. Il y a toujours plus d’une façon de régler un problème, et vous voulez agir de façon à le régler définitivement sans le bâcler.

Demandez également à d’autres personnes qui ont déjà vécu cette situation, ce qu’ils ont fait dans la même situation. Bien entendu, ne prenez pas l’avis des autres pour argent comptant, surtout s’ils ont un intérêt à ce que vous agissiez de la sorte.

Inspirez-vous aussi de vos modèles, de ces personnes (célébrités, proches, figures religieuses) qui partagent les mêmes valeurs que vous. En vous imaginant comment ces personnes auraient agi dans cette situation, cela vous guidera vers la bonne direction.

5. Ecoutez votre conscience

Persévérer ne signifie pas se forcer à faire ce que vous n’aimez pas, ou agir comme un robot. Votre conscience ici joue un rôle très important. Elle vous permet de vous poser cette question : “Est-ce qu’atteindre X ou Y est une bonne chose à accomplir pour moi ?”.

Agir avec sa conscience vous permettra de prendre les meilleures décisions pour vous, et de continuer à avancer même si tout est contre vous. Plus tard, même si le doute ou la confusion s’installent, le fait de savoir que vous avez agi en pleine conscience vous aidera à voir la lumière au bout du tunnel.

Parfois, le chemin à prendre est très clair, d’autres fois il est assez obscur. Prenez le temps d’examiner votre conscience pour comprendre ce que vous devez faire. Ecrivez dans un journal toutes les idées et pensées qui vous viennent lorsque vous avez votre objectif en tête.

Ensuite, faites le tri et gardez les pensées pertinentes, celles qui vous motivent et qui clarifient votre objectif. Ces pensées sont un peu comme des indices qui vous mènent vers la découverte de la véritable raison pour laquelle vous avez envie de vous lancer dans ce projet. Cette raison sera la source de votre motivation, celle qui vous permettra de persévérer quoi qu’il arrive.

Une fois que votre décision est prise et que vous savez qu’elle est bonne, alors lancez-vous avec toute votre énergie. Puisez votre force et votre confiance dans le fait de savoir que vous avez soigneusement choisi vos options, et que vous avez agi avec vos propres convictions. Rappelez-vous régulièrement les raisons qui vous ont poussé à choisir cette voie.

6. Apprenez de vos erreurs

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Vous ne trouverez pas toujours votre chemin au premier essai. L’important est d’apprendre de vos erreurs pour réussir à faire mieux la prochaine fois. Réfléchissez à ce qui s’est produit et comment cela peut vous servir de leçon, puis appliquez ce que vous avez appris par la suite lorsque vous ferez face à un obstacle similaire.

Comprenez que même les meilleurs vivent des échecs. Ne cherchez pas à vous blâmer vous-même chaque fois que quelque chose ne va pas. A la place, élaborez une nouvelle stratégie pour atteindre votre objectif, et vous produirez des résultats différents la fois suivante.

Gardez en tête que votre corps et votre esprit doivent aussi être en bonne santé. Lorsque votre esprit est troublé et que votre corps n’est pas en forme, il est facile de faire des erreurs et l’atteinte de vos objectifs devient alors extrêmement difficile.

Voici donc quelques conseils importants :

  • Mangez sainement. Assurez-vous d’avoir suffisamment de fruits et légumes de saison à consommer, avec des plats équilibrés. Évitez de manger trop d’aliments transformés.
  • Dormez suffisamment.  Une nuit de sommeil complète peut faire la différence entre une mauvaise journée et une bonne journée. Vous pouvez également faire des siestes en début d’après-midi si vous avez besoin de vous ressourcer.
  • Faites une activité physique. Que vous aimez la marche, la course, le vélo, la natation ou toute autre activité, bougez autant que possible. L’exercice vous aide à garder votre bonne humeur et vous permet d’être en forme pour accueillir ce que la vie vous réserve. Se fixer 30 minutes d’activité physique par jour est un bon compromis.
  • Prenez soin de vous. Gardez-vous un peu de temps pour vous-même, que ce soit de la lecture, une activité artistique ou juste un peu de méditation, laissez-vous un petit moment chaque jour ou chaque semaine pour vous retrouver avec vous-même.

Sachez aussi que chaque moment difficile finira par passer, faites simplement de votre mieux pour développer vos compétences. Vous verrez qu’un beau jour vous surmonterez ce défi puis il vous paraîtra insignifiant. Continuez d’apprendre, de demander conseil aux autres et d’expérimenter, il n’y a qu’ainsi que vous pourrez grandir dans votre domaine.

Le mot de la fin

Persévérer demande de commencer étape par étape, un peu comme si vous gravissiez les marches qui mènent vers votre objectif final. Chaque pas que vous faites vous en rapproche, et compter les pas vous aide à garder la motivation pour avancer. Il arrive que nous trébuchions de temps à autre, ou bien que des cailloux viennent se glisser dans nos chaussures et qu’il faudrait les enlever, mais tant que nous continuons notre chemin alors nous arriverons forcément à destination.

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager avec votre entourage smile !

Adam Fartassi

Personas que oyen, pero que no escuchan

Hay quien oye, pero no escucha. Hablamos de personas que solo tienen en cuenta sus puntos de vista, no mostrando voluntad ni interés por entender otros. En este artículo profundizamos sobre sus motivaciones –o carencia de ellas- y las consecuencias de su actitud.

Hay personas que oyen, que físicamente están presentes ante nosotros y que, sin embargo, no escuchan. Porque oír no es lo mismo que escuchar, se necesita de esa valiosa capacidad para ser receptivo no solo al mensaje emitido por parte de un interlocutor. Además, se precisa de esa habilidad para leer gestos, descifrar emociones contenidas y toda esa información que viaja por senderos lejanos a las palabras.

Admitámoslo, en ocasiones, ante la falta de novedad o los conflictos sin resolver, es complicado mantener una conversación efectiva y satisfactoria con todas las personas que forman parte de nuestra cotidianidad.

Sabemos que abundan las personas muro, esas de actitud infranqueable que no se dan, ni atienden ni quieren entender. Sin embargo, hay otras que parecen accesibles, incluso cercanas, pero que al poco percibimos que su interés no es sincero y que derivan a menudo en la mera y falsa condescendencia.

No saber escuchar, no practicar una escucha activa genera no solo una elevada insatisfacción. A nivel relacional las consecuencias pueden ser tan dañinas como problemáticas. Por otro lado, recordemos que en los escenarios laborales, la buena comunicación es clave para alcanzar objetivos y para crear ese clima donde el capital humano se sienta satisfecho, facilitando así las condiciones para dar lo mejor de uno.

Descrito el marco, ¿por qué nos cuesta tanto escucharnos entre nosotros como merecemos?

«Observa, escucha, calla, juzga poco y pregunta mucho».

-August Graft-

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Personas que oyen y no saben escuchar ¿por qué ocurre?

Nada erosiona tanto nuestras emociones como no sentirnos escuchados cuando lo necesitamos o cuando simplemente nos estamos comunicando con alguien. Las personas que no oyen no tienen siempre el rostro de un adolescente o de ese jefe al que no le importa lo más mínimo lo que tengamos que decirle. En realidad, este fenómeno se da con frecuencia entre muchas de esas figuras cercanas.

 Decía Jean-Paul Sartre que la incomunicabilidad, así como la no escucha, es la fuente de toda violencia. En cierto modo, ese es en realidad el inicio de muchos de nuestros problemas. Al fin y al cabo, quienes no se escuchan están casi condenados a caer o bien en la indiferencia o en ese desacuerdo que acaba generando distancias a menudo insalvables. Veamos, por tanto, qué hay detrás de esas personas que oyen, pero que no saben escuchar.

Sesgo de confirmación y disonancia cognitiva

Hay personas que solo escuchan lo que ellas quieren. Eso significa, por ejemplo, que solo abrirán sus oídos cuando digamos algo que confirman lo que ellos ya saben, creen o dan por cierto. Todo aquello que no se ajuste a sus gustos o creencias no será atendido ni tenido en cuenta.

Por otra parte, la disonancia cognitiva es también un fenómeno muy común en nuestros fallos de comunicación.  Ocurre con gran frecuencia en nuestras relaciones de pareja: cuando estamos enfadados con esa persona, no importa que tenga razón en aquello que nos esté diciendo. La mente rechaza los datos disonantes e intenta ser fiel a lo que siente ‘si estoy enfadado contigo, no tendrás razón en nada de lo que digas’

El perfil narcisista, personas que no oyen porque solo se escuchan a sí mismos

La personalidad narcisista esta detrás de nuestras frustraciones a la hora d comunicarnos. Son perfiles que nunca atienden perspectivas ajenas. La única verdad es la que ellos tienen, y por si esto no fuera poco, toda conversación carecerá de interés si no son ellos el centro de todo argumento, anécdota o referencia.

La ira contenida que cierra los oídos

Este es otro factor que deberíamos tener en cuenta. Una de las razones por las que las personas fallamos en nuestros procesos comunicativos, se debe a la ira escondida.

A veces, ni siquiera hace falta que estemos enfadados con la persona que tenemos enfrente. Un mal día en el trabajo, por ejemplo, puede hacer que dejemos de practicar la escucha activa con los nuestros. Esta es una realidad que debemos tener muy presente.

No escuchan porque son ellos quienes desean llevar las riendas de la conversación

La mayoría nos hemos encontrado en más de una ocasión con esos perfiles caracterizados por la verborrea excesiva.  Es algo común y sobre todo, frustrante. Son esas personas que oyen, que están ante nosotros pero que no escuchan porque están pensando en lo que van a decirnos a continuación. Su único afán es llevar las riendas del diálogo y acaparar cada palabra. Lo que nosotros podamos decir en realidad, carece de interés.

¿Qué podemos hacer ante quienes no nos escuchan?

Tanto si lo queremos como si no, personas que oyen y no escuchan siempre las habrá. Nos las encontraremos en casi cualquier escenario. Ahora bien, lo complicado es tener junto a nosotros a alguien que es incapaz de ser cercano, empático y sensible. Pensemos que la buena comunicación es el principal nutriente de la convivencia. Sin ella, nada fluye, nada es auténtico, nada nos sirve.

Por tanto, a quienes no hacen el mínimo esfuerzo por escucharnos de manera auténtica y activa, hay que hacérselo saber. Les dejaremos claro por activa y por pasiva que merecemos y debemos ser atendidos, comprendidos. Si no hay cambios, lo mejor es dejarlos ir por bienestar y salud. La sordera emocional en materia de comunicación deja serias secuelas. Protejámonos de ella.

Trabajemos por tanto cada día en mantener una comunicación adecuada y satisfactoria en cada uno de nuestros escenarios sociales. Seamos el mejor ejemplo, promovamos el diálogo empático y pongamos límites a quienes no tengan voluntad de practicarlo.

07-10-2019

 Comment se débarrasser d’une addiction?

L’objectif est ici de nous faire ressentir et comprendre le processus d’addiction et surtout, de formuler des propositions afin de faire évoluer notre regard et nos comportements.

Il sera question de l’addiction ou de la dépendance: une substance, une personne, un comportement, donc par rapport à quelque chose d’extérieur à soi.

Pour commencer, une histoire vécue : je vois une dame en consultation à l’hôpital ; elle vient de se faire opérer d’une tumeur. Lorsque je la rencontre, elle mentionne qu’elle fume plus d’un paquet par jour et des joints plusieurs fois par semaine. Au cours de notre entretien, je lui demande si elle a déjà pris des antidépresseurs, et là elle me répond : « ah non, certainement pas, je ne veux pas devenir dépendante ! » Cet exemple peut faire sourire, mais il prête plutôt à réfléchir …

1/ Qu’est-ce qu’une addiction ?

En médecine, c’est un besoin compulsif. On parle indifféremment de dépendance ou d’addiction (mot qui vient de l’anglais), de conduite addictive : comportement répétitif plus ou moins incoercible et nuisible pour la santé. Ici nous

Parlant de dépendance, il y a l’état, l’acte, le conditionnement qui conduit à la dépendance ou à l’addiction : « C’est plus fort que soi ».

Nous avons tous vécu dans notre entourage une situation en lien avec une dépendance ou une addiction. … Si on a un doute pour soi, c’est que peut-être il y a quelque chose, alors vous pouvez vous tester, comment ? En vous posant la question : que se passe t-il en moi si je dois me passer de … ?

Les exemples, fort nombreux, sont d’ordre physique et/ou mental.

Dépendances physiques : avoir besoin de manger plusieurs tablettes de chocolat d’affilée en rentrant chez soi ; boire de façon irrépressible ; ne pas pouvoir se passer de somnifères, de médicaments ; ne pas pouvoir s’empêcher de dépenser ; …

Dépendances mentales, sociales : avoir toujours besoin de l’avis de l’autre, se préoccuper à l’excès du regard, du jugement des autres ; ne pas pouvoir rester seul ; avoir besoin de séduire ou de contrôler les autres ; avoir besoin d’un guru ; ne pas pouvoir se passer de son mobile, de son ordinateur, de facebook ; être addict aux jeux d’argent, aux jeux vidéo ; ne pas pouvoir se passer de bosser ; …

Les expressions autour de l’addiction ou de la dépendance sont : je n’ai pas le choix – je ne peux pas m’empêcher de –  c’est plus fort que moi –  je ne peux pas faire autrement – je ressens de faire telle chose comme une nécessité…

2/ A partir de quand devient-on dépendant ou addict ?

C’est lorsqu’on agit contre ma volonté, pas lorsque c’est un objectif (comme le serait prendre du poids pour s’enlaidir).

A partir du moment où on perd de son libre arbitre, où on ne peut pas se passer des autres, où on met son « bonheur » à l’extérieur de soi. Concrètement, toutes les addictions semblent remplir le même rôle : calmer nos émotions.

Il y a deux niveaux d’addiction :

– physique : c’est lorsque l’organisme manifeste un syndrome de sevrage en l’absence de la substance : la consommation d’une substance peut s’accompagner d’une accoutumance qui nécessite d’augmenter les doses pour éprouver un même effet.

– mentale (psychologique, comportementale) : envie de consommer avec manifestation psychosomatique (bosser comme un fou conduit au surmenage).

Mécanisme : dans notre société judéo-chrétienne, on a beaucoup parlé d’absence de volonté … En fait il y a un dysfonctionnement du système de récompense qui est la conséquence des phénomènes de dépendance. Les addictions font augmenter la quantité de dopamine dans la zone du cerveau appelée circuit de récompense. C’est un circuit de plaisir qui participe au bien-être de l’individu. Les drogues quelles qu’elles soient sollicitent de façon forte ce circuit naturel et peuvent provoquer son déséquilibre permanent. Cependant les effets varient suivant les drogues et l’usage qu’on en fait.

On devient dépendant à partir du moment où nos processus de fonctionnement tant intimes que comportementaux sont affectés : généralement ce n’est pas le produit, la substance qui pose problème, mais la relation qu’on entretient avec une certaine substance, avec une personne.

3/ La dépendance est-elle un problème ?

Oui, non, pourquoi ? Ou est-ce un avantage, … ? C’est un problème à partir du moment où ça devient limitant pour le développement de sa vie, à partir du moment où on perd de son objectivité. Il y a la dépendance physique, physiologique : l’accoutumance, et la dépendance mentalisée : le déni, le mensonge, l’histoire qu’on s’est racontée.

Je vous propose de faire un exercice-test :

Suis-je devenu dépendant ou addict ? Et de quoi ?

Suis-je conscient de ma dépendance ?

Quelles en sont les conséquences négatives ? Le déni ? La mauvaise foi ? Nos relations à autrui altérées ? …

Quelles sont les conséquences positives ?

Quels sont les effets directement physiologiques ?

Les effets mentaux ?

Cette dépendance m’apporte-t-elle plus d’avantages que d’inconvénients ?

Il n’y a pas de recette : dans telle situation avec telle personne, c’est plus d’avantages que d’inconvénients, ou c’est l’inverse … D’où l’intérêt de faire l’analyse.

Remarque : la dépendance est plus accessible chez les autres que chez soi. On a une difficulté à être suffisamment lucide et réaliste avec soi : on minimise souvent l’impact de notre propre dépendance ou addiction. Le problème souvent est que derrière une addiction, il y a parfois un vraie obsession qui doit être traitée (lavage des mains, tocs..).

4/ A quoi est-on/devient-on dépendant ou addict ?

C’est relatif à chacun, au moment de la vie, la dépendance est intime, individuelle. Il n’y a pas de dépendance collective. Basiquement on est dépendant à quelque chose d’extérieur à soi c’est-à-dire que l’on met son investissement sur l’extérieur plutôt que sur soi. On s’accroche à cette croyance que la prise de cette substance nous fait du bien, calme notre angoisse, notre mal-être. C’est en fait le plus souvent un conditionnement familial, par imitation. « On ne le voit pas toujours venir », parce qu’il peut venir des fonds de tiroir de nos cultures.

La dépendance est souvent venue progressivement. On dit facilement : « Aujourd’hui, c’est comme ça, parce que ça me vient comme ça, spontanément », alors qu’il y a en amont tout un conditionnement.

5/ Comment comprendre cette dépendance ?

Les dépendances sont souvent encouragées par notre société de consommation, par les lobbys. Mais il s’agit de comprendre que c’est un processus qui a démarré en soi. En prendre conscience est un pas souvent important, mais cela ne suffit pas. Souvent nous avons laissé s’installer un certain mode de fonctionnement.

Dans l’addiction, nos sens sont en jeu : physique avec la cigarette, les drogues ; mentale avec la pornographie par ex ; dépendance mentale sociale, en croyant qu’on est incapable d’avoir un avis sur un sujet.

Nos dépendances ont beaucoup à voir avec les croyances. Certains disent qu’ils subissent, se sentent victimes de leur dépendance, alors que chacun en est à l’origine.

In fine la dépendance est une croyance, un déphasage vers le dedans, ce qui est différent de l’habitude qui est une action. La dépendance est une croyance égocentrée liée à une spécialité (dépendre d’un maître à penser, d’un guru,..). Elle s’apprend par mémorisation. Il y a dépendance dès que l’on ressent un besoin irrépressible. C’est le systématisme qui fait la dépendance.

On entend souvent : pourquoi on ne peut pas voyager sans chocolat avec soi, pourquoi on boit trop, pourquoi on fume, on ne s’explique pas.

Alors que souvent on ne cherche pas à comprendre : chacun porte en soi sa propre explication, sa propre motivation intime, le tout est de la faire émerger. C’est là l’intérêt que peut présenter un travail sur soi.

6/ Comment se libérer d’une dépendance … ?

C’est à voir au cas par cas. Chacun se rend dépendant ou addict dans une certaine dynamique de vie qui lui est propre. Sauf pathologie particulière, une dépendance n’est pas forcément une maladie, mais elle peut être invalidante, limitante pour sa vie. Il s’agit de se désaccoutumer dans le sens d’un mouvement à partir de soi. C’est-à-dire que l’’on va travailler sur soi plutôt que d’intervenir sur l’environnement, les autres.

Puisque nos sens sont impliqués dans nos dépendances, nous allons les utiliser car c’est not appui le plus sûr : travailler le sens concerné par la dépendance.

Donc, partir du problème, se mettre en oeuvre (déboucler la boucle dans laquelle on s’était enfermé) en sortant de la spécialité où l’on s’est installé. La dépendance est un fonctionnement de mise en œuvre spécialisée : il s’agit de redistribuer les cartes : passer d’une mono spécialité à autre chose.

Exemple : vous ne pouvez vous passer de joints : pourquoi ? Qu’est-ce que cela vous apporte ? De partir dans d’autres univers, d’éprouver de nouvelles sensations …

Ici, la mise en oeuvre va consister à se mettre au travail pour développer sa créativité sans fumer de joints. Alors, oui, c’est du travail, mais le résultat est beaucoup plus gratifiant, parce que cela vient de soi.

Comment se libérer ? On se libère progressivement en développant des intentions puissantes, en les réalisant, et en faisant un travail spécifique au niveau sensoriel. La clé du processus est de prendre une décision vraie d’arrêter, de la mettre en intention, puis de se mettre en action pour réaliser cette intention.

On ne peut pas se libérer d’une addiction malgré soi. Physiquement, on peut mettre des patchs, se faire poser un ballon intra-gastrique, prendre de la méthadone, faire du sport, il s’agit surtout de remettre nos sens au travail. Mentalement, on va développer des pensées positives, cesser de ruminer, de penser au passé,… Et dans notre imaginaire, nous allons devenir plus créatifs. C’est du travail.

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Conclusion :

Lorsqu’on se vit dépendant ou addict, si l’on souhaite changer, c’est possible, à la hauteur de notre intention personnelle. C’est la mise en oeuvre de nos intentions qui est l’outil le plus puissant pour nous aider à nous libérer. Car seul le travail avec l’intention permet de se distancier de notre difficulté, et de travailler à sa résolution le plus efficacement. Pourquoi ? Parce que c’est un travail sur-mesure et qui englobe tous les aspects de notre personne. Sachant que l’on peut s’aider aussi très concrètement avec des béquilles, mais l’essentiel est de le faire en conscience et sur une période donnée.

Cécile Kapfer

sep-2019

Comment développer votre estime de Soi ?

Je ne sais pas vous mais il y a des moments où j’ai l’impression de ne pas faire du bon travail, ou que je pense que j’aurais dû en faire plus, ou encore quand des incidents arrivent et que je ne me sens pas capable de les gérer.

Ces moments n’arrivent pas constamment − fort heureusement − cela dit ils se manifestent de temps à autre, et dans ces instants-là j’ai l’impression de ne rien valoir, de faire un travail pitoyable et j’en arrive à me détester tout simplement.

Bien sûr l’on vit tous des hauts et des bas. C’est tout à fait normal. Néanmoins, il ne faut pas que ces moments négatifs viennent entacher notre estime de nous-mêmes et c’est pourquoi je vais partager avec vous quelques astuces pour se sentir mieux dans sa peau.

Qu’est-ce que l’estime de soi ?

L’estime de Soi est un état interne qui prend sa source dans la compréhension de soi, l’amour de soi et l’acceptation de soi.

L’estime de Soi ne change pas avec le temps, parce qu’elle n’est mesurée que par nous-mêmes, peu importe ce que les autres peuvent dire ou faire. Ainsi, elle ne change pas facilement ni rapidement, peu importe les événements extérieurs. Toutefois, si l’on accorde trop d’importance à nos erreurs ou difficultés, cette estime de Soi peut s’user et se détériorer.

Avoir une haute estime de Soi signifie que vous acceptez ce qu’il y a de bien pour vous. Que vous ressentez au plus profond de vous-même, que vous méritez le bonheur, la santé, la richesse, le succès et l’amour, peu importe les difficultés que vous traversez actuellement, peu importe les déceptions que vous avez vécu ou l’opinion des autres.

Vous acceptez ce que vous êtes, avec vos défauts, vos faiblesses et limitations. Vous reconnaissez votre vraie valeur : la vôtre en tant qu’individu ici et maintenant à cet instant.

Construire son estime de Soi, c’est comme construire une maison, sans de solides fondations tout ce que vous construirez sera instable et risquera de s’écrouler au moindre coup de vent.
C’est pourquoi ces quelques étapes vous seront utiles pour renforcer votre estime de Soi et retrouver votre pouvoir personnel.

Etape 1 : Se comprendre soi-même

La première étape consiste à vous connaître vous-même à un niveau plus profond.

Imaginez un moment que tout ce que vous avez disparaissait du jour au lendemain. Je veux dire vraiment tout, c’est-à-dire vos possessions, carrière, argent, relations, famille, accomplissements, et tout ce qui est physique et tangible.
Demandez-vous :

  • Que ressentirais-je si tout ce que j’avais était enlevé là soudainement, et qu’il ne me restait rien d’autre que moi-même ?
  • Qu’aurais-je encore pour moi qui aurait de la valeur ?

C’est un scénario intéressant, pourtant très peu de personnes prennent le temps de l’imaginer. C’est intéressant parce que ce que vous ressentez vis-à-vis de vous-même, lorsque tout vous a été enlevé, c’est votre estime de Soi.

Si vous avez une haute estime de Soi, alors peu importe ce que l’on vous enlèvera, cela ne changera pas votre perception de vous-même. De plus, cela n’endommagera pas votre confiance en vous car vous ne mesurez pas votre valeur selon des circonstances extérieures. À l’inverse, votre valeur provient de l’intérieur.

C’est pourquoi il est très important de prendre le temps de réfléchir un moment à cette dernière question, et de répondre honnêtement :

  • Que me resterait-il qui a de la valeur si l’on m’enlevait tout ce que j’ai ?

Et plus vous creuserez la question, plus vous découvrirez en vous-même ce qui a réellement de la valeur. Et toutes ces choses que aurez découvertes seront essentielles pour construire votre estime de vous-même.

Maintenant continuons à creuser en vous posant d’autres questions pour que vous puissiez vous voir tel que vous êtes réellement, sans les masques que vous vous êtes construits. Demandez-vous :

  • Qu’est-ce qui me passionne le plus, me satisfait et me remplit de joie dans ce monde ?
  • Quels sont les moments les plus importants de ma vie qui ont défini qui je suis aujourd’hui ?
  • Comment les autres parlent de moi ?
  • Comment les autres me voient ?
  • Quelle place j’occupe dans le monde ?
  • Qui suis-je ? Qui ne suis-je pas ?

Qui vous êtes et comment vous vous voyez sont essentiels pour comprendre votre valeur. Comment les autres vous perçoivent et parlent de vous est important, bien sûr, mais ce qui est important dans ces questions c’est surtout ce que vous ressentez vis-à-vis de vous-même, en réponse à ce que les autres peuvent voir ou dire de vous. C’est également une façon de mesurer votre estime de vous-même.

Avec cela, prenons le temps d’évaluer vos faiblesses et vos difficultés. Il est nécessaire de dresser le tableau le plus objectif de vous même. Demandez-vous :

  • Dans quel domaine ai-je le plus de difficulté ?
  • Dans quel domaine ai-je le plus besoin de m’améliorer ?
  • Quelles peurs m’empêchent d’avancer dans ma vie ?
  • Quelles émotions ai-je du mal à gérer ?
  • Quelles erreurs ai-je l’habitude de faire ?
  • Dans quel domaine j’ai tendance à baisser les bras facilement ?

Nous avons tous des faiblesses et des domaines dans lesquels nous n’excellons pas. C’est normal, nous ne sommes pas des êtres parfaits. Néanmoins, en regardant de plus près celles-ci, vous pouvez déjà voir comment vous pourriez vous améliorer. L’estime de Soi se construit avec le temps et les efforts, comprendre comment vous fonctionnez est le premier pas à réaliser dans ce processus.

A présent soyons honnête et jetons un œil à vos forces, vos compétences. Demandez-vous :

  • De quels talents/compétences je dispose aujourd’hui ?
  • Dans quel domaine je suis vraiment doué(e) ?

Vos forces vous aident à construire votre confiance en vous, elles vous aident à continuer à aller de l’avant avec assurance. Cependant, n’oubliez pas que vos points forts, vos capacités ne sont à évaluer que vis-à-vis de vous même. Si vous attendez des autres qu’ils vous disent que vous êtes doué ou non à quelque chose, ce n’est pas une vraie force. Et laisser les autres décider à votre place ne vous mènera jamais là où vous le souhaitez.

À l’avenir, il est possible que ces personnes qui vous ont flatté changent d’avis, alors d’un seul coup vos compétences disparaissent du jour au lendemain si vous comptiez sur ces personnes pour évaluer vos talents. La véritable force provient de vous seul, de votre pouvoir personnel, ce que vous croyez réellement vis-à-vis de vous-même.

Etape 2 : S’accepter soi-même

A présent vous avez une image assez précise de votre niveau d’estime de Soi. Vous comprenez également comment vous vous percevez dans le monde qui vous entoure.

Si vous remontez dans votre histoire personnelle vous avez sûrement des souvenirs plutôt bons, des neutres et des choses dont vous n’êtes pas fier. Toutefois, pour renforcer votre estime de Soi, celle-ci doit être réelle et authentique. Votre image de vous-même ne doit pas être un fantasme ou une idéalisation de vous-même. Vous devez accepter votre nature profonde, et cela inclut toutes vos facettes, les bonnes comme les moins bonnes.

Oui, vous avez des défauts, vous avez fait des erreurs et vous échouez misérablement de temps à autre. Mais, vous avez fait tout ce que vous pouviez dans cette situation et ce contexte, d’ailleurs toutes ces expériences ont fait de vous qui vous êtes aujourd’hui. Vous-même, votre être profond. Tout cela, c’est qui vous êtes.

Prenez le temps de vous poser cette question et notez tout ce qui vous vient :

  • Qu’est-ce que je me reproche aujourd’hui ?

A présent, pardonnez-vous pour tout ce que vous avez fait dans le passé et acceptez-vousinconditionnellement sans jugement ni excuses. Lisez cette phrase ci-dessous à haute voix et prenez le temps de la comprendre, de l’intégrer en vous.

“J’accepte mes bons et mes mauvais côtés. J’accepte complètement chaque partie de mon être, que ce soit mes défauts, mes peurs, mes mauvais comportements, et tout ce dont je ne suis pas fier. C’est ce que je suis, et je suis en paix avec ça.”

Vous avez levé le voile qu’il y avait entre ce que vous pensiez être vous et ce que vous êtes : vous avez des forces et des faiblesses. Acceptez-vous comme vous êtes et ne laissez plus autrui ou la société définir ce que vous êtes. Il n’y a que de cette façon que vous pourrez enfin vous libérer de tous les boulets qui vous retenaient et vous ralentissaient depuis toutes ces années.

Etape 3 : S’aimer soi-même

Maintenant que vous vous êtes accepté vous-même, il est temps de reconnaître votre valeur réelle. Pour cela, il est important de s’aimer soi-même. C’est à dire de vous traiter avec gentillesse, tolérance, générosité et compassion.

Oui, vous avez des défauts, des limitations et des faiblesses, comme tout le monde. C’est ça être humain, et tout le monde doit faire face à ses propres démons. Ne vous attachez pas à cela, lâchez prise et appréciez ce que vous êtes.

Pour ressentir cette compassion, il est nécessaire de s’aimer soi-même, pour cela il faut s’accepter soi-même et ce n’est possible qu’en se comprenant soi-même. Comme vous le voyez, nous venons de traverser les étapes logiques qui nous mènent à ce point actuel.

S’aimer soi-même n’est pas inné, pour cela il faut prendre l’habitude de parler à Soi de manière positive et agréable :

  • Je me sens apprécié et spécial quand…
  • Je m’aime complètement et pleinement malgré…
  • Je suis une personne digne et capable lorsque…

En parlant de vous de manière saine et positive, vous pourrez vous recentrer sur vos points forts et redécouvrir un gigantesque trésor qui était enfoui là juste sous votre nez. Vous n’êtes plus dépendant de l’approbation des autres, ni de leur reconnaissance. Et c’est l’une des plus grandes étapes que vous devez traverser pour continuer à faire grandir votre estime de Soi.

Parfois penser à quelque chose de négatif vous fait entrer dans un cercle vicieux, qui poussera alors à baigner dans des actions négatives. Cela peut être le fait de fumer ou boire chaque fois qu’une mauvaise nouvelle arrive, ou bien manger de la nourriture malsaine, sortir avec des personnes toxiques ou juste regarder des dramas à la télé pour noyer votre chagrin.

Concentrez-vous sur ce qui vous rend heureux pour briser ce cercle vicieux, commencez juste par quelque chose de légèrement positif qui ne prendra que quelques minutes, peut être jouer à votre jeu favori, juste assez pour vous sentir mieux, ou bien envoyer un message à un ami ou regarder une vidéo YouTube de votre artiste favori. Rien qu’avec cela vous éviterez le piège qui consiste à douter de vous et de vos capacités au moindre échec.

Etape 4 : Être responsable de soi

Vous savez désormais que vous pouvez vous faire confiance et avoir confiance en votre capacité à prendre des décisions qui vous mèneront là où vous le souhaitez.
Vous n’êtes pas en compétition avec les autres, vous êtes seul(e) dans cette aventure qui est votre vie. Il n’y a que vis-à-vis de vous-même que vous pouvez vous comparer, et l’important est de donner le meilleur de vous-même.

Ne placez pas non plus la barre trop haute, il est normal de faire des erreurs, même si vous avez l’impression d’être la seule personne à les faire. L’important est d’évaluer ce que vous avez fait et de chercher à vous améliorer et à augmenter vos chances de réussite pour la fois suivante.

Il est aussi intéressant de regarder de plus près certains déclencheurs qui déraillent votre journée et vous font plonger dans une spirale négative. Cela peut être par exemple, lorsque vous rencontrez des personnes elles-mêmes très négatives, qui vous racontent leur malheur et qui se vident littéralement par un long monologue avec vous, ou lorsque vous rencontrez des personnes insensibles ou juste grossières.

Dans ce cas couper les ponts avec ces personnes et vous en éloigner le plus possible est nécessaire pour votre bien-être et votre bonheur sur le long terme. Évitez de la même façon les magazines, les spots publicitaires ou les célébrités qui promeuvent un certain sens de la perfection : le leur. Qui vous font croire que vous devez leur ressembler pour être considéré comme beau/belle, parfait(e) et accomplie en tant que personne.

Il faut savoir que le marketing se fiche pas mal de votre personnalité ou de qui vous êtes, au contraire, plus vous aurez de faiblesses ou de doutes et plus vous serez susceptibles d’acheter leurs produits pour vous sentir mieux dans votre peau. Un piège vicieux qui vous fait croire qu’il vous manque quelque chose au plus profond de vous-même, et vous rend ainsi toujours dépendant(e) et frustré(e) au quotidien.

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Ce qu’il faut retenir

Pour conclure, lorsque les événements et les personnes n’ont plus de prise sur vous, vous reprenez enfin les rennes de votre vie. Vous devenez responsable de tout ce qui se passe en vous et des actions qui découlent de vous. Vos réussites et vos échecs sont vôtres, de même que vos accomplissements et vos problèmes.

Vous prenez vos propres décisions, il n’y a plus d’excuse, de jugement ou de blâme à distribuer. Vous seul(e) êtes à l’origine des changements qui se produisent dans votre vie, et c’est ce qui vous permet de réaliser vos rêves dans la réalité.

Adam Fartassi

Cómo dejar de reaccionar e iniciar una vida

 La persona creativa es audaz y desafiante. Cuando la vida le golpea, no reacciona dejándose caer, sino que actúa de manera innovadora sacando partido a las dificultad, intuyendo oportunidades, escuchando a su intuición y dando respuestas originales.

Iniciar una vida creativa requiere asumir un desafío. Supone por encima de todo, atrevernos a romper viejos patrones y costumbres que nos hacen avanzar en círculos. Creatividad es sinónimo de autoinvención y atrevimiento, dos palabras que bien conjugadas nos ayudan a tener una realidad más libre, acorde a nuestro potencial.

A menudo, cuando abordamos el tema de la innovación y la importancia de hacer uso de una mente creativa, damos por sentado que esta competencia requiere solo de ser capaces de producir ideas nuevas y diferentes. Ahora bien, asumir esto último es quedarnos cortos. La creatividad va más allá del universo cognitivo, porque lo que requiere de nosotros es acción.

Esta fue la conclusión a la que se llegó en la última conferencia mundial sobre el tema celebrada en el Marconi Institute for Creativity en Bologna, Italia. Una idea no sirve de nada si no se plasma. Un proyecto no se lleva a cabo si no aunamos compromiso, responsabilidad y atrevimiento.

Un ejemplo, Sherlock Homes nunca habría existido sin Conan Doyle no hubiera trabajado minuciosamente en su escritura, relegando incluso su consulta como médico. Beethoven, por su parte, compuso la Novena Sinfonía cuando apenas oía. Podríamos dar mil nombres más para terminar entendiendo que ser creativo es algo más que ser imaginativo. Requiere tenacidad, osadía e incluso sacrificio.

«Si escuchas una voz dentro de ti que dice ‘no puedes pintar’, entonces pinta caiga quien caiga, y la voz será silenciada».

-Vincent Van Gogh-

Dejar de reaccionar, actúa y atrévete a iniciar una vida creativa

No pienses, decía Ray Bradbury, pensar es enemigo de la creatividad, simplemente, atrévete a hacer. Esta frase encierra valiosos trazos de sabiduría que bien merecen tenerse en cuenta. Muchos de nosotros nos hemos acostumbrado a reaccionar ante la vida; pasan determinados eventos y nos limitamos a actuar ante ellos como hojas de viento que son llevadas aquí y allá.

Se nos olvida que entre el estímulo y la respuesta hay un espacio de tiempo altamente importante donde se encuentra nuestra capacidad para ser libres. Nuestra oportunidad para actuar de manera diferente, libre e innovadora.

Así, estudios como los llevados a cabo por la propia Asociación Estadounidense de Psicología (APA) en colaboración con las universidades de Amsterdam portaron evidencia de que el hecho de iniciar una vida creativa mejora de manera notable los índices de bienestar.

La creatividad que se traduce en acción nos ayuda a dejar atrás patrones de comportamiento negativos. Gracias a ella, nos relacionamos mejor con nosotros mismos, porque deseo y comportamiento van de la mano. También, porque obtenemos mas opciones cuando surge un problema y porque la persona creativa es esa que, al fin y al cabo, hace avanzar el mundo. Ahora bien, ¿cómo lograrlo? ¿cómo iniciar una vida creativa cuando nuestra realidad es tan rutinaria, inflexible y estructurada? Estas serían algunas claves.

Pensamiento lateral

 El Pensamiento lateral fue un concepto introducido Edward de Bono en 1967 en su libro El uso del pensamiento lateral. En este trabajo establecía un avance excepcional en las bases de la creatividad. Pero, ¿en qué consiste esta propuesta?

  • El pensamiento lateral nos ayuda a ver los problemas desde nuevas perspectivas.
  • Es ir más allá del sentido lógico, es jugar con la realidad, hacer combinaciones, buscar relaciones, desafiar, romper viejos esquemas…
  • Asimismo, esta técnica nos anima a provocar al pensamiento para elegir caminos nuevos e inexplorados.
  • Es ir más allá del simple confort de la lógica.

    Libérate del ‘tengo que’. Puedes cambiar más cosas de las que crees

    En nuestra mente abunda el peso de los debería y el tengo que. Son dos enemigos voraces que nos someten a una vida pautada por las obligaciones, el estresante y la an- siedad  por no cumplir nunca esos mandatos internos.

    Hay que desactivar todos esos pensamientos y reformularlos. Habrá cosas que obviamente debemos cumplir. Sin embargo, si analizamos cada rama de esos bosques mentales, nos daremos cuenta de muchas no sirven de nada. Nos impiden crecer, florecer… Por tanto, no dudemos en ‘podar’ todo aquello que alimenta el sufrimiento inútil.

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  • Experimenta cosas nuevas, déjate llevar para iniciar una vida creativa

    Para iniciar una vida más creativa, tal y como señala el doctor Scott Barry Kaufman, director Científico del Instituto de Imaginación en el Centro de Psicología Positiva de la Universidad de Pensilvania; hay que atrevernos a hacer cosas diferentes. La creatividad no surge en medio de los escenarios de presión. La rutina oxida motivaciones, sueños, ideas innovadoras e intuiciones.

    A veces, no queda más opción que alejarnos para tomar perspectiva. Ser capaces de salir de nuestra burbuja cotidiana ofrece a nuestra mirada nuevos brillos, además de incentivos a nuestra mente e ilusión a corazón. Sumergirnos en experiencias nuevas significa, por ejemplo, ser capaces de abrir la mente, aprender, leer todo lo que caiga en nuestras manos, conocer gente, conectar con nuestra realidad a otro nivel, etc.

    Iniciar una vida creativa nos ayudará a dejar de reaccionar ante cada cosa que nos sucede. Si algo nos golpea, no reaccionaremos por inercia, lo haremos de manera innovadora para adaptarnos mejor, para ganar en audacia y resiliencia. Solo así daremos forma a la realidad que más nos gusta, la que está acorde con nuestros valores y deseos.

La mente es maravillosa.

Comment développer son estime de soi quand on est timide, surtout à l’oral ?

L’objectif de cet article est d’aider les personnes qui se sentent timides à être plus confiantes.

Avant toute chose, il s’agit de comprendre ce qu’est la timidité. Chaque personne est plus ou moins timide selon le domaine ou la situation à laquelle elle se trouve à un instant T.

On se positionne sur une échelle en fonction de son propre regard ou bien du regard des autres. Mon but est de vous donner les clés afin de vous sentir plus épanoui, plus confiant et bien sûr d’avoir une meilleure estime de vous-même. De cette manière, vous pourrez chasser votre timidité pour être soit meilleur en communication, soit meilleur en prise de parole.

En effet, lorsque l’on se sent timide, il peut être difficile de prendre des décisions, de se montrer audacieux, ou d’avoir de l’assurance en public. Et de manière générale, cela peut se traduire par une mauvaise aisance relationnelle dans la vie de tous les jours. Or, ce sont toutes les qualités indispensables pour être un bon orateur.

Mais rassurez-vous, cela se travaille au quotidien ! Je vais donc vous donner 4 astuces pour avoir confiance en vous malgré votre timidité.

1. Faire le point sur soi-même pour évaluer sa timidité

Certaines personnes vont être timide car elles ont vécu une mauvaise expérience dans un domaine de leur vie. D’autres auront peur d’essayer quelque chose de nouveau. Certaines ont peur du jugement des autres et n’ose donc plus réaliser certaines actions. Le but est vraiment de vous demander pourquoi vous faites preuve de timidité et que vous manquez d’estime.

Une fois que vous avez identifié quel type de timide vous êtes, il vous suffit de travailler sur cet axe. Il est important de cibler au maximum la source de votre timidité afin d’agir en profondeur sur ce qui vous touche personnellement. Plus vous vous « auto-analysez », plus vous serez en mesure de prendre des actions concrètes.

2. Réussir à être timide et performant lors d’une prise de parole

Vous êtes timide à l’oral et face à un auditoire ? Et vous avez du mal à gérer votre stress en public?  Alors il est important d’être transparent avec votre audience. Alors si vous êtes timide et manquez de confiance en vous, il suffit de le dire.

Avant de vous lancer, vous pouvez informer votre auditoire que vous avez énormément travaillé sur le sujet que vous allez présenter, mais que parler à l’oral devant plusieurs personnes ne vous met pas très à l’aise.

Cela arrive à de nombreuses personnes et votre public vous comprendra. Elles se montreront empathique, et même impressionnées du fait que vous affrontiez vos peurs. Il se peut même que votre auditoire vous applaudisse et vous félicite pour avoir pris confiance en vous, alors que vous êtes timide.

Cela a un effet doublement positif ; puisque si les personnes reconnaissent votre travail et vous félicitent, votre ego et votre estime seront boostés. Plus vous parlerez en public, plus vous aurez confiance en vous grâce au retour des autres.

Ce conseil de transparence peut aussi s’appliquer dans plusieurs domaines de votre vie quotidienne. Si vous êtes timide avec les personnes que vous ne connaissez pas, vous pouvez tout simplement les prévenir de cela et elles se montreront compréhensives avec vous.

3. S’inspirer de personne confiante et à l’aise

femme-confiante

Que ce soit dans votre entourage, dans les films, à la télévision, il y a de nombreuses personnes qui ont une forte assurance. Alors pour avoir confiance en vous, alors même que vous êtes timide, il suffit de vous inspirer de ces personnes. Vous pouvez vous demander ce qu’elles feraient dans telle ou telle situation.

Plusieurs comportements sont caractéristiques des personnes confiantes. Vous devez analyser leur comportement et l’adopter.

  • Quelle posture ont les personnes confiantes ? Sont-elles recroquevillées sur elle-même ou adoptent-elles uneposition charismatique ?
  • Quel timbre de voix possèdent-elles ? Sont-elles engagées dans leur propos ou parlent-elles avec une voix faible et monotone ?
  • Dans quelle situation ces personnes vont-elles prendre la parole ?
  • Les personnes charismatiques font-elles du sport ?
  • Ont-elles des objectifs ou des rêves ?
  • Ces personnes ont-elles une bonne organisation ?

C’est l’ensemble de ces questions que vous devez vous poser en observant les personnes pleines de confiance. Si les hommes charismatiques ont une voix grave, alors trouver une solution pour avoir une voix plus grave.

4. Agir plutôt que d’attendre dans votre timidité

Comme toute chose, la confiance en soi se travaille. En restant passif, il est impossible d’obtenir de réels résultats. Évidemment, vous devez y aller progressivement. Votre action peut se manifester par une simple prise de parole en public.

Même si votre discours ne persuade pas votre audience directement, c’est une première étape. Par la suite, vous pourrez mener d’autres actions pour être plus charismatique et convaincre votre auditoire. Il faut effectuer des actions progressives, mais concrètes. C’est aussi ce que certains appellent la méthode des petits pas, et très honnêtement, je ne peux que vous la recommander. Même si vos résultats arriveront petit à petit, vous pouvez être sûr d’une chose, c’est qu’ils seront forcément présents, et en nombre, au bout d’un certain temps.

BONUS : Trouver un domaine ou développer votre confiance

Si vous êtes une personne timide, et je sais que quoi je parle car je l’étais autrefois, vous ressentez surement un blocage dans de nombreux domaines de votre vie : communication, sport, émotions, travail… En fait, c’est normal, car une faible estime de vous vous empêche de développer votre confiance dans chacun de ces domaines.

C’est la raison pour laquelle je vous recommande de trouver un domaine dans lequel vous allez chercher à vous épanouir à 200%. Pour ma part c’était dans le sport et plus particulièrement dans le fitness.

Oui, c’était un domaine d’activité dans lequel j’étais seul, et pourtant, le fait de me voir évoluer dans cette activité et de connaitre toujours plus mes compétences et mes limites, m’a permis de pouvoir par la suite avoir une meilleure estime de moi-même.

Et c’est avec cette meilleure estime que vous pourrez alors vous épanouir un peu plus en communication, relations humaines, dans votre job, et dans tous les autres domaines qui vous tiennent à cœur.

Alors pour être plus confiant, commencez progressivement, analysez votre timidité et inspirez-vous de personnes pleines d’assurance. Ces petits gestes vous permettront d’être plus à l’aise. Et si vous souhaitez aller plus loin, je vous invite à suivre gratuitement un cours en ligne complet sur l’aisance relationnel et la communication.

Ce cours en ligne est gratuit est disponible ici : suivre le cours en ligne de 1h. Vous y apprendrez comment dépasser votre peur de l’oral, apprendre à devenir plus charismatique et savoir présenter efficacement face à un public.

Merci pour la lecture de cet article, j’espère qu’il a pu vous inspirer et votre aider à dépasser votre timidité en développant votre estime et votre confiance.

William Moreau

Los 10 ladrones de energía según el Dalai Lama

Son 10. Diez ladrones de energía que, según el  Dalai Lama, nos atrapan y nos dejan vacíos. No nos damos cuenta, pero vivimos tan pendientes de lo banal que no atendemos a lo realmente importante.

Tomar distancia y alejarse de lo innecesario  nos ayuda a mejorar la salud a todos los niveles. La dificultad está en hacerse consciente de qué es lo dañino, cuáles son esos ladrones de energía, para caminar al lugar que nos ofrece cierta estabilidad. Por ello, el conocido líder espiritual, ha hecho una interesante recopilación de 10 ladrones que nos chupan a todos la energía.

Veamos más sobre estos ladrones de energía:

Mujer con mariposas alrededor y cuerdas sobre el brazo

1 – Personas que están abonadas al modo queja.

“Deja ir a personas que sólo llegan para compartir quejas, problemas, historias desastrosas, miedo y juicio de los demás. Si alguien busca un bote para echar su basura, procura que no sea en tu mente”.

Las personas enchufadas a un protestador automático nos agotan y nos restan. Son ladrones de energía. Poner un ápice de energía en aliviar los egocentrismos ajenos destroza nuestra esencia. Así que, como se suele decir, si alguien busca un bote para echar su basura, procura que no sea en tu mente. Desliga tu vida de todo aquello que te aleje de ti y no dejes que los demás te arrastren hacia sus tormentas.

2 – Las cuentas…claras

“Paga tus cuentas a tiempo. Al mismo tiempo cobra a quién te debe o elige dejarlo ir, si ya es imposible cobrarle”. Tener las cuentas claras significa tener la certeza de que no le debemos nada a nadie y que nadie nos debe nada a nosotros.

Las deudas abrasan nuestra tranquilidad. Por ello es esencial que no tengamos cuentas pendientes por ahí, así no tendremos que escondernos o avergonzarnos por no aliviar un compromiso que nosotros hemos contraído. Quien conoce la sensación de ahogo, comprende que adeudar es uno de los mayores ladrones de energía que existen.

3 – Las promesas pendientes

“Si no has cumplido, pregúntate por qué tienes resistencia. Siempre tienes derecho a cambiar de opinión, a disculparte, a compensar, a re-negociar y a ofrecer otra alternativa hacia una promesa no cumplida; aunque no como costumbre. La forma más fácil de evitar el no cumplir con algo que no quieres hacer, es decir NO desde el principio”.

Ser personas de palabra es una de las cualidades más valoradas y cotizadas en el mercado de las relaciones interpersonales. Esto, sin duda, es una característica que va más allá porque refleja buenas intenciones  y consideración hacia los demás.

4 – No escuchar nuestros intereses

“Elimina en lo posible y delega aquellas tareas que no prefieres hacer y dedica tu tiempo a hacer las que sí disfrutas”. No delegar aquello que nos resulta aversivo y que es posible delegar supone llenar nuestra vida de una negatividad innecesaria.
A veces, simplemente, no estamos en condiciones de realizar una tarea.Puede que, incluso, otra persona vaya a hacerla mejor o le apetezca más. Esto vale tanto para el hogar como para el trabajo. Seguro que hay cientos de opciones que garantizan una mejor condición. Esto garantizará un equilibrio positivo en nuestras vidas.

5 – No descansar ni actuar

“Date permiso para descansar si estás en un momento que lo necesitas y date permiso para actuar si estás en un momento de oportunidad”. Cada cual lleva su ritmo pero es importante saber descansar y coger fuerzas. No hacerlo cuanto más lo necesitamos implica perder nuestras fuerzas y cometer irresponsabilidades que acabarán en arrepentimiento.

6 – El desorden

«Tira, levanta y organiza, nada te toma más energía que un espacio desordenado y lleno de cosas del pasado que ya no necesitas”. Hay desórdenes y desórdenes. Algunos más catastróficos que otros pero, al fin y al cabo, todos necesitamos de la iniciativa de deshacernos de algo.

7- No cuidar tu salud

«Da prioridad a tu salud, sin la maquinaria de tu cuerpo trabajando al máximo, no puedes hacer mucho. Tómate algunos descansos”. Sirve de poco tener mucho trabajo, mucho dinero y mucho patrimonio si no somos capaces de cuidar lo que nos sostiene: nuestro cuerpo.  Es esencial que dediquemos tiempo a relajarnos, hacer deporte, alimentarnos bien y conocernos.

8 – Las situaciones difíciles

“Enfrenta las situaciones tóxicas que estás tolerando, desde rescatar a un amigo o a un familiar, hasta tolerar acciones negativas de una pareja o un grupo; toma la acción necesaria”. Las situaciones difíciles nos ayudan a crear estrategias si tomamos las riendas e intentamos resolverlo. Posponer o ignorar cosas puede generarnos estrèes y dificultar así nuestra estabilidad.

9 – No aceptar

“Acepta. No es resignación, pero nada te hace perder más energía que el resistir y pelear contra una situación que no puedes cambiar”. El único medio para deshacernos de los monstruos es aceptarlos. Asumir que hay cosas que no deben cambiarse es un paso más para la consecución del bienestar emocional.

Mujer en el mar enfrentándose a sus ladrones de energía

10 – No perdonar

«Perdona, deja ir una situación que te esté causando dolor, siempre puedes elegir dejar el dolor del recuerdo”. El perdón sirve de cómoda almohada. Es probable que la vida nos ponga a prueba, por ello es importante que no alimentemos rencores; porque, si lo hacemos, moriremos poco a poco.

Guardar rencor es humano, muy humano. Pero también lo es perdonar. Y errar. Dicen que quien no ama, no perdona. De hecho, precisamente es el amor el culpable del perdón. El amor al otro, a la vida, al mundo y a uno mismo.

Raquel Aldana

Comment devenir plus patient dans la vie ?

“Être patient n’est pas attendre, c’est la capacité à garder une bonne attitude en patientant.” – Anonyme

Qu’est-ce que la patience ? Commençons d’abord par en donner la définition. La patience est “la capacité d’accepter ou de tolérer, un retard, une difficulté ou un soucis sans e mettre en colère ou être frustré».

Je ne pense pas qu’il y ait une seule personne sur Terre qui puisse échapper à ces trois problèmes. En vérité, je ne crois pas avoir vécu un seul jour de ma vie sans que je n’ai subi un retard, une difficulté ou un soucis quelconque.

Durant des années, ma seule réaction face à ces problèmes a été d’être “en colère” ou au moins “être frustré”. Puis j’ai compris que cette réaction ne faisait qu’empirer une situation déjà stressante et désagréable. Alors, j’ai commencé à faire un effort conscient pour répondre aux “retards, difficultés ou soucis” différemment.

Parfois, le mieux que je pouvais faire c’était simplement “tolérer” leur présence. Mais, en continuant à m’exercer et pratiquer, j’ai finalement été capable de les accepter  comme faisant partie de ma vie.

Être patient est une façon de se traiter avec compassion. La compassion est un acte qui permet d’atteindre ceux qui souffrent, dont nous-mêmes. Nous souffrons lorsque nous sommes impatients, parce que notre manque de patience génère en nous un stress, vis-à-vis de ce qui se produit dans nos vies. Nous stressons notre corps et notre esprit. Ainsi, cultiver la patience est une façon de prendre soin de soi, ce qui est une forme d’auto-compassion.

Voici quelques astuces pour devenir plus patient :

1. Reconnaître les moments où vous êtes impatients

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Ce ne sera pas forcément facile au début. Lorsque certaines choses ne vont pas comme nous le voulons par exemple, lorsque nous sommes bloqués dans la circulation, lorsque l’ascenseur tombe en panne ou qu’un courrier important tarde à arriver… Nous avons alors tendance à penser que la cause de notre impatience est extérieure à nous, que ça se passe “là-dehors”.

Mais, bien entendu, la cause est dans notre esprit, c’est la réponse aux circonstances que nous affrontons. Ainsi, commencez par remarquer que votre impatience n’est qu’une réponse automatique qui se déclenche lorsque vous n’obtenez pas ce que vous voulez immédiatement.

Vous devez sûrement connaître la plupart de vos déclencheurs : être obligé d’attendre à un rendez-vous; être bloqué dans une longue file d’attente; avoir du mal à résoudre un problème informatique; écouter quelqu’un de votre entourage ou de vos amis raconter quelque chose qui ne vous intéresse pas…

Remarquez comment l’impatience apparaît lorsque les choses ne se passent pas comme nous le voulons, surtout lorsque les gens ou notre environnement ne se conforment pas à nos attentes, et même dans des situations sur lesquelles nous n’avons aucun contrôle (par exemple, la vitesse du trafic ou la longueur d’une file). Nos attentes sont souvent déconnectées de la réalité.

Il existe 4 façons de prouver cela, et toutes les quatre peuvent déclencher nos réactions d’impatience :

Premièrement, nous tendons à espérer que notre environnement se conforme à nos attentes : pas d’embouteillages; des places de stationnement à côté de notre destination; pas de longues files; pas de retard dans les aéroports et les gares; pas d’attente trop longue lorsque nous mangeons dans un restaurant.

Deuxièmement, nous espérons que les gens se conforment à nos attentes : nous voulons qu’ils agissent comme nous pensons qu’ils devraient agir. “La personne âgée devant moi ne devrait pas discuter avec le caissier“, “S’il m’a dit qu’il appellerait à 15 heures, il devrait appeler à 15 heures“, “Cette personne dans la rue ne s’habille pas comme je le voudrais, ou ne se comporte pas comme je le voudrais.”

Même si nous pensons avoir “raison” – parce qu’il est normal d’attendre de la politesse, ou de respecter ses engagements – dans les faits, les gens ne se conforment que très rarement à nos attentes.

Troisièmement, nos attentes sont souvent irréalistes lorsqu’il s’agit de maîtriser de nouvelles compétences. Que ce soit de prendre un nouveau métier, ou d’inventer une nouvelle application informatique, ou encore d’apprendre un nouveau truc de grand-mère à faire maison. Nous pensons que nous devrions être en mesure de maîtriser rapidement ces nouvelles compétences, peu importe à quel point elles nous sont étrangères ou bien difficiles à nos yeux.

Quatrièmement, nos attentes sont presque toujours irréalistes lorsque nous essayons de gérer ce qui se passe dans notre esprit. Nous pensons que nous devrions être capable de contrôler toutes nos pensées et sentiments dès leur apparition. Mais des pensées et émotions parasites jaillissent constamment. C’est dans la nature de l’esprit de penser et de ressentir, y mettre un frein est aussi impossible que d’éteindre le cerveau. Et être impatient n’aide en rien pour cela !

Pensez à ces 4 types d’attentes, puis regardez si vous pouvez repérer celles qui tendent à être irréaliste dans votre vie. Rien que cela, vous aidera à reconnaître les moments où vous ne faites que réagir avec impatience, pour une cause perdue d’avance.

2. Remarquez comment l’impatience s’exprime dans votre esprit et votre corps

En vous permettant de vraiment ressentir l’impatience, vous pourrez enfin accepter sa présence. C’est important, parce que d’expérience, il est impossible de transformer un état mental négatif sans accepter le fait d’être bloqué dedans.

Travaillez donc à bien vous connaître et observez la manière dont vous vous sentez lorsque vous êtes impatient. Votre esprit est-il calme ou agité ? Votre corps est-il tendu ou détendu ?

Une fois que vous aurez défini cela, il vous suffira de faire l’inverse de ce comportement habituel, et d’observer votre nouvelle réaction.

Reconnaissez l’impatience pour ce qu’elle est, un mécanisme automatique qui n’est ni bon ni mauvais, mais simplement un comportement que nous avons choisi d’adopter lorsque nous faisons face à un retard, une difficulté ou un soucis, que nous percevons comme désagréables.

En changeant nos réactions, il est possible de changer notre ressenti sur ce qui nous est désagréable, sans changer les situations en elles-mêmes. Nous remarquerons alors qu’un embouteillage n’est qu’un aléa de la vie, et qu’il n’est pas spécifiquement dirigé contre nous.

Vous pouvez également emporter avec vous un calepin ou une application bloc-note sur votre smartphone, et noter toutes les situations où vous sentez que vous êtes impatient, lorsque cela se produit. Pas besoin non plus de faire de longs discours, écrivez par exemple “16 janvier, retard de courrier”.

Cette nouvelle façon de faire vous aidera à rester clair sur ces situations qui génère en vous de l’impatience, tout en restant objectif.

3. Comment transformer l’impatience en patience

Sans ironie, devenir patient prend du temps, mais cette nouvelle manière d’agir vous apportera beaucoup.

Repensez à ces moments où votre environnement ou les gens ne se conformaient pas à vos attentes : par exemple, vous êtes coincé dans la circulation; ou encore vous êtes derrière la personne qui parle avec le caissier.

Tout d’abord, remarquez lorsque vous réagissez avec impatience, puis prenez quelques respirations profondes et essayez de vider votre esprit. Concentrez-vous là-dessus jusqu’à ce que vous soyez en mesure de ne plus ressentir de colère.

Deuxièmement, concentrez maintenant votre attention sur votre ressenti à la fois dans votre esprit et votre corps. Puis, demandez-vous : “N’y a-t-il rien que je puisse faire pour changer la situation, sans rendre les choses encore pires pour moi-même ou les autres ?“.

Si la réponse est “non” (ce qui est presque toujours le cas), alors regardez si vous pouvez trouver du “positif” dans cette situation. Cela signifie de commencer à se concentrer sur quelque chose de plaisant, ou d’intéressant pendant que vous attendez.

C’est une pratique de pleine conscience (que l’on retrouve dans le flow  par exemple), cela veut dire que vous faites un choix conscient, en faisant l’effort de vous concentrer sur tout ce qui vous entoure. Lorsque l’impatience vous guette, vous pouvez presque toujours trouver quelque chose dans le moment présent, qui réveille votre curiosité ou votre intérêt.

Cela vous permet de réagir, non pas en vous mettant en colère ou en étant frustré par la situation, mais avec patience.

Dans un embouteillage, cela peut être de comparer les différentes marques et modèles de voitures sur la route, en essayant de deviner leur âge ; cela peut aussi vous pousser à discuter avec une autre personne dans la voiture ; ou bien encore de chercher une nouvelle station radio à écouter.

Si je me trouve dans une file d’attente à la caisse, je peux remarquer avec amusement les titres ridicules des magazines à sensation qui trônent sur les côtés du stand de caisse. Je peux aussi remarquer les gens autour de moi, de voir à quel point tout le monde est différent, et que chacun a une histoire de vie entière qui lui est propre et dont je ne sais rien. Je peux même écouter les bavardages autour de moi et apprendre des choses intéressantes !

Il est vrai que nous voulons tous instituer la règle “pas d’embouteillage sur le périphérique” ou “pas de bavardage avec le caissier”, mais comme pour la majorité des choses dans notre vie, nous n’avons simplement pas le choix.

Lorsque cela se produit, vous n’avez que deux alternatives : vous mettre en colère ou être frustré et rendre l’attente plus appréciable ou au moins tolérable, en détournant son attention sur autre chose.

Parlons maintenant de nos attentes irréalistes lorsqu’il s’agit de maîtriser de nouvelles compétences. Cette attente provient partiellement d’un conditionnement culturel qui nous pousse à vouloir se dépêcher constamment, quel que soit ce que nous faisons. Pourtant, si nous devions procéder plus lentement et patiemment, non seulement nous apprécierions plus le moment présent, mais nous ferions sûrement un meilleur travail en maîtrisant ces compétences en question.

Au final, pour ce qui est de pouvoir contrôler nos esprits, au lieu d’être impatient de chasser nos pensées et émotions à tout prix, il est sans doute préférable d’y accorder moins d’importance, voire de les prendre avec humour et les déformer à notre gré à l’aide de notre esprit si indiscipliné.

“[Parfois] vous réalisez soudainement et avec stupeur que vous êtes devenu complètement fou. Que votre esprit hurle, qu’il baragouine des choses incompréhensibles et vous envoies images délirantes, il est complètement hors de contrôle et c’est sans espoir. Pas de problème.” – M éditer au quotidien  Bhante Hénépola Gunaratana.

Cette citation est intéressante pour deux raisons. Tout d’abord, cela montre qu’il est parfaitement normal d’avoir des pensées parasites, des images folles en tête, cela nous est tous arrivé.

Deuxièmement, Bhante ajoute “Pas de problème”. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de problème au sens littéral, mais qu’il est possible d’apprendre à devenir patient face à cet esprit devenu “fou”. En ne me mettant pas en colère lorsque ces émotions et pensées parasites jaillissent, mais à la place, en acceptant calmement leur présence. Car vous savez qu’avec le temps et sans attention, elles finiront par s’éteindre d’elles-mêmes. Les conditions changent avec le temps… Et notre esprit aussi.

Nous pouvons transformer l’impatience en patience. L’effort en vaut bien la chandelle, parce que la patience est une façon de se traiter avec compassion et nous aide aussi à accepter calmement les choses telles qu’elles sont, ce qui est toujours agréable.

Adam Fartassi

Cómo mantener buenas relaciones con los demás: 8 consejos

Consejos y recomendaciones para tener mejores relaciones con el resto de las personas.

Por Andrés Carrillo

Al iniciar una nueva relación de amistad con alguien, las cosas no siempre salen como las imaginamos. A veces las relaciones interpersonales duran menos de lo esperado, y parte de las causas que conducen a este desenlace puede ser el escaso manejo de las habilidades sociales.

En el siguiente artículo veremos cómo mantener buenas relaciones con los demás, de una manera natural y bastante práctica. La idea no es dejar de ser quienes somos para encajar en las relaciones de amistad, pero es importante saber cómo expresar adecuadamente nuestra actitud positiva hacia el resto de personas.

¿Por qué son importantes las habilidades sociales?

Está comprobado que gran parte del éxito de una persona se basa en la capacidad de relacionarse con sus semejantes. Los conocimientos técnicos, el estudio y el talento son importantes para desenvolverse en la vida, pero es gracias a las relaciones interpersonales que conseguimos alcanzar los objetivos. El individuo no existe sin el colectivo.

Existen muchas personas que tienen grandes talentos y capacidades impresionantes, pero que a pesar de eso no consiguen prosperar ni establecer relaciones amistosas o afectivas de manera estable. Por otro lado, para saber cómo mantener buenas relaciones con los demás es necesario conocer también la importancia de las habilidades sociales; y es que gracias a ellas es que somos capaces de establecer y mantener adecuadamente nuestros vínculos de amistad o de compañerismo con los demás.

Con esto no quiero decir que lo único que cuenta para triunfar en la vida sea conocer a las personas correctas y aprovechar su amistad, porque si no se tiene la preparación y las ganas necesarias para triunfar, es irrelevante la capacidad de relacionarse con la gente.

Se trata de una dialéctica entre capacidad y sociabilidad; si conseguimos tener un equilibro adecuada entre estas dos variables, estaremos mejor encaminados hacia un futuro prometedor.

Consejos para mantener buenas relaciones con los demás

En el siguiente listado aparecen una serie de consejos efectivos y prácticos para mantener buenas relaciones interpersonales con los demás.

1. Sé fiel a tus principios

Una cosa que debemos tener siempre en cuenta al relacionarnos con los demás es que nuestros principios no pueden ser negociables. Es decir, que no vale de nada mantener una amistad en la que no somos valorados por quienes somos en realidad.

Cuando somos capaces de mostrar a las otras personas que estamos dispuestos a respetar sus puntos de vista siempre y cuando ellos hagan lo mismo con los nuestros, estamos en vías de desarrollar una relación de amistad más transparente y sincera.

2. Practica la honestidad

Siempre que nos involucramos en una relación de amistad es importante ser honestos con los demás, teniendo en cuenta que la honestidad no se trata de decir siempre todo lo que sabemos, sino simplemente de no engañar a las demás personas.

Otro aspecto importante sobre la honestidad es decir las cosas directamente, y evitar usar intermediarios para comunicar nuestras opiniones. Es común que la información se distorsione cuando no es contada de primera mano.

3. Demuestra confianza

Un aspecto esencial para fortalecer y mantener las relaciones con los demás es ser confiable, para conseguirlo debemos mantener la integridad en cuanto a nuestras opiniones y acciones, evitando cambiar constantemente de ideas respecto a lo que decimos o hacemos.

Otra cosa que funciona bien para crear vínculos de confianza con las personas es mostrar cierto nivel de vulnerabilidad, contar algunas anécdotas referentes a nosotros donde nos hayamos visto en situaciones difíciles hace que los demás puedan empatizar con nosotros.

4. Practica la espontaneidad

Difícilmente alguien podría planificar con exactitud la manera en la que se comporta cuando está con sus amigos, lo ideal es ser nosotros mismos, sin temor a ser juzgados. La espontaneidad se refiere comportarse libremente sin la necesidad de usar protocolos sociales rígidos para encajar en el grupo.

5. Potencia tu empatía

Tener la capacidad de ponernos en la piel de otros es indispensable para mantener buenas relaciones interpersonales. No basta únicamente con hablar de nosotros mismos y escuchar las anécdotas de los demás. Es necesario comprender también las situaciones ajenas.

6. Aprende a escuchar

Para mantener buenas relaciones con los demás es necesario practicar una escucha activa, la cual consiste en atender al discurso de las otras personas sin interrumpir y dando señales de atender a lo que se dice.

Recordemos que no es lo mismo oír que escuchar. Cuando escuchamos estamos poniendo atención e interpretando lo que el otro quiere hacernos llegar con sus palabras, mientras que cuando oímos no estamos haciendo uso de nuestra capacidad de análisis.

7. Mantente humilde

No importa cuánto éxito tengas, o cuántos recursos materiales estén a tu alcance, si consigues mantener la humildad será más probable que logres sostener relaciones de amistad reales. Las buenas amistades no se acercan a ti por las cosas que tienes, sino por tus virtudes como ser humano.

Sé amable, muestra educación, y evita los comportamientos ostentosos para que las personas a tu alrededor se sientan mejor estando contigo. Y no lo hagas únicamente por agradar, hazlo porque sabes que es lo correcto, practica la humildad como algo natural.

8. Mantén el contacto

Algo importante para llevarse bien con el resto de personas consiste en tomarnos el tiempo necesario para ver cómo están los demás. Aunque parezca una cuestión bastante obvia, en ocasiones los días se pasan y no tenemos noticias de alguno de nuestros colegas, vecinos, amigos… Puedes hacerles una llamada, escribirles algunos mensajes, o ir a visitarlos para comprobar que se encuentran bien, si el trato es cercano.

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Referencias bibliográficas:

  • Aronson, Elliot (2008). The Social Animal. Worth.
  • Tajfel, H. & Turner, J. C. (1986). The social identity theory of intergroup behavior. In S. Worchel & W. G. Austin (Eds.), Psychology of intergroup relations. Chicago, IL: Nelson-Hall Janis, I. L. (1972). Victims of groupthink. Boston, MA: Houghton Mifflin Company.

Comment ne plus avoir peur de la solitude ?

Par Victoria Laurent

Avec la plupart de nos journées passées au travail, entre amis ou en famille, rares sont les moments dans une journée où l’on peut se retrouver seul. Notre quotidien se résume souvent à parler, à écouter et à interagir avec autrui, que se soit de façon directe ou via notre activité sur les réseaux sociaux. C’est justement la raison pour laquelle la solitude nous fait si peur. Seul, nous avons l’impression que personne ne nous aime. Le silence qui nous entoure nous effraie, car le fait d’être aimé et de susciter l’attention nous apporte le confort et la paix intérieure. Pourtant, il est parfois nécessaire de s’isoler pour se retrouver, afin de vraiment être soi-même avec les autres. Pour cultiver le bonheur d’être seul, nous vous proposons quelques clefs.

Pourquoi avez-vous peur de la solitude ?

Posez-vous la question suivante : pourquoi je n’aime pas être seul ? Si ce sentiment est humain, la phobie de l’abandon peut s’avérer néfaste. Demandez-vous alors ce qui vous a amené par le passé à ne pas aimer être seul. Quelles sont les raisons de votre malaise ? Des parents absents ? La crainte d’être dépassé par les événements et de ne pas pouvoir réaliser une tâche seul ? Profitez justement d’un moment de solitude pour faire le point et écrivez toutes les pensées négatives qui vous assaillent. Fuir le problème ne sert à rien.

Prendre du temps pour soi pour être plus disponible pour les autres

« Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, seul dans une chambre », a écrit Pascal. Et il avait raison : apprendre à profiter des moments de solitude vous permettra de mieux les maîtriser par la suite. Et surtout, de prendre du temps pour vous, en vous reposant ou en pratiquant des loisirs, par exemple. Le temps que vous aurez à accorder à vos proches sera ensuite de meilleure qualité car vous serez moins stressé, plus disponible. Une attitude bénéfique pour laquelle ils vous féliciteront volontiers.

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Comment vaincre la peur de la solitude ?

Vous n’aviez pas le temps d’aller à la salle de sport depuis un mois ? Faites-le ! Cela vous permettra de vous vider l’esprit tout en restant entouré ! Une petite heure à tuer ? Ne tournez pas en rond : posez-vous, notez ce qui vous ferait plaisir, listez les projets que vous avez envie de réaliser. Ce moment vous permettra de prendre des décisions lucides et réfléchies.

  • Multipliez les activités

Cours de musique le lundi, activités manuelles le jeudi, repas en famille le week-end… La solution pour ne pas se sentir seul est de multiplier les activités. Il existe même des sites qui mettent en relation des personnes avec les mêmes centre d’intérêts. Alors profitez-en ! Mettez le nez dehors lors d’une exposition, d’un vide-grenier ou d’une promenade. Vous verrez : une conversation – aussi sympathique qu’inattendue – est vite entamée.

  • N’ayez plus honte

Votre ami vous a posé un lapin pour la séance shopping prévue depuis 3 semaines ? Pas question d’être déçu. Un peu comme on peut savourer un bon roman seul devant une cheminée, aucune raison de ne pas pouvoir faire du lèche-vitrine ou encore profiter d’un nouveau film en solo.

  • En couple, autonomisez vous !

«Il m’abandonne» ou «Il est trop collant, j’ai besoin de respirer». Qui n’a pas déjà entendu ces phrases ? Le sentiment de solitude est exacerbé par le couple. Alors prenez vos distances, afin de rendre les retrouvailles d’autant plus intenses. Autonomisez-vous : tout comme vous aimez faire des projets ensemble, appréciez aussi d’en réaliser quelques-uns par vous-même. Cela vous permettra de ressentir une satisfaction personnelle et ça, ça n’a pas de prix.

  • Préférez la solitude à l’isolement

En suivant ces conseils, vous percevrez désormais la solitude non plus comme un isolement, mais comme un moment choisi. Pour commencer, obligez-vous à rester seul quelques minutes par jour, ne serait-ce que pour pratiquer une activité qui vous plaît. La solitude sera associée alors à une onde positive. Petit à petit, vous verrez qu’au lieu de la craindre, vous finirez par l’apprécier à sa juste valeur.

La noche oscura del alma

Muchos de nosotros tenemos en ocasiones la sensación de que cuando queremos abandonar un espacio denominado «nuestra identidad » entramos en otro lleno de dudas, de ambigüedad, de incertidumbre, donde nos sentimos perdidos y pensar con claridad resulta muy complicado. Es como una noche oscura.

Y es esta una metáfora muy común en diferentes religiones, porque «la noche oscura del alma», es para algunos místicos un periodo de tristeza, miedo, angustia,  confusión y soledad necesario afrontar para acercarse a Dios.

Una fábula para entender qué es la noche oscura del alma

Hay diferentes formas de explicar qué sentido tiene esa noche oscura del alma. Esta es una pequeña fábula que recoge lo que implica este concepto:

«Una oveja descubrió un agujero en la cerca y se escapó a través de él. Feliz por haber escapado, anduvo errante mucho tiempo y acabó desorientándose.

Un día, mientras era perseguida por un lobo,  echó a correr y a correr… pero el lobo siguió acechándola,  hasta que llegó el pastor, la protegió y con mucho cariño la condujo de nuevo al redilY, a pesar de que todo el mundo le instaba a lo contrario, el pastor se negó a reparar el agujero de la cerca.»

A lo largo de nuestra vida atravesamos periodos difíciles, perdemos seres queridos, sufrimos crisis más o menos profundas. La noche oscura son circunstancias que crean vacíos, que generan miedos, pero que hay que atravesar para avanzar, para crecer como personas, para enriquecerse. Porque al final del túnel espera la luz.

Pero nuestra mente pretenderá que volvamos al redil, que dejemos de explorar y volvamos a nuestro lugar de partida, de donde tal vez pensemos que nunca debíamos de haber salido. Es la temida resignación, el conformismo de considerar que nuestra transformación personal, no puede ser más que una utopía.

«Hemos de aceptar la noche oscura y vivir en consonancia a ella porque el alma se alimenta de la oscuridad tanto como de la luz.»

-Thomas Moore-

Para evolucionar y  crecer como personas, en algún momento de nuestra vida, todos necesitamos experimentar nuestra propia «noche oscura». Una etapa donde emociones como la ansiedad o la desesperación se apoderarán de nosotros, perturbando nuestra mente y nuestro ego.

Debemos mantenernos expectantes en estas «noches», pues si claudicamos y abandonamos, podemos sufrir las  consecuencias  de las pérdidas que habíamos adquirido escapando de nuestro hábitat de confort.

La búsqueda de uno mismo lleva implícita la firmeza de continuar siempre para adelante. Implica aprender a superarse  reiteradamente, para ir aumentando lentamente los límites de la propia identidad.

Nosotros exclusivamente, somos los únicos que podemos definir lo que queremos hacer de nosotros mismos. Los únicos que podemos contemplar las cosas desde un lugar privilegiado, siendo capaces de ver lo que otros no pueden observar a ras de suelo.

Seguro que todos en algún momento necesitemos saltar, escapar, perdernos y desorientarnos, seguro que otras dimensiones perturbarán nuestro concepto de «identidad». Y, a veces, escapar del redil se convierte en una opción válida, pero no olvidemos que no tiene por qué ser la única salida definitiva.

«En esta vida hay que morir varias veces para después renacer. Y las crisis, aunque atemorizan, nos sirven para cancelar una época e inaugurar otra.»

-Eugenio Trías Sagnier-

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Encarar con decisión esa noche oscura es lo que conseguirá que salgamos de ella reforzados, como una persona diferente, con otra actitud vital. Nadie asegura que sea algo fácil, puede parecer una auténtica travesía por el desierto, pero el resultado será el desarrollo personal y espiritual.

Les étapes de la stagnation émotionnelle

La stagnation fait disparaître la motivation. Ce que nous aimions auparavant nous paraît désormais ridicule et sans aucun sens. Nous préférons rester seul-e-s. Nous fermons notre cœur et nous décidons de nous isoler, pour ne pas déranger les autres et pour ne pas être dérangé-e-s. Et sans l’avoir véritablement décidé, nous nous enterrons dans notre propre vie.

Dans la suite de cet article, nous vous proposons d’étudier les étapes de la stagnation émotionnelle, pour que vous évitiez de tomber dans le piège de cette souffrance silencieuse.

La routine, le meilleur allié de la stagnation émotionnelle

Si vous êtes plongé-e dans la routine, vos jours diffèrent peu les uns des autres. Vous suivez les mêmes étapes, vous prononcez les mêmes mots, vous parlez avec les mêmes personnes. Vous devenez tellement habitué-e-s à cette situation que, sans même vous en rendre compte, vous répétez sans cesse les mêmes gestes. Le pire de tout est que vous ne voulez pas sortir de cet état de stagnation émotionnelle, même si vous vous sentez mal.

Si nous sommes en couple, les choses ne sont pas différentes. Nous pouvons arriver à un moment, au bout de quelques années, où l’autre devient presque un-e étranger-ère. Nous ne nous rendons pas compte, ou nous ne voulons pas le voir, mais la personnalité de l’autre change. Nous ne partageons plus totalement sa vie, nous ne sommes plus aussi impliqué-e-s dans son existence. Cela devient une habitude de plus dans notre monotonie.

La routine est capable de détruire notre envie de vivre. Nous ne devons pas, pour autant, détruire tout ce que nous avons construit pour sortir de la stagnation émotionnelle. Nous devons simplement ouvrir la porte aux surprises, nous devons réapprendre à découvrir tout ce que le monde a à nous offrir. Opter pour un autre chemin pour vous rendre au travail ou pour pratiquer vos activités quotidiennes est un bon début.

Le reste viendra naturellement. Si vous commencez par vous surprendre à travers de petites choses, vous allez vous rendre compte que vous n’avez pas besoin de plus pour sourire à nouveau. Le simple fait d’être disposé-e à changer et à en finir avec la routine qui vous emprisonne va vous permettre de découvrir de nouvelles opportunités et de continuer à profiter de la vie.

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L’enfermement de la zone de confort

L’une des choses les plus nocives qui puissent nous arriver est de ne pas vouloir sortir de notre zone de confort. Nous pensons être dans un état idéal qui comble tous nos besoins. Cependant, ce n’est qu’une illusion qui nous empêche d’avancer. Par exemple, nous ne parvenons plus à nous identifier à notre travail, mais nous continuons à nous y rendre tous les jours car nous avons peur de nous retrouver sans emploi.

Nous pouvons tout recommencer à nouveau, dans une nouvelle ville ou dans un autre pays. Mais nous rejetons souvent les opportunités que nous avons pour rester dans notre zone de confort. Nous ne nous risquons pas à tenter autre chose et nous préférons la stagnation émotionnelle à l’inconnu, pour maintenir un état que nous connaissons, même si nous ne l’apprécions pas.

Au-delà d’avoir des objectifs clairs, nous nous devons d’accepter que le développement personnel implique fatalement un mouvement de va-et-vient. Le changement est nécessaire et les nouvelles opportunités nous enrichissent. Petit à petit, si nous cultivons ces idées en nous, nous allons pouvoir trouver un équilibre sain et accomplir les objectifs que nous pouvons nous fixer.

De cette manière, nous pouvons dépasser les angoisses qui nous envahissent dans les moments difficiles. Le fait de ne pas dépendre de notre zone de confort nous permet de nous relever plus facilement des chutes de la vie. Nous abandonnons cette fausse sensation de tranquillité qui nous empêche d’avancer.

L’apathie, la démotivation et la tristesse

Nous perdons l’enthousiasme, plus rien ne nous motive et nous laissons parfois les autres décider pour nous. La joie n’est plus une option dans notre existence. Nous somme comme absent-e-s de notre vie, un voile de tristesse ouvre nos yeux.  Nous mangeons, nous respirons, nous dormons et nous bougeons comme des robots. Nous avons des réflexes, mais plus de volonté propre. Nous ne voyons plus les couleurs qui sont présentes dans le monde.Nos émotions sont à leur niveau le plus bas de sensibilité. Plus rien ni personne ne nous motive, nous voyons la vie passer comme un train lointain, que nous avons manqué et qui nous a laissé à la station. Et si des opportunités se présentent dans notre vie, nous sommes incapables de les saisir et d’en profiter. Le train nous passe sous le nez et nous ne pouvons rien y faire.

a vie s’en va de nous toujours plus rapidement, sans que nous nous rendions compte, du fait que nous sommes incapables de sortir de cet état de stagnation émotionnelle. Récupérer la capacité de nous étonner est un élément clé pour recommencer à rêver. Dans cette situation, réveiller et chérir l’enfant que nous avons tou-te-s en nous, mais qui est parfois en sommeil, est indispensable. C’est l’heure de le laisser sortir.

Le rêve ne doit pas être brimé par la réalité. Les personnes qui n’abandonnent pas leurs rêves sont capables de faire des choses inimaginables. Tout commence simplement par ouvrir les portes de notre imagination  et par croire que tout est possible. Le jeu doit remplacer la rigidité d’une vie monotone, c’est un formidable outil pour récupérer notre créativité et notre joie de vivre.

Nos penseés

 29-04-2019

EL AMOR NO ES SUFICIENTE PARA VIVIR EN PAREJA

El amor no es suficiente. Quien cree que si lo es, aun no ha durado el suficiente tiempo con una pareja.

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El amor aunque primordial para unir a una pareja no es el único ingrediente para mantenerla unida. De hecho, no es suficiente solo el amor

Muchos están obsesionados por el amor pasional, ese que arrebata y nubla los sentidos. Nada más efímero que ese amor

Se necesitan muchas cosas adicionales al amor para que una pareja con el tiempo sigan juntos.

Creer que el amor apasionado, lleno de deseo y arrebatado te va a durar siempre, eres un ingenuo en temas de relaciones amorosas

Para mantener una relación se necesita madurez, lo que significa que se tiene que tener alto grado de adaptabilidad y flexibilidad para estar juntos

Para que una relación se mantenga se necesita de una profunda capacidad de comunicación. Decir lo que se siente siempre

Una relación no va a durar si empieza el asunto de “debes cambiar esto o lo otro”. De hecho ese es el inicio del fin.

Una relación perdura siempre y cuando la lealtad sea siempre una norma. Entendiéndose como lealtad, nunca dejar al otro en la adversidad

Celos, insultos, faltas de respeto, solo si quieres terminar una relación. Si quieres que perdure, nada de eso puede estar dentro de ella

En lo personal no creo en el amor de la juventud. Para un amor estable, se necesita una dosis importante de experiencia de vida

El egoísmo en una relación es veneno para la misma. Si se quiere perdurar, el yo debe convertirse en nosotros

Una relación donde aun se viva de “en mi casa me enseñaron que…” es una relación aun infantil. Poco puede perdurar

“Papitis”, “Mamitis”, dos ingredientes para que una relación, por mas amor que haya, fracase

Sin comunicación abierta, tabú, absolutamente cohibida en lo sexual, difícilmente una relación amorosa prospera

Si una relación te obliga a cambiar tu personalidad, esa relación por más amor que tenga, no va a perdurar

Sin objetivos comunes, ideas afines, planes en conjunto, una relación no camina. Olvídelo

Sin compromiso de vida en pareja, no hay amor que valga

El amor es un sentimiento aleatorio. Hoy no lo tenías y mañana te sorprende. El compromiso es una decisión de vida.

Pasar el tiempo enamorados, eso ocurre en novelas o películas de Disney. La vida en pareja son siempre cumbres borrascosas que sortear

El tipo con mal aliento, la infección vaginal, el gas que se escapa, la tapa que no se baja, el orine fuera de la poceta. La vida en pareja

Las conversaciones mientras evacuas, maquillarte mientras el otro orina, la enfermedad, la diarrea, el vomito, la vida en pareja

Los domingos sin bañarnos, los kilos que suben y no bajan, los dientes no cepillados, el interior regado, la pantaleta manchada, la vida en pareja

Te afeitas y los vellos en el lavamanos, te rasuras y los vellos en la ducha, el búscame el papel toilette que se me olvidó, la vida en pareja

Para vivir en pareja el amor no es suficiente, se necesitan muchas cosas más. De hecho, a veces parece que el amor, es lo menos importante

El orgasmo que no vino, la erección que falló, el dolor de espalda, el de cabeza, el después que viene la novela, la vida en pareja

El frenazo de bicicleta en el interior, el sostén que dejó marca, la pasta de diente abierta, el usé tu cepillo, disculpa, la vida en pareja

El ronquido en la noche, el gas que te despierta, el olor que te espanta y en la mañana, mija te estabas muriendo anoche. La vida en pareja

El mírame la hemorroide, el revísame que me arde, el échame la crema, el ayúdame a meterme el ovulo. La vida en pareja

En las historias y novelas el amor de pareja es lo máximo, hasta que vives la realidad y te das cuenta, que una aventura extrema

Vivir en pareja requiere más que amor, necesita compromiso. Sin eso, es imposible que sobreviva a tantas situaciones de la vida en común

La vida en pareja es horrible si no hay amor, pero si solo hay amor, no va a funcionar la vida en pareja. Tremenda paradoja, no?

Psic. Alberto Barradas/ Psicovivir

24-04-2019

 La différence entre estime de soi et confiance en soi

« La confiance en soi, c’est très important dans la vie » – on entend cela chaque jour.
Presque aussi souvent que : « il faut renforcer l’estime de soi ».

Mais savez-vous qu’entre ces deux notions il y a une différence de taille ?

Et plus important encore : savez-vous laquelle est plus importante pour votre réussite ?

Que signifient « estime de soi » et « confiance en soi » ?

Les définitions sont nombreuses.

Voici celle que je préfère, en ce qui concerne l’estime de soi :

« L’estime de soi est l’aptitude d’éprouver un sentiment favorable à son endroit, lequel naît de la bonne opinion que la personne a d’elle-même et de la valeur qu’elle se donne. » (Fourgeyrollas, Cloutier, Bergeron, 1998).

En d’autre mots, c’est une opinion favorable (ou non) que nous nous forgeons de nous-mêmes.

L’estime de soi naît d’une comparaison entre l’image d’un « soi idéal » (ce que vous souhaiteriez être idéalement) et ce que vous êtes (plus exactement, ce que vous percevez de vous-même).

Cela couvre tous les domaines : l’aspect physique, le statut social, professionnel, l’intellect, la vie affective, etc.

L’estime de soi représente la « valeur » que vous vous accordez, l’appréciation globale. Elle va main dans la main avec le respect de soi. C’est la mesure de votre « amour » pour vous même. Elle est liée à une représentation de valeurs. Elle est liée aussi à votre passé et aux images que l’on vous a inculquées.

La confiance en soi, d’un autre côté, représente la confiance que vous avez en votre potentiel, en vos capacités.

Cette confiance est basée donc sur des convictions, des « croyances » que vous avez sur vous-même. C’est votre capacité à croire que vous êtes ou non capable d’accomplir certaines choses.

La confiance en soi est liée à vos actions, à vos capacités, à vos talents.

Il est important de comprendre la différence entre les deux, car estime de soi et confiance en soi entretiennent des rapports complexes.

Faites la différence entre les deux

L’estime de soi est le reflet de « ce que vous pensez de vous-même », alors que la confiance est le reflet de « votre capacité à faire des choses ».

Vous pouvez par exemple avoir une grande confiance en vous, en votre capacité d’agir, mais souffrir néanmoins d’une mauvaise estime de soi (à cause d’une image idéalisée et complètement utopique de ce que vous devriez être, par exemple).

Vous pouvez être quelqu’un de très productif (grâce à votre confiance en vous), mais en même temps être excessivement dur(e) avec vous-même et avec les autres (mauvaise estime de soi).

Vous pourriez, à l’inverse, avoir une bon niveau « d’estime de soi », mais une confiance en vous défaillante. Dans ce cas, votre productivité, votre dynamisme et vos accomplissements pourraient laisser à désirer, parce que vous ne croyez pas en votre capacité à accomplir des choses.

En revanche, vous auriez tendance à être sympathique et agréable avec les autres, puisque vous l’êtes déjà avec vous même (le respect de soi mène au respect des autres, l’amour de soi mène à l’amour des autres).

Estime de soi et confiance en soi sont comme deux sœurs, mi-rivales, mi-complices.

Certaines personnes souffrent à la fois d’une mauvaise « estime de soi » et d’un niveau de « confiance en soi » très bas. Nul besoin de préciser que c’est le cas de figure le plus difficile à vivre…

Non seulement ces personnes ne se respectent pas, ne s’aiment pas suffisamment (et n’arrivent donc pas non plus à aimer et à respecter le autres), mais en plus elles ne sont pas non plus productives, elles n’atteignent pas facilement leurs objectifs et leurs chances de réussite sont généralement basses.

Estime de soi et confiance en soi : de quoi dépend votre réussite ?

Estime de soi et confiance en soi sont toutes les deux impliquées dans votre réussite, de manières différentes. Vous devez travailler ces deux aspects de votre être, en étant conscient(e) de leurs spécificités.

  • Pour améliorer l’estime de soi, gardez en tête qu’elle est liée à des valeurs, à des images, à des représentations que vous vous faites de vous-même et d’un soi idéal. Posez-vous la question sur « ce que vous pensez devoir être dans la vie » : est-ce vraiment ce que vous voulez être ?
    Ces images ne seraient-elles pas exagérées ou carrément fausses ? Ou tout simplement inculquées par d’autres ?

Réfléchissez également à votre façon de vous voir, de vous estimer : méritez-vous vraiment aussi peu de respect ?

D’où vient cette mauvaise image que vous avez de vous-même ? (parfois, un travail approfondi fera remonter des mécanismes enfouis dans votre passé…)

  • Pour améliorer votre confiance en vous, vous devrez agir sur vos compétences, sur vos capacités actuelles. C’est un « levier » qui semble plus facile (en tout cas plus facile que de déterrer le passé…) mais il est aussi complexe.

C’est simple : si vous voulez que votre confiance en vous augmente, augmentez vos capacités (intellectuelles, manuelles, etc.).

Apprenez quelque chose qui vous soit utile (pourquoi pas quelque chose de complètement nouveau), perfectionnez-vous dans un domaine qui vous tient à cœur, passez un cap dans une discipline, dans un sport, etc. Prenez conscience du progrès que vous avez accompli (même s’il ne s’agit que d’une leçon de guitare !) et félicitez-vous.

Travaillez constamment à vous améliorer, même par des petites choses. Votre confiance en vous augmentera progressivement et vous aidera à réaliser encore plus de choses, plus facilement.

Olivier Leroy

¿Por qué tener una crisis existencial es lo mejor que te puede pasar?

Sé por lo que estás atravesando, porque yo también he tenido crisis existencial; y más de las que quisiera.

Preguntarse por el sentido de la vida provoca un quiebre y la mente se encarga de bombardearte de preguntas existenciales:

  • ¿Cuál es mi propósito?
  • ¿A qué vine a este mundo?
  • ¿Por qué no soy feliz?
  • ¿Qué quiero hacer con mi vida?
  • ¿Cuál es el sentido de la vida?
  • ….

Sientes que la vida es más que seguir un orden lineal impuesto por la sociedad: colegio, universidad, trabajar, casarse, tener hijos y morir. No es fácil asumir y contar que quieres y buscas “algo más”, ya que sientes que no encajas en el molde social y las comparaciones son inevitables.

El vacío existencial te acompaña desde la primera hora del día y te acompaña durante todo el día hasta que te duermes. Está contigo mientras trabajas, comes y te diviertes con tus amigos, recordándote que estás atravesando la peor de tus crisis.

Pero tranquila; nada dura para siempre y todo tiene su razón de ser.

Te estás permitiendo sentir, dudar, cuestionar y atravesar la noche oscura y conocer tus sombras, para replantearte qué es lo que realmente quieres. Estás a un paso de transformar tu vida y la persona que eres.

Evolucionar y cambiar es parte de la vida. Si observas la naturaleza te darás cuenta que todo está en constante movimiento.

Tener una crisis existencial es el primer paso para estar más cerca de la vida que desees y la persona que quieres ser.

¡Felicidades por pensar en ti y querer tomar las riendas de tu vida! Estás saliendo de tu zona de confort.

Sé que ahora te sientes en un hoyo que no te permite ver la luz al final del túnel, pero te aseguro que ya pasará. Todo pasa. Ya lo verás.

Pero ahora vamos por parte y empecemos del principio 😉

¿Qué es una crisis existencial? 

La crisis existencial es la falta de concordancia entre lo interno y lo externo, causando que no haya coherencia entre lo que quieres y la realidad que estás viviendo. Es cuestionarse las razones de tu propia existencia.

El vacío existencial está muy relacionado con la desconexión con uno mismo y la falta de equilibrio propio de la vida acelerada en la que vivimos.

Wikipedia dice que “las crisis existenciales suelen traducir cambios en la homeostasis psíquica personal. Implicando la presencia de una permuta parcial en la identidad personal («me siento otro») y en la percepción de propia («pienso de manera distinta»)”.

En una duda existencial hay discordancia entre lo que pienso, siento y como actúo. 

La definición de crisis existencial deriva de la corriente filosófica del existencialismo del siglo XIX, la que postulaba el análisis del individuo con su realidad (libertad, responsabilidad individual y emociones), así como indagar sobre el significado de la vida.

Ahora si vamos a la palabra crisis y vemos el significado que tiene en el idioma japonés, descubriremos que está compuesta por dos caracteres:

Crisis = peligro y oportunidad.

crisis existencial

Foto: Un universo mejor

Si vemos el vaso medio lleno te darás cuenta que tienes una gran oportunidad en tus manos. Solo depende de ti aprovecharla para cambiar de vida y vivir alineada a quien eres. De otro modo, si no lo manejas bien, podría convertirse en un peligro.

¿Cómo detectar un vacío existencial? 

Es importante que te des cuenta que estás teniendo una duda existencial, para que cuentes con herramientas que te ayuden a enfrentar el proceso con consciencia.

Ten en cuenta estos principales síntomas de una crisis existencial para que así puedas hacer tu propio test y sepas cómo detectarla:

  • Te sientes completamente perdida. No tienes un norte y no sabes qué hacer. Tus decisiones son equivocadas. No ves solución.
  • Estás desmotivada y aparece la indiferencia. Todo te da lo mismo. Te sientes sin energía. Aparece el aburrimiento existencial.
  • Te preguntas por qué no eres feliz si lo tienes todo. Sientes apatía y angustia.
  • La incertidumbre aparece y no sabes cómo lidiar con ella, porque no ves ningún horizonte ni encuentras respuestas. El futuro se puede sentir desolador.
  • Te sientes inestable emocionalmente. Tienes muchos cambios de ánimo durante el día. Estás en una montaña rusa emocional. No tienes control de nada.
  • Tu autoestima y amor propio se va en picada. Tienes falta de confianza, seguridad, miedo y dudas de todo.
  • Te sientes insatisfecha con la vida que tienes y con todo lo que haces. No has vivido la vida que quieres. Has ido postergando todos tus sueños. Has perdido la ilusión.
  • Tu vida social ha disminuido. Te refugias en tu soledad. No deseas ver ni hablar con nadie. No podrías soportar la crítica, el juicio ni tener que contar sobre tu vida.
  • Estás invadida por pensamientos negativos. Tu mente no para. Sientes que tu mente te está enfermando. Te sientes triste, desanimada y agobiada.
  • Aparece el insomnio. Estás todo el tiempo cansada. Cuando te vas a dormir los pensamientos no paran. Te levantas con pesadez. Sientes una “nube negra” todo el día.

Es fundamental el autoconocimiento y la auto observación, sobre todo porque la línea de tener depresión y ansiedad es muy delgada. En estos casos te recomiendo la ayuda de un profesional que te ayude a atravesar la crisis existencial de la mejor forma posible.

Tipos de crisis existencial 

1. Crisis de identidad

La pregunta que mejor sintetiza esta crisis es: ¿quién soy?

Generalmente cuando te presentas utilizas etiquetas sociales: soy coach, hija, mamá, emprendedora, casada, soltera, viuda. La frase empieza con la palabra “soy”, pero eso no es lo que eres sino lo que haces.

Cuando me di cuenta conscientemente empecé a reemplazar la palabra “soy” por “trabajo como coach” o “abogada de profesión”. Me di cuenta la importancia y el poder que tienen las palabras y lo que decimos.

A lo largo de tu vida has ido construyendo una imagen y etiquetas que crees te hacen ser la persona que eres, pero en realidad no es tu esencia sino tu ego.

La sola conexión con el ego provoca que en algún momento tengas una crisis de identidad.

Sé que tratar de responder la pregunta ¿quién soy? no es sencillo. Incluso podemos pasar la vida sin encontrar la respuesta.

A través de la meditación puedes experimentar quien eres, más que tratar de entenderlo con la mente racional. De esta forma dejas de identificarte con tus pensamientos y empiezas a conectar con tu verdadero ser.

El comprometerte con tu propio crecimiento personal y espiritual es una gran ayuda para indagar en el ser que ya eres. Tener una mayor conexión contigo misma te abrirá un abanico de  posibilidades y oportunidades.

Otra forma de hacerle frente a la crisis de identidad es aceptándote y amándote tal y como eres. Tener una autoestima alta te permite tener una mejor perspectiva sobre lo que mereces y lo que te hace feliz. También aumenta la confianza y seguridad en una misma, dejando de compararte con las demás personas.

2. Vacío existencial

Se resume en preguntarse: ¿qué hago? y en particular: ¿qué hago con mi vida?

Te encuentras con la insatisfacción. Resignarse que la vida es así y no hay nada que puedas hacer, y tener un trabajo que te hace infeliz por el solo hecho que debes pagar cuentas.

No sé en qué momento nos enseñaron que debemos vivir una vida que nos amarga y nos hace infeliz.

Decidir salir de la ruta marcada debería ser un acto de sinceridad con uno mismo pero, en cambio, se transforma en un sinfín de prejuicios y desgracias (socialmente hablando).

¿Quién dijo que te debes conformar con estar en un matrimonio que te tiene en una profunda depresión o que debes soportar al jefe que te tiene con un nivel de estrés al borde del ataque cardíaco?

Hay que hacerse cargo de todas las decisiones que has tomado y que te han llevado a vivir una realidad que no te hace feliz.

Pero tranquila, dándote cuenta cómo te sientes y sabiendo qué quieres cambiar, solo queda que pases a la acción. Reconoces el problema e identificas la oportunidad 🙂

Las causas de la crisis existencial según las etapas de la vida  

A lo largo de la vida puedes tener una o varias crisis existenciales que te llevan a buscar el sentido a la vida.

Generalmente la duda existencial aparece cuando estamos próximos a un cambio de folio, esto es cuanto tienes la edad de 29, 39, 49, 59 años.

Es como si cada 10 años fuera el comienzo de una nueva etapa. Y dependiendo de la edad que cumplas la crisis de existencia puede afectarte en mayor o menor medida, dependiendo de tu autoconocimiento y la madurez que tengas.

El año antes de cumplir una nueva década nos replanteamos el sentido de la vida y está la tendencia a tomar decisiones importantes.

1. Crisis en la adolescencia

Cumples 18 años, has terminado el colegio, tienes la fiesta de graduación con tus amigos y compañeros de clase, tus padres están orgullosos… pero llega el momento de salir de la burbuja del colegio para tomar una decisión trascendental: ¿qué vas a estudiar? ¿a cuál universidad vas a entrar? ¿cómo se van a financiar tus próximos estudios?

Si te das cuenta no es concebida la opción de no seguir estudiando. ¡Como se te ocurre! “tienes que sacar un título para ser alguien en la vida”. ¿Te suena esta creencia limitante’

Pero… ¿qué sucede si no sabes qué estudiar? ¡Alerta! Aparece la crisis personal.

Al final decides por una carrera porque algo hay que estudiar, pero cuando estás en tercer año te preguntas: ¿es a lo que realmente me quiero dedicar? ¿acaso me gusta? ¿por qué lo paso mal cada vez que estudio? Ello lleva a que te plantees si cambiar de carrera es la solución.

Así te pasas pivotando y cambiando de opinión, junto con conocerte más, e ir de fiesta con los amigos.

No a todos les sucede, pero ello no significa que no exista.

Me parece que las nuevas generaciones, y los millennials, hacen que esta etapa sea fundamental para decidir lo que será la vida adulta.

2. Crisis a los 30

En esta etapa está la crisis de identidad, que puede empezar alrededor de los 25 años cuando hemos terminado la universidad y entramos al mundo laboral.

Se da comienzo a la etapa de madurez, porque “el trabajo dignifica” (lo sé, otra creencia limitante… pero no podía dejar de mencionarlo jaja).

Aquí empiezas a separarte de la manada y te preguntas quién eres realmente.

Además comienzas a volverte independiente, a tomar responsabilidades, a cumplir expectativas (sociales) y, con ello. está la presión de triunfar (ser exitoso, económicamente hablando).

Empiezas a prestar atención a tus valores e intereses.

3. Crisis a los 40

Damos comienzo a la crisis de la mediana edad.

En esta etapa surgen cambios al sentir que ya no eres joven pero tampoco viejo. Nos planteamos lo que hemos hecho hasta ahora: ¿estoy aprovechando mi vida?

La crisis existencial puede ser profesional (cambio de trabajo o reinvención laboral), relaciones de pareja (si estás soltera, casada o divorciada), hijos (cuántos tendrás o si algún día serás mamá), y la manera de enfrentar la vida (si te conoces o tu autoestima).

¿Qué te hace sentir realizada? ¿Qué acciones te hacen sentir plena? Son algunas preguntas trascendentales en la búsqueda de un sentido para su existencia.

4. Crisis a los 50

Has llegado a la mitad de la vida, lo que provoca preguntarse si has hecho las cosas bien. Además ves un futuro en que la muerte comienza a aparecer en la mente.

Eres consciente del paso del tiempo y, en cierta forma, sientes que lo mejor ya ha pasado.

Además el cuerpo comienza a cambiar, tanto físicamente como en la forma de pensar y hablar.

5. Crisis en la vejez

Estar en la última etapa de la vida produce cambios biológicos y limitaciones físicas, lo que te hace sentir que estas en los últimos años de vida.

La muerte comienza a acechar a familiares y amigos dando lugar a la soledad, además de las enfermedades que supone el envejecimiento.

¿Qué hacer para superar la crisis existencial?

Luego de haber atravesado la noche oscura, ahora deseas saber cómo superar la duda existencial. Si es así, ¡felicidades! Porque estás a un paso de ver la luz al final del túnel 🙂

Salir del vacío existencial dependerá solo de ti y lo que te demores en tomar decisiones y pasar a la acción.

Recuerda que tú tienes el control de tu propia vida, porque si no eres tú ¿entonces quién?

1. Reconoce que tienes una crisis personal

Si vives como si nada estuviera pasando, no vas a encontrar ninguna solución.

Indaga sobre cómo te sientes y cuáles son tus pensamientos recurrentes, así podrás detectar qué te estaría causando la duda existencial.

La crisis va a pasar cuando reconozcas lo que te está sucediendo y tengas el valor de enfrentarlo.

2. Toma un tiempo para estar contigo y escúchate

Nadie puede hacer nada por ti. Es tu vida y solo tú tienes la decisión sobre cómo quieres vivir.

La rutina diaria provoca que vivamos desconectados. Solo nos enfocamos en lo externo (social y económico), pero no te dedicas a descubrir qué quieres y qué es lo que necesitas.

Cuanto estás así durante mucho tiempo, las enfermedades aparecen. El cuerpo te habla.

Es importante tomarte un tiempo para ti y conectar con tu interior. Solo de esa forma sabrás cómo llenar el vacío existencial.

3. Escritura emocional

Escribir ayuda a dejar plasmado todo lo que estás sintiendo. Te permite darte cuenta qué es lo que te sucede.

Si te gusta escribir, entonces hazlo. Te sentirás más aliviada escribiendo. Incluso -si lo deseas- puedes quemar el papel, así estarás haciendo un proceso de eliminar todo lo que te hace mal.

Lo ideal es que escribas con lápiz y papel, ya que dicen que -de esta forma- queda mejor plasmado lo que pensamos y sentimos. Pero si no, perfectamente puedes abrir Word y comenzar a teclear.

Trata de no detenerte y solo dedícate a escribir, aunque parezca que puedas estar escribiendo incoherencias.

Muchas veces no nos damos permiso de sentir o pensar de determinada manera, y escribirlo ayuda a que lo liberes.

4. Haz ejercicio

Cualquier actividad física te ayudará a mover el cuerpo y remover toda la energía que esté estancada.

Además de distraer la mente, el ejercicio genera endorfina: la hormona de la felicidad.

Ejercitarte hará que liberes todas las tensiones físicas y mentales.

Con una mente en calma y un cuerpo sano podrás sentirte mejor. Estarás potenciando tu energía.

5. Pide ayuda

Dependiendo de la crisis existencial, a veces sucede que aunque trates de salir adelante no cuentas con las herramientas adecuadas para salir solo. En ese caso lo mejor es recurrir a un profesional que te ayude.

Ya darte cuenta que estás atravesando un vacío existencial y que quieres salir de ahí, es un gran paso. Pero quizás no sepas cómo hacerlo.

No tengas miedo en pedir ayuda. Nadie te va a juzgar. Te estarás haciendo un gran favor.

Puedes contarle a tu familia, y así te ayuden a tomar la mejor decisión. A veces un tercero te puede dar una mejor perspectiva.

Recuerda que no estás sola y estás rodeada de muchas personas que te aman y solo quieren verte bien y que seas feliz.

Te recomiendo este libro…

“El hombre en busca de sentido” de Viktor Frankl. Este psiquiatra y neurólogo austriaco, nos cuenta cómo fue su vida siendo prisionero en un campo de concentración nazi.

Relata como fue descubriendo que su misión era ayudar a las personas que estaban prisioneros. Como psiquiatra se da cuenta que la clave para sobrevivir está en no rendirse, a pesar de estar viviendo circunstancias muy horribles, deseando su propia muerte.

“Una persona siempre puede encontrar una razón para vivir, aunque se encuentre ante el mayor vacío existencial” Viktor Frankl.

La moraleja es que una persona siempre puede encontrar una razón para vivir, aunque se encuentre en el infierno viviendo el exterminio de la humanidad.

Cuando lo leí me remeció entera. Sin duda es un libro muy recomendado que te hará comprender que tu vacío existencial siempre tiene una solución, solo hay que cambiar la visión que tienes sobre la vida.

crisis existencial

El proceso no es sencillo. Tienes que estar dispuesta a conocer tus sombras y encontrarte con tu dolor, para hacer el cambio que desees.

No hay por qué esperar que la vida te envíe problemas familiares, crisis económica, una grave enfermedad; que te obliguen a tomar acción. Puedes hacer algo hoy mismo y aprender de todo lo que te ocurre.

Sé que preferimos rehuir del dolor y ponernos una venda en los ojos, pero querida déjame decirte que esa no es la solución. Como dice el dicho: “no hay peor ciego que el que no quiere ver”.

Revalúa lo que piensas, sientes y tu vida actual, para hacer un balance, y tomar decisiones y acciones que te permitan vivir una vida llena de plenitud, abundancia y felicidad.

Recuerda que el existencialismo se basa en dos palabras: elección y responsabilidad. Hazte responsable de todas tus elecciones, porque tú tienes las riendas de tu vida.

Aprovecha todo lo bueno, y las nuevas oportunidades, que te traen tu crisis existencial.

Andrea Guerrero Coach

28-03-2019

AVEZ-VOUS VRAIMENT DES PROBLÈMES?

Personas resilientes: ejemplos y características

La resiliencia es una de las capacidades más importantes de la vida. Esta es la capacidad que tiene el ser humano para sobreponerse a circunstancias de adversidad en su existencia. Por ejemplo, el duelo por la muerte de un ser querido, un despido de trabajo inesperado, el desamor, un periodo de soledad o el sufrimiento. A pesar del dolor vivido, la persona renace de nuevo a la alegría por medio de una capacidad de reinventarse a sí misma al dar un sentido constructivo a la realidad desde la visión del aprendizaje.

En este artículo en Psicología-Online abordamos esta cuestión: «Personas resilientes: ejemplos y características«. Todo ser humano tiene esta cualidad puesto que además, nadie sabe cómo va a reaccionar ante una situación determinada hasta que la vive en la práctica.

10 características de las personas más resilientes

A continuación, describimos los puntos principales que forman parte de la resiliencia:

1. Red social de amigos y familiares

Las personas resilientes no se encierran en sí mismas. Son autónomas, sin embargo, no hacen de esta actitud proactiva una autosuficiencia individualista sino que nutren su vida con los lazos afectivos de colaboración y afecto. Eso no significa que una persona sea más resiliente que otra por tener más gente cerca. Lo verdaderamente definitivo es la calidad del vínculo y la influencia constructiva de ese entorno sobre el protagonista.

2. Un mundo interior creativo

Cuando la realidad exterior muestra su lado menos amable, el protagonista no solo puede atender a la lectura de los hechos sino que también puede refugiarse en ese universo que cultiva a través del autoconocimiento, el arte, la lectura, el pensamiento positivo,  las emociones y la vida sentida a través del propio punto de vista. Es decir, son personas que no se quedan en la superficie de las cosas sino que alcanzan la profundidad del ser.

3. Adaptación al cambio

Cuando la realidad cambia, incluso cuando esta alteración de los factores externos se ha producido en contra de la voluntad, el protagonista se posiciona ante un mapa de la realidad que le implica de manera vivencial. Las personas resilientes realizan este proceso de cambio contando con el apoyo de esa red social descrita anteriormente.

4. Inteligencia emocional

En situaciones de adversidad pueden producirse sensaciones contradictorias, así como hay espacio para sentimientos vinculados con la tristeza. Una persona resiliente no tapa esta realidad emocional sino que la integra en su vida dando espacio a la escucha de esa información que tiene un mensaje que expresar. Por lo tanto, podemos afirmar que la inteligencia emocional es una característica de las personas más resilientes.

5. Miran hacia el futuro

Es imposible hacer cambios vitales poniendo el foco en el ayer puesto que el pasado ya está escrito. Las personas resilientes miran al mañana con esperanza y se enfocan en el presente. Por ejemplo, se marcan nuevos objetivos a alcanzar.

6. Pierden poco tiempo en quejarse

Las quejas son muy humanas, sin embargo, una persona resiliente es protagonista de su destino, incluso cuando vive un periodo de dolor. Por ello, no se desgasta de manera crónica a través de la rumiación mental y quejas constantes.

7. Sentido del humor

La risa y la sonrisa son elementos medicinales que refuerzan la fortaleza frente a la superación de un hecho triste. Cuando una persona vive un momento de máximo dolor, el espacio para el humor es menor que aquel que se produce en la alegría. Sin embargo, este ingrediente está presente aunque sea en pequeñas dosis.

8. Gratitud

Incluso en el dolor, la persona resiliente es consciente de que tiene motivos para dar las gracias a la vida. Por ejemplo, por el abrazo de consuelo de ese amigo, por la compañía de las personas más cercanas o por la felicidad vivida hasta el momento.

9. Piden ayuda cuando la necesitan

No esperan que los demás adivinen su pensamiento sino que se cuidan a sí mismas pidiendo ayuda por iniciativa propia a través de mensajes claros a los demás.

10. Empatía

Son personas con sensibilidad y empatía no solo hacia los demás, sino también hacia sí mismas.

Personas resilientes: ejemplos y características - 10 características de las personas más resilientes

ejemplos de resiliencia

La resiliencia es una capacidad muy humana, solo tienes que recordar algunos momentos difíciles que has superado en tu vida para darte cuenta de tu capacidad de transformación.

  1. Amor no correspondido. Esta es una de las situaciones que en el plano sentimental obliga al protagonista a sobreponerse a esta ruptura de expectativas por medio de un duelo necesario para olvidar a esa persona.
  2. Victor Frank autor del libro «El hombre en busca de sentido» y fundador de la Logoterapia es un claro ejemplo de resiliencia por medio de su testimonio en torno a la vida en un campo de concentración.
  3. Superación de la enfermedad o la muerte de un ser querido. La salud, pese a que en tantos momentos no la valoramos de forma consciente, es uno de los pilares más importantes del bienestar. Por ello, aquellos obstáculos de salud, suponen una prueba de resiliencia fundamental.
  4. Superación de un proceso de cambio. Por ejemplo, un divorcio que rompe con la rutina previsible visualizada hasta ese momento.
  5. Un despido laboral a los 50 años, un momento en el que el factor edad adquiere un significado limitante en algunos nichos de mercado.

Cómo ser una persona resiliente? 5 consejos

Ahora que ya conoces las características de las personas resilientes y te hemos mostrado algunos consejos, es el momento de ayudarte a ser una persona resiliente. La resilencia puede cultivarse y entrenarse en la práctica de la vida:

  1. Invierte en tu formación emocional a través de la realización de cursos de crecimiento personal, lectura de libros de psicología y asistencia a seminarios especializados.
  2. Cuida el factor presencial de tus relaciones con amigos para que el contacto a través de las nuevas tecnologías no sustituya el poder de un abrazo, por ejemplo. A su vez, aprovecha todo el potencial de la tecnología para estar cerca de quienes están lejos y para estar más cerca de quienes viven en tu entorno próximo.
  3. Música, arte, cine, literatura y deporte son ingredientes que nutren tu vida incrementando la belleza como concepto existencial.
  4. Modela el ejemplo de aquellas personas resilientes que observas en tu entorno más cercano.
  5. Realiza un proceso de mentoring contando con la ayuda de un mentor que te asesora con sus consejos y reflexiones sobre resiliencia.
06-03-2019
Mayte Nicuesa.

Que faire quand on a peur ?

Tout d’abord, qu’est-ce que la peur ?

La peur est tout à fait normale ! Quand je parle de la surmonter et de nous créer une boite à outils, je ne suis pas en train de dire que plus jamais nous n’aurons peur. C’est complètement faux !

La peur est normale et elle est utile. Elle sera toujours là pour nous accompagner. 

C’est une émotion qui nous aide à faire face à un danger. Elle amène avec elle des changements physiologiques qui préparent également notre corps à faire face au danger : montée d’adrénaline, rythme cardiaque qui s’accélère, vision améliorée… 

C’est pourquoi la peur est utile, voire vitale, lorsque l’on fait face à un camion alors que nous sommes en train de traverser la route… Malheureusement, il existe un tas d’autres peurs qui sont moins « naturelles » je dirais et qui nous gâchent la vie. 

Autrement dit, il y a les peurs qui nous sauvent la vie et les peurs qui nous la gâchent. Par exemple, la peur des pigeons quand on vit à Paris ou la peur de l’avion lorsque l’on a l’opportunité de partir travailler à l’étranger…

Et, il y a des peurs plus terribles encore : celles que l’on s’invente. Oui, la peur nous pousse à anticiper des situations et c’est là que tout dérape. Nous pouvons avoir peur de retrouver un travail après vécu une mauvaise expérience, peur de faire à nouveau confiance après avoir été trahi, peur de parler en public… 

Et c’est de ces peurs-là que je veux te parler, car si on y prend pas garde, la peur peut vite diriger notre vie.

Que faire quand on a peur ? Ma boite à outils

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Outil #1 – Écouter sa peur

Que faire quand on a peur ? Mes 6 outils préférés !Que faire quand on a peur ? Avant tout, il nous faut écouter notre peur. C’est une émotion et lorsqu’on ne l’écoute pas, elle continue de frapper à notre porte et de plus en plus fort.

Aussi, rien ne sert de se répéter « même pas peur ». En effet, quand nous sentons que tous nos sens sont en alerte en mode et qu’ils crient : « combattre ou fuir ». La peur est là, alors ne lui tournons pas le dos. Au contraire, asseyons-nous, respirons calmement et regardons notre peur : « Bonjour, peur ! »

Ensuite, prenons note de la situation : que se passe-t-il ? Pourquoi la peur vient frapper à notre porte ? Quel est l’événement déclencheur ? 

Respirons encore et toujours calmement, le temps que la réponse arrive. Une fois que nous connaissons le déclencheur, réfléchissons à notre besoin qui se cache derrière.

Exemple : si j’ai peur parce qu’on vient de m’annoncer que lundi c’est à moi d’animer la réunion, quel est mon besoin ? Ai-je besoin de temps pour me préparer ? Ai-je besoin d’être rassuré ? Ou ai-je besoin d’aide ? 

La peur est une messagère. Elle nous invite à nous poser de bonnes questions pour comprendre ce dont nous avons besoin pour avancer en toute sécurité. 

Outil #2 – S’informer sur notre peur


Parfois, nous avons peur de quelque chose et nous nous enfermons dans ce cercle vicieux, pire même, nous l’alimentons.

Ça me fait sourire quand j’écris ça, car je fais cette chose. J’ai peur des requins depuis que j’ai vu  Les dents de la mer, toute petite. Je suis une pro pour énumérer toutes les attaques de requin de la planète. Mais finalement, si je m’informais vraiment, je noterais aussi toutes les baignades qui se sont bien passées sur cette même planète.

Oui, quand nous avons peur, nous avons tendance à nous focaliser sur tous les signaux qui nous donnent raison d’avoir peur. Et si nous allions plus loin ?

Par exemple, concernant notre peur de parler en public, il suffit d’aller sur internet pour comprendre à quel point nous ne sommes pas seuls et nous pouvons même recevoir les conseils de quelqu’un qui avait peur et qui a réussi à la surmonter. 

Que faire quand on a peur ? Documentons-nous réellement sur notre peur et pas seulement pour l’alimenter. Faisons preuve d’impartialité !

C’est aussi, un bon moyen de parler de notre peur. Oui, n’hésitons pas à aller voir quelqu’un de confiance qui pourrait nous donner de sages conseils. 

Outil #3 – Se parler comme à un ami

Que faire quand on a peur ? Mes 6 outils préférés !La peur est parfois suivie d’un sentiment de honte. En effet, on a tendance à dire à une personne qui a peur : « Si tu le voulais vraiment, tu pourrais la surmonter. Tu as juste un problème de volonté et/ou de courage. »

Non, la peur est normale et nous n’en sommes pas responsables ! Elle s’est éveillée en nous c’est tout, c’est une émotion ! Et, même quand la peur devient phobie, nous n’en sommes pas non plus responsables.

En fait, nous ne sommes pas responsables du déclenchement de la peur, mais nous sommes responsables de tout faire pour qu’elle ne nous gâche pas la vie. 

Se parler comme à un ami va nous aider à nous déculpabiliser, comme un ami le ferait pour nous.

Un véritable ami quand nous lui parlons de nos peurs fera preuve de bienveillance et de compréhension, alors pourquoi ne pas faire la même chose avec nous-mêmes ?

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Que faire quand on a peur ? Soyons bienveillants et compréhensifs avec nous.Regardons notre peur « Bonjour, peur ! J’accepte que tu sois là. J’écoute ce que tu as à me dire, sans jugement et sans honte. Par contre, je reste seul décideur de mon comportement. » 

Outil #4 – Prendre conscience de ses ruminations


Le problème avec la peur, c’est qu’elle peut nous accompagner tout le temps : avant, pendant et après l’événement qui nous fait peur.

Imaginons que nous souffrions d’anxiété sociale (ce qui est un peu mon cas) :

  • Avant, nous anticipons tous les problèmes qui pourraient survenir
  • Pendant, nous nous focalisons sur tous les signes qui pourraient donner raison à notre peur de nous ridiculiser ou qu’on remarque que nous ne sommes pas à l’aise
  • Après, nous nous remémorons tout ce que nous croyons être des signes nous prouvant que nous nous sommes ridiculisés

Que faire quand on a peur ? Revenons au moment présent pour stopper nos ruminations.

Quand la peur est là, écoutons-la : « Bonjour, peur ! Je comprends pourquoi tu es là, c’est à cause de la soirée de samedi prochain. J’ai peur de me ridiculiser, je sais. Je sais aussi que c’est important pour moi de voir des gens. Alors, je vais quand même y aller. » 

Puis, une fois que la peur a été écoutée, que nous avons compris ce qu’elle voulait nous dire et que nous avons pris notre décision pour satisfaire notre besoin, alors cessons d’y penser. Comment ? En nous concentrant sur ce nous sommes en train de faire.

Exemple (vécu !) : Le lendemain de la fameuse soirée du samedi, nous nous brossons les dents en nous remémorant tous les moments où nous nous sommes ridiculisés. Stop ! : « Ok, peur ! Tu es là. Je comprends mon besoin d’être aimé des autres, c’est important. Et, en même temps, je sais que tout le monde ne peut pas m’aimer. Je sais aussi que j’ai fait au mieux samedi, alors je décide de me calmer et de me concentrer sur ce que je suis en train de faire : me brosser les dents. »

Outil #5 – Faire la liste de nos réussites

Que faire quand on a peur ? Mes 6 outils préférés !Avoir peur de ne pas être à la hauteur est une peur connue et vécue quasiment de tous. 

En effet, nous avons appris très jeune à mettre l’accent sur ce que nous avons raté, que sur ce que nous avons réussi. Tout comme nous voyons toutes les choses, qui nous reste à faire plutôt que toutes celles que nous avons faites. C’est terminé ! 

Que faire quand on a peur ? Se rappeler tout ce que l’on a fait et tout ce que l’on fait de bien ! 

Il n’y a rien d’égocentrique là dedans, c’est d’ailleurs vital. Comment pouvons-nous espérer ne pas avoir peur de nous lancer dans un nouveau projet si nous ne savons même de quoi nous sommes capables ?

Alors, je t’invite dès maintenant à faire la liste de tout ce que tu as fait et de tout ce que tu sais faire :

  • qualités
  • compétences et points forts
  • matières étudiées
  • loisirs pratiqués
  • pays visités
  • réussites professionnelles et personnelles

Cette liste, garde-la toujours près de toi. Toutes les fois où tu as peur et que tu te sens démuni face à elle, rappelle-toi qui tu es.

Les personnes qui ont lu cet article ont aussi lu :  Changer de voie professionnelle : faire la différence entre carrière et vocation

De plus, je t’invite tous les jours à faire un autre exercice qui ne te prendra que quelques minutes : tous les soirs, liste les 3 choses pour lesquelles tu te sens fier de toi !

Oui, il est important d’avoir confiance en nos capacités et en nos ressources quand la peur vient frapper à notre porte.

Outil #6 – Faire de petites actions, souvent


Nous n’aimons pas avoir peur, c’est pourquoi notre premier réflexe est de faire comme si elle n’était pas là et sans y prendre garde, nous évitons le problème. 

Avec le temps, pour éviter que la peur ne survienne nous finissons par éviter complètement les situations qui nous font peur. C’est pourquoi nous terminons tous les samedis enfermés chez nous prétendant être fatigués.

La peur est normale, elle veut nous faire anticiper ce qu’elle croit être des dangers, mais en aucune façon, elle ne doit diriger notre vie.

Oui, nous pouvons avoir peur du regard des autres, mais pour vivre pleinement notre vie, nous avons besoin parfois de sentir ce regard sur nous. Respirons calmement, saluons notre peur et allons-y !

Alors, bien sûr, si nous souffrons de la peur du regard des autres, l’objectif n’est pas de monter sur scène et de faire un one man show, non ! Nous allons commencer petit à petit : demander l’heure dans la rue, demander des renseignements et ne rien acheter ensuite, trébucher, crier, rire en public… 

Que faire quand on a peur ? Faire des actions qui font un petit peu peur, mais souvent. Oui, c’est comme tout : il ne suffit pas de faire quelque chose une fois pour l’apprendre, nous avons besoin de pratiquer encore et encore. 

Du bonheure des livres

25-02-2019

10 Características de las personas extraordinarias

Una de las enseñanzas que siempre me ha gustado es el hecho de que la diferencia entre una persona ordinaria y una persona extraordinaria está en ese “Extra” que viene antes de lo ordinario, siempre me han gustado las listas que indican diferencias detalladas entre un elemento y otro, más aún cuando ambas se parecen o cuando las diferencias no suelen especificarse por el sentido común, en esta oportunidad he decido hacer una lista de 10 diferencias entre personas extraordinarias, exitosas y productivas en contraparte a las personas ordinarias, mediocres de bajos resultados.

1. Las personas extraordinarias están orientadas a la acción flexible, las ordinarias son rápidas para rendirse.

La acción siempre vence a la inacción, el movimiento produce energía, la acción produce valentía e impulso; si encuentro algo en común entre toda la gente extraordinaria que conozco es que siempre está haciendo algo valioso, ya sea emprender, enfrentar obstáculos, comenzar de nuevo, desafiarse a si mismos, aprender, reinventarse, etc.

Las personas extraordinarias siempre están orientadas actuar, pero esta acción también es flexible, si ven razones para ajustar los métodos que están utilizando lo hacen, conforme van recorriendo el camino se hacen los ajustes necesarios para lograr lo que quieren conseguir.

Por otra parte las personas ordinarias son rápidas para rendirse y echarse para atrás ante los primeros obstáculos y los primeros errores o fracasos, parecieran olvidar que nadie nace sabiendo y que se aprende más de los errores que de los aciertos.

2. Las personas extraordinarias entienden que hay elementos necesarios e imprescindibles, las personas mediocres creen que cualquier elemento puede ser sustituido.

Una persona extraordinaria entiende que hay recursos, valores, virtudes, experiencias, habilidades, conocimientos, hábitos, disciplinas y actitudes que son imprescindibles para madurar, desarrollarse como persona y alcanzar un éxito integral.

Las personas ordinarias piensan que la carencia de ciertos elementos es compensada con la abundancia con otros, piensan que el dinero compensa su falta de carácter, que la prosperidad compensa o justifica el tener poco tiempo libre, que sus deleites compensan su falta de disciplina, etc.

Las personas Extraordinarias comprenden que hay elementos insustituibles que de no conseguirse puede terminarse pagando un precio elevado .

3. Las personas extraordinarias evalúan su vida y la de los demás en términos de progreso y aprendizaje, las personas ordinarias evalúan su vida y la de los demás en términos de éxito o fracaso.

No creo que fracasar y equivocarse sean un requisito para el éxito, pero si creo que los fracasos, errores traen enseñanzas valiosas que nos pueden ayudar a alcanzar el éxito y tener la experiencia que muchos quienes tienen éxito a la primera no llegan nunca a aprender.

Las personas extraordinarias saben que la habilidad y la experiencia son acumulativas, se requiere tiempo para alcanzar niveles de pericia y el expertise que produzca resultados valiosos, las personas ordinarias tienden a creerse un éxito o un fracaso con los resultados preliminares y por ello se desaniman, abandonan, se confían demasiado o dejan de aprender y esforzarse.

Muchos libros de autoayuda dan la siguiente premisa para la vida: El fracaso no existe solo existe el aprendizaje.

Las personas ordinarias terminan no cosechando lo que sembraron porque no vieron la vida en términos de progreso y aprendizaje creyendo que se fracasó sólo porque la semilla no se convirtió en fruto rápidamente.

4. Las personas extraordinarias actúan valorando la planificación y la preparación, las personas ordinarias actúan como si la planificación y la preparación fueran una pérdida de tiempo

Puede que ya hayas leído muchos libros acerca de lo importante que es planificar y prepararse, pero déjame hacerte una pregunta ¿Cómo como valoras en la práctica ese conocimiento? si de verdad creyeras que la planificación y preparación son importantes estoy seguro que lo harías, por otra parte quizá seas simplemente conocedor de lo valioso que es planificar y prepararse pero actúas como si hacerlo fuera una pérdida de tiempo.

Puedes intelectualmente conocer lo importante que es planificar y prepararse pero en lugar de hacerlo vives como si fuera una pérdida de tiempo. No estoy hablando de lo que crees o dices creer, sino de como actúas ante la planificación y la preparación.

5. Las personas extraordinarias tienen metas y planes claros, las personas ordinarias no tienen claro lo que quieren ni como conseguirlo

La claridad es poder, y las personas extraordinarias lo aprovechan; tener metas y planes claros llevará a resultados claros, tener metas y planes borrosos llevará a resultados borrosos o a no tener resultados en absoluto.

6. Las personas extraordinarias se ven a si mismas como personas exitosas, las personas ordinarias no logran verse a si mismas como personas exitosas.

Ve siempre lo bueno de cada situación, y si no lo hay asegúrate de ser quien tú quien lo aporte.

La autoimagen y la autoestima están muy relacionadas con nuestra capacidad para lograr objetivos, quien no se vea de forma positiva simplemente no se trazará metas grandes, o se creerá indigno de los éxitos que puede lograr con su potencial, y al ver algo como imposible lo más natural es que no de los primeros pasos y tienda a rendirse fácilmente.

¿Eres capaz de verte a ti mismo como una persona exitosa y digna del logro de tus más ambiciosas metas personales?

Si no lo eres, te sugiero que empieces a trabajar en tu autoestima y tu autoimagen hasta que puedas creerte el cuento.

7. Las personas extraordinarias disfrutan hablar acerca de su aprendizaje, sus resultados y su éxito; las personas ordinarias disfrutan quejarse

No voy a negar que me he quejado muchas veces y de muchas cosas y que cualquier ser humano lo hará, no obstante no es algo permanente en mi, no es algo que disfrute; prefiero compartir acerca de lo que aprendo y lo que logro, por otra parte conozco personas que siempre se quejan de todo y de nada, y lo más sorprendente es que no son personas exitosas o que sólo gozan de una parte de lo que podríamos llamar éxito y su queja constante es fruto de que han fracasado en otras áreas de la vida.

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8. Las personas extraordinarias disfrutan de hacer cosas diferentes y nuevas; las personas ordinarias sólo hacen lo que les es familiar

Dicen que el mayor impulso humano no es nuestro instinto de supervivencia, sino que nuestro mayor impulso es hacer lo que nos es familiar, cuesta salir de la zona cómoda, quedarse en la zona de confort tiene algunos beneficios inmediatos pero tiene un precio mediato.

9. Las personas extraordinarias se enfocan en desarrollarse constantemente; las personas ordinarias olvidan que ellas pueden mejorar

Una persona extraordinaria no pregunta: ¿Es posible mejorar?; sino más bien: ¿En que puedo mejorar?

Siempre hay algo por mejorar, lo malo es que muchas personas dejan de hacerlo y luego viven como si mejorar no fuera posible, es casi una ley:

Quien no vive como piensa terminará pensando como vive.

Las personas extraordinarias siempre están haciendo cosa diferentes que hagan mejorar en algún aspecto de su vida, saben que tienen mucho potencial que no están aprovechando y tratan de explotarlo al máximo, las personas extraordinarias siempre buscan ascender al siguiente nivel, y si tal nivel no existe entonces lo crean.

¿Te encuentras hoy en el mismo lugar y con los mismos problemas que hace seis meses?

Si la respuesta es sí, quizá deberías ver la forma de mejorar de manera que en los próximos seis meses no te encuentres en la misma situación de siempre sino con nuevos desafíos y proyectos.

10. Las personas extraordinarias aprecian la oportunidad de vivir, las personas ordinarias olvidan que un día van a morir

Vive como si fueras a morir mañana y aprende como si fueras a vivir siempre.

Mahatma Gandhi

Nadie sabe cuanto tiempo tiene en este mundo, el reloj no se detiene, existen muchos riesgos y peligros; aún llegando a descubrir tu propósito en esta vida no hay garantías de que tengas el tiempo suficiente para lograrlo; no existe nada seguro, solo existe una oportunidad llamada vida, las personas extraordinarias tienen una alta conciencia de la vida, y eso debido a que también tienen consciencia de la muerte.

Incluso siendo conscientes de que la vida un día va a terminar, las personas extraordinarias utilizan esto para impulsarlos a luchar por sus sueños, mientras que las personas ordinarias utilizan esta verdad para detenerse y como excusa para no intentar progresar.

Coaching de vida

Top 5 des trucs à faire pour être en forme chaque jour

Que faire quand la fatigue pointe le bout de son nez ? Il y a de fortes chances que comme la plupart des gens, vous vous ruez sur un café ou bien un petit encas pour vous remettre d’aplomb.

Le problème est que plus vous nourrissez votre corps de caféine et de sucre, et plus vous allez vous sentir mal lorsque leur effet s’estompera. La bonne nouvelle c’est qu’il y a plein de façons saines de booster votre niveau d’énergie sans avoir besoin de vous verser un café.

1. Changez votre douche matinale

Être en forme au travail commence déjà par votre douche matinale. Tout le monde aime les douches chaudes, mais la mauvaise nouvelle c’est qu’une douche chaude loin de vous réveiller, vous rend somnolent. Pourquoi ?
L’explication est assez simple : la différence de température entre la douche et la pièce (plus froide), abaisse votre température corporelle et signale à votre corps qu’il est temps de dormir. Votre rythme cardiaque diminue et votre digestion fonctionne au ralenti, ce qui vous donne cette impression de somnolence. Ce n’est bien sûr pas ce que vous voulez.

Au lieu de cela, si vous voulez vraiment être en forme le matin, restez sous un jet d’eau froide pendant 30 secondes. Au début ce sera loin d’être agréable et vous lâcherez sans doute un hurlement (personne ne vous jugera). Après cela alternez avec un jet d’eau chaude pendant 30 secondes puis un jet d’eau froide durant encore 30 secondes. Cela améliorera votre circulation sanguine et vous dynamisera comme jamais. Avec l’habitude, vous finirez peut-être même par trouver cette sensation plaisante.

2. Mangez consciencieusement

Comme vous le savez peut-être ou non, le petit-déjeuner est le repas le plus important de la journée, et c’est vraiment celui qui déterminera votre niveau d’énergie chaque jour. Sauter le petit-déjeuner empêche les personnes de se concentrer, car le cerveau ayant besoin de sucre pour fonctionner correctement épuisera rapidement les réserves de la veille et mettra votre corps en état d’hypoglycémie, jusqu’au déjeuner au moins.
Manger quelque chose le matin est donc vital, mais ce que vous mangerez l’est tout autant.

Commencer votre journée avec un croissant et un café peut être tentant, mais les repas riches en glucides de même que les aliments très sucrés, apportent beaucoup d’énergie sur le moment mais ne tiennent pas sur la durée.
Lorsque vous vous levez le matin, votre énergie est faible et votre niveau de cortisol (stress) est élevé. Les céréales et les protéines ont montré qu’elles étaient capables de réduire le cortisol et de maintenir des niveaux d’énergie stables durant la journée. Consommez plutôt des fruits, noix et des céréales complètes le matin. Les sucres lents que ceux-ci vous apporteront vous permettront d’être d’aplomb une bonne partie de la journée. Si vous n’avez accès qu’à de la malbouffe au boulot, n’hésitez pas à amener de la nourriture de chez vous.

3. Faites un peu d’exercice durant la pause déjeuner

Lors de la pause déjeuner avant de manger le midi, si vous avez cinq minutes devant vous n’hésitez pas à faire un peu d’exercice si vous vous sentez fatigué. Des etudes ont montré que les employés qui faisaient de l’exercice pendant leur pause déjeuner étaient plus productifs, énergiques et moins stressés. Vous n’avez peut-être pas de salle de gym au travail, mais l’important est de bouger. Faites un petit tour dehors, étirez-vous un peu ou bien faites quelques pompes.

Soyez malin et soulagez votre corps des tensions qui l’habitent en intégrant cette nouvelle routine. Faites de l’exercice dès que vous avez un moment de libre (ou à la pause déjeuner si le temps vous le permet).

4. Restez hydraté

Vous vous êtes déjà pris 3 cafés, mais vous vous sentez épuisé et vous n’arrivez plus à vous concentrer. La majorité des gens ne connaissent pas les signes d’une déshydratation, donc ils ne peuvent pas savoir lorsque cela leur arrive.

Le distributeur d’eau/machine à café est d’ailleurs plus que l’endroit où l’on se raconte les potins de bureau ; c’est d’ailleurs ce qui peut faire la différence entre une journée productive et une journée gâchée. Buvez dès que vous sentez que vous avez soif ou encore amenez votre propre bouteille d’eau et engagez-vous à la finir avant de rentrer chez vous.

Si vous êtes du genre à oublier de boire, collez un petit post-it « Boire » sur votre bureau ou une alarme sur votre téléphone. Les recommandations indiquent d’ailleurs de boire entre 1,5L-2L d’eau minimum par jour.

5. Laissez à votre cerveau le temps de se reposer

Vous avez 10 choses à faire et vous remarquez que n’êtes pas prêt(e) de les terminer. Vous avez l’impression que votre cerveau ne fonctionne plus, mais pourtant vous continuez inlassablement vos tâches.
Vous avez sauté tous vos moments de pauses mais même avec ça, vous n’avez toujours pas fini votre travail.

Il peut être tentant de sauter des pauses et persévérer malgré la fatigue, surtout quand vous avez des échéances à vrai dire. Mais des recherches ont montré qu’en se concentrant sur une tâche trop longtemps épuise le corps et détruit la concentration.

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Les employés qui prennent des pauses régulièrement pour faire autre chose que leur travail, comme parler à des gens ou marcher un peu, sont plus productifs. Si vous aviez prévu des pauses, prenez-les. Si ce n’est pas le cas, programmez une alarme toutes les heures environ et prenez 5 minutes pour vous déconnecter de votre travail. Imaginez en faisant cela, que vous empêchez votre cerveau de surchauffer et en retour vous pourrez reprendre vos tâches avec une énergie nouvelle smile

Adam Fartassi

Manipulate Time With These Powerful 20 Time Management Tips

We all have 24-hours in a day. But, why does it seem that some people are able to get the most out of every minute of the day? Believe it or not, they don’t have the power to slow down time. They do, however, know how to properly manage their time.

Want to know how you can become a master of time management  as well? Start by using these 20 super-powerful time management tips.

1. Create a time audit.

When it comes to time management, the first step you need to take is finding out where your time actually goes. You may believe that you only send 30 minutes on emails but in reality that task is eating-up an hour of your day.

The easiest way to keep track of your time is to download an app like RescueTimeToggl or my app Calendar  to track everything you do for a week. You can then access a report to find out what’s stealing your time. With this information, you can then make the appropriate adjustments.

2. Set a time limit to each task.

I’ve found that setting a time limit to each task prevents me from getting distracted or procrastinating. For example, if I want to write an article for my blog, I give myself two hours. So if I started at 8am, I try to get it written by 10am.

In a way, it becomes game.

Since I put buffers between tasks and activities, if I don’t complete the task on time, I can still work on it without eating into the time reserved for something else.

3. Use a to-do-list, but don’t abandon tasks.

“All goals and projects are made up of smaller parts that need to be accomplished in order to achieve the goal, or complete the project. Create to-do lists for each goal and project, listing all the measurable steps that need to be accomplished,” suggest William Lipovsky.

“Aside from keeping you focused, this also motivates you as you are able to see what you have already achieved, and what remains.”

At the same time, there will interruptions that may prevent you from completing a task. William recommends that you “make a point of always returning to and completing these tasks once you are able to. This may require you to set a limit on the number of tasks you are working on at any given time.”

4. Plan ahead.

One of the worst things that you can do is wake-up without a plan for the day. Instead of focusing on what needs to be done, you wander aimlessly and take care of more trivial matters.

That’s why you should always plan ahead using one of these options;

  • The night before. Before you leave work for the day, spend the last 15-minutes organizing your office and composing a list of your most important items for tomorrow.
  • First thing in the morning. During your morning routine write down the 3 or 4 most urgent and important matters that need to be addressed today and work on those when you’re most productive.

5. Spend your mornings on MITs.

Mark Twain once said, «If it’s your job to eat a frog, it’s best to do it first thing in the morning. And If it’s your job to eat two frogs, it’s best to eat the biggest one first.»

Gross? Sure. But, the point that Twain was making that you should take care your biggest and most-challenging tasks in the morning, aka your most important tasks (MITs) of the day.

There are a couple reasons why this such an effective time management trick. For starters, you usually have the most amount of energy in the AM. So it’s better to tackle these tasks when you’re not drained. Also, you can use that feeling of accomplishment to get through the rest of the day.

6. Learn to delegate/outsource.

Delegation and outsourcing can get a bit tricky. For some it’s hard to let someone else do work that they used to do. For others, they don’t have the time to train someone else to complete certain tasks.

The thing is, delegating or outsourcing are real time-savers since it lessens your workload – which means you have more time to spend on more important tasks or doing less work. Either hand over responsibilities to team members who are qualified or hire an experienced freelancer. And, if you do decide to do in-house training, the initial investment will be worth-it in the end.

7. Eliminate half-work.

“In our age of constant distraction, it’s stupidly easy to split our attention between what we should be doing and what society bombards us with,” writer James Clare.

“Usually we’re balancing the needs of messages, emails, and to–do lists at the same time that we are trying to get something accomplished. It’s rare that we are fully engaged in the task at hand.”

Clear has dubbed this “half–work” and here are a couple of examples;

  • You’re writing a report, but stop randomly to check your phone for no reason.
  • You try out a new workout routine, but switch to a new program a couple of day later because you read about it online.
  • While talking on the phone, your mind wanders to your email inbox.

“Regardless of where and how you fall into the trap of half–work, the result is always the same: you’re never fully engaged in the task at hand, you rarely commit to a task for extended periods of time, and it takes you twice as long to accomplish half as much,” adds Clear.

Clear has found that the best way to overcome half-work is by blocking “out significant time to focus on one project and eliminate everything else.” For example, he’ll pick one exercise and only focus on that exercise while working out. He’ll also carve out a few hours to devote to an important project, but will leave the phone in another room.

“This complete elimination of distractions is the only way I know to get into deep, focused work and avoid fragmented sessions where you’re merely doing half–work.”

8. Change your schedule.

If you’re reading this article then it’s obviously because you want to discover some useful time management – and I’m more than happy to help you put. But, if you’re struggling with time management, the solution may be as simple as changing your schedule around.

For example, instead of sleeping-in until 6:30am, wake-up an hour earlier. Personally, I find 5:15 am to be the most productive time of the day, since it gives me time to exercise, plan-out my day, go through my emails, and even work on side projects without being disturbed.

Also, consider waking-up earlier on the weekends and maybe cut-down on the amount of TV that you watch.

9. Leave a buffer-time between tasks and meetings.

Jumping immediately from one task or meeting to the next may seem like a good use of your time, but it actually has the opposite effect. We need time to clear our minds and recharge by going for a walk, meditating, or just daydreaming. After all, the human brain can only focus for about 90-minutes at a time.

Without that break it’s more difficult to stay focused and motivated. Scheduling buffer-time also can prevent running late to your next meeting. I find 25-minutes between tasks and meetings an ideal amount of buffer-time.

10. Get organized and single-task.

The average American spends 2.5 days each year looking for misplaced items. As a result, we spend over $2.7 billion annually in replacing these items. Instead of wasting both your time and money, get organized.

Start by having a home for everything and making sure that items are put back where they belong. As the end of the day clean your workplace and create a document management system.

And, start single-tasking. Most people cite multitasking as the main culprit for misplacing items.

11. Follow the 80-20 rule.

“The Pareto Principle also known as the 80-20 rule suggests that 80% of results come from 20% of the effort put in. This is commonly used in sales as 80% of sales typically come from 20% of the customers,” writes Renzo Costarella in a previous calendar post.

“When it comes to how you should manage your time this principle can also be applied. 80% of your results comes from 20% of your actions.”

Renzo suggests that you start by looking “at your schedule or to-do-list every day. For the sake of simplicity try to get down five tasks you need to accomplish. Using the principle you can probably eliminate the majority of the items on your list. It may feel unnatural at first but overtime this will condition you to scale up effort on the most important tasks.”

12. Use an online calendar.

Calendars have long been a fundamental tool for time management. However,  online calendars have taken this to the next level. That’s because you can access it from multiple devices, easily schedule meetings and appointments, set up reminders, create time blocks, and schedule recurring events.

Personally, I use Google Calendar. I think it’s the best. But Outlook and Apple Calendar also work well.

13. Stop being perfect.

When you’re a perfectionist, nothing will ever be good enough. That means you’ll keep going back to same task over and over again. How productive do you think your day will be as a result?

So, stop being perfect. It doesn’t exist. Do the best you can and move on.

14. Just say “No.”

I know that you don’t want to upset anyone. But you can only handle so much. If you already have a full plate then decline that dinner invitation or helping your colleagues on a project until you have the spare time.

15. Instill keystone habits.

Charles Duhigg, author of «The Power of Habit,» coined the term «keystone habits.» But, what are they? Simply put, they’re habits that can transform your life, such as exercising, tracking what you eat, developing daily routines, and meditating.

These habits replace bad habits and solicit other good habits. As a result, you’ll be healthier, more focused, and better suited to manage your time.

16. Don’t waste time waiting.

I’ll be honest. I can’t stand waiting. It’s not that I’m impatient. It’s just that I know that this is time that could be better spent elsewhere.

However, instead of wasting this time, I’ve found ways to make the best of it. For example, while sitting in a waiting room I’ll read an inspirational book, listen to a podcast, or blueprint an upcoming blog post.

17. Telecommute.

Did you know that the average American commute is over 26 minutes? And, to make matters worse, that daily commute is getting longer. Add on-top the amount of time it takes getting ready and you can easily see how much time is wasted getting to and from work.

While not possible for every job, telecommuting even twice a week can end-up saving you several hours per week.

18. Find inspiration.

When I’m dragging, I use inspirational sources like a TED Talk or biography. It’s a simple way to reignite that fire to get me motivated and back-on-track.

19. Batch similar task together.

When you have related work, batch them together. For example, don’t answer your emails and phone calls throughout the day. Schedule a specific time to handle these tasks.

The reason? Different tasks demand different types of thinking. By batching related tasks together, your brain isn’t switching gears – which means you cut out that time reorienting.

20. Do less.

This is a tactic from Leo Babauta. He started the blog Zen Habits and it’s definitely a must read. So, what does Leo have to say about doing less.

Doing less doesn’t mean “less is more.” It means “less is better.” This is achieved by slowing down, being aware of what needs to be done, and concentrating only on those things. Once you do, make every action count. As a result you’ll be creating more value instead of just fodder.Resultado de imagen para how organize your time better

I’m John Rampton, Founder and CEO of productivity app Calendar and payments company Due.

Magic happens when the self aligns with the soul

Dearest You,
I wonder if you know what your soul needs, and is that different than what your small self wants? Are they ever the same? Can they be? The answer is yes and when they align you’re in the magical miracle zone!

As I went over my 2019 list of what I intended to manifest in my life, I asked myself this question. Are my intentions in alignment with my soul? For a long time now I have known that if I only focus on my wants and desires without giving equal space for the needs of my soul I find that my manifestations will not be satisfying. There is a big difference between inspired intentions and wanting something to happen.

The real magic occurs when there’s alignment between the small self’s desires and the soul’s needs for experience. When the material and the spiritual are integrated miracles can and do happen. Yet, Rarely will they appear in the form you expect.

The idea that soul and small self are separate isn’t quite accurate, after all, we are spiritual beings having a human experience, but our perception of who we are and why we’re here can be skewed most of the time. It’s an optical illusion that we are separate and we will spend our entire human life re-learning how to discover our intrinsic connection to a Power Greater.

We look for ways, (I do too) for the small self to prosper, often forgetting that soul and Spirit are our most powerful manifesting partners. Yet when they are in alignment, you find yourself walking in the world wearing it loosely, in the world but not of it, and all manner of miracles and synchronicities light up with each step forward.

So in order to find this powerful alignment, to light up the brightest strand of parallel potentials within the unique thread of your life woven into the greater pulsing fabric of reality, it’s important to ask yourself some questions.

Answering the questions will provide you with a blueprint of how to ensure you honor the needs of your soul along with the intentions you set for creating your reality. When you do both you’ll notice how effortless it seems to create a satisfying, prosperous, meaningful life.

It’s part of an Alignment Quiz I created for the new year.

I will tell you how to do it first then I will share you my answers.

Make a list of 5 things you want to manifest in the next 12 months that come to mind quickly. Don’t think too much about it.

Then quickly and spontaneously write 5 things your soul needs to thrive whether they seem to support your first list or not.
Then create a few of your own affirmations and prayers based on what you wrote and share them in the comments! Sharing helps us all get clarity so don’t be shy.

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Ok I will go first (by the way this is not the easiest thing to do) Then it will be your turn!

I INTEND TO MANIFEST:

1. The final completion of my novel (sold as a scripted tv series) and be really happy with the inspirational story.
2. Finish my Chakra oracle deck, hand it in on time and be proud of it.
3. Breakthroughs in creativity.
4. Freedom from past patterns
5. Healthier toned body

MY SOUL NEEDS:

1. Time in nature
2. Music
3. Meaningful conversations
4. Hilarity
5. Staying compassionately present for all experience without judgment

MY AFFIRMATIONS:

With Spirit as my manifesting partner, honoring the needs of my soul, I am in effortless alignment with my highest good in service to others.
Abundance is my natural state.
I always find time to feed my soul and Spirit.
The Light within me creates miracles for myself, and others.
There is always enough time.
I am free.

MY PRAYER
THANK YOU SPIRIT FOR EVERY MOMENT AND EVERY BREATH. SHOW ME CLEARLY HOW I MAY BETTER SERVE AND CONNECT TO THE ABUNDANCE OF THE UNIVERSE. THY WILL BE DONE THROUGH ME FOR THE HIGHEST GOOD OF ALL. THANK YOU THANK YOU THANK YOU.

Ok, now it’s your turn. Notice that my lists were different? I will spend some time creating a plan now that will integrate the soul’s needs first then my first list will be easier to manifest. Or, as we all know something better could show up. That’s the fun part.
Have an amazing week! I can hardly wait to see yours
Love you all…

COMMENT TROUVER SON POTENTIEL POUR ARRIVER À METTRE EN ŒUVRE SES PROJETS ET LES EXPRIMER DANS SA VIE

Pour commencer cet article, je dois préciser que la première étape consiste à avoir des projets. Bien des personnes se disent trop occupées à vivre leur quotidien avec ses hauts et ses bas pour avoir du temps pour des projets. Si vous faites partie de ces gens, il est temps que vous réalisiez que tout projet alimente votre corps émotionnel.

En effet, il est aussi important pour votre corps émotionnel d’avoir des projets, des buts, des désirs, que de donner au corps physique les cinq éléments nutritifs dont il a besoin. Si un de vos trois corps (physique, émotionnel et mental) n’est pas bien nourri, il perd de l’énergie et se meurt lentement. Je ne parle pas ici seulement de grands projets, mais bien de se donner des buts : petits, moyens et grands à court, moyen et long terme.

L’étape suivante est de tout mettre en œuvre pour manifester ce projet, ce désir. Il y a des gens qui ont plein de projets, mais qui ne savent pas comment passer à l’action et d’autres personnes qui sont trop dans l’action sans avoir de projet ou de but spécifiques. Ils tournent alors en rond et sont rarement satisfaits de leur vie.

Voici les éléments nécessaires pour utiliser toutes vos ressources afin d’arriver à vos buts. Supposons qu’un couple désire faire un voyage de trois semaines en Asie.

Pour être certains que ce projet répond à leur besoin, ils doivent vérifier ce que ce voyage leur permettrait d’être. Il est sage de savoir quel besoin de l’âme est comblé par un projet. La question à se poser peut ressembler à celle-ci : Ce voyage m’aiderait à être quoi, à me sentir comment ? Ensuite, ils doivent vérifier à quel degré cette réponse fait WOW en eux. En faisant ce petit exercice, ils viennent d’ancrer le projet, le désir, en sachant à quel point ce sera bon pour eux.

Ensuite, ils peuvent faire la liste de tout ce qui est nécessaire physiquement pour le réaliser, en se faisant aider si nécessaire : les lieux à visiter, les coûts, les choses à se procurer (vêtements, visas, etc.). En ayant cette information, ils pourront mieux déterminer la date à laquelle ce voyage serait possible.

Comme vous voyez, nous devons faire des actions et non attendre que toutes les circonstances soient parfaites avant de commencer. Si vous êtes du genre à procrastiner ou à vous remettre en question sans cesse, il se peut que ce soit parce que vous avez peur de vous tromper, de prendre la mauvaise décision.

Il y a bien des gens qui voudraient faire un voyage, mais peu après avoir exprimé leur désir, ils commencent à se dire qu’ils devraient peut-être garder cet argent pour acheter un nouveau mobilier de salon, pour changer leur auto ou pour les études des enfants, etc. Si vous avez ce genre d’attitude, vous vous créez souvent de la déception, de la frustration et même de la colère contre vous. De plus, vous envierez les autres qui se permettent ce genre de projet et passent à l’action.

Pourquoi ne pas prendre un projet à la fois ? Si cela fait un gros WOW en vous et que vous savez que cela répond à votre besoin, vous devez faire confiance à vos forces intérieures pour le concrétiser. Le secret, je le répète, c’est de faire des actions vers votre but.

Il se peut que votre projet soit retardé à cause d’un imprévu, mais surtout ne le perdez jamais de vue. Continuez à sentir le bonheur de vous voir parvenir à votre but ainsi que la satisfaction intérieure et la fierté que vous aurez à l’avoir atteint. Cette attitude est d’autant plus importante lorsqu’il arrive des incidents qui pourraient vous faire oublier votre projet. Vous pouvez reconnaître que tout ne va pas comme vous aviez planifié, mais tout en continuant à sentir le bonheur que vous apportera la concrétisation de votre but. Resultado de imagen para avoir des buts

Souvenez-vous aussi que vous avez le droit d’avoir n’importe quel projet, n’importe quel but, car ce sera toujours vous qui aurez à en assumer les conséquences. Donc, il n’y a pas de mauvais projets ou de mauvais désirs s’ils répondent vraiment à un de vos besoins. Votre entourage peut ne pas toujours être d’accord avec vos buts, car ils n’ont pas les mêmes besoins.

Avec amour,

Lise Bourbeau

06-01-2019

Después de un fracaso, ¿cómo levantar cabeza?

Es cierto que no podemos controlar lo que nos sucede en la vida pero, sí podemos controlar nuestra respuesta. Somos dueños de nuestros movimientos y pensamientos pero también somos responsables de nuestros errores. Todo depende de cómo asimilemos las cosas y cómo nos enfrentemos a ellas. Estos 7 puntos son claves para vivir con valentía y mirando siempre al futuro.

1. Vive cada día expectante
Haz que cada jornada laboral y personal sea especial. Busca nuevas experiencias que aporten a tu vida la motivación suficiente para tener una visión positiva de lo que te rodea. El entusiasmo que le pongas a tu vida será clave para garantizar su éxito en ambos terrenos. Tu trayectoria puede cambiar si sabes enfocarla como tú quieres.

2. Busca explotar tus ideas
Cada mañana debes de tener claro qué quieres conseguir, cuál es tu destino y cómo vas a llegar a él. Es importante estar convencido de cuáles son tus objetivos y hacer lo posible para que tus acciones vayan en esa dirección. Aprende a ser productivo con cada uno de tus movimientos.

3. Ten paciencia con los logros
Deja que el tiempo te vaya dando las respuestas que esperas encontrar con tu trabajo. No te agobies ni te exijas más de lo que deberías. El éxito puede tardar incluso años en aparecer pero, no por ello quiere decir que nunca vayas a alcanzarlo. Esfuérzate cada día y espera a ser recompensado.

4. Se fiel a tus principios
Sea cual sea la situación, tienes que aprender a seguir por el camino que marcan tus valores. Tus decisiones deben de ir en consonancia con tus ideas y tu forma de ser. La única manera de ser realmente lo que quieres es siendo sincero contigo mismo y con el resto. Defiende tus pensamientos.

5. Reconoce tus errores
Tan importante es celebrar los éxitos como asumir los fracasos. Cada una de estas situaciones aportará a tu vida algo diferente de lo que debes aprender. Rectifica a tiempo y sé responsable para pedir disculpas si es necesario. Todos podemos equivocarnos pero sólo los mejores saben reconocerlo.

6. Se honesto con tus compañeros
Ante todo, honestidad. Este valor es indispensable para aumentar tu credibilidad y crear un ambiente de confianza. Todas las personas que te cruces en tu camino pueden aportarte nuevos conocimientos e, incluso, llegar a significar algo importante en tu vida.

7. Continúa luchando
Averigua cuál es tu talento y explótalo al máximo. Es necesario que conozcas tus puntos fuertes y hagas de ellos tu mejor arma para ser una persona exitosa. No te des por vencido y sigue tus metas las veces que haga falta. Sólo si eres persistente podrás garantizar tus logros.

Stefanía Simón

Cómo Sobrevivir A La Odisea de Emprender

Odiseo el Emprendedor

Emprender es un acto heroico, que necesita de un fuerte motivo y de mucho valor. Normalmente el emprendedor inicia su odisea no para solo sobrevivir, sino en busca de una mejor calidad de vida. Esa conquista requiere sacrificios. Como cuando Ulises (Odiseo) inició su periplo, renunciando a su comodidad y dejando a su familia. Pero la esperanza de volver con el sabor de la victoria junto a su amada esposa y querido hijo le mantiene en el camino de regreso a Ítaca. Es la chispa que mantiene viva la llama del sueño. Tener un sueño claro, una visión fuerte de tu futuro te guía en los momentos difíciles, en las noches oscuras, en las turbulencias del camino… Sin el sueño no hay combustible, y no hay héroe.

La odisea de emprender tiene muchas etapas, y como en la obra de Homero, el viaje es duro y arduo, pero la recompensa final merece la pena todo el esfuerzo y sacrificio. El verdadero riesgo empresarial es iniciar la aventura de emprender sin un plan de acción para el éxito empresarial y sin prepararte para las dificultades a las que tendrás que sobrevivir. Si identificas en qué fase del viaje está tu proyecto o negocio, podrás saber cuáles son los desafíos a los que te vas a enfrentar. Estas son los 5 principales desafíos que tendrás que superar para sobrevivir a la odisea de emprender.

5 Desafíos del Emprendedor

1. Emprender la odisea

Es el momento de los preparativos, de la ilusión por las hazañas que esperan ser vividas. El amargor del sacrificio, de todo lo que queda atrás, es camuflado por el dulzor de la futura victoria. El emprendedor que inicia su odisea espera triunfar empresarialmente. Es el sueño, la visión del futuro deseado, lo que le moviliza y le da fuerzas para emprender el periplo. Es el motivo lo que hace al héroe.

2. Los cantos de sirena

cantos_de_sirenaLa ilusión inicial y la ingenuidad de la inexperiencia, nos llena la cabeza de fantasías y falsas expectativas. Éstas en realidad son solo trampas que te atraen y te distraen de tus metas. Podría ser una colaboración u asociación que no resulta como esperabas, o la promesa de un nuevo camino aparentemente más rápido y sencillo hacia el éxito empresarial. Es todo aquello que te embriaga y se interpone en tu camino haciéndote perder el tiempo y desviándote de tu objetivo.

3. Las batallas con los cíclopes

miedos_del_emprendedor

Esta es la parte más ardua. Es cuando aparecen los miedos del emprendedor, cuando las dudas se vuelven tan grandes que te devoran. La única manera de vencer a esos monstruos internos es enfrentarse a ellos. No puedes huir de ellos porque aparecen por todas partes y te esclavizan. La mejor arma para combatirlos es mantener el sueño vivo y la creencia en tu propio poder, en tus fortalezas y talentos. Solo si el sueño es más grande que el miedo y la confianza mayor que las dudas, podrás salir victorioso de esta guerra interna de tus limitaciones y sobrevivir a la odisea de emprender.

4. Las tempestades

desafios_de_emprenderSon las amenazas externas, las crisis, las variables que no conocías y que hacen que tu negocio se tambaleé. Los vientos huracanados pueden provocar que tu empresa se hunda, aun cuando parecía que estaba todo controlado. Solo podrás navegar en esta agua turbulentas si conoces bien tu sector y a tu equipo de trabajo. Es en estos momentos difíciles cuando se fragua el líder que hay en ti. Un buen líder contagia la visión y mantiene unido y motivado al equipo

Esta es la parte más ardua. Es cuando aparecen los miedos del emprendedor, cuando las dudas se vuelven tan grandes que te devoran. La única manera de vencer a esos monstruos internos es enfrentarse a ellos. No puedes huir de ellos porque aparecen por todas partes y te esclavizan. La mejor arma para combatirlos es mantener el sueño vivo y la creencia en tu propio poder, en tus fortalezas y talentos. Solo si el sueño es más grande que el miedo y la confianza mayor que las dudas, podrás salir victorioso de esta guerra interna de tus limitaciones y sobrevivir a la odisea de emprender.

5. La conquista del mercado

Cuando ya has superado todas las dificultades y estás cerca del éxito de tu proyecto empresarial, queda aún la batalla más compleja, posicionarte. Descubres que hay muchos competidores queriendo conquistar tu mismo nicho de mercado, lo que amenaza seriamente tu sueño. No subestimes a tus competidores y conócelos, pues junto al conocimiento de tu cliente es clave para asegurarte la victoria final y lograr conquistar tus metas empresariales.

la conquista del mercado

Toda esta odisea del emprendedor es un proceso que te pule y te entrena como empresario y líder. Solo los que perseveran y se mantienen enfocados en su meta alcanzarán la gloria. Contar con la ayuda de un coach empresarial en esta travesía puede hacer la diferencia entre el éxito y el fracaso.

Si vas a emprender el viaje hacia Ítaca pide que tu camino sea largo, rico en experiencia, en conocimiento.”

Gracias por leerme. Si te ha gustado compártelo:-)

¡Te deseo éxito y felicidad!

Emma García, cosco empresarial

AIMER D’UNE FAÇON INCONDITIONNELLE SIGNIFIE-T-IL DEVOIR TOUT ENDURER DE LA PART DES AUTRES?

J’entends régulièrement des gens dire que l’amour inconditionnel est possible avec certaines personnes ou dans certaines situations, mais qu’avec d’autres, c’est tout simplement impossible.

Monsieur me dit par exemple que s’il aime son fils d’une façon inconditionnelle quand il découvre que ce dernier se drogue et de ce fait ne le lui interdit pas, cette décision est très malsaine et ne peut définitivement pas être une preuve d’amour de la part d’un père. Il est convaincu que son fils continuera à se droguer s’il le lui permet et qu’un père qui aime son fils ne peut certainement pas prendre une décision qui lui nuirait.

Ce genre de résistance et d’objection typiques de la plupart de nous n’est qu’une expression de notre ego. Celui-ci ne peut absolument pas comprendre les notions spirituelles. Le concept de l’amour inconditionnel fait partie du monde spirituel et non du monde matériel qui comprend les aspects physique, émotionnel et mental de l’humain.

Aimer inconditionnellement veut dire accepter, reconnaître, observer une attitude sans la juger ou la condamner. Que cette attitude soit positive ou négative, on l’observe et on l’accepte tout simplement en se souvenant que chaque humain a le droit d’être différent. Mentalement, nous croyons qu’accepter signifie être d’accord avec l’attitude (être) et le comportement (action). Quand nous sommes influencés par notre aspect matériel, nous nous fions à notre perception qui est basée sur tout ce que nous avons appris dans le passé. La perception vient toujours de la mémoire ou l’expérience passée de la personne qui perçoit. Nous percevons donc en général d’une façon différente des autres.

En revenant à l’exemple précédent du père qui découvre que son fils se drogue, il est évident que sa perception de l’amour inconditionnel vient de sa dimension mentale. Il croit qu’aimer son fils inconditionnellement signifie être d’accord avec sa décision. Voilà pourquoi il résiste autant à expérimenter cette forme d’amour. Il dira : Je ne peux pas dire à mon fils que je l’accepte, car il continuera à se droguer et peut-être encore plus s’il sait qu’il a mon approbation.

En réalité, accepter véritablement c’est pouvoir dire oui à ce qui se passe même et surtout lorsque nous ne sommes pas d’accord. Nous savons que nous ne sommes pas d’accord, que ce genre d’attitude ne correspond pas à notre préférence, mais nous pouvons accepter que pour le moment ce soit ce qui se passe. Voilà ce que signifie accepter, aimer d’une façon inconditionnelle. Il est impossible à qui que ce soit de VRAIMENT SAVOIR ce que veut dire aimer inconditionnellement tant que cette forme d’amour n’a pas été assimilée et expérimentée.

L’étape nécessaire pour arriver à aimer inconditionnellement est de reconnaître que chaque personne sur terre est responsable à 100 % de ses actes. Oui mais mon fils n’a que 15 ans, je suis encore responsable de lui me dira le papa. En devenant une personne responsable, ce père saura que son enfant peut décider ce qu’il veut dans la vie, car c’est lui-même qui devra assumer les conséquences de ses actes.

L’autre étape nécessaire pour une vraie prise de responsabilité de la part du père est de savoir qu’il s’est attiré un fils qui lui fait vivre des choses difficiles pour apprendre à s’accepter lui-même. Le moyen pour découvrir ce qu’il doit accepter dans la façon d’être de son fils est de vérifier de quoi il le juge quand il se drogue. S’il le juge d’être lâche, faible ou dépendant, son fils est dans sa vie pour l’aider à découvrir qu’il n’accepte pas d’être ainsi lui-même et ne se le permet pas. Ni le père, ni le fils n’acceptent ses façons d’être.

Vous constaterez que je parle toujours d’accepter une attitude, une façon d’être et jamais un comportement. Cela signifie que ce n’est pas le fait de se droguer que le père doit accepter, c’est accepter ce qu’il juge d’ÊTRE lâche, faible et dépendant.

Pour terminer, voici comment un papa pourrait approcher son fils dans ce genre de situation : J’ai découvert que tu te drogues et je veux te dire que je ne suis pas du tout d’accord. Ça me fait beaucoup de peine et me fait très peur. Je sais que je pourrais t’interdire la drogue, te menacer de ne plus te donner d’argent de poche, t’interdire de sortir de la maison, mais je sais aussi que tu finirais par trouver un moyen de le faire quand même. Et puis mon attitude contribuerait à nuire beaucoup à notre relation. J’ai appris que je dois utiliser cette situation pour découvrir ce qu’elle peut m’apprendre et pour y arriver, je dois découvrir ce que je te juge d’être. Eh bien, je te juge d’être lâche, faible et dépendant. Il semblerait que si je te juge d’être ainsi, cela indique que je me juge aussi de l’être parfois avec moi-même ou les autres et que toi aussi tu me juges parfois. Peux-tu me dire dans quelles circonstances tu m’as jugé d’être lâche, faible et dépendant avec toi ou avec quelqu’un d’autre ? 

Dès l’instant où une personne se permet ce genre d’expérience, il se produit ce que j’appelle un miracle. Dans notre exemple, le fils, ne se sentant pas jugé par son père, se sentira libre de lui répondre à quel moment il l’a jugé. Le miracle est que le père et le fils se sentiront mieux après leur conversation, ils sentiront le respect de l’autre. Le fils pourra partager avec son père comment il vit son expérience. Ce n’est que lorsqu’il décidera qu’il ne veut plus assumer les conséquences nuisibles de sa dépendance qu’il pourra arrêter. De nombreux parents m’ont raconté que leur enfant avait arrêté très rapidement la drogue après une conversation de la sorte.

Un autre moyen utilisé par de nombreux parents semble produire de très bons résultats. Le père demanderait à son fils Si les rôles étaient inversés, que ferais-tu à ma place ? Quelles sont les mesures, les décisions que tu prendrais ? Il se peut que le fils lui dise qu’il ne lui donnerait plus d’argent de poche et qu’il devrait travailler pour payer sa drogue. Ainsi, le père pourrait donner des travaux à faire à son fils ou lui permettre de gagner ailleurs l’argent dont il a besoin. Il est important que le parent respecte la suggestion de son enfant. Elle est d’ailleurs assez souvent plus sévère que ce que le parent aurait décidé. Resultado de imagen para l'amour inconditionnel   Je vous souhaite de profiter des nombreuses occasions qui se présentent chaque jour pour pratiquer à vous aimer, ainsi que les autres, inconditionnellement. Chaque fois que vous le ferez, ce sera comme renforcer un muscle, cela deviendra de plus en plus facile à répéter.

Avec amour,

Lise Bourbeau

The Best Way to Fulfill Your Expectations

With this knowledge in mind, there are practical ways to revise and raise your expectations, starting right now. To begin with:

Deepak Chopra

El reto de aceptar lo que nos llega

por: Fátima Servían Franco

Aceptar lo que nos llega es el primer paso para no huir de nuestra realidad y emprender cualquier cambio. En este sentido, muchas veces para aceptar los acontecimientos más dolorosos necesitamos un tiempo, el que va desde que suceden hasta que logramos integrarlos. Por otro lado, esta aceptación nos ayudará a definir una nueva visión más real de nosotros mismos y de lo que nos va sucediendo.

El reto al que todo ser humano tendrá que enfrentarse alguna vez es al de adaptarse a las circunstancias más adversas, porque ellas no siempre se van a adaptar a nuestros deseos. Hay un día, más o menos triste, más o menos lejano, en el que aceptamos lo que somos, ya sea para cambiarlo o para integrarlo en nuestra historia.

Admitir nuestra vulnerabilidad en lugar de tratar de ocultarla es la mejor forma de enfrentarnos a la realidad, pero también es la mejor manera de construir relaciones de confianza. La aceptación no es cobardía sino una representación del valor necesario para admitir que estamos en un lugar que no nos gusta.

 Hay un espacio muy grande entre saber y entender y otro más grande aún entre entender y aceptar.

La vida no es lo que pensamos, es lo que nos pasa.La realidad a veces enamora y otras simplemente nos devasta. Pero, como ya deberíamos de haber aceptado, la vida no es lo que queremos, es lo que nos pasa. Adquirir herramientas para integrar en nuestra historia todas las situaciones que hemos vivido, sobre todo las dolorosas, es un síntoma de inteligencia emocional.

Las personas emocionalmente inteligentes experimentan las emociones negativas y dolorosas sin esa carga de frustración que roba el aliento. Saben que son inevitables y no luchan para reprimirlas ni se desentienden de su gestión. En cambio, las personas con baja inteligencia emocional se enfrentan a un proceso aún más doloroso, al no ser capaces de diferenciar el dolor del sufrimiento.

El dolor es inevitable, pero el sufrimiento tiene una buena parte de opción personal. Normalmente, sufrimos más con lo que no aceptamos. La negación, cuando hay un impacto emocional muy grande, es válida como primera estrategia de defensa pero se convierte en invalidante cuando se perpetúa en el tiempo.

Lo que no puedas aceptar, déjalo pasar, más adelante lo vas a comprender.

¿Cómo aceptar algo para lo que nunca estaremos preparados?

La aceptación de lo que ya ha sucedido o tiene que suceder, es el primer paso para trascender el impacto emocional de cualquier desgracia. La forma más rápida de cambiar nuestra actitud hacia el dolor es aceptar el hecho de que todo lo que nos sucede de alguna forma puede ayudarnos en nuestro crecimiento personal.

Nuestra vida es dinamismo. Desde pequeños estamos en continuo cambio, cambio de juguetes, de colegio, de amistades, de figuras familiares. Aceptar esta parte como una parte más de la vida, en vez de enterrarla como si nunca fuera a pasar, nos permite entender los ciclos que atravesamos y que de alguna manera se cierran.

Algunas pérdidas a veces no se superan, sino que se aceptan. Para aprender a aceptar la pérdida será necesario comprender los sentimientos que se están viviendo y darles un sentido en el presente que no cesa, que no se ha detenido a nuestro alrededor a pesar de la ausencia. Recolocar los recuerdos, para que nos permitan continuar.

Lo que una vez disfrutamos nunca lo perdemos. Todo lo que amamos profundamente se convierte en parte de nosotros mismos. Cuando conectamos con otra persona, amigos íntimos, padres, hermanos, pareja, esa conexión nos trasforma y nos hace de alguna manera parte de sus reflejos.

Así que, ante cualquier tipo de perdida, tenemos que saber que la persona que se va de nuestra vida ya ha dejado en nosotros su imprenta. Siempre que queramos que esté con nosotros solo bastará con mirar nuestros gestos, nuestras palabras y nuestras actitudes para poder volver a ver una parte de ella.

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“Cuando te sientas dolorido, mira de nuevo en tu corazón y deberías ver que estas llorando por lo que ha sido tu gran disfrute”

-Kahlil Gibran-

Comment dédramatiser

Selon le dictionnaire, une personne dramatise lorsqu’elle donne un tour dramatique à un événement et à une situation en exagérant sa gravité.

Par exemple, les gens dramatisent souvent quand:

  • Une salle de bain est en désordre.
  • Un enfant s’approche trop d’une piscine.
  • Quelqu’un est en retard pour un rendez-vous.
  • Ils voient une souris, une araignée, etc.
  • Ils ont pris 5 kilos.
  • Un contretemps dérange leurs plans.

Vous pensez peut-être que ces situations ne sont pas vraiment dramatiques comparativement à perdre son emploi, faire faillite, apprendre que son adolescent se drogue, avoir une maladie grave, votre conjoint vous quitte pour quelqu’un de plus jeune, un être cher décède, etc. Comment pouvez-vous affirmer que ces situations sont des drames? Pourquoi dans les mêmes circonstances, certains demeurent très calmes alors que d’autres en font des drames?

Ces réactions dépendent des limites de chacun tant aux niveaux physique, émotionnel et mental.

Voici le portrait type d’une personne qui dramatise facilement

  • Elle est hyper-émotive
  • Son imagination est telle qu’elle perd le contrôle
  • Ses peurs la font paniquer
  • Elle a un grand besoin d’attention.

Il existe une différence entre dramatiser et exagérer. Prenons l’exemple d’un couple en vacances au bord de la mer. Monsieur décide de nager très loin et en le voyant aussi loin, madame commence à imaginer toutes sortes de scènes qui lui font peur. Même si elle sait que son mari est un bon nageur, son imagination est plus forte que sa raison. Si elle est dans tous ses états quand son mari revient parce qu’elle vit des émotions, elle dramatise.

Si elle lui dit seulement: «Avais-tu pensé aux requins avant de t’éloigner ainsi?» et qu’elle ne vit pas d’émotions, c’est seulement de l’exagération.

Quand nous dramatisons, nous craignons de subir les conséquences d’une situation donnée ou d’en être tenus responsables.

Pour illustrer ceci, reprenons les exemples du début:

  • Une salle de bain en désordre: la mère croit que les enfants profitent d’elle, qu’ils sont indifférents au fait qu’elle a d’autres choses à faire que de toujours nettoyer. Elle ne se sent pas aimée.
  • Un enfant qui s’approche trop d’une piscine: le parent a peur d’être traité d’irresponsable si quelque chose arrivait à son enfant.
  • Quelqu’un est en retard pour son rendez-vous: avoir peur de perdre l’estime de l’autre, un emploi, avoir peur de se faire juger, etc.
  • Voir une souris ou une araignée: peur de se faire envahir. L’animal n’est qu’un rappel de la peur vécue face aux humains.
  • Avoir pris cinq kilos: peur de ne plus être désirable et de se retrouver seul.
  • Un contretemps qui dérange vos plans: avoir l’impression de ne pas être respecté ou avoir peur de ne pouvoir faire face aux conséquences.

Une personne qui dramatise tient l’autre responsable de son bonheur ou de son malheur. Elle se croit aussi responsable des autres. Sans s’en rendre compte, elle ne pense qu’à elle-même.

Une personne responsable assume les conséquences de ses propres choix et actions et non celles des autres.

En reprenant les exemples plus tragiques du début, voyons ensemble comment une personne responsable réagirait.

  • Perdre un emploi : elle ne traite pas son patron d’injuste. Elle accepte plutôt le fait que le hasard n’existe pas. En vérifiant au plus profond d’elle-même, elle s’aperçoit qu’elle n’avait plus rien à apprendre avec ce travail et qu’elle avait un désir secret de passer à autre chose. L’univers s’en est occupé pour elle.
  • Faire faillite : elle n’accuse pas le système ou la situation économique. Elle se dit plutôt que cela lui donne l’occasion de vivre de nouvelles expériences en créant du nouveau. Plutôt que de devenir déprimée, elle se renforce grâce à une telle attitude.
  • Adolescent qui se drogue : elle n’accuse pas son enfant et ne s’accuse pas en tant que parent en se sentant coupable de la décision de l’adolescent. Elle sait que cette décision appartient à l’adolescent et que ce dernier aura à en assumer les conséquences tôt ou tard. Elle partage avec lui comment elle se sent dans cette situation et lui dit qu’elle n’a aucune intention d’en subir les conséquences pour lui. Par contre, elle lui offre de l’aider dans la mesure du possible selon ses limites et ses capacités.
  • Maladie grave : plutôt que de paniquer, elle utilise sa maladie pour tenter de reconnaître l’attitude intérieure qui a déclenché cette maladie. Elle est ensuite reconnaissante pour ce que cette maladie lui a permis de conscientiser.
  • Conjoint qui quitte l’autre : plutôt que d’accuser le conjoint, elle prend contact avec sa peur d’être abandonnée. Elle réalise qu’elle s’est elle-même créé cette peur et elle l’assume afin d’être moins dépendante de quelqu’un d’autre pour son bonheur.
  • Un être cher qui meurt : elle ne voit aucune injustice et ne se sent pas abandonnée. Elle accepte sa décision de retourner dans le monde de l’âme. Elle respecte le choix de l’autre même si elle s’ennuie de sa présence physique.

Être ainsi responsable aide à demeurer centré. Toute personne centrée sait qu’il y a toujours une solution à tout et en étant plus calme, plus observatrice des événements, elle prend nécessairement les bonnes décisions.

La personne qui perd le contrôle et dramatise est décentrée et se crée nécessairement des problèmes. Elle en vient même à avoir plusieurs malaises et maladies tels des problèmes nerveux, des maux de tête, des indigestions, des problèmes d’intestin, de foie et de pancréas. C’est surtout le système digestif qui est le plus affecté. Plus une personne dramatise et plus elle devient victime. Plus elle est victime, plus elle s’attire des maladies graves, surtout des maladies rares.

Pourquoi?

Parce que la victime obtient beaucoup d’attention avec des événements ou maladies tragiques. Elle finit par croire que sans ces drames, elle n’aura plus d’attention. Heureusement que rien dans notre monde matériel n’est permanent. Tout est temporaire. Seul celui qui croit qu’une situation désagréable est permanente la recrée sans cesse avec son pouvoir créateur, se donnant ainsi raison.

Dans la vie, nous avons tous le choix entre:

  • L’amour inconditionnel et l’amour conditionnel (Je t’aime si…)
  • L’amour et la peur
  • La foi ou la peur
  • Lâcher prise ou vouloir contrôler.

Ces choix nous permettent d’accéder ou non au bonheur, à l’harmonie ou à une vie misérable.

Pour terminer, voici en résumé ce que je suggère aux personnes qui sont portées à dramatiser facilement et qui veulent changer cette attitude.

  1. En devenir conscient en vérifiant auprès de vos proches si nécessaire.
  2. Se donner le droit d’être ainsi pour le moment en reconnaissant les peurs vécues.
  3. Avoir de la compassion pour soi et pour les autres en se plaçant dans la peau de l’autre.
  4. S’excuser auprès de la personne que vous avez accusée tout en voyant la partie de vous qui a peur.
  5. Apprendre à en rire et à lâcher prise. Reconnaître que vouloir tout contrôler vous demande beaucoup plus d’efforts que de lâcher prise.
  6. Se souvenir que plus vous dramatisez, plus vous vivez d’émotions. Vous malmenez votre système et vous vous créez des maladies.
  7. Se poser les questions suivantes: «Cette situation est-elle si tragique? Si je mourais dans quelques instants, serait-ce aussi important? Comment puis-je grandir en tant qu’être humain à travers cette expérience?»

Vous vous rendrez vite compte que le fait de dédramatiser vous aidera à être beaucoup plus maître de votre vie ce qui vous aidera à créer ce que vous voulez vraiment.

Avec amour,

Lise Bourbeau

La necesidad de ser especial

Me siento deprimido y me condeno a mí mismo, aunque realmente no sé por qué…

Esa es una manera de quedarte en las mismas… es un truco de la mente. En lugar de entender, la energía se empieza a mover hacia la condena… y el cambio llega a través de la comprensión, no de la condena. Por tanto la mente es muy engañosa: en el momento en que comienzas a ver un hecho, la mente se apodera de ello y comienza a condenarlo. Ahora toda la energía se convierte en condena, y así la comprensión queda olvidada, relegada, y tu energía se mueve hacia la condena… y condenar no puede ser de ayuda.

Te puede deprimir, te puede enfadar, pero deprimido y enfadado jamás te transformas. Continúas siendo el mismo, moviéndote en el mismo círculo vicioso una y otra vez.

La comprensión es liberadora; luego, cuando te das cuenta de algo, no hay necesidad de condenarlo, no hay necesidad de preocuparse por ello. Sólo es necesario mirarlo con profundidad y comprenderlo.

Si digo algo y te afecta – y de hecho éste es mi propósito: que debería afectarte de alguna manera – entonces debes poner tu atención en la razón por la que te afecta y en dónde te afecta y cuál es el problema; tienes que mirarlo. Viéndolo, tratando de moverte a su alrededor, mirándolo desde todos los ángulos… Si condenas, no puedes mirarlo, no lo puedes enfocar desde todos sus ángulos. Has decidido de antemano que está mal; sin darle una oportunidad, ya lo has juzgado.

Observa este hecho, profundiza en él, contémplalo, duerme con él, y cuanto más puedas observarlo, serás más capaz de salir de él. La habilidad de comprender y la habilidad de salir de él, son dos nombres diferentes para el mismo fenómeno.

Si comprendo algo, soy capaz de salir de ello, de trascenderlo. Si hay algo que no comprendo, no puedo librarme de ello. Luego la mente continúa haciendo esta jugada con todo; no solamente contigo. Instantáneamente saltas y dices: ‘Esto está mal, no debería ser así. No valgo la pena, mi relación está mal, y esto y aquello está mal’, y te sientes culpable . Ahora toda tu energía se mueve hacia la culpa, y mi trabajo aquí consiste en hacerte sentir lo menos culpable posible.

Así que, veas lo que veas, no te lo tomes de manera personal. No tiene nada que ver contigo en particular; es simplemente la forma en que funciona la mente. Si hay celos, si hay posesividad, si hay enojo,así es como funciona la mente… así es más o menos con la mente de todos, en menor o mayor grado.

La mente tiene otro mecanismo: quiere elogiar o condenar. Nunca se queda en medio. Cuando te halagan, te vuelves especial y el ego se siente satisfecho; pero cuando te condenan también el ego cobra identidad, también te hace ser especial. Observa el truco: Por ambos lados ¡te vuelves especial! [Ella] es especial: sea una santa,una gran santa, o la mayor pecadora, pero de cualquier forma el ego está satisfecho. De todas formas dices una cosa: que eres especial.A la mente no le gusta escuchar que es simplemente ordinaria. Pero los celos, este enfado, estos problemas de relaciones y del ser son ordinarios,todo el mundo los tiene. Son tan ordinarios como tu pelo. Quizás alguien tenga unos cuantos más o unos cuantos menos, lo mismo que hay personas morenas o pelirrojas, en el fondo da igual – son ordinarios, todos los problemas son ordinarios. Todos los pecados y todas las virtudes son ordinarios, pero el ego quiere sentirse especial. Te hará creer que eres el mejor o el peor.

Así que simplemente observa… cómo todos tus problemas son ordinarios. ¿Qué problema hay, dime? ¿Dónde sientes que hay un problema? Simplemente nómbralos.

Tengo un dolor aquí, en la frente.

Te duele porque no intentas entenderlo, luego duele. Lo estás condenando, te dices [a ti misma]: ‘No deberías estar deprimida. Tú no eres así, no va con tu imagen. ¡Eres una chica tan bonita! ¿Por qué estás deprimida?’ — en lugar de comprender la verdadera razón por la que estás deprimida.

La depresión muestra que de alguna manera la ira está en ti de una forma negativa: la depresión es un estado negativo de la ira. La palabra en sí misma es muy significativa;– quiere decir que algo está siendo oprimido; éste es el significado de deprimido. Estás oprimiendo algo en tu interior, y cuando la ira se comprime demasiado, se convierte en tristeza. La tristeza es un estado reprimido de la ira, la manifestación femenina de la ira.

Si le quitas la presión, se convertirá en ira. Probablemente estés aún molesto con situaciones de tu infancia que no has podido expresar, de aquí la depresión. ¡Intenta entenderlo! Y el problema es que la depresión no tiene solución, porque no es un problema real. El verdadero problema es la ira — y condenando la depresión, estás luchando con sombras.

Antes de todo observa cuidadosamente el por qué de tu depresión… penetra en ella hasta el final y encontrarás ira. Una ira enorme… quizás hacia tu madre, quizás hacia tu padre, hacia el mundo entero, hacia ti mismo, ese no es el punto. El hecho es que en tu interior guardas ira, y desde que eres niño has intentado sonreír, has intentado no estar enfadado. Esto no es bueno. Te han enseñado y has aprendido la lección muy bien. Luego en la superficie pareces feliz, en la superficie sonríes, pero todas esas sonrisas son falsas. En tu interior estás conteniendo una ira enorme. Y como no la puedes expresar, estás sentado sobre ella — Esta es la causa de tu depresión; por esto te sientes deprimido.

Déjalo fluir, permite que tu ira fluya. Una vez que expreses tu ira, la depresión te abandonará. ¿Acaso no lo has observado? — que, ¿después de expresar tu ira te sientes mejor, te sientes vivo de nuevo? Comienza a trabajar en casa. ¿Mm? Haz una meditación de la ira cada día… con veinte minutos será suficiente. Después del tercer día disfrutarás tanto del ejercicio, que estarás deseando que llegue el momento de hacerlo. Te dará una relajación tal que verás cómo tu depresión se desvanece ante tus ojos. Por primera vez sonreirás de verdad… porque con semejante depresión encima no puedes sonreír, sólo pretendes que sonríes.

Nadie puede vivir sin sonreír, luego tienes que pretender que sonríes, pero una sonrisa forzada duele mucho… No te hace feliz, simplemente te recuerda qué tan infeliz eres.

Pero tienes que darte cuenta de ello; es bueno. Cuando algo duele, está ayudando. El hombre está tan enfermo que cuando algo es de ayuda, duele, toca una herida en alguna parte. Pero es bueno …

Osho, This Is It!, charla #5
(Este título ya no está disponible por requerimiento de Osho)

Voici tout ce qu’il vous faut pour mieux comprendre et gérer la jalousie

Parmi les ressentis qui influencent notre psychologie, la jalousie est sans doute l’un des plus communs, mais aussi l’un des plus néfastes.

Soyons honnêtes, qui ne veut pas connaître la même réussite sociale que les personnes que nous considérons charismatiques  qui n’envie pas les jolies femmes qui n’ont qu’à sourire pour que les hommes tombent à leurs pieds, qui apprécie les reportages sur les gagnants du loto ?

La jalousie n’est ni subtile ni positive, mais elle est très certainementcomplexe. Elle naît d’un conflit psychologique, nous renvoyant à nos propres peurs, notre insécurité.

Nous ne sommes pas jaloux des autres membres de notre environnement parce qu’ils sont détestables, mais parce qu’ils jouissent de qualités(physiques, morales ou matérielles) qui nous font encore défaut.

Si le sentiment est naturel, il est cependant dangereux. La jalousie est en effet un des premiers facteurs d’apparition de conflits (sociaux ou amoureux) voire de violence dans certains cas.

Ceci étant établi, il convient donc de s’intéresser de plus près à ce phénomène afin d’apprendre à le déconstruire : on ne peut décemment pas vivre avec cette hargne, cette haine de la réussite des autres.

L’apaisement psychologique passe par cette acceptation. Sans doute l’une des plus difficiles à entretenir sur le long terme.

1. La jalousie est un sentiment naturel

Avant de comprendre comment se départir de la jalousie, il convient de l’expliquer.

La jalousie, certes dévastatrice, reste compréhensible, universelle.

Elle touche tous les membres d’un même environnement sans distinction de sexe, d’âge ou de milieu social, à différentes échelles.

C’est bien simple, le fait de désirer ce qu’on ne peut obtenir, notamment si d’autres personnes en font l’usage, est un réflexe humain, instinctif.

La jalousie est en quelque sorte un miroir, un reflet concret de ce qui nous manque et voulons posséder et/ou développer dans l’espoir d’augmenter notre légitimité, d’améliorer le jugement d’autrui.

C’est d’ailleurs cette mise en évidence de ce que nous considérons comme des manquements qui nous amène à croire qu’une tierce personne pourra séduire notre partenaire, ou que le succès n’arrive qu’aux autres.

Aussi naturelle soit-elle, la jalousie est un facteur de perte de motivation d’effritement de la confiance en soi et de l’estime personnelle.

Elle rend la définition d’objectifs clairs  et l’objectivité quasiment impossibles en ce qu’elle influence négativement la vision de notre potentiel intrinsèque et fausse l’idée de besoins personnels.

La question qui se pose alors, est de savoir comment lutter contre cette disposition psychologique à l’antipode de la notion de bonheur personnel…

2. La jalousie est une conception erronée de notre environnement

La menace que nous percevons au contact des personnes qui attisent notre jalousie est en grande partie formulée par notre inconscient.

Sans même chercher à  établir de relations sociales  ces personnes trop « belles », « intelligentes », « riches », « charismatiques »…  sont catégorisées comme toxiques néfastes.

Au point de développer une certaine rage, une haine qui ne repose que sur une envie de partager leur stature.

Le problème c’est que ce sentiment personnel se base très souvent sur l’apparence, le superficiel.

Mais il est trop facile d’oublier que ces mêmes personnes souffrent, elles aussi, d’une certaine insécurité et font face à leurs propres doutes.

Rapidement, on diabolise, on idéalise les individus jalousés, comme si leur existence même était basée autour de la volonté de nous rabaisser, de pointer du doigt nos lacunes.

La jalousie est toujours dénuée d’objectivité et nous pousse à dépeindre un tableau négatif, qui engendre méfiance et agressivité.

Mais à bien y réfléchir, qui est la première victime d’un tel comportement ? Qui souffre au quotidien de cet état d’esprit ? La personne qui s’en nourrit pour construire son évolution…

3. La jalousie et le regard des autres

Décidément, ce mythe qui voudrait que tous les individus avec lesquels nous entrons en contact nous jugent, nous évaluent et formulent des opinions négatives a la peau dure !

Le regard des autres c’est évidemment l’une des sources de la jalousie.

Cette nécessité de se comparer, de vouloir faire mieux, de tirer plus de reconnaissance que les autres membres de notre environnement empoisonne notre psychologie.

Au point d’ailleurs de nous empêcher d’être réalistes : la seule personne à laquelle on peut se comparer, c’est nous même.

Chaque être humain est différent et possède son propre système de pensée et de valeurs forgé par l’expérience et la compréhension du monde qui l’entoure.

Pourquoi alors vouloir perpétuellement stimuler la compétition et la volonté d’écraser l’autre ?

Nous ne sommes égaux qu’en droits et obligations. Pour ce qui est du reste, nos potentiels, nos qualités, nos désirs personnels sont totalement différents.

Rien ne nous prouve que notre jalousie soit justifiée ou que ces « victimes » de notre acharnement ne soient pas elles-mêmes envieuses à notre égard.

4. Jalousie et manque de confiance

Dans les faits, la jalousie se matérialise souvent par un sentiment d’inquiétude qui nous pousse à remettre en cause la confiance que nous accordons à autrui et à nous même.

Nous avons tous entendu parler de personnes qui vérifient le téléphone portable de leur partenaire ou qui vérifient leurs e-mails pour s’assurer qu’il/elle n’entretienne pas de relation sentimentale avec une tierce personne.

Mais qu’est-ce que cela exprime ? Si ce n’est un emprisonnement psychologique, une spirale de doute et de mal-être ?

Comment seulement vivre si on doute de tout et de tous, tout le temps ? Ne serait-ce pas là une privation de liberté personnelle et collective ?

Est-ce la manière dont nous voudrions être traités, perçus ? Comme de potentiels traîtres ou des personnes malhonnêtes qui dissimulent la vérité ?

La jalousie relationnelle est un évident facteur de stress et de développement de conflits. Elle n’est en réalité qu’une peur inconsciente d’être délaissé(e), une remise en question de sa propre valeur.

C’est en travaillant sur le renforcement de sa confiance en soi , en acceptant de croire plutôt que de suspecter qu’on peut faire de la jalousie un mauvais un souvenir.

Plus facile à dire qu’à faire ? Peut-être, mais cela représente malgré tout une première étape.

La prise de conscience et l’introspection sont toujours des éléments décisifs quand on aborde la psychologie.

5. Une nouvelle perception pour lutter contre la jalousie

La voilà, l’arme la plus puissante pour lutter contre la jalousie l’objectivité

La prochaine fois que vous sentirez cette haine gratuite monter en vous, essayez de vous intéresser aux faits plutôt que de baser votre réflexion sur des suppositions :

    • Vous avez peur qu’on vous quitte ? Repensez à (et listez) toutes les preuves d’amour reçues de la part de votre partenaire, aux épreuves surmontées ensemble et aux bons moments partagés, plutôt qu’aux risques futurs.
    • Vous pensez qu’un individu est « meilleur » que vous ? Focalisez-vous sur vos propres réussites, les obstacles surmontés et la reconnaissance retirée tout au long de votre parcours plutôt que sur l’instant présent et cette négativité grandissante.
  • Vous avez peur d’une personne que vous considérez plus attirante, charmante ou charismatique que vous ? N’oubliez pas que l’appréciation est un phénomène subjectif et que par nature, on ne peut pas plaire à tout le monde.

La jalousie se combat par la définition d’un cadre objectif de vos réflexions et de votre ressenti.

Savoir faire face à ses peurs c’est se permettre de les combattre et de ne pas vivre sous l’emprise du stress  qu’elles produisent.

Jean baptiste /réussite personnelle blog

Cómo Vivir con Propósito

Sabes que hay una gran diferencia entre vivir con propósito y simplemente existir?

Las personas que simplemente existen se dejan llevar por las circunstancias, son víctimas de lo que les ha tocado vivir y piensan que no pueden hacer nada para cambiarlo, se han resignado y han abandonado sus sueños.

3 Señales de las personas que viven sin propósito:

  1. No saben lo que quieren y se sienten inseguras, dudan de todo y toman decisiones ambiguas e incluso contradictorias. Es más, prefieren que otros decidan por ellas. Sienten que están atrapadas en el tiempo, dando vueltas alrededor de una realidad que no les satisface, repitiendo situaciones y conflictos, por lo que sienten frustración e impotencia.
  2. Viven con miedo a perder, a la soledad, al que dirán, a no ser capaz… se aferran a un trabajo que no les gusta, buscan culpables a su insatisfacción, y se pasan más tiempo planeando sus vacaciones para huir de su rutina que planificando su futuro, lo que les conduce en muchos casos a la desesperación o a la depresión.
  3. Tienen la sensación de que la vida es una lucha continua y están continuamente a la defensiva. Piensan que nadie les entiende y tienen conflictos personales constantemente. Son personas irascibles, que viven con rabia y rencor, que se enfadan fácilmente y que siempre quieren tener la razón.

Todo esto afecta a la salud emocional primero y luego a la física, pues el miedo, la duda, la ira, la rabia, el rencor… son todas emociones que segregan cortisol, y éste se acumula en el organismo, intoxicándolo y estresándolo, y esto se expresa en forma de síntomas físicos y enfermedad.

Cuando descubres tu propósito vital ya no dudas de hacia dónde vas, por tanto, tus decisiones se vuelven conscientes y están encaminadas a cumplir tus sueños y metas. Tu propósito es como el faro que te guía y que te ayuda a superar las más terribles tormentas, porque tienes la certeza de alcanzar tu destino y por tanto no te pierdes dando rodeos.

4 Claves cuando vives con propósito:

  1. Planificas tu proyecto de vida conforme a tu misión y todo lo que haces en tu vida cobra un nuevo significado.
  2. Sientes gratitud y sabes ver los regalos ocultos de cada obstáculo, reto y desafío.
  3. El miedo se convierte en tu aliado, en tu fuerza impulsora. Sientes confianza en la vida, en ti y en tus talentos, te ilusionas y apasionas con lo que haces y eso te llena de vitalidad.
  4. Vives con inspiración porque estás conectado/a con tu esencia, y empiezas a vivir una vida con sentido desde el amor, y no desde la necesidad ni la obligación.

La gratitud, la confianza, la inspiración te pone en un óptimo estado emocional en el que tu organismo segrega serotonina, la hormona de la felicidad y la juventud. Eso hace que te despiertes cada mañana con energía y fuerza vital.

Para ello es fundamental desarrollar la capacidad de escuchar tu voz interior y conectar con tu ser interior. Cuando conectas con tu esencia, tu sabiduría se despliega y sientes el potencial de crear y lograr lo que quieras. Sin embargo, ese estado de conexión espiritual no es fácil ni de conseguir ni de mantener. Por eso es tan importante desarrollar la inteligencia espiritualpara hacer consciente tu propósito.

Para conectar con tu propósito vital es necesario estar en un estado de gracia, de gratitud ante la vida. La gratitud plena se alcanza cuando percibes que tu vida es perfecta y no cambiarías nada de tu pasado, porque no sientes culpa ni resentimiento alguno, y miras al futuro con certeza y sin miedo.

Vivir desde el propósito vital no significa tener una vida solo positiva, sin ningún problema, pues eso es imposible. Pretender vivir solo el lado positivo de la vida es la gran fantasía que hemos comprado. La V.I.D.A. está compuesta de Ventajas e Inconvenientes y Desafíos y Apoyos, y todo ello llega en sincronía y en la misma medida. No podemos avanzar ni crecer sin los obstáculos y los retos, es más, a menudo conectamos con nuestro propósito vital en los momentos de mayor dificultad.

Cuando tienes conexión con tu propósito y misión en la vida encuentras las soluciones a los problemas, sientes paz interior y por tanto transmites esa tranquilidad y serenidad en tu entorno, por lo que no te desgastas en malentendidos ni discusiones estériles, renuncias a la necesidad de tener razón porque entiendes que cada cual tiene su propia percepción de la realidad, y te vuelves una persona magnética con la que los demás quieren estar.Sientes gratitud y sabes ver los regalos ocultos de cada obstáculo, reto y desafío.El miedo se convierte en tu aliado, en tu fuerza impulsora. Sientes confianza en la vida, en ti y en tus talentos, te ilusionas y apasionas con lo que haces y eso te llena de vitalidad.

Vives con inspiración porque estás conectado/a con tu esencia, y empiezas a vivir una vida con sentido desde el amor, y no desde la necesidad ni la obligación.

Emma Garcia, Coach de vida

AVEZ-VOUS DE VRAIS AMIS?

Certaines personnes croient qu’il n’est pas important d’avoir des amis. D’autres en ont trop et se sentent envahies ou croient en avoir beaucoup alors qu’elles n’en ont pas vraiment. Et vous? Où vous situez-vous? Êtes-vous satisfait et heureux de vos relations avec vos amis?

Pour pouvoir répondre à cette question, il faut d’abord savoir ce qu’est un AMI VÉRITABLE. Voici certaines caractéristiques :

  • vous pouvez lui parler de vos sentiments profonds, vous confier sans avoir peur d’être jugé;
  • il vous accepte tel que vous êtes, même s’il n’est pas d’accord ou est très différent de vous;
  • il vous écoute sans vous interrompre;
  • il accepte un refus de votre part sans se sentir froissé;
  • il est toujours heureux de vos succès;
  • vous savez que vous pouvez compter sur lui à n’importe quel moment du jour ou de la nuit en cas de problème important.

Est-ce que vos amis vous décrivent de cette façon?

Si vous n’avez pas d’ami véritable, il ne faut pas vous attendre à ce qu’il tombe du ciel. C’est à vous de décider d’en avoir et de faire les premiers pas. Aussitôt que vous rencontrez une personne avec qui vous sentez une attirance réciproque, avec qui vous vous sentez très énergisé après que vous ayez passé du temps ensemble, dites-lui que vous voudriez la connaître davantage et être son ami. Le pire qui puisse arriver c’est qu’elle refuse. Si c’est le cas, sachez qu’elle ne fait qu’exprimer ses limites et qu’elle n’est pas en train de dire que vous êtes nul.

Je connais plusieurs personnes qui attendent toujours que quelqu’un aille vers eux s’ils déménagent dans une nouvelle ville ou se trouvent un nouveau travail. C’est triste, car ceux qui pourraient devenir de bons amis attendent probablement la même chose; ils se privent tous de quelque chose de précieux.

Avec deux ou trois amis véritables, vous vous assurez d’avoir un équilibre sain dans vos relations affectives. Je ne dis pas que vous devez devenir des dépendants affectifs. Je crois plutôt que le simple fait de savoir qu’il y a des personnes à qui nous pouvons tout confier sans avoir peur d’être jugé est très bénéfique pour la santé physique et psychique de notre cœur.

Si votre conjoint est également un ami, votre relation est très précieuse. Mais je dois avouer que j’ai rencontré peu de couples qui sont de véritables amis. Ça ne peut arriver qu’aux couples de longue date qui ont décidé d’apprendre et de pratiquer l’amour véritable. Prenez le temps de réviser votre relation amoureuse. Est-ce que vous y retrouvez les caractéristiques décrites ci-dessus? Si non, devenez conscient que vous êtes amoureux l’un de l’autre, mais que vous n’êtes pas encore des amis véritables. Donc, en attendant d’y parvenir, vous pouvez vous pratiquer avec d’autres, du même sexe que vous ou non.

J’avais une bonne amie à un moment de ma vie et lorsqu’elle a trouvé l’homme de sa vie, elle m’a dit qu’ils s’aimaient tellement qu’ils ne voulaient plus voir d’autres personnes, qu’ils n’avaient plus besoin d’amis. J’ai été très surprise car je n’avais jamais pensé qu’il était possible de se sentir aussi complet avec une autre personne. Je dirais même que je les enviais. Plusieurs années plus tard, j’ai l’ai revue et elle m’a avoué qu’elle se sentait de plus en plus étouffée par cette relation et qu’en réalité, son mari était très possessif et voulait la garder pour lui tout seul. Ses amies lui ont beaucoup manqué. Quand elle s’en est rendu compte, il était trop tard : elle s’était laissé complètement envahir par cet homme et elle avait peur de lui. J’ai voulu la revoir, mais elle avait trop peur de lui : il lui disait qu’elle devait être heureuse et reconnaissante de la vie qu’elle menait avec lui. Cette expérience m’a fait réfléchir sur l’importance de l’amitié et à quel point j’étais privilégiée d’avoir quelques bons amis.

Un autre avantage d’avoir de véritables amis est qu’on a toujours beaucoup de plaisir à se retrouver, à faire des choses ensemble et qu’on ne se sent pas obligé de tout faire pour l’autre. Ceux qui croient qu’ils doivent tout faire pour leurs amis se plaignent généralement que c’est très prenant d’avoir des amis : ils mélangent AIMER et PLAIRE. Ceux qui cherchent toujours à plaire croient qu’ils doivent s’oublier pour faire plaisir à l’autre.  En réalité, un ami véritable ne vous demandera jamais d’oublier vos propres besoins à cause de lui.

Aimer véritablement, c’est tenir compte de ce qui est utile à l’autre plutôt que ce qui lui est agréable. Si vous êtes du genre à chercher à tout prix à être aimé de l’autre, cela signifie que vous ne vous aimez pas assez. Dans ce genre de situation, vous avez plein d’attentes envers l’autre. Vous voulez qu’il s’oublie pour vous à son tour. Cette attitude ne peut que vous faire vivre des émotions et affecter votre relation.

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Si vous vous rendez compte que ceux que vous considérez comme des amis en ce moment ne le sont pas véritablement, vous pouvez décider de rompre vos relations et en trouver de nouveaux. Si vous vous forcez pour voir un ami parce que ça fait longtemps que vous ne l’avez pas vu, ce n’est pas un ami, c’est une connaissance. Il est possible que certains amis que nous avons durant une période de notre vie ne le demeurent pas pour la vie, car nous changeons en cours de route et nos besoins peuvent différer. D’un autre côté, il y a des amis qui le sont pour la vie, car il y a tellement d’acceptation de part et d’autre que même si nous changeons, l’autre s’ajuste tout de suite.

Le moyen par excellence pour attirer des amis véritables est de devenir votre PROPRE MEILLEUR AMI. Pratiquez l’amour véritable envers vous-même d’abord. Vous pouvez, en même temps, vous pratiquer avec vos connaissances actuelles. Qui sait? Vous découvrirez peut-être des amis précieux au sein des personnes qui vous entourent.

Avec amour,

Lise Bourbeau

Retomando nuestro camino

Pregunta: En estos momentos quisiera cambiar de empleo, mudarme, hacer algo nuevo para renovarme. Por eso empecé una rutina de ejercicios, comer mejor, pensar más positivo, elevar mi energía y meditar. En verdad quiero trabajar en mis proyectos. Tengo mi pareja que apenas lo estoy comprendiendo. Llevamos 12 años…

Bevione: Interesante ¿no? A veces creemos que sabemos mucho de la otra persona…y mira, 12 años y aún intentando hacer el trabajo de poder comprender al otro —que no es entender. Entender es más fácil porque está basado en saber lo que al otro le pasa y, más o menos, con preguntas y respuestas vamos llegando. Comprender es más profundo: El comprender es poder entender lo que al otro le pasa, pero sin necesidad de intentar que cambie, poder comprenderlo. Y eso sí toma tiempo, porque debemos salirnos de nuestras agendas y permitir que el otro sea como es.

P: Ya he optado por dejar que tome sus propias iniciativas, no sé si será egoísmo…

JB: Eso significa que antes no lo intentabas. Y esto lo digo porque, de alguna forma, cuando ustedes me escriben yo pongo en voz alta lo que ustedes se dicen bajito, pero no se pueden escuchar. Y lo que hago simplemente es poner en evidencia eso que, muchas veces, es la razón de los conflictos: Significa que por 12 años has tratado que él o que sus iniciativas se parezcan a lo que tú esperabas de él.

P: No sé si será egoísmo, pero ya pienso en lo que debo hacer yo.

B: Esto nunca es egoísmo. Egoísmo es cuando pienso solamente en mí. Pero, en este mundo de polaridades y de extremos, muchas veces creemos que “o pensamos en el otro o pensamos en nosotros”. Que si pensamos en nosotros vamos a abandonar a los otros y que si estamos pendientes de los otros nos vamos a abandonar a nosotros.
Y en realidad, nuestro destino está creado para que tengamos lugar para nosotros y para los demás —no para todos, pero más gente de lo que creemos y menos de los que quizás estemos tratando de ocuparnos. Y a eso, el corazón lo va sintiendo. No por estar pendiente de mi voy a abandonar a otros, porque esto es lo que leo y “pienso que eso puede ser egoísmo”, pero nunca sería egoísmo. Egoísmo sería si tú nunca más te ocuparas de los demás y sólo te ocuparas de ti.
Pero ninguna persona egoísta es feliz y la ausencia de felicidad siempre nos va a llevar a buscar un cambio. Es decir, que de todas maneras aunque fuéramos egoístas, ocupándonos solamente de nosotros, eso tendría un límite porque el mismo cuerpo de encargaría de hacernos saber que tenemos que volver a compartir e igualmente el cuerpo pone un limite cuando estamos ocupándonos demasiado de los demás. Nos ocupamos demasiado de los demás, pero no somos felices. Bueno, el cuerpo nos está indicando, nuestro sistema emocional nos está indicando que es tiempo también de incluirnos, de compensar. Un poco para allá, un poco para mí.

P: Y ahora mismo quiero saber cómo hacer realidad mis proyectos. Vivo en un país lejos del mío. Tengo un empleo acomodado que me da para vivir sencillamente. Tengo bajo mi responsabilidad un hijo estudiante. Mi pareja no tiene hijos. Busco esa luz para empezar y poder volver a mi tierra, es mi mayor anhelo. Millones de Bendiciones. Pensar el bien y manifestar el bien. Soy campesina y me llama el campo. Lo extraño muchísimo junto a toda mi gente. Hay tanto por hacer allí.

B: Generalmente, cuando nos hemos abandonado, y no significa que sea tan evidente, al ocuparnos mucho más de los demás o mucho más de lo que nos corresponde, hace que nos abandonemos sin que esto se parezca a un abandono. Pero, luego, cuando se da vuelta la tortilla y nos damos cuenta de que nos habíamos abandonado, queremos hacer lo opuesto, abandonarlo todo y ocuparnos de nosotros. Y creo que estás parada en ese lugar, donde te estás comenzando a descubrir y te dan muchas ganas de soltarlo todo y volver a lo más conocido. Lo más conocido es el campo, tus raíces, tu gente. Esto no significa que no sea auténtico en ti, que realmente sea lo que te gusta. Pero en este momento, esa ilusión está solamente marcándote lo mejor conocido.
Entonces, mi sugerencia es buscar el camino del medio. No te deshagas de nada pero empieza poco a poco a ocuparte más de ti, que creo que es lo que estás haciendo. Pero ocuparte de ti no significa solamente hacer cosas que te hagan bien: meditar, cuidar tu dieta, también, poco a poco, ir ocupándote de que tu entorno se vaya aclarando, se vaya limpiando, se parezca más a ti.
Hay un paso más profundo que damos al ocuparnos de nosotros y es atendernos internamente: Las respuestas a preguntas como ¿Qué es lo que realmente necesito? ¿Qué es lo que ya no quiero en mi vida?¿Qué es lo que sí quiero en mi vida? ¿Qué es lo que me pesa?
Formularnos estas preguntas es tan importante como comer bien, como alimentarnos mejor, como hacer ejercicios. Entonces, creo que estás en ese momento de buscar tu punto medio y en esa búsqueda del punto medio también buscarte más dentro de ti.
Siento que estás determinada y, eventualmente, ocurrirá lo mejor que tenga que ocurrir si te empiezas a ocupar de ti. Se abrirán los caminos para regresar al campo o a tu país o simplemente empezarás a estar muy contenta en donde estás.
Realmente, creo que no necesitamos mucho más de lo que nos está pasando. Que nos gustaría cosas nuevas ¡claro que sí! Pero no nos perdamos el presente por empezar a buscar lo que necesitamos.
Entonces, no sueltes nada. Empieza simplemente a ocupar más espacio tú en tu vida, ocupándote más de tu mundo interno. Si hubiera palabras para definir esto te diría que no solamente sea rutina de ejercicios y meditar, sino empezar a tener una vida que te acerque a lo espiritual, a tu vida interna.

Si haces esto, te aseguro que los caminos se van a aclarar por dentro y, evidente e indiscutiblemente, se van a aclarar por fuera, porque no hay manera que lo que pase afuera no se parezca a lo que esté pasando adentro. Nunca he conocido, al menos en este planeta, un caso donde lo que está afuera sea diferente a lo que estamos viviendo por dentro.

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Ahora, no siempre lo que vemos por dentro es la verdad. Muchas veces nos contamos mentiras. A veces, la mejor forma de darnos cuenta de una mentira que nos estábamos contando es abrir los ojos y mirar lo que nos está pasando. Cuando vemos lo que nos pasa, el mundo nos está revelando lo que nos está pasando por dentro.

Let toxic relationships go for good

Have you ever severed a relationship, but even though the person was no longer in your life, you still continued the relationship in your head? Consider that the very act of keeping it alive even if only in your mind means you are still in it. Perhaps that happens when you feel a relationship is unrequited, and you’re not letting go, or you’re nursing a resentment because you won’t, or lack the self-awareness to see your part in the dynamic.

This is not about self-blame at all. It’s about self-accountability and freedom.

If someone is living rent-free in your head chances are you’re in a relationship that is still very active and alive for you because there is no closure and you’re the one keeping it alive. It’s almost never about the other person, by the time it’s “ended,” (you might have realized it wasn’t good for you) or “aborted” (because perhaps the other person didn’t return your love, etc.). There can be so many scenarios here if you think about it, but why does this happen? Why do we keep talking to the person we want nothing to do within our head? Why do we keep talking in our heads, trying to convince the person who doesn’t want us that we are the one for them?

It’s about how conditioned trauma still lives inside you, and likely has nothing to do with the actual person but what pattern got triggered. The original wounding is what is active, something that happened in the past unrelated to this experience, and keeping the internal relationship going is really about trying to fix the first wound that this one reminds you of.

Of course, that doesn’t work.

No amount of rumination and inner conversations and fantasy arguments will ever make you feel better or release you from how you identify with the core of the issue that eludes you. If you’ve ever had that kind of “put up your dukes, you hurt me and now you’re gonna pay” conversation in your head with somebody who isn’t there; you know what I mean.

It feels like you might have some power in the moment, but then it feels awful because nothing really gets solved and all you did was waste some precious energy on hopping on a train to the Ghostlands where nothing has substance, and you end up losing yours too. It’s even worse when you try to manipulate other people (you may be completely unconscious of this by the way) to join you in your victim story. But, truth is, it’s not hard to rally a mob. Lots of people are attracted to drama especially online.

The internet can also be a source to keep your toxic relationships alive. In the weirdest way, it mirrors the “ talking in your head” scenario as the cyber wall gives people the sense they can be anything and say anything they want and find themselves grasping to be heard in the most unhealthy ways. Of course, it can also be used for much good but that’s not the subject for this blog.

I heard a great interview with Billy Corgan – frontman for the band Smashing Pumpkins who talked about digital outrage and its short lifespan. Like a new drug – you get high then bam the comedown feels like you just wallowed in a mudbath and can’t find a shower. Like moths to a flame, people can gather around – it’s weird how it’s become a form of entertainment- taking people down for sport. But at some point, the crowd will move away, and you will be left with your distorted story, and they are on to some other distraction.
Keep in mind how others can make you a part of their sticky mess. Don’t get caught up with emotional vampires. As Dr. Christiane Northrup reveals in her latest book Dodging Energy Vampires, the drama makers feel so good, and you end up exhausted, depleted, and confused.

I cringe at some of my own memories of whining my face off to my friends and inside my head about each guy that was supposed to be “The One” and each person who I put on a pedestal and who let me down because of my unmet expectations, projections, and low self-worth.

Thank goodness there was no internet back then for me to blather on about my woes, although I look back with some EEEK feelings when I think of how many phone calls I made to anyone who would listen. Thankfully I just hauled my butt to therapy, got sober, and began to work with Oracles to keep me from making the same mistakes over and over expecting a different result. I made lots of embarrassing phone call for amends when I got sober (now almost 33 years!)

I have been there, and still can get into that mindset, but thankfully I don’t stay there long at all because I have tools and a mature life to model it all and know that it’s my responsibility not to take the bait.

So isn’t it better to cut it off before you go down the toxic rabbit hole?

When I first went into therapy in my 20s, I had this amazing Jungian psychotherapist who used the Tarot as a way to show me my patterns. It’s probably why all the Oracle Cards I create have that deeper psychology woven into them. It really changed my life.

Over time, and in the 30 years I have worked full time in the intuitive arts and made it my commitment to educate myself as much as I could about how the mind works as well as the metaphysical aspects of the quantum world. I arrived at some simple techniques to unhook from a toxic relationship that didn’t necessarily include deep therapeutic dialogue.

If you’re reading this chances are you are already doing a lot of personal and spiritual growth work already, or you’re considering it. Why do I assume that? I’m not popular with the quick fix it, perfect life in a snap, wiggle your nose and get what you want audience. A good life to me means self-examination and awareness plus accountability, and this is what can help dreams become reality. It takes dedication and consistency to live well.

So if you get caught in the toxic relationship snare whether it be about a person, drama on the internet, an institution, etc. Here are some tips I know work.

Step One – Radical acceptance. Admit you cannot change the other person or situation by any means. Know that whatever is happening requires you to step back and ask these questions.:-
What does this remind me of?
How am I enabling it?
What is my part in it?
Am I now or “somewhen” else?

Step Two- Surrender the whole shebang to your Higher Power
You’re likely not doing the best job here so perhaps a power greater than you could restore you to sanity?
If you feel resistance to giving it up for healing can you commit to being willing to be willing?
What is your motive to keep it going?

Step Three- Do a cord cutting ceremony. Imagine you have energy strands moving between you and the other. Call on the archangel Michael to bring his sword to cut them. You will feel relief but only if you’re serious about detaching from it.

Step Four- Do an Oracle reading on it once you’ve had some distance. But if you want to do the reading right away make sure you meditate first and get into a neutral state. I teach this technique in Oracle School and it’s incredibly effective. Then stay in 24 hours and when those red flags start flapping that a situation reminds you of something still unprocessed within you. Stop. Take a Breath. Ask is this truly about now or something else?

I think of a reading a couple of years ago with a friend who called me in a semi-freaked out state about her boss at work (telling this with her permission). She had trouble with this man before and had mentioned the relationship reminded her of her toxic relationship with the first person who ever betrayed her and abused her.

She admitted she was always trying to get his attention all the time and desperate for his approval and flirted with him constantly. The truth was the dynamic she was engaged in was really unhealthy for both of them. He did not give her a raise which she thought she was entitled to and so she went off the rails. He did say he was sorry and that he would reassess things in 6 months.
From my side of things, it was nowhere near dramatic as she projected, but in her mind this was Armageddon!
So I said let’s pull some cards. You really can’t make this up- I picked All that Glitters, Not For You, and Time To Go from Wisdom of the Oracle.
IN a nutshell – the message was to move beyond the superficial and look deeper at what was really going on, that this situation was being withheld from her because it was not for her, and it was time to move on. To add extra wisdom from another deck, we chose The Enchanted Map and got Ghostlands.
She mentioned at the end she was headhunted by another company but because she was so outraged by what “he did” she didn’t pay much attention. O boy, isn’t it amazing how we might miss opportunities because we’re banging on old doors that aren’t meant to open?

Being her friend I asked her the questions above, and having good boundaries I stayed detached and refused to get into the “he said she said.” I told her to consider she was not dealing with the “now” but stuck in the Ghostlands of that first relationship.
She had an epiphany right there and then!
A month later my friend had taken the other job and totally got the cards were telling her this was about her choice and behavior too, and that she can not heal the first one through forcing someone else to be the surrogate.
I saw her for coffee a couple weeks ago and we actually laughed about what she had thought was so traumatizing. But this woman is committed to personal growth and freedom and her self-awareness is what allowed this to be her new perspective.

So when you find yourself in a toxic relationship, however you choose to disconnect from it know that the ones you keep perpetuating are not that difficult to clear.
It comes down to how healthy and free you really want to be and feel.
Believe it or not, it takes real courage to choose that.

Love to hear from you about how you woke up from a toxic situation and found your way out of it.

AVEZ-VOUS VRAIMENT CONFIANCE EN VOUS?

Sur quoi vous basez-vous pour le déterminer?

Il est important de savoir faire la différence entre AVOIR CONFIANCE et ÊTRE CONFIANT. Plusieurs personnes ont confiance en elles et se valorisent en se basant sur des résultats qu’elles ont obtenus. Ce n’est pas de la vraie confiance. Une personne est VRAIMENT CONFIANTE quand elle est consciente de sa propre valeur. C’est un état de bien-être intérieur qui provient de la reconnaissance juste de ses forces, de ses faiblesses et de ses limites.

En général, on fait vraiment confiance à quelqu’un lorsque celui-ci est confiant. Il dégage une énergie particulière qui peut être perçue par son entourage.

Voici certains critères d’une personne confiante :

  • Elle est bien dans sa peau, elle peut être naturelle, transparente et se sent bien même si elle ne répond pas aux attentes des autres.
  • Elle ne se sent pas menacée par une critique, par un conseil et par la différence des autres; elle est plutôt ouverte et sait que cela pourrait lui être utile.
  • Elle est capable d’admettre qu’elle a fait une erreur ou oublié quelque chose sans se justifier et sans avoir peur d’être moins aimée.
  • Elle est prête à passer à l’action, à entreprendre quelque chose de nouveau en sachant que même si elle n’a pas le résultat escompté, cela ne diminue pas sa valeur.
  • Elle sait reconnaître ses limites et admettre qu’elle a besoin d’aide des autres sans se sentir abaissée.
  • Elle peut parler de ses faiblesses et de ses défauts en acceptant ainsi d’être humaine sans se sentir moindre pour autant, car elle est toujours consciente de toutes ses capacités.
  • Elle ose affirmer et agir en fonction de ses besoins même si ses proches ne la comprennent pas ou ne sont pas d’accord.
  • Elle est capable de dire non et faire respecter son espace sans se sentir coupable ni se justifier.
  • Elle sait reconnaître ses talents, ses forces, ses qualités sans se sentir supérieure et sans avoir peur de la réaction des autres. Elle répond donc à un compliment avec un simple merci.
  • Quand elle vit un échec, il lui est facile de continuer à se diriger vers ses buts sans se dévaloriser. Elle regarde plutôt ce qu’elle apprend à travers cet échec.

Ne vous laissez pas leurrer par ceux qui affichent une grande confiance, mais qui ne sont pas confiants. Voici certains de leurs comportements :

  • se vanter pour essayer d’impressionner les autres;
  • foncer la tête baissée et démontrer du courage tout en cachant les peurs de l’échec et du regard des autres;
  • afficher un tempérament autoritaire et sembler n’avoir peur de personne;
  • prendre beaucoup de place dans une foule et s’arranger pour être le centre d’attraction;
  • parler de ses connaissances et bien aimer avoir le dernier mot.

Tous ces comportements sont dirigés en grande partie par l’ego. Par contre, une personne vraiment confiante est dirigée par son cœur et est en contact avec sa valeur intérieure.

Prenez donc le temps de vous observer pour devenir davantage conscient de votre degré de confiance. Vous pouvez aussi demander à vos proches de vous faire part de leurs observations, ce qui sera une grande aide pour développer votre confiance.

Avec amour,

Lise Bourbeau

4 Signs You’re Addicted to Judging Other People

Damning other people creates hell for ourselves, says Gabrielle Bernstein, author of Judgment Detox: Release the Beliefs That Hold You Back from Living a Better Life.

Every one of us struggles with judgment. We judge other people’s politics, tweets, parenting choices—maybe so often that we don’t even notice anymore. It’s just a habit. But as someone in her 12th year of sobriety, I believe the cycle of judgment is more like an addiction.

Judging gives you a hangover. When we judge, we get an instant hit of self-righteousness, but subconsciously we know we’re separating ourselves from who we really are: compassionate, kind people. As a result, we feel guilty once our high wears off—and to avoid that feeling, we have to judge someone else. This cycle weakens us mentally and physically.

Judging isolates you. We develop addictions because we’re trying to numb a core wound, which is usually rooted in childhood. Maybe someone told you that you weren’t good enough, or you experienced some other kind of trauma that left you feeling all alone. To avoid experiencing that pain again, you project it onto others by pointing out their flaws. Our fear leads us to attack—but reenacting the trauma of the past only creates more loneliness and disconnection.

Judging prevents healing. You have to be willing to look at your darkness in order to see the light. That’s why the first step in a judgment detox is just to witness it without blaming ourselves. We judge because we’re separated from love; to stop the cycle, we have to cultivate self-love. The second step is to honor that core wound. Next time you have the urge to judge, ask yourself what moment from the past is triggering you to feel this way. When we can understand ourselves, healing begins.

Judging leaves you powerless. Many people feel safer when they judge, as if they’re controlling their circumstances, but hatred only creates more hatred. Those hours you might spend fuming about the news, for instance, could be used in a more positive way, like volunteering for a cause you care about, engaging in creative projects or spending quality time with people you love. Recovering from judgment addiction gives us back our power and lifts up everyone around us, too.

To heal the world, we have to live the truth in every corner of our lives. Recovery isn’t easy—but when we let go of judgment, we make room for love and joy. It’s like staying sober: You can’t really enjoy a drink again because you know how good it feels to live without it.

How addiction affects the brain

by Nirmala Raniga

The brain is complex and extraordinary. It regulates every part of the body. According to the National Institute on Drug Abuse, there are many parts to the brain. All parts work together to make the rest of the body function.

The brain naturally produces “feel good” chemicals such as endorphins, oxytocin, dopamine and serotonin. These are the chemicals that make us feel happy, excited, and energized.

When dopamine is released, our brains are anticipating a happy situation. Oxytocin is released when we feel the closeness and bond from another person. Serotonin helps regulate mood and is associated with enhancing your moods.

Endorphins can give you that extra energy to push through something uncomfortable or painful, especially physical pain.

Your Brain on Drugs

When a person uses drugs, brain chemicals are altered. Drugs affect the brain’s decision-making processes, stress regulation, memory and emotions. Drugs basically hijack the brain’s communication system and sends out messages they want your body to know, even if they can eventually harm you.

Drugs may trigger your brain to produce an enormous amount of the feel-good chemicals. The brain then sends “feel good messages” to the entire body. When the drug starts to wear off, the brain will do what it can to make you use that drug again, so it can feel good again.

For example, opioids attach to receptors in the brain that produce a rewarding feeling. It also gives a euphoric feeling followed by relaxation and a lack of pain. Opioid users report feeling an overall calming experience where all worries fade away.

Cocaine also stimulates dopamine receptors and makes a person feel a surge of energy, confidence and happiness. The effects of cocaine do not last as long as opioids, however, the brain craves cocaine much sooner than if it were on opioids.

Marijuana, ecstasy, opioids, tobacco and even sugar can affect serotonin and endorphin levels in the brain. With these drugs, there is an initial rush from the brain to the body, letting you know it likes the substance being used. This rush eventually turns into negative emotions, fearing the loss of that feel-good sensation.

Long-term drug use can have a negative impact on the brain. According to the American Society of Addiction Medicine, the brain wants to be constantly rewarded. It craves the drugs you use and can have a long-term impact on the brain.

But there is a way to heal.

Neuroplasticity: Recovery and Healing are Possible

Just like the brain can be altered in a negative way, it can also be altered in a positive way. Brains have neuroplasticity. Meaning, they can be rewired with repeated positive actions.

When a person becomes addicted, their neural pathways have been rerouted and they seek out the familiarity in using drugs. When a person stops using drugs, the neural transmitters must find a new path. On this new path, new positive habits can be formed.

The more a person practices positive behaviors and turns them into habits, the more familiar the neural pathways. Eventually, the brain will adapt and follow only the positive pathways.

Steps Towards Recovery and Healing

There are many types of treatments you can participate in to help rewire your brain. Learning coping skills for recovery will help you throughout the process.

Detoxing from drugs is a crucial step. Once the drugs are out of your system, you can begin to implement the numerous other activities that can heal your brain.

Consult your doctor regarding how to obtain detoxification. Establish connection with skilled therapists who can help you heal from any past trauma negatively impacting you in the present.  Cognitive behavioral treatments may help you develop good coping skills and help you find healthy strategies as you rewire your brain.

It is also important to build a support system. A working model includes support from family, friends and peers. Seeking family counseling can help both you and the ones you love learn how to promote recovery.

Interpersonal relationships can be damaged by addiction. Make efforts to repair relationships.

Self-help groups are a terrific place to get feedback from those who have experienced addiction and can relate to you personally. It is also a place where you can offer encouragement to others.

Giving back and helping others can motivate you to stay in recovery.

Alternative tools for healing include yoga, acupuncture, acupressure, and meditation. Each offers benefits for the mind, body and spirit.

How You Can Reach Your Full Potential (And Live a Long and Happy Drug-Free Life) 

There is a profound connection between the mind and the body. Healing the mind can in fact, heal the body. By participating in activities that promote the wellbeing of the mind body connection can greatly assist in long-term recovery.

By focusing on healing your whole self, you can reach your full potential. Your emotional, physical, psychological, and spiritual wellness are key to sustaining sobriety…and enjoying life !! You can live a long and happy, drug-free life. It can begin today.

I

POURQUOI ET COMMENT VIVRE VOTRE MOMENT PRÉSENT?

Voici quelques questions auxquelles je vous suggère de répondre avant de continuer à lire cet article:

~ Pourquoi la plupart d’entre nous trouvent leur motivation seulement dans la peur ou la perte?

~ Pourquoi attendons-nous d’être malades avant d’apprécier le miracle de la vie?

~ Pourquoi avons-nous peur de perdre quelque chose avant même d’en jouir?

~ Pourquoi attendons-nous que notre partenaire nous quitte pour réaliser à quel point nous l’aimons?

~ Pourquoi remettons-nous nos désirs à plus tard comme si nous avions tout le temps du monde?

Est-ce que ces questions vous interpellent? Quelles sont vos réponses?

Les deux raisons principales de l’incapacité de jouir et de profiter de chaque instant de notre vie sont la peur et la culpabilité qui sont sans cesse alimentées par nos croyances, par l’ego.

Vivre dans le moment présent signifie être en contact avec ce qui se passe à ce moment précis sans s’inquiéter pour le futur, ni penser au passé. Mais il faut bien s’occuper du futur, direz-vous. Vous avez raison, on peut planifier son avenir et avoir des projets. Toutefois, il y a une différence entre planifier et s’inquiéter.

Si vos pensées sont empreintes de peur ou de culpabilité lorsque vous planifiez quelque chose, il est certain que vous ne pouvez être en contact avec ce qui vous habite profondément. Ainsi, vous n’agirez pas selon vos vrais besoins. Ce sera la peur qui décidera pour vous. Par contre, si l’idée d’un projet futur vous enthousiasme beaucoup, vous prendrez les bonnes décisions durant la planification, car vous serez dans le moment présent. Vous ne ressentirez ni peur ni culpabilité par rapport à vos désirs même s’ils peuvent vous paraître injustes envers les autres par exemple.

On dit bien Pourquoi s’en faire pour le futur alors que personne au monde ne le connaît? Surtout depuis que nous sommes dans l’ère du Verseau, tout change très rapidement et nous devons toujours être prêts à nous adapter. Rien ne vous empêche de planifier, mais faites-le en fonction de qui vous êtes à ce moment. Vous devez vous permettre de changer d’idée et de vouloir autre chose plus tard. Pourvu qu’une idée vous enthousiasme beaucoup, vous savez que vous écoutez un besoin de votre être.

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Il est donc inutile de vous sentir coupable quand vous changez d’idée. Je connais plusieurs personnes qui n’osent pas aller de l’avant, car elles pensent devoir admettre qu’elles se sont trompées. En réalité, elles ne se sont pas trompées, leur décision était juste au moment où elles l’ont prise. C’est comme si vous achetiez un vêtement parce que vous l’aimez et que deux ans plus tard vous vous en vouliez de l’avoir acheté parce qu’il ne vous plaît plus et que vous croyez avoir commis une erreur.

Quand vous vivez dans le moment présent, il n’y a pas d’erreurs dans votre vie, il n’y a que des expériences.

Il est certain que ce n’est pas facile de toujours être en contact avec le moment présent. Il y a beaucoup d’interférences, le plus important étant notre ego qui entretient des pensées d’inquiétude, de peur, de culpabilité. Nous vivons dans un monde de stress, d’anxiété, de tension, de maladies. De plus, quand nous pensons au passé, nous vivons des regrets, des rancunes, de l’amertume et de la tristesse. Voilà pourquoi il est important d’être alerte à ce que vous vivez. Aussitôt que vous vous rendez compte que vous pensez au passé ou appréhendez le futur, je vous invite à prendre trois grandes respirations et à reporter votre attention sur ce qui se passe à cet instant même.

Les avantages que vous aurez à être centré seront de vivre pleinement au présent et d’être dans la lumière. C’est dans ces moments que surviendront les bonnes idées et les conseils pour vous diriger vers vos besoins.

Mais que fait-on quand on n’aime pas ce qui se passe en ce moment? Je sais que notre vie ne reflète pas toujours nos préférences. Le seul moyen que je connaisse pour demeurer dans le présent durant les situations moins agréables est de demeurer observateur. Être observateur signifie de vous regarder ainsi que la situation ou les personnes, comme si vous regardiez un film. Vous observez ce qui se passe aux plans physique, émotionnel et mental. Physiquement : que ressentez-vous dans votre corps? Émotionnellement : prenez contact avec les sentiments qui surgissent en vous ou que vous pouvez détecter chez les autres. Mentalement : quelles sont vos pensées, vos peurs, vos inquiétudes?

Être observateur signifie ne porter aucun jugement sur ce que vous observez. Vous mettez ainsi toutes les chances de votre côté pour découvrir ce que vous avez à apprendre de cette situation désagréable. Et rappelez-vous que tout est temporaire.

Faire une rétrospective à la fin de la journée peut vous aider à prendre conscience des situations où vous n’avez pas réussi à rester dans le moment présent. Donnez-vous simplement le droit de ne pas avoir été capable de le faire à ces moments-là.

Plus vous vous acceptez lorsque vous êtes tel que vous ne voulez pas, plus vite vous serez capable d’être tel que vous le voulez.

Avec amour,

Lise Bourbeau

SURRENDER = DOING YOUR PART & GET OUT OF THE UNIVERSES’ WAY

Sometimes no matter how much you want something, you must let go and surrender it to a Higher Power. In fact releasing attachment is key to the co-creation process.

You may be thinking, “But Colette, what if I really really want it with all my heart?” Maybe you’re in a relationship that you really want to work, but things just haven’t come together. Or perhaps you’ve been pursuing a career path that you’re determined is best for you, yet it’s not moving forward. It may even be that your efforts to change or avoid a difficult situation aren’t working.

Most of us have had the experience of wanting something so badly, we’d do almost anything to have it or make it happen. Determination is after all one of the most important keys to success in any area of your life. Yet, what happens when you keep trying to make something happen but it’s just not falling into place? Could it be you’re holding on to it too tightly?

When we resist or try to control an outcome in our lives, and when we become too attached to an outcome, we create more of what we resist, and less evidence of what we desire. As we push harder, we become stressed out, exhausted, and emotional. All that wasted energy just feeds our wounded ego we all have that tries to keep us focused on separation, abandonment, anger, and so on. There’s the missed sleep, the blaming self-talk that comes from feeling stuck, and the worry that takes up valuable space in our minds. With resistance, we disconnect from our intuition and disconnect from the conscious universe, as well as from the present, which is where all of our power is. In the end, resisting stops us from moving on by keeping us trapped inside emotional pain and longing.

Surrendering involves doing what you can and then letting go to let Spirit, or the universe ( you choose the label)  lead the way. As much as you might try to be general manager of the universe, you aren’t; ultimately, you’re a spark of something greater and your self-will alone cannot just make things happen.

If we want to live authentic and purposeful lives, we have to co-create with the Divine, which has the true power. We must do our part and then get out of the way so Spirit can work the magic. We must trust in Spirit’s plan for us, which is only revealed in Divine appropriate timing. And we must accept life on life’s terms, allow things to be as they are, and see the greater truths hidden in plain sight. When things don’t happen as we want, they’re usually being withheld for a reason. For example, losing a job could be a push from the Divine to finally listen to your intuition and start your own business. The end of a relationship may be making space for something better. A difficult situation often opens our eyes to strength we didn’t know we had.

I’ve often said that I haven’t let go of anything that doesn’t already have my claw marks all over it. I’m the first to admit I’m a bit of a recovered control freak who used to try to map out exactly how things were “supposed” to unfold in my life. As I share in my books I was dead set on how I thought all the areas of my life should unfold, from my relationships to my career. When I finally surrendered in each area and trusted Divine guidance, and did the inner work necessary for me to become the person that could live the life I desired,  my desires were paradoxically fulfilled for the highest good. I ended up with a career that I love, a relationship that is beyond my wildest dreams, and have experienced more than I ever imagined by letting go but I will say that none of what I expected happened, and the form of my life was not at all what I thought was best for me. The essence was true, the form was something I would never have considered. Surrendering brought it all home.

So often we put off surrendering until it’s a last resort, as if it’s something negative that we’re forced to do when there’s no other option. Yet, surrendering isn’t about giving up or relinquishing your power. It’s about aligning with all that is in your highest good as well as the highest good of the universe. Surrendering gives you freedom to respond to life rather than live through reaction. It also allow the universe to do its part in the co-creative partnership. We forget that we are not alone in the co-creating.

Remember, when you do what you can, then let go and trust in the inherent goodness of the Universe, you have the most power to experience more joy, purpose, and happiness.

EXERCISES:

What might you need to surrender? Perhaps whether or not you meet that amazing partner, a job search, whether or not someone likes or loves you, worry about your adult daughter’s spending habits, the outcome of a relationship, or whether or not you land a new client. Once you’ve done what you can, it’s time to let it go, and if its a much bigger goal and intention then you focus, and do the do things, surrender the results and keep chopping wood and carrying water.

Create a God Box or Jar: Hand all your attachments over to the Divine. If you don’t already have a God Box or Jar, find a simple shoe box or empty jar. (You might even want to decorate it!) Then, write down all the worries, fears, concerns, and anything you’re trying to control on pieces of paper. Fold each paper up and then as you put each in the box or jar, acknowledge you’re handing it over to Spirit. You might say something like: “I can’t, He can, so I’ll let Him”. (or if you decide on a Goddess Box use the feminine, or if you’re more neutral call it a Sacred Manifesting box) It’s OK to be creative about this. You are doing this as a sacred ritual of symbolic meaning.

Meditate: Even ten minutes of meditation a day helps quiet our mind and focus on the present. And, if you find yourself starting to resist or worry again, stop the thought process and count your breath for a few minutes.

And, please share your experiences and advice on surrendering. Remember, we all learn from one another.

In service and love,

How to Tackle a Long-Term Project

Written by Roselin Sebastian

Working on the same project for months or years on end can be draining. But those long-term projects often have the most benefit to our careers, which means they’re practically unavoidable. That’s why we compiled the following tips to help you out.

  • Research. This should come as no surprise — but any long-term project or task that impacts your career will require research. A lot of it. So be as thorough as you can. This goes above and beyond reading articles or case studies. Talk to your colleagues and superiors and ask them for advice. What do they know now that they wished they’d known before starting a project like yours?
  • Organize. Even if you have all the data you need, you’re not ready to start work yet. Your next step is to organize yourself and your resources. How long do you expect this project to take? What do you need for it to be completed? What other tasks will you be required to do while working on this project? If you have a team working with you, this is the time to decide who does what.
  • Manage your time. We’ve repeated this time and again but it’s too important to forget. If you have to schedule every minute of your day in iCal, do it — and anything else you need to keep yourself on track. You’ll also want to remember to budget some extra time. You never want to be working right up to your deadline. What if something takes longer than you thought it would? Make sure you account for that.
  • Chunk it. Whether your project lasts a few weeks or a few years, the easiest way to get through something daunting is to break it down. Break each task down into sub-tasks, and keep going until it can’t be broken down anymore. This way, everything looks way less intimidating — and therefore way easier. The best part? This strategy can be applied to pretty much every profession.
  • Remember the big picture. While you’re tearing through your to-do list, make sure you keep the big picture in mind. This is what’s going to keep you motivated while you’re working. If at all possible create a visual representation of your goal and put it somewhere so you can look at it whenever you need an extra boost.
  • Schedule downtime. If nothing else, remember to do this! The last thing you need is to be burnt-out. So make sure you pencil in some mandatory downtime for yourself.

 Motivation/superheroyou.com

AVEZ-VOUS AUTANT D’ÉNERGIE QUE VOUS LE DÉSIREZ?

Selon un grand scientifique américain, le corps humain aurait assez d’énergie pour éclairer, pendant un mois, une ville comme New York!

Alors pourquoi ne sentons-nous pas cette énergie? Tout simplement parce que nous ne l’exploitons pas de la bonne façon. La plupart des gens ont tendance à s’en servir pour se détruire au lieu de l’utiliser pour le maintien de leur santé physique, mentale et émotionnelle et pour leur guérison.

Chaque fois que nous sommes décentrés, nous puisons dans notre réserve d’énergie, tandis que lorsque nous sommes centrés, nous sommes « branchés » à l’énergie universelle qui alimente tout ce qui vit sur la planète.

En effet, tout ce qui vit est connecté à cette énergie universelle grâce à l’énergie tellurique (la Terre) et l’énergie cosmique (le soleil) qui circule sans cesse de bas en haut et de haut en bas d’une façon naturelle. On peut comparer cette énergie naturelle à une batterie qui nous alimente sans cesse.

Le seul obstacle à sa circulation est la peur pour soi. Toute peur nous indique que nous ne sommes plus en contact avec notre puissance divine. La peur pour soi est présente dans chaque accusation – de soi et des autres – c’est-à-dire dans chaque critique, chaque émotion, chaque culpabilité, chaque colère, ainsi que chaque peur vécue pour une autre personne.

Comment arriver à demeurer centré le plus souvent possible? Il est évident que c’est très difficile à cause de l’ego qui nous contrôle presque toujours. Voici trois suggestions importantes pour demeurer centré, vous assurant ainsi que votre énergie circule sans blocage.

Demeurer dans le moment présent. Chaque fois que vous pensez au passé avec des regrets, un malaise ou de la souffrance, non seulement vous ne vivez pas votre moment présent, cela nuit également à votre futur. Vous avez peur que la même chose arrive dans le futur ou vous vous empêchez d’écouter vos besoins à cause de votre perception du passé.

Prenons l’exemple de madame qui a vécu trois relations amoureuses difficiles. Tant qu’elle ne lâchera pas prise du passé, elle aura peur de s’engager dans une nouvelle relation et toutes les heures passées à revivre ses peurs bloquent son énergie.

Un bon moyen pour demeurer dans le présent est d’avoir de la reconnaissance pour ce qui se passe dans le moment présent et prendre la bonne habitude de dire merci à la vie aussi souvent que possible. Avoir des buts à court et à long terme et rester centré sur ces buts est un autre bon moyen.

Être responsable plutôt que coupable. Chaque accusation crée un blocage d’énergie. La peur contenue dans la culpabilité – qui est une accusation de soi – vous prive d’énergie. Chaque fois que vous jugez ou critiquez une autre personne en essayant de la culpabiliser, vous bloquez aussi votre énergie. Si vous pensez être responsable du bonheur de vos proches et que vous essayez sans cesse de les contrôler en croyant que c’est votre façon de les aimer, vous vivez certainement beaucoup de culpabilité.

Être responsable, c’est savoir que chacun crée sa propre vie. C’est accepter ce fait en sachant que chacun doit assumer les conséquences de ses actions et ses décisions et surtout ses perceptions des événements qui sont influencées par ses croyances.

Par exemple, vous vous sentez coupable d’avoir mangé ou bu quelque chose que vous considérez comme non bénéfique pour vous (votre perception et votre croyance). Être responsable c’est vous autoriser à avoir agi ainsi en étant bien conscient que cette journée-là vous avez compensé un certain vide en mangeant ou en buvant. C’est votre corps, votre vie et vous n’avez de comptes à rendre à personne. Vous verrez que les conséquences sont bien moindres quand vous acceptez le fait d’être un humain qui ressent parfois des manques.

Il en est de même quand vous voyez un proche qui compense d’une façon que vous considérez comme non bénéfique. C’est sa vie et sa décision. Ça ne vous concerne en aucun cas, car c’est lui qui devra assumer les conséquences de ses actes. Quand vous voulez assumer les conséquences pour quelqu’un d’autre, vous êtes dans la peur, la culpabilité et non dans la responsabilité.

Accepter d’être humain. La plupart d’entre nous ont créé un idéal de perfection à atteindre qui est exagéré et faux. Nous avons souvent les mêmes exigences envers les autres. S’accepter signifie se donner le droit d’avoir des défauts et des qualités, des forces et des faiblesses, des hauts et des bas… Nous avons tous, sans exception, les deux côtés. Les idéaux de perfection sont très irréalistes et impossibles à atteindre. Voilà pourquoi une personne idéaliste est une éternelle insatisfaite. Ce n’est jamais assez bien ou parfait à son goût. Elle est aussi souvent exigeante envers ses proches, car c’est l’idéal de son ego qui dirige sa vie.

Il est facile de s’accepter lorsque nous vivons l’aspect positif d’une attitude, par exemple être patient au lieu d’impatient. Par contre, s’accepter véritablement c’est s’autoriser à vivre aussi parfois l’aspect négatif (par exemple être impatient). Si vous vous forcez sans cesse à manifester uniquement l’aspect positif, vous êtes dans le contrôle de vous-même déclenché par la peur de montrer l’aspect négatif. C’est ainsi que vous perdez de plus en plus d’énergie, car souvenez-vous que chaque fois que l’énergie est bloquée – par les effets de la peur – vous utilisez vos réserves qui finissent par s’épuiser.

En acceptant d’être tel que vous ne voulez pas (l’aspect négatif d’une attitude), vous aurez l’agréable surprise de constater que vous arriverez plus facilement et rapidement à être tel que vous voulez.

Vous accepter, c’est constater, observer, vous regarder comme si vous étiez à l’extérieur de vous-même, sans jugement ni critique.

Par exemple, vous avez été impatient avec une personne âgée et vous vous sentez coupable. Vous savez à quel point votre ego est rapide pour vous faire sentir mal en vous disant que vous devriez être plus patient envers cette pauvre personne qui ne peut pas se défendre.

Vous accepter, c’est reprendre la maîtrise de vos pensées, par exemple : Je sais qu’il aurait été préférable d’être patient, mais à ce moment j’ai atteint ma limite et ça m’a été impossible. Ce n’est pas ma préférence, mais c’est ainsi. J’ai le droit de parfois manquer de patience. Je sais que je n’aime pas moins cette personne pour autant. J’ai besoin de m’aimer aussi en me donnant le droit d’être humain. Il est impossible pour n’importe qui de toujours être patient. Je n’ai qu’à partager ce que je suis en train de penser avec cette personne en lui disant que je l’aime et que j’ai juste mal exprimé mes limites.

Vous pouvez savoir si vous vous acceptez par la façon dont vous vous sentez. S’accepter, donc s’aimer, est un baume pour le cœur et pour le corps. On peut sentir rapidement le bien-être que l’acceptation de soi apporte.

En partageant à une autre personne votre acceptation, vous aidez aussi cette dernière à s’accepter quand elle a une attitude avec laquelle elle n’est pas d’accord. Il est important de se souvenir qu’accepter ne signifie pas « être d’accord ». Accepter vient du cœur tandis qu’être d’accord, c’est avoir la même opinion, c’est parler de nos préférences, ça vient du mental, des choses apprises dans le passé.

Il ne vous reste maintenant qu’à mettre en pratique certaines de ces suggestions pour en vérifier les résultats. Le pouvoir vous revient de vivre avec beaucoup ou peu d’énergie: tout dépend de l’attitude que vous choisissez dans chaque situation.

Avec amour,   Resultado de imagen para lise bourbeau

Lise Bourbeau

-21 consejos para jóvenes emprendedores

Sujan Patel, Entrepreneur and Marketer, Co-founder of Web Profits

Richard Branson, Steve Jobs, Bill Gates, entre otros, tienen tips para quienes empiezan un negocio propio.
Las opiniones expresadas por los colaboradores de Entrepreneur son personales.

Ser exitosos a menudo significa aprender de aquellas personas que ya lograron sus metas. Tener un mentor es una excelente “bendición” para un emprendedor, pero no todos tienen la fortuna de encontrar a uno rápido.

Te dejamos 21 tips para emprendedores jóvenes que te inspirarán si aún no encuentras a un “gurú” que te guíe de manera personal.

1. Desafíate a ti mismo
Richard Branson suele decir que su mayor motivación es desafiarse a sí mismo. Él trata la vida como si fuera una eterna universidad donde se puede aprender algo nuevo cada día.

2. Trabaja en lo que te importa 

No cabe duda que manejar un negocio requiere de tiempo. Steve Jobs notó que la única manera de estar satisfecho con la vida es trabajar en algo en lo que realmente crees.

4. Cree en ti mismo
Henry Ford lo dijo una vez: “Si piensas que puedes hacerlo o que no puedes hacerlo, estás en lo correcto”. Cree que triunfarás y encontrarás las maneras para superar los obstáculos. Si no lo crees, entonces solo encontrarás excusas.

5. Ten una visión
El fundador de Tumblr, David Karp, asegura que un emprendedor es alguien que tiene una visión y el deseo de crearla. Mantén tu visión clara todo el tiempo.

6. Encuentra buenas personas
Bien dice el dicho: “Quien anda con lobos, a aullar se enseña”. Reid Hoffman, co fundador de LinkedIn, asevera que la manera más rápida de cambiar es rodearte de personas que ya son de la manera que tú quieres ser.

7. Enfrenta tus miedos
Superar los temores no es sencillo, pero debe hacerse. Arianna Huffington, co fundadora de The Huffington Post, una vez dijo que la valentía era como un músculo que cuanto más se ejercitaba, más fuerte se hacía.

8. Toma acciones
El mundo está lleno de grandes ideas, pero el éxito solo se logra a través de la acción. Walt Disney una vez dijo que la manera más fácil de empezar algo es dejar de hablar y hacerlo.

9. Ten paciencia
Ningún éxito es inmediato y todos alguna vez fueron principiantes. Como una vez lo aseguro el propio Steve Jobs “si miras de cerca verás que la mayoría de las historias de éxito ‘inmediato’ tomaron mucho tiempo”. No temas invertirle tiempo a tu compañía.

10. Maneja tu energía no tu tiempo
Tu energía delimita qué puedes hacer con tu tiempo, no al revés.

11. Construye un buen equipo
Nadie triunfa en los negocios por sí solo y aquellos que lo intentan siempre pierden ante buenos equipos. Construye tu red de apoyo para alcanzar el éxito.

12. Contrata valores
La mejor manera de formar un gran equipo es contratar personalidades y valores. Siempre podrás entrenar a alguien para que tenga buenas habilidades, pero no puedes hacer que una persona adopte valores que no son suyos y que pueden no estar de acuerdo con tu empresa.

13. Planea un aumento de capital
Richard Harroch, inversionista de riesgo, da este consejo a los nuevos emprendedores: “Casi siempre es más difícil de lo que se creía reunir capital. Así que planea para eso”.

14. Conoce tus metas
Ryan Allis, co fundador de iContact, señaló que tener tu meta en mente todos los días, asegura que trabajas para alcanzarla. Fíjate objetivos y recuérdalos diariamente.

16. Conoce a tu consumidor
Dave Thomas, co fundador de Wendy’s, señaló que una de las claves del éxito es conocer a quién le sirves para saber cómo darles las soluciones que buscan.

17. Aprende de las quejas
Bill Gates una vez dijo que los clientes insatisfechos son la mayor fuente de aprendizaje de un emprendedor. Deja que ellos te enseñen cuáles son los huecos en tu servicio.

18. Pide la opinión de tus clientes
Una forma segura de NUNCA alcanzar el éxito es asumir qué es lo que tus clientes quieren. Debes preguntarles directamente y escuchar atentamente lo que tienen que decir.

19. Gasta sabiamente
Cuando gastas dinero en tu propio negocio debes asegurarte de que se le saque provecho. Es muy fácil usarlo en tonterías y quedarte sin capital.

20. Entiende a tu industria
Tony Hsieh, fundador de Zappos, una vez dijo “No tomes parte en juegos que no entiendes, aun cuando veas que otras personas están ganando dinero con ello”. Entender verdaderamente tu industria es la clave del éxito.

21. Da más de lo esperado
Larry Page de Google invita a los emprendedores a dar más de lo que sus clientes esperan. Es una manera fenomenal de hacerse notar en la industria y crear una basa de fans leales.

Ser un emprendedor exitoso requiere mucho trabajo, visión y perseverancia. Estos tips te pueden ayudar a comenzar.

-Five ways to be the kindest gentlest you«

For what you do to others, you do to yourself.» — Eckhart Tolle
By Sakara

It’s no big secret that you get what you give in this world. Good things happen to good people; it’s just the Universe’s way. If we were given the chance to be kind over being cruel, why wouldn’t we kill ‘em with kindness every single time?

Showing random acts of kindness to the loves in your life doesn’t have to mean orchestrating some complicated, over the top grand gesture. Not by any means. Learning to show kindness to others can be as simple as a change in attitude.

Listen, and you might learn. Give, and you shall receive.

    • Learn to reserve judgment, and keep an open mind. Give up what you thought you once knew so well. Make room for new knowledge from a new person, and a more colorful world will begin to open up before you. You can’t always be right…so give someone else the opportunity to be.
    • Give people a chance to talk. You want to tell people everything you know, so allow them to do the same with you. Surprise and delight others with how quiet and open-minded you can be when they speak, even when it’s not directed towards you. Your version of a random act of kindness could simply mean listening to someone —and I mean fully listening, without ever turning the conversation back onto yourself. Don’t make it all about you.
    • Being kind means being honest. Don’t give people short answers like «good,» «cool,» or the super lonely «k.» When someone asks you a question, be honest, be vulnerable, and be elaborate with them. They had the guts to ask you something, so do them a favor, and give them a proper answer. You don’t have to spill your whole soul to them, but going a little deeper and making someone feel loved is the least you can do in your pursuit to be kind.
    • Be selfless. When we’re tired and cranky, it’s easy to be unconsciously selfish in our actions. (When I get too hungry…such is the case). Use these opportunities to be acutely aware of how your decisions may affect others. Again, this doesn’t have to be some grand gesture, it can be as simple as putting yourself in another’s shoes, and acting from that place of the universal One.
  • Turn your attention away from yourself, and highlight the beautiful qualities in another. It’s easy: when you’re proud of yourself for something, you’ll begin to notice similar qualities of that very thing in others as well. Instead of outwardly giving yourself full credit for your beauty, compliment what you see in another. It will bring you a kind of peace and connection you didn’t know you needed.
You get what you give, so give the gift of kindness to the world. That is, if that’s what you wish to receive.

-Rod Bell: 2 things you can’t do if you want to realize a dream

To answer the question, Who are you to do this?, you first have to get out of your head.Pastor and author of How To Be Here shares some potent advice on how to allow yourself to follow your passions—and thrive.


I use this phrase, out of your head, because that’s where it’s easy to get stuck. Somewhere between our hearts and our minds is an internal dialogue, a running commentary on what we think and feel and believe. It’s the voices in your head that speak doubt and insecurity and fear and anxiety. Like a tape that’s jammed on «repeat,» these destructive messages will drain an extraordinary amount of your energies if you aren’t clear and focused and grounded.

To get out of your head, it’s important to embrace several truths about yourself and those around you, beginning with this one:

Who you aren’t isn’t interesting.

You have a list of all the things you aren’t, the things you can’t do, the things you’ve tried that didn’t go well. Regrets, mistakes that haunt you, moments when you crawled home in humiliation. For many of us, this list is the source of a number of head games, usually involving the words, Not enough.

Not smart enough,
not talented enough,
not disciplined enough,
not educated enough,
not beautiful, thin, popular or hardworking enough, you can
fill in the .

Here is the truth about those messages:

They aren’t interesting.

What you haven’t done, where you didn’t go to school,
what you haven’t accomplished, who you don’t know and what you are scared of simply aren’t interesting.

I’m not very good at math. If I get too many numbers in front of me, I start to space out.

See? Not interesting.

If you focus on who you aren’t, and what you don’t have, or where you haven’t been or skills or talents or tools or resources you’re convinced aren’t yours, precious energy will slip through your fingers that you could use to do something with.

In the same way that who you aren’t isn’t interesting when it comes to getting out of your head:

Who «they» are isn’t interesting.

We all have our they—friends, neighbors, co-workers, family members, superstars who appear to skate by effortlessly while we slog it out. They are the people we fixate on, constantly holding their lives up to our life, using their apparent ease and success as an excuse to hold back from doing our work and pursuing our path in the world.

Siblings who don’t have to study and still get better grades. Brothers-in-law who make more money without appearing to work very hard. Friends who have kids the same age as ours yet never seem stressed or tired and always look great.

In the movie Comedian, Jerry Seinfeld runs into a young comedian named Orny Adams backstage at a club where they are both performing and Orny says to him,»You get to a point where you’re like, ‘How much longer can I take it?’ »

Jerry is utterly perplexed by Orny’s sentiment, asking, «What—is time running out?»

Orny then begins a litany of complaints and excuses—»I’m getting older. . .I feel like I’ve sacrificed so much of my life.»

Jerry is amazed, «Is there something else you would rather have been doing? Other appointments or places you gotta be?»

Then Orny pulls out a new line of complaints: «I see my friends are making a lot of money. . . Did you ever stop and compare your life? Okay, I’m twenty-nine and my friends are all married and they all have kids and houses. They have some sort of sense of normality. What do you tell your parents?»

Jerry’s response: «Are you out of your mind? . . . This has nothing to do with your friends. It’s such a special thing. This has nothing to do with making it.»

I love those lines from Seinfeld:

This has nothing to do with your friends.
It’s such a special thing.
This has nothing to do with making it.

Decide now that you will not spend your precious energy speculating about someone else’s life and how it compares with yours.

We each have our own life, and every path has its own highs and lows, ups and downs, joys, challenges and difficulties.

When you compare yourself with others, you have no idea what challenges they are facing.

Bruce Springsteen struggled for years with depression. What? The Boss? His shows are three hours long, leaving everybody wondering, How does he do that? Bruce Springsteen, who seems to never run out of energy, who’s thriving more than ever in his sixties.

Yes. The Boss has had his struggles. Everybody does.

We rob ourselves of immeasurable joy when we compare what we do know about ourselves with what we don’t know about someone else.

You have your life.
And your life is not her life. Or his life.
And his life is not yours,
and neither is hers.

Is there any way in which you’ve been asking,
What about them?,
when the better question is,
What is that to you?

There will always be someone who’s smarter than you.
There will always be someone with more raw talent than you.
There will always be someone more experienced and better qualified and harder working and stronger and more articulate and more creative with more stamina who can sing better than you can.
But who you aren’t isn’t interesting.
And who they are isn’t interesting when it comes to who you are and what your path is.

How to Be HereExcerpted fromHow To Be Here, by Rob Bell. Copyright ©2016 by WORB, Inc. Published by HarperOne, an imprint of HarperCollins Publishers.

4 ways to survive your darkest days
He’s been through the universal three D’s—death, divorce, disappointment—and has found a path through. Here’s what the author of Utmost Living has learned can help…
spiritual energy

1. Recognize the season.

The Japanese poet, Kenji Miyazawa, wrote, «We must embrace pain and burn it as fuel for our journey.» Unfortunately, many of us have had a lot of extra fuel for our journey. Disappointment, divorce and death are each gut-wrenching in their own way. But when you are feeling the sting of a setback, God is preparing you for your comeback. I promise, on the other side of that pain and grief you’ll find yourself wiser and stronger.

Ecclesiastes 3:1 explains it best, «There are times and seasons for everything. Wherever life puts you, plow the ground, plant the seed, water the seed and wait for the harvest.»

2. Look to your last hurdle.

In Proverbs, it’s written that, «unrelenting disappointment can leave you heartsick.» Your heart is the center of your being; it’s where joy, peace, generosity and faith reside. When you’re continually disappointed, you risk not only becoming heartsick, but also bitter, angry and afraid.

Like many people, I went through a painful divorce. It left me feeling as if I were sleeping on a pile of ashes, like a house that had burned to the ground leaving nothing behind but remnants of something that once was so good. At the time, I was emotionally and spiritually bankrupt. Eventually, I realized that I had been through even more challenging experiences in my life and survived, and that I would overcome this experience, too. Remember that while you might not be able to change the circumstances, you can change your outlook about those circumstances.

3. Listen to the «first voice.»

Even in your darkest days, success leaves clues, and we find the answers we need are all around us. For evidence, look at other people’s journeys.

A woman recently asked me for counsel. After 30 years of marriage, her husband had left her for another woman. Now, she’s struggling to make peace with what happened. Sadly, many people face similar challenges. So the questions become, «What do you do after someone has left? How do you fill the void?» My advice was to get back to what I call the «first voice.» This is the voice of innocence. When we were children, this voice spoke to us about our destiny. The woman started to cry; she admitted that she was always living for her husband and their relationship, but never really living for herself. A smile came to her face as she realized that her first voice was pointing her toward a life of her own making.

4. Dial in the right frequency.

Who you surround yourself with during life’s trials can make all the difference. Do your friends (and even family members) place blame and bring you down? Or do they help uplift you?

Back in college, I used to share my dreams with people who just didn’t understand what it was to be a big dreamer. I remember hoping that they would finally get on the same frequency. After many exhausting conversations, I came to realize that you can’t get an FM radio station on an AM dial. When you’re going through challenges in life, make sure you have people in your life who have turned their test into a testimony. Your partners must be tuned into faith, hope and the knowledge that the best is yet to come.

Utmost LivingTim Storey is the author of Utmost Living.

Read more: http://www.oprah.com/inspiration/how-to-cope-with-tragedy#ixzz5D2MF4EkZ

Elizabeth Gilbert: What to Do When Your Family Is Holding You Back

In some families, nobody’s happy unless everyone stays in their place. Forever. Elizabeth Gilbert explains why they feel threatened, and how to break free.

If you come from a family that encourages every member to succeed, hoisting its kin on loving arms toward their destiny, then few of the following ideas will make sense to you. (And, also, where do you live and what do they put in your drinking water?!) Everybody else, please keep reading.

A few years ago, I found myself in a beauty salon in Detroit, getting my hair done by an edgy-looking rocker chick in her early 30s. My hairdresser was full of life, and I liked her spirit right away. But when I mentioned that I’d flown in that morning from New York City, she seemed suddenly overcome with sadness.

«Ah, New York,» she said wistfully. «It’s always been my dream to live there, even for just a year.»

«You should do it!» I said.

«I could never,» she said. «It’s too far out of reach.»

«No, it’s not!» I pushed. «People move to New York City every day! There are planes, trains, and buses heading from Detroit to New York every hour. There’s probably one leaving right now! You’re young—go!»

«I wish I could. I’m suffocating here. But it’ll never happen.»

I have an internal alarm that goes off whenever I hear people talking about dreams that will «never happen,» so of course I had to request further details.

«My family keeps me trapped here,» she explained.

«Oh, you’re married?» I asked.

«No.»

«Kids?»

«No.»

«Taking care of an elderly relative?»

«No,» she sighed.

«So what’s the trap?»

«I come from a big family,» she said, «and we’re really close, so I can’t really ever leave….»

And I thought, Ah, the crab bucket!

The first time I ever heard about the «crab bucket» was from my friend Rob Bell, an author, former pastor, and frequent public speaker. He was taking questions after an event when a woman in the audience said, «I’m making all these important changes in my life, and I’m growing in so many new and exciting ways, but my family is holding me back. They seem threatened by my need to evolve, and I don’t know what to do about it.»

Rob replied that her family was threatened by her need to evolve. She was disrupting their world view. Sometimes a family believes that stability depends upon keeping people in their correct place, he explained. If you dare to move from that place, you’ve challenged everyone’s sense of security. Some families are just like a big crab bucket—whenever one of the crabs tries to climb out and escape, the other crabs will grab hold of him and pull him back down.

Some lucky folks come from fabulous crab buckets—ones where the inhabitants form a helpful ladder for the most promising crustacean to climb up and out. But some come from crab buckets where an attempt to leave is met with a swift, clamping claw to one’s little crab ankle (or whatever crabs have instead of ankles).

In families, a crab bucket mentality can create the worst kind of loyalty—an honor code that forbids anyone from changing or growing. (The mentality being «If I can’t get out of this crab bucket, nobody’s getting out of this crab bucket.») I’ve also seen crab bucketing happen in peer groups, when friends subvert one another’s efforts at transformation. I know someone who was committed to losing weight, but when her coworkers relentlessly mocked her healthy food choices at lunch, she finally caved and rejoined them in their junk food binges. At which point she was instantly accepted back into the tribe.

That’s where we have to be really careful, because the threat of losing our tribe can be so scary that we might sabotage ourselves to avoid testing the limits of our clan. But if you have a dream for your life, then a crab bucket is no place for you to remain. If you feel like you’re suffocating, it might be time to fight your way out.
And as you’re crawling out of that bucket, take one last look behind you. Do you see a young and ambitious cousin crab of yours, perhaps, desperately trying to climb that wall to freedom, too? Reach down and pull her out with you. Together, maybe the two of you can go form a new family somewhere, a place where you are no longer held back by the needs and sorrows of others—but instead get to march (sideways or otherwise) toward the miracle that is your own right life.

Elizabeth Gilbert is the author of, most recently, Big Magic: Creative Living Beyond Fear (Riverhead).

Blog, Patrol y la Viuda

Matthieu Ricard, monje budista, fotógrafo y autor.

20-03-2018

Mientras Patrul viajaba a pie por las vastas mesetas de Golok, al norte de Dzachukha, se encontró con una mujer, madre de tres hijos, cuyo esposo acababa de ser asesinado por un dremong changthang, el enorme oso de las estepas tibetanas, una bestia mucho más peligrosa que el dremong de los bosques. Patrul le preguntó a la mujer a dónde iba, y ella le dijo que se dirigía a Dzachukha con sus tres hijos para pedir comida, ya que la pérdida de su marido los había dejado indigentes.Entonces ella comenzó a llorar.»¡Ka-ho! ¡No te preocupes! «Dijo Patrul. «Te ayudare. Yo también voy a Dzachukha. Viajemos juntos.»A ella le pareció bien, así que caminaron juntos durante muchos días. Por la noche, dormían a la intemperie bajo el cielo. Patrul acogía a uno o dos de los niños bajo los pliegues de su abrigo de piel de cordero, y la mujer hacia lo mismo con el resto. Durante el día, Patrul cargaba a un niño sobre su espalda, la mujer cargaba con el segundo y el tercero caminaba detrás.Cuando la mujer pedía limosna en las aldeas y campamentos nómadas por los que pasaban, Patrul lo hacía a su lado, pidiendo tsampa, mantequilla y queso. Los viajeros que se encontraban con ellos asumían que eran una familia de mendigos. Nadie, y menos aún la mujer recién viuda, podía imaginar la identidad de su andrajoso compañero.Finalmente, llegaron a Dzachukha. Ese día, la mujer se fue sola a pedir comida, y también lo hizo Patrul. Por la noche, cuando regresaron, la viuda notó que Patrul tenía una mirada oscura en su rostro.La mujer preguntó: «¿Qué pasa? Pareces molesto».Patrul sacudió la cabeza, diciendo: «No es nada. Tenía una tarea que hacer, pero la gente de aquí no me deja terminarla. Están haciendo una montaña de un granito de arena.Sorprendida, la mujer preguntó: «¿Qué trabajo podrías tener aquí?»Patrul respondió: «No importa, vámonos».Llegaron a un monasterio en la ladera de una colina donde Patrul se detuvo.Se volvió hacia la viuda y dijo: «Tengo que entrar. Puedes venir, también, pero no ahora. Ven en unos días «.La mujer dijo: «No, no nos separemos; entremos juntos. Has sido tan amable conmigo todo este tiempo. Podríamos casarnos. Si no, déjame al menos estar a tu lado. Me beneficiaría mucho de tu bondad «.»No, eso no servirá», respondió Patrul, inflexible. «Hasta ahora, he hecho mi mejor esfuerzo para ayudarte, pero aquí las personas son buscarruidos. Es mejor que no entremos juntos. Vuelve dentro de unos días; me encontrarás aquí adentro «.Entonces Patrul subió la colina hasta el monasterio, mientras que la viuda y sus hijos se quedaron en la parte inferior de la colina pidiendo limosna para comida.Tan pronto entró en el monasterio y contrariamente a su costumbre habitual de rechazar las ofrendas, Patrul ordenó que todos los bienes que se le ofrecieran se guardaran y se reservaran para un invitado muy especial que esperaba que necesitara provisiones.Al día siguiente, todos en el valle habían escuchado la noticia del regreso del gran lama.»¡Patrul Rinpoche ha vuelto!», Decía la gente. «¡Él nos dará enseñanzas sobre El Camino del Bodhisattva!»Hombres y mujeres, jóvenes y viejos, monjes y monjas y practicantes laicos, todos se apresuraron a escuchar al gran Patrul Rinpoche. La gente comenzó a reunirse en una gran multitud, trayendo caballos y yaks que llevaban sus carpas y provisiones.Cuando la viuda escuchó las noticias, se emocionó al pensar: «¡Ha llegado un gran lama! Esta será mi oportunidad de hacer ofrendas y solicitar oraciones en nombre de mi difunto esposo «.Junto con todos los demás, subió al monasterio y llevó consigo a sus tres hijos huérfanos.La pobre viuda y su familia tuvieron que sentarse al borde de la gran multitud para escuchar las enseñanzas de Patrul. Estaba tan lejos que no podía ver sus rasgos claramente. Al final de las enseñanzas, como todos los demás, se mantuvo en una larga cola esperando recibir la bendición del gran lama.Finalmente, se movió en la larga fila hasta que por fin se acercó lo suficiente como para ver que el gran lama, Patrul Rinpoche, no era otro que su andrajoso compañero de viaje, bondadoso y fiel.Movida por la devoción y el asombro, se acercó a Patrul y le dijo: «¡Perdóname por no saber quién eras! ¡Eres como el Buda en persona! ¡Perdóname por hacerte llevar a mis hijos! ¡Perdóname por pedirte que te cases conmigo! ¡Perdóname por todo!»Patrul aligeró la disculpa, diciendo: «¡No lo pienses más!»Dirigiéndose a los asistentes del monasterio, les dijo: «¡Este es el invitado tan especial que esperaba! ¡Traigan toda la mantequilla, el queso y las ofrendas que hemos reservado especialmente para ella! «

My blog, de Colette-Baron Reid

5-03-2018

Did you know that you have a sacred relationship to the creative force within you? Even if you don’t consider yourself “creative” you are actually doing it all the time. You create emotional scenarios to experience, you reinforce patterns of the past, and dream your intentions into the fabric of reality whether you are aware of it or not.

You are the artist that stewards reality forward on behalf of the Great Artist- the Conscious Universe that is the primal Source of everything- visible and invisible. If you’ve ever felt the pull of inspiration or the call to make something new of yourself you are in a dance with that integral part of you.

Philosophers have waxed poetic about this relationship for eons. I think the Greeks had the best idea when they explored the creative impulse as a sacred relationship between us and the Muses – the daughters of Zeus and the goddess of memory- Mnemosyne. These minor goddesses were birthed to represent the spirit of the arts, science, and literature to help us forget the sadness and darkness in the world.

We know that the arts are an essential form of expression in every culture. It’s how we process our deepest emotions and find perspective when it appears we have none.

Since antiquity, artists and poets refer to their inspirations as coming from their special Muse and although it refers to something that arises from within, it still is a beautiful way to imagine us in this dance with a goddess that whispers ideas to us that we can then set in motion.

The past couple years we’ve worked very hard at building Oracle School, and developing a library of oracle cards for Hay House, so much so I’ve had little time for creativity for its own sake, where I can flow into it without any idea of where it might land. Creativity, when it flows naturally like this is like a meditation. Although creating oracle card decks has been extraordinarily fulfilling, as is speaking, there’s this personal emptiness I’ve felt that nothing I was doing professionally could fill.

So not sure if you know this about me, but long ago in a faraway land, I had another life as a singer-songwriter that tanked miserably. However, I still had the bug to create music no matter how unconventional and decidedly weird and non-commercial it may be.

So I have a secret to share. (Oh ya it won’t be one anymore will it?) So, yearning to reclaim my Muse who I figured had given me the finger and moved along long ago, to some other more talented and amazing source of inspired stewardship, I called my co-writer and producer of my first album released on EMI music 18 years ago (that was supposed to change my life and did not) and asked if he would like to get together and create music again. We could even call our project Old Farts Music!

He said yes and I flew to LA for 5 days of intense Muse hunting. Of course, she was waiting for me to get real and raw.

I just got back from the most meaningful and authentic experience with one of the most talented people on the planet (his name is Eric Rosse – kinda famous for Tori Amos albums years ago). We told stories about life, talked about Love and Fear and children and the state of the world and we laughed and cried and ate too much and wrote some songs together and recorded them into the wee hours of the night.

I cannot tell you how whole I feel in this moment. So I am going to share my dance with my Muse with you. I understand one’s taste in music is subjective but I hope you can appreciate the sentiment.

Here are 5 ideas that helped me and might also help your creativity flow.

  1. You are never too old to be inspired and to make art.
  2. The Muse comes to dance with you and shows you her fierce abiding love full on when you surrender to the process and give away all expectation.
  3. Art of any kind is an expression of the Divine… Even finger painting! We are just the channel for it to move through.
  4. When you are in the flow of creativity for no reason at all, just to do it, you open up your connection to the universe in miraculous ways.
  5. On days you’re too mentally itchy to meditate, just go get creative, make a pie, finger paint, dance around your house like no one is watching. Oh yeah and sing. Definitely, sing.

So musing right along… Can you get out of your own way and let your Muse inspire you to create? Anything is still something. Creativity releases you from the prison of the self and sets your soul free.

Love you .. hope you like our song! It’s called What Would Love Do?

-Angeltheraphy, de Doreen Virtue

What Are My Spiritual Gifts?
Doreen Virtue's picture
  • Jan 18, 2018

God’s Holy Spirit gives each of us a spiritual gift, hand-selected for you, to help you in serving God to bring blessings (1 Peter 4:10).  These spiritual gifts may include prophecy, healing, miracles, and more. Please read on to learn more about your spiritual gifts:

The Holy Spirit (God’s Spirit who teaches, comforts, and advocates for you) coaches and guides you about how to develop, polish, and best use (and how to avoid misusing) the spiritual gifts that he discerns are part of your life purpose .

«There are different kinds of spiritual gifts, but the same Spirit is the source of them all. There are different kinds of service, but we serve the same Lord. God works in different ways, but it is the same God who does the work in all of us.

A spiritual gift is given to each of us so we can help each other. To one person the Spirit gives the ability to give wise advice; to another the same Spirit gives a message of special knowledge. The same Spirit gives great faith to another, and to someone else the one Spirit gives the gift of healing. He gives one person the power to perform miracles, and another the ability to prophesy. He gives someone else the ability to discern whether a message is from the Spirit of God or from another spirit. Still another person is given the ability to speak in unknown lan- guages, while another is given the ability to interpret what is being said. It is the one and only Spirit who distributes all these gifts. He alone decides which gift each person should have» (1 Corinthians 12:4–11 NLT).

These spiritual gifts include:

  1. Wisdom: Discerning the best solutions to problems, according to God’s word and will. This gift also involves having a spiritual talent to give wise advice in a way that others can hear and understand (1 Corinthians 12:8).
  2. Knowledge: Having the gift of “knowingness” and insights into the truth of situations. This includes the gift of clarity, with the ability to shine divine light so that others can know the truth (1 Corinthians 12:8).
  3. Faith: Retaining great faith in God, no matter what the circumstances are around you. This gift also means that the person’s faith is so pure that circumstances are healed and uplifted (1 Corinthians 12:9).
  4. Healing: Being a conduit for God’s healing power traveling through you to help others, according to God’s will. This gift is often called upon in the holy name of Jesus of Nazareth (1 Corinthians 12:9).
  5. Miracles: Similar to the gift of healing, being a vessel of God’s power to miraculously transform anyone, anything, and any situation. God is the one who chooses which miracles to perform through the person, and these miracles are used to bring faith and belief in God (1 Corinthians 12:10).
  6. Prophecy: Receiving and giving messages from
    the one true God. This is different from being “psychic,” in which messages may be received from unknown energies. Prophecy is often a foretelling of future events, sometimes so that you or others may intervene and sometimes to warn others to stop their destructive behaviors (1 Corinthians 12:10).  Some Christian faiths teach that there are no more prophets, and that this gift is no longer given, while others encourage those who have the gift of prophecy to use it to glorify God.
  7. Discernment: The ability to accurately distinguish whether a spirit is of God or of evil. This gift also means the person can distinguish between true and false teaching, and between desires of the flesh, and those of true spiritual guidance (1 Corinthians 12:10; see also 1 John 4:6).
  8. Language: Speaking a foreign language you’ve never before learned so that someone else can understand you (1 Corinthians 12:10). This was demonstrated in Acts 2:4 when the apostles were lled with the Holy Spirit after Jesus’s ascension, and they began speaking in foreign languages that other people understood.

Other spiritual gifts are described in Paul’s letters, and there are also discussions that some people may have more than one of these gifts.

Studying the great prophets of God of the Old and New Testaments, the words of Jesus, and the Book of Acts is a wonderful way to learn about the gift of prophecy. Then, ask the Holy Spirit daily for guidance about how to develop and use this spiritual gift and how to avoid misusing it.

Above all, make sure that you don’t have pride in ownership of these gifts, as viewing yourself as special or above others comes from the ego, not from the Holy Spirit. Use your spiritual gifts to glorify God, not to glorify or elevate yourself.

‘God has given each of you a gift from his great variety of spiritual gifts. Use them well to serve one another. Do you have the gift of speaking? Then speak as though God himself were speaking through you. Do you have the gift of helping others? Do it with all the strength and energy that God supplies. Then everything you do will bring glory to God through Jesus Christ. All glory and power to him forever and ever!’ (1 Peter 4:10–11)

Excerpt from Saints & Angels: A Guide to Heavenly Help for Comfort, Support, and Inspiration by Doreen Virtue.